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le web en parle..

Brigitte Bardot...Images rares...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot arrive pour la Mostra de Venise, en août 1953...

Brigitte Bardot arrive pour la Mostra de Venise, en août 1953...

Brigitte Bardot et son époux Roger Vadim, lors de la Mostra de Venise en août 1953

Brigitte Bardot et son époux Roger Vadim, lors de la Mostra de Venise en août 1953

Brigitte Bardot sur le Vaporetto qui relie Venise au Lidoelle a fait connaissance avec les bersagliers qui vont monter klaxonner à la garde d'honneur au palais du festival

Brigitte Bardot sur le Vaporetto qui relie Venise au Lidoelle a fait connaissance avec les bersagliers qui vont monter klaxonner à la garde d'honneur au palais du festival

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"Une orque achetée, un dauphin offert" nouvelle installation à Antibes, du street artiste Toolate pour dénoncer la vente des cétacés au Japon

Publié le par Ricard Bruno

Le street artiste Toolate a affiché une fausse publicité du parc Marineland dans les rues d'Antibes. • © Toolate

Le street artiste Toolate a affiché une fausse publicité du parc Marineland dans les rues d'Antibes. • © Toolate

Une affiche et un QR code pour accéder à une pétition. Singeant une publicité de supermarché, l'artiste dénonce la supposée vente des orques du Marineland d'Antibes.

"Parce qu’on ne vend pas un mammifère comme on vend un baril de lessive. Signez la pétition de Onevoiceanimal pour libérer les orques de Marineland et empêcher la vente au Japon" Voilà l'objectif de cette nouvelle performance du street artiste TooLate

L'artiste déjà remarqué pour sa tapette à touriste géante a fait une nouvelle installation. Il a détourné une publicité de Marineland et placardé des affiches dans les panneaux d'affichage de la ville pour dénoncer la vente des cétacés au Japon. 

L'artiste anonyme a accepté de répondre à nos questions : "je suis le destin tragique des orques de Marineland depuis longtemps, je suis engagé pour la cause animale. Quand j'ai appris la nouvelle de ce transfert au Japon, je n'ai pas hésité à passer à l'action."

Après plusieurs tentatives et en regardant des tutos sur internet, je suis arrivé à fabriquer le graal : une clé pour ouvrir les panneaux JC DECAUX.

TooLate

Street artiste

L'artiste explique : "Après un repérage sur place, j'ai réalisé la publicité sur Photoshop, lancé une trentaine d'impressions et le tour était joué ! De mon point de vue, la beauté dans une œuvre ce n'est pas la forme, c'est le fond. Dans la rue, je signe rarement mon travail. Pas besoin de savoir qui l'a réalisé, le plus important est de se concentrer sur le message." 

Afin de conserver son anonymat, l'artiste utilise une intelligence artificielle pour créer une voix dans ses vidéos. Depuis la publication de la vidéo et en quelques heures, plus de 500 signatures ont été enregistrées sur la pétition.

Les affiches ont déjà disparu ce samedi 26 aout dans les rues d'Antibes. 

Le panneau avenue Gambetta ne présente plus l'affiche du street artiste Toolate ce samedi 16 aout.

Le panneau avenue Gambetta ne présente plus l'affiche du street artiste Toolate ce samedi 16 aout. 

Un sanctuaire pour les cétacés

L'association OneVoice demande la création d'un sanctuaire pour accueillir les animaux vivant dans les parcs : "Après vingt ans de lutte acharnée contre l’industrie de la captivité, il est essentiel pour nous que les quatre dernières orques nées et dressées dans de l’eau chlorée en France puissent enfin jouir d’une vie digne et connaître un répit qu’elles n’ont jamais goûté jusqu’à présent."

Pour Muriel Arnal présidente de OneVoice, cette vente aux "sordides delphinariums de Dubaï, c'est plusieurs millions d’euros dans les poches de Marineland. Mais pour ces orques qui lui ont tant rapporté, le parc peut et doit faire un autre choix ! "

Je lui dis merci ! Que dit son affiche ? Juste La vérité. Elle choque ? Parce que le projet de Marineland est effroyable.

