Brigitte Bardot...à Capri...inédit !
Brigitte Bardot arrivée à Capri lors du tournage du film le mépris...
Cela dure quelques secondes mais document totalement Inédit !
©Bruno Ricard
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Brigitte Bardot arrivée à Capri lors du tournage du film le mépris...
Cela dure quelques secondes mais document totalement Inédit !
©Bruno Ricard
Une raison de plus de ne plus manger de cadavres...
"On ne mange pas la plus belle conquête de l'homme"
Bruno Ricard
Une soixantaine de personnes ont été arrêtées, elles sont poursuivies notamment pour des délits de maltraitance animale, atteinte à la santé publique et blanchiment d'argent.
L'enquête avait démarré en Espagne en 2016, à la suite de la détection par la garde civile d'activités suspectes en lien avec le marché de la viande de cheval. (Photo d'illustration)
Un vaste trafic de viande de cheval en Europe a été démantelé dans le cadre d'une enquête menée en Espagne, a révélé dimanche Europol en évoquant des ramifications dans huit pays européens, dont la Belgique où le cerveau du réseau a été arrêté. Dans le cadre de cette enquête, «soixante-cinq personnes ont été arrêtées et poursuivies pour des délits tels que la maltraitance animale, la production de faux, des atteintes à la santé publique, le blanchiment d'argent et l'appartenance à une association de malfaiteurs (...)», précise un communiqué d'Europol.
L'enquête avait démarré en Espagne en 2016, à la suite de la détection par la garde civile d'activités suspectes en lien avec le marché de la viande de cheval. En avril 2017, les forces de l'ordre avaient déclenché des opérations contre un réseau de trafic de viande de cheval inapte à la consommation humaine. Selon le quotidien El Pais, l'opération visait en particulier un courtier néerlandais en viandes, Jan Fasen, poursuivi par la justice française dans le scandale dit des lasagnes à la viande de cheval qui avait déjà touché plusieurs pays européens en 2013.
Dimanche, Europol a évoqué «un homme d'affaires néerlandais», interpellé dans la station balnéaire de Calpe à Alicante. L'agence précise aussi qu'il était lui-même en lien avec le cerveau de l'opération, également néerlandais, installé en Belgique. Dans un premier temps, 25 personnes avaient été arrêtées en Espagne et selon Europol, l'enquête a mené bien au-delà des frontières espagnoles. Finalement, des opérations avaient aussi été menées de façon coordonnée en Belgique, en France, au Portugal, en Italie, en Roumanie, en Suisse et au Royaume Uni. Des comptes en banque ont été gelés, et des biens immobiliers saisis, de même que cinq voitures de luxe.
La première affaire, qui avait démarré au Royaume-Uni début 2013, avait mis en lumière la complexité et l'opacité des circuits d'approvisionnement et de transformation. Plusieurs grandes marques de surgelés avaient été touchées, dans un contexte de tromperie massive portant sur 750 tonnes de viande écoulée dans 13 pays européens, soit 4,5 millions de plats cuisinés, avait révélé à l'époque l'autorité française antifraudes (DGCCRF).
Brigitte Bardot Interview du 15 07 2017Journal Télévisé de 20h30 de France2...
Bruno Ricard
Il fut un temps où le Canard Enchaîné comptait parmi ses journalistes de nombreux aficionados. Mais, fort heureusement, les moeurs évoluent et les vérités finissent toujours par éclater.
Dans son dossier de juillet 2017 consacré à la maltraitance animale, le Canard estoque la corrida en reprenant et confirmant tout ce que nous disons et écrivons depuis des années : oui, la corrida est une barbarie, oui c’est un gouffre financier, oui son public vieillit, oui les « pipoles » n’osent plus s’y montrer parce que ça fait tache, oui de nombreux spectateurs se sont lassés de recevoir des lacrymos et de se faire huer par des manifestants anticorrida. Bref, d’être leur mauvaise conscience…
En prime, une magnifique confirmation de Simon Casas : « Nous sommes tous déficitaires depuis cinq ans ».
On ne vous le fait pas dire. Nous, cela fait cinq ans qu’on le dénonce.