Muriel Arnal

Présidente de OneVoice

Elle remercie l'artiste qui se mobilise à leur côté pour relayer la pétition

La fin des parcs aquatiques ? 

La loi contre la maltraitance animale a été adoptée en novembre 2021. En France, 4 orques et une vingtaine de dauphins sont encore dans des parcs (à Antibes et à Nantes). Si la loi doit interdire la représentation des cétacés, elle accorde la détention dans un cadre spécifique. Le parc Marineland doit donc faire évoluer son fonctionnement. 

La sénatrice Anne Chain-Larché a rendu un rapport d'information en juin 2023 concernant l'application de la loi. Un an et demi après sa promulgation, de nombreux aspects ne sont pas appliqués :

"La loi nécessitait trois arrêtés pour la bonne application de cet article (définition des présentations pédagogiques, définition des programmes scientifiques et relèvement des normes de détention pour le bien-être animal), qui pourraient signifier en pratique la fin de l'activité pour l'un des deux parcs. Or, aucun de ces textes n'a été pris à ce jour." La rapporteure appelle à "les publier rapidement (d'ici à la fin de l'été), et de préférence d'un bloc, pour stabiliser le cadre normatif sur plusieurs années et permettre aux parcs aquatiques de procéder aux investissements nécessaires à la mise aux normes."

Le parc Marineland n'avait pas confirmé la vente des orques, dans un article datant de mai 2023, la direction avait répondu aux journalistes de France 3 Côte d'Azur " nous étudions plusieurs pistes de relocalisation des orques."

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LA FRANCE CONTINUE DE TUER INUTILEMENT DES LOUPS EN GRAND NOMBRE !

Publié le par Ricard Bruno

LA FRANCE CONTINUE DE TUER INUTILEMENT DES LOUPS EN GRAND NOMBRE !

Le 25 juillet 2023, la seconde brigade grands prédateurs terrestres a été inaugurée à Rodez, dans le département de l’Aveyron. Cette brigade est composée d’agents de l’Office français de la biodiversité qui auront pour objectif d’intervenir sur deux espèces : les Loup et les Ours. Leur secteur de compétence s’étendra des Pyrénées à la partie Ouest du Rhône, jusqu’au Nord de l’hexagone.

Il s’agit de la seconde brigade grands prédateurs, puisqu’une première a été créée en 2015 à Gap, dans les Hautes-Alpes. L’orientation destructrice de cette brigade n’est plus à démontrer.

Le plan national d’action a fixé un plafond de 174 loups à abattre en 2023 sur une estimation de 906 individus présents sur le sol français, soit 19.9 % de la population de l’espèce lupine. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2023, 106 loups ont été tués.

20 % d’abattage pour une espèce inscrite sur la liste rouge des espèces menacées en France est surréaliste.

  1. Pour rappel, le Loup gris est une espèce protégée en Europe par la convention de Berne de 1979 et au niveau de l’Union Européenne par la directive Habitats du 21 mai 1992. Sur notre territoire, l’arrêté ministériel du 23 avril 2007 mentionne l’interdiction de détruire, mutiler, capturer ou enlever l’espèce Canis lupus (loup). L’État doit donc veiller à la conservation de l’espèce et de ses habitats. La France enfreint donc une nouvelle fois la législation européenne en « détruisant » une espèce protégée.

Pour quels motifs créer une seconde brigade grands prédateurs sur la partie ouest du territoire, alors qu’une seule meute est recensée ?

De plus, aucun moyen n’est mis en place sur les secteurs concernés par cette brigade grands prédateurs, afin de limiter de potentielles attaques de loups (colliers anti-loup, chiens de protection, clôtures électrifiées adaptées aux grands prédateurs, etc).

Au vu du faible nombre d’individus de l’espèce lupine présente sur ces secteurs, cette brigade n’a pas vocation à limiter les dommages des Loups, mais plutôt à éliminer leur présence.

De toute évidence, le gouvernement préfère céder aux pressions de la FNSEA et de l’association « cercle 12 », plutôt que de proposer des solutions durables, à l’instar de nos pays voisins tels que l’Italie ou l’Espagne.

  1. La mortalité chez les ovins causée par les Loups est minime par rapport à d’autres causes telles que la mortalité des agneaux (perte de 16 % des individus), les chutes, les maladies, les éboulements, la foudre, etc. En 2021, 7 millions d’ovins ont été élevés. Cette même année, 11 616 ovins ont été victimes des loups, soit 0,16 % du cheptel français, tandis que 5 millions ont été victimes des abattoirs, soit 71 % du cheptel français.1
  1. L’Efficacité des tirs n’est pas démontrée. Cela tend à engendrer plus de dégâts, soit l’inverse de l’effet escompté. En effet, pour peu que soit tué un membre du couple reproducteur, les meutes risquent d’être déstructurées. Or, les Loups devenus solitaires se tournent plus spontanément vers les « proies faciles » que constituent les animaux de rente. De nombreuses mesures alternatives à ces tirs sont susceptibles d’être mises en place et ont fait leurs preuves dans bien des territoires : les clôtures (à hauteur et voltage suffisants), les CPT (chiens de protection des troupeaux), les colliers anti-loups, ou encore la surveillance des troupeaux (à l’instar de ce que proposent FERUS en France et Oppal en Suisse).²
  1. Les Loups sont garants d’écosystèmes en bonne santé, ils sont un maillon essentiel de la chaîne alimentaire. Les grands prédateurs sont indispensables à l’équilibre de la biodiversité. Ils ont également un effet positif sur la végétation. En leur présence, les cervidés tels que les chevreuils et les cerfs sont contraints de se déplacer régulièrement, favorisant ainsi la régénérescence forestière naturelle. Nous pouvons ici évoquer le cas du

département de la Drôme où plusieurs meutes de loups sont installées. Sur ce territoire, les loups ont naturellement régulé les populations d’ongulés sauvages, ce qui contribue à réduire les dégâts sur les cultures et les plantations forestières. L’État fait trop aveuglément confiance au monde de la chasse pour (mal) gérer la faune sauvage, sans laisser la possibilité d’expérimenter des solutions alternatives non létales prônées par les associations.3

  1. Oui, la cohabitation entre les Loups et l’élevage est possible. L’espèce n’a jamais disparu de chez nos voisins italiens et espagnols où la présence du prédateur semble davantage acceptée. En France, des aides financières sont allouées par l’État, afin d’accompagner les éleveurs dans l’acquisition de moyens de protection. Pourtant, les moyens mis en place sont quasiment nuls sur ces secteurs. Ne serait-il pas temps de s’y atteler plutôt que de pointer du doigt un animal faisant souvent office de parfait bouc-émissaire ? Ne perdons pas de vue les vrais problèmes auxquels sont confrontés les éleveurs, tels que la crise climatique et écologique que nous traversons ou encore la concurrence internationale. En outre, les associations ne manquent pas d’inventivité pour pacifier la relation Homme-Loup.

Quoi qu’il en soit, le canidé n’a eu de cesse de se développer depuis son retour naturel dans l’Hexagone au début des années 90. Il continuera de le faire tant que l’équilibre proie-prédateur ne sera pas atteint. Cela est une excellente nouvelle pour la préservation des écosystèmes mis en péril par les activités humaines.

Plus vite nous l’admettrons et cesserons d’entretenir les contre-vérités ici interrogées, plus vite nous pourrons agir et avancer vers une cohabitation bénéficiant aux loups, aux éleveurs, et à tout un chacun.

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"C’est de la bêtise ou du terrorisme intellectuel" : Brigitte Bardot s’en prend à ceux qui la traitent de raciste

Publié le par Ricard Bruno

"C’est de la bêtise ou du terrorisme intellectuel" : Brigitte Bardot s’en prend à ceux qui la traitent de raciste

Tout simplement pour dire UN GRAND Bravo à Brigitte, je te rejoint parfaitement dans tes propos, on est obligé de crier fort voir plus pour être entendu...

Tu ne lâche RIEN, on ne lâche RIEN !