Roger Lahana
Secrétaire fédéral de la FLAC
Brigitte Bardot ne vit plus en recluse dans le village de pêcheurs du Var. Gunther Sachs, héritier allemand richissime descendant des fondateurs des automobiles Opel, est venu. On parle mariage.
Paris Match, 13 juillet 1966. Par Gilbert Graziani
« Ils ne se quittent plus. Après s’être cachés pendant une semaine en Bavière, Brigitte Bardot et Gunther Sachs font ensemble leur réapparition à Saint-Tropez. On les voit partout, la main dans la main, les yeux dans les yeux et assez sûrs d’eux pour laisser les photographes fixer les images de leur bonheur.
Il a fait tirer trois feux d’artifice sous ses fenêtres
Et pour bien montrer à tous que désormais ils forment un couple, c’est sous le même déguisement (en vampires ; ils en ont eu l’idée au château de Rechenau, en Bavière) qu’ils vont en chantant à un bal costumé. Tout à son amour, Gunther ne songe qu’à distraire BB. La veille, il a fait tirer trois feux d’artifice sous ses fenêtres.
Sans jamais s’être rencontrés depuis cinq ans, chaque été, ils étaient voisins. L’une habitait à l’est de la presqu’île, l’autre au sud, près de Pampelonne. La «Parisienne» habitait une villa, «La Madrague», décorée par elle-même.
"C’était écrit depuis toujours"...
Le play-boy allemand recevait fastueusement ses amis dans une grande copropriété louée, «La Capilla». «Quand je pense, dit Brigitte, que nous voyions les mêmes gens, fréquentions les mêmes endroits, et que nous ne nous connaissions pas ! Pourquoi nous sommes-nous rencontrés cette année ? Nul ne le dira, mais je suis sûre que c’était écrit depuis toujours.»
Pour elle, Gunther, d’un coup de baguette, a fait de ce Saint-Tropez estival envahi de touristes, un paysage de conte de fées : lorsqu’ils s’envolaient de l’aéroport de La Môle ou lorsqu’ils s’exerçaient à la winchester, notre photographe était présent.
(…) Pour la première fois, Brigitte Bardot ouvre son cœur et se confie, comme jamais elle ne l’a fait. Elle parle doucement sans aucune gêne avec un peu d’extase dans la voix. Car même sa voix est changée.
« Je le trouve merveilleux. Je n’ai jamais connu un homme comme lui… Ce n’est pas du tout le genre de personnage qui m’intéresse mais il est si différent de sa réputation. Il est infiniment bon, loyal et fidèle dans ses amitiés. C’est un être sur lequel on peut compter et se reposer et surtout il a le sens du merveilleux. Sa capacité d’étonnement extraordinaire… Avec lui tout est possible… Quand je pense que nous menions la même vie, que nous voyions les mêmes choses, fréquentions les mêmes endroits et que nous ne nous connaissions pas ! »
BB s’anime et devient volubile. Elle s’étonne elle-même.
« C’est la plus belle histoire d’amour que je connaisse. Je vis un vrai conte de fées. Gunther est un seigneur, un vrai prince charmant : le dernier ».
L'actrice, âgée de 82 ans, est décédée samedi à Rome où elle vivait. Elle avait commencé sa carrière internationale avec Kirk Douglas en 1953 puis travaillé pour des cinéastes aussi prestigieux qu'Orson Welles et Mario Monicelli. En hommage à sa mémoire, Le Figaro présente une sélection de ses meilleurs films.
L'Indienne indomptable qui fait tourner la tête de Kirk Douglas dans La Rivière de nos amours n'est plus. Elsa Martinelli est morte samedi 8 juillet des suites d'une longue maladie à Rome où elle vivait. Née Elsa Tia, le 30 janvier 1935 à Grosetto en Toscane, elle était âgée de 82 ans.
La légende du septième art raconte que c'est en voyant une photo du mannequin Elsa Martinelli dans le magazine américain Life que Kirk Douglas, frappé par sa beauté sauvage, propose au réalisateur André De Toth de l'engager pour jouer Onahti dans La Rivière de nos amours (The Indian Fighter). La carrière de cette Italienne de 18 ans sera lancée par un western hollywoodien. Elle possède alors tous les atouts et les atours pour charmer les Américains qui lui trouvèrent immédiatement des faux airs d'Audrey Hepburn.