Bruno Ricard 

L’ancienne actrice Brigitte Bardot est connue aujourd’hui pour défendre les animaux et elle ne cesse de prendre la parole sur les réseaux sociaux pour donner son avis sur la société et les diverses thématiques qui l’habitent. Certaines de ses paroles et de ses mots sont parfois jugés extrêmement provocants et limites a tel point qu’elle souvent pointés du doigt comme étant raciste notamment sur les sujets du halal ou de l’Aïd, une dénonciation qu’elle a décide de faire taire lors de son entretien avec nos confrères du Point ce 17 août. "C’est de la bêtise ou du terrorisme intellectuel, mais ça ne m’impressionne pas. Quand je m’en prends, ce qui arrive souvent, à Willy Schraen, le patron des chasseurs, qui ose célébrer 'le plaisir de tuer', personne ne m’accuse de racisme anti-blanc. Je dénonce les abjections d’où qu’elles viennent, pas des communautés ou des couleurs de peau. Et puis, quand vous défendez la cause animale, vous êtes toujours obligé de crier fort. Sinon, personne ne vous écoute !" a-t-elle tenu à expliquer. 

Les animaux ? Brigitte Bardot a décidé de les défendre suite à un évènement précis survenu sur le tournage du film, L’Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise de Nina Companeez. "Un jour, je me retrouve sur le plateau avec une figurante qui tient une chevrette avec une ficelle en guise de laisse. Pendant la pause, je m’approche et commence à caresser l’animal, quand la femme me dit : ‘dépêchez-vous de finir votre film, parce que, dimanche, pour la communion de mon fils, j’ai prévu de faire un méchoui avec cette bête’. Le mot de méchoui a déclenché quelque chose de très violent chez moi. J’ai vu trente-six chandelles et acheté aussitôt la chevrette, que j’ai ramenée à mon hôtel, un quatre ou cinq-étoiles" s’est-elle souvenue.

Source de l'article : Cliquez ICI

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"Il m’appelait ‘ma biche’" : Brigitte Bardot évoque cash ses relations avec les présidents français

Publié le par Ricard Bruno

"Il m’appelait ‘ma biche’" : Brigitte Bardot évoque cash ses relations avec les présidents français

Après que Brigitte Bardot ait souffert de problèmes respiratoires cet été, Mireille Dumas, qui avait réalisé un documentaire en son honneur intitulé Brigitte Bardot, L’insoumise, avait confié qu’elle allait mieux au micro d’Europe 1. "Écoutez, comme toute personne d'un âge certain, elle a souffert de la chaleur. C'est un été qui est quand même difficile, mais là, elle va bien", avait-elle dévoilé.

L’ancienne actrice BB a été interrogée par nos confrères du Point ce 17 août, l’occasion pour elle d’évoquer son parcours et notamment sa relation avec les divers présidents qu’elle a rencontré tout au long de sa vie. Elle a notamment révélé l’identité de celui qui l’avait le plus aidé : Valéry Giscard d’Estaing. "Il était très disponible, il allait droit au fait, il essayait de régler les problèmes." a-t-elle commencé à témoigner avant de poursuivre sur ses successeurs. "Chirac, lui, est celui qui m’a le plus promis, mais il n’a rien tenu du tout. Il était adorable, il m’appelait 'ma biche' et m’envoyait des petits mots charmants. Il avait peut-être une idée derrière la tête (rire). Quant à Macron, ça aura été un fiasco total. Lorsque je l’ai rencontré, en 2018, j’ai été surprise par son sérieux et l’attention qu’il portait à tous les sujets que nous avons abordés. Après que j’ai dénoncé le scandale de l’hippophagie, l’un de mes premiers combats, il a paru étonné et même indigné. 'Quoi ? On mange encore du cheval en France ?' Il ne savait pas que, chez nous, on tue 5 000 chevaux pour les bouffer. Je lui ai dit qu’il fallait interdire ça, mais il n’a rien fait, bien sûr. Quelques semaines plus tard, il a reçu le président de la Fédération nationale de la chasse et il lui a donné tout ce qu’il voulait. (…) La cause animale est la cinquième roue de son carrosse présidentiel. Sur ce plan au moins, on peut regretter Giscard." a-t-elle expliqué.