En 1956, elle est l'héroïne de Donatella de Mario Monicelli. Sa formidable composition lui vaudra de recevoir, la même année, l'Ours d'Argent de la meilleure actrice au VIe Festival de Berlin. Du milieu des années 50 jusqu'au début des années 70, la comédienne joue une soixantaine de films. Elle travaille pour Orson Welles dans un de ses chefs-d'œuvre, Le Procès, inspiré d'un roman de Kafka. Elle croise Jean Sorel dans De l'amour, inspiré de Stendhal, réalisé par Jean Aurel. Elle ne dédaigne les films de cape et d'épée du cinéma français. On la retrouve sous la direction d'André Hunebelle dans Le Capitan avec les maîtres du genre, le duo du Bossu: Jean Marais et Bourvil.
Avec Marilyn Monroe aux États-Unis et Brigitte Bardot en France, Elsa Martinelli incarna en son temps une forme d'érotisme exacerbé. Et ce n'est pas un hasard si Roger Vadim lui demanda dans Et mourir de plaisir d'embrasser sur la bouche l'actrice Annette Stroyberg, Madame Vadim à la ville. Et après B.B et Catherine (Deneuve), encore une fois, Il avait créé la femme... italienne.
En hommage à sa mémoire et à son talent, de La Rivière de nos amours au Procès en passant par Donatella, Le Figaro vous propose de voir quelques extraits d'une sélection des films les plus marquants d'Elsa Martinelli.
L’hôtel de Saint-Tropez fête cette année ses 50 ans. Rencontre avec Antoine Chevanne son propriétaire qui raconte cet établissement mythique construit pour Brigitte Bardot
Tout a déjà été dit sur l’Hôtel Byblos, dont le nom rend hommage à l’une des plus anciennes villes du Liban, celle où la légende veut qu’Adonis et Aphrodite se soient aimés. Décriés par certains, adulés par d’autres, le palace de Saint-Tropez et sa discothèque les Caves du Roy sont devenus un véritable mythe. A l’occasion de son 50e anniversaire, l’établissement s’est associé avec les prestigieuses Maisons Missoni, Audemars Piguet, Dom Pérignon, Goyard, Sisley et Rolls Royce en prévision de festivités féeriques.
Au-delà du strass et des paillettes, le Byblos a su traverser les modes et les âges avec une insouciance désarmante et un charme indéfinissable. Le gardien du temple, Antoine Chevanne, représentant de la quatrième génération de propriétaires, contribue dignement à ce succès. Avant-gardiste dans bien des domaines, il cultive sans relâche le luxe d’un art de vivre à la française tout en cultivant un profond respect des traditions.
Le Byblos, c’est une saga. Son décor? Saint-Tropez, petit port de pêche du Sud de la France qui fascine et attise la curiosité depuis toujours. Fièrement attachés à leurs traditions, les 5000 Tropéziens de souche ont accueilli dès la fin du XIXe siècle écrivains, artistes et peintres fascinés par une luminosité incomparable. Les acteurs de cinéma leur emboîtent le pas. La rencontre entre Roger Vadim et Brigitte Bardot va bouleverser ce coin tranquille de Provence. En 1956, ils tournent ensemble sur la presqu’île Et Dieu créa la femme. Le monde entier découvre BB, sa moue boudeuse et sa beauté insolente. Les premières stars internationales de la chanson et du cinéma arrivent dans la foulée dans ce village en même temps que les premiers seins nus apparaissent sur les plages.
A l’autre bout de la Méditerranée, Jean-Prosper Gay-Para, homme d’affaires d’origine libanaise, nourrit une véritable passion pour l’actrice à qui il désire édifier un palais des Mille et Une Nuits. A Saint-Tropez, le projet défraie la chronique. Les travaux commencent en 1965, au pied de la Citadelle, à deux pas de la célèbre place des Lices et du port. Le 27 mai 1967, l’inauguration du Byblos a lieu durant trois jours de fêtes, en présence de ses deux marraines: Mireille Darc et Brigitte Bardot. Hasard ou contexte géopolitique, la Guerre des Six Jours éclate la même année. Jean-Prosper Gay-Para doit regagner le Liban et se séparer du Byblos.