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"J'ai été traquée, insultée, traînée dans la boue" : Brigitte Bardot se livre comme jamais sur son passé de sex-symbol

Publié le par Ricard Bruno

"J'ai été traquée, insultée, traînée dans la boue" : Brigitte Bardot se livre comme jamais sur son passé de sex-symbol

Mercredi 16 août 2023, Brigitte Bardot a accordé un entretien au Point. L’occasion pour l’actrice, chanteuse et militante des droits des animaux de 88 ans d’évoquer comme jamais son passé de sex-symbol.

Au fil des années, elle a prouvé qu’elle n’était pas qu’un joli visage. Figure emblématique des années 1950-1970, Brigitte Bardot est l’une des actrices françaises les plus célèbres au monde. Libre et anticonformiste, l’ex-comédienne de 88 ans a été l’emblème de l’émancipation des femmes et de la liberté sexuelle, notamment grâce à ses rôles mi-femme-enfant, mi-femme fatale. Cependant, celle qui a arrêté le cinéma en 1973 avait été très critiquée après le succès du film Et Dieu… créa la femme, réalisé par son ex-mari Roger Vadim. "Je n'ai jamais songé un instant incarner le mouvement de libération des femmes. Tout ça, je l'ai fait parce que je refusais de rester derrière les barreaux des conventions de l'époque : je voulais être moi-même", a-t-elle confié mercredi 16 août 2023 dans les colonnes du Point. Si celle que l’on surnomme "BB" a enchaîné les succès au cinéma, tout n’a pas toujours été facile pour elle. "Ma liberté m'a parfois coûté cher, vous savez. J'ai été traquée, insultée, traînée dans la boue à cause de ma façon de vivre. Souvent, je croisais dans la rue des femmes qui me traitaient de pute", a précisé Brigitte Bardot, mère d'un fils unique, Nicolas, et épouse de Bernard d'Ormale depuis plus de 30 ans.

Brigitte Bardot : "Tout le monde m'a regardée comme si j'étais devenue folle"

Si son nom était sur toutes les lèvres, Brigitte Bardot n’avait pas beaucoup d’amis dans le milieu du cinéma. "Il y avait Mylène Demongeot, avec qui j'ai débuté, et puis aussi deux grands potes de Roger Vadim, mon premier mari, qui sont devenus les miens : Robert Hossein et Maurice Ronet. Si j'ajoute Alain Delon, la liste s'arrête là", a estimé auprès du Point l'ex-actrice, récemment victime d’un malaise respiratoire. Après 45 films, elle a cependant tourné la page en fondant la Fondation Brigitte Bardot en 1986. "J'ai dit à un journaliste de France-Soir, qui l'a repris : 'Maintenant, je change de vie, j'arrête le cinéma et je défends la cause animale.' Tout le monde m'a regardée comme si j'étais devenue folle. On a cru que c'était un caprice d’actrice", s’est-elle amusée. Aujourd’hui, c’est pour les animaux que Brigitte Bardot se bat. "Il y a longtemps, j'ai dit qu'après avoir donné ma jeunesse et ma beauté aux hommes, je voulais donner le meilleur de moi-même aux animaux. Mais ça ne m'empêche pas de m'occuper des personnes en détresse, qui sont toujours nombreuses à m’écrire", a-t-elle encore déclaré auprès du Point.

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Un homme condamné à de la prison ferme pour avoir frappé son bouledogue : “Ce chien était un défouloir”

Publié le par Ricard Bruno

Un homme condamné à de la prison ferme pour avoir frappé son bouledogue : “Ce chien était un défouloir”

Un homme de 34 ans a été condamné à huit mois de prison pour avoir frappé son chien, en France.

Absent lors de son procès qui s’est tenu ce jeudi au tribunal correctionnel d’Évry-Courcouronnes, un prévenu de 34 ans a été condamné à de la prison ferme pour des coups portés à son chien, rapporte le Parisien.

Les faits datent de 2019. Les voisins de l’appartement entendent Lynch, 4 ans, un bouledogue français hurler de douleur. Yoan, le prévenu de 34 ans, s’occupe de l’animal durant le séjour de sa compagne en Martinique. Interpellée par les cris, la voisine appelle la police.

 

 

À leur arrivée, ils découvrent un chien fort mal en point. Lynch présente plusieurs plaies ouvertes sur la face et a des traces de sang sur le corps. Pire encore, un de ses yeux est crevé. Lynch urine sur le sol et vomit du sang. Le chien a été confié à un vétérinaire, puis pris en charge par la Fondation Brigitte Bardot.

Sa défense plaide “des blessures antérieures aux faits reprochés” et avance qu’il se serait blessé lors d’une fugue. Le prévenu ne conteste pas les coups. “Il dit l’avoir frappé ce jour-là parce qu’il avait fait ses besoins dans la pièce et qu’il se serait montré hargneux”.

Le bourreau de l’animal a été condamné à huit mois de prison. Le tribunal a également prononcé à son encontre une interdiction définitive de détenir un animal.

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Tout ce que vous ignorez sur la chanson "La Madrague" de Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

"Sur la plage abandonnée... Coquillages et crustacés..." Venez flâner chez Brigitte Bardot à Saint-Tropez pour redécouvrir la fameuse Madrague, une villa et surtout une chanson mythique qui sent bon l'été !

Quelques notes et déjà on a les pieds dans l'eau turquoise ! " Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés.." soyez les bienvenus à La Madrague la demeure de Brigitte Bardot dans le Var et dans une des chansons les plus célèbres du répertoire français.

Interprétée par Brigitte Bardot en 1963, "La Madrague" reflète parfaitement l'image de l'actrice babydoll.

Tout commence en 1958, révélée deux ans plus tôt par le film Et Dieu créa la femme, le sex-symbol Brigitte Bardot achète une maison à Saint-Tropez. Cette jolie propriété, baptisée La Madrague devient très vite un repère jet-set parmi les invités récurrents Jean-Max Rivière un auteur qui écrit entre autres pour France Gall et Juliette Gréco.

Marc Toesca.

Écrite par Jean-Max Rivière donc et composée par Gérard Bourgeois, la chanson marque un tournant dans la carrière musicale de Brigitte Bardot.

À noter des reprises de la jeune et moins jeune génération de chanteurs français. 

Par Laurent Voulzy, d'abord, en 2006, mais aussi par la candidate de La Nouvelle Star, Camélia Jordana, en 2009.

Notons aussi Loana, en 2010 qui joue sur une certaine ressemblance :

Les paroles de "Sur la plage abandonnée"

Sur la plage abandonnée

Coquillages et crustacés

Qui l'eût cru déplore la perte de l'été

Qui depuis s'en est allé

On a rangé les vacances

Dans des valises en carton

Et c'est triste quand on pense à la saison

Du soleil et des chansons

Pourtant, je sais bien l'année prochaine

Tout refleurira nous reviendrons

Mais en attendant je suis en peine

De quitter la mer et ma maison

Le mistral va s'habituer

À courir sans les voiliers

Et c'est dans ma chevelure ébouriffée

Qu'il va le plus me manquer

Le soleil mon grand copain

Ne me brûlera que de loin

Croyant que nous sommes ensemble un peu fâchés

D'être tous deux séparés

Le train m'emmènera vers l'automne

Retrouver la ville sous la pluie

Mon chagrin ne sera pour personne

Je le garderai comme un ami

Mais aux premiers jours d'été

Tous les ennuis oubliés

Nous reviendrons faire la fête aux crustacés

De la plage ensoleillée

De la plage ensoleillée

De la plage ensoleillée.

... A vous de chanter !

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La souffrance des pintades en cage

Publié le par Ricard Bruno

La souffrance des pintades en cage

Ces images montrent les pintades reproductrices d’un couvoir du groupe LDC. Inséminées pour produire des œufs fécondés, ces pintades sont entassées dans des cages, sans pouvoir ni se redresser, ni étendre leurs ailes. Certaines, blessées, sont laissées sans soin, d’autres ne survivent pas. 

Poules pondeuses ou cailles serrées les unes contre les autres, lapins dont les pattes se coincent dans le sol grillagé, veaux laitiers séparés de leurs mères et isolés dans des boxes, truies qui ne peuvent que se lever ou se coucher… L’enfer des cages concerne de nombreuses espèces.

Pourtant, ce mode d’élevage est encore légal – et pour certains animaux, comme pour ces pintades reproductrices, il pourrait le rester si nous n’agissons pas : signons et relayons cette pétition !

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