Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

le web en parle

Brigitte Bardot...Clothing Collection déménage...

Publié le par Ricard Bruno

Transfert du stand Brigitte Bardot du Printemps Haussmann aux Galeries Lafayette* !

La collection Brigitte Bardot - Collection Printemps / Eté 2013 est disponible au PRINTEMPS Haussmann jusqu'au 31 Juillet 2013 -

64, boulevard Haussmann 75009 Paris.

du lundi au samedi de 9h35 à 20h - Nocturne le jeudi jusqu'à 22h

Stand B.B au 4ème étage - Mode et Tendance

 

Il est encore temps de profiter des soldes! Notre collection Printemps / Eté 2013 est disponible jusqu'au 31 Juillet 2013 au Printemps Haussman puis ce sera au tour du temple de la mode parisien, les Galeries Lafayette, d'acceuillir notre nouvelle collection Automne / Hiver 2013-2014.

C'est dans un cadre imprégné de l'esprit de la marque, que le stand Brigitte Bardot des Galeries Lafayette vous acceuillera dès le 30 Juillet 2013 - mardi prochain ! - avec nos tous nouveaux modèles tendances, inspirés de notre chère icône de mode Brigitte Bardot !

Voici un petit aperçu de la collection AH 2013/2014, très prochainement disponible en boutique :

LE STAND B.B DES GALERIES LAFAYETTE HAUSSMANN!*

au 2ème étage - Mode et Tendance

40, Boulevard Haussmann 75009 Paris - France Tél. : 01.42.82.34.56

Horaires d’ouverture : Du Lundi au Samedi : 09:30 – 20:00 Nocturne le Jeudi jusqu’à 21:00

* L'équipe Brigitte Bardot recrute :

Dans le cadre de notre développement, nous recrutons des personnalités passionnées par la vente à partir du 15 Septembre. Vous participez au développement du chiffre d'affaires de votre point de vente (Galeries Lafayette Paris Haussmann) et véhiculez notre image de marque. La pratique de l'anglais est indispensable pour ce poste.

Merci d'envoyer vos CV a l'adresse : j.ohana@brigitte-bardot.fr

Au nom de toute l'équipe Brigitte Bardot, nous vous souhaitons un bon shopping !

XX

 

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot merci à vous tous !

Publié le par Ricard Bruno

Remerciements-de-BB.jpg

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Bonne fête Brigitte...

Publié le par Ricard Bruno

Couverture du livre de Jacques Héripré (Brigitte Bardot l

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Manitas de Plata, 92 ans : «Je suis ruiné et malade, aidez-moi !»

Publié le par Ricard Bruno

 

 

Manitas de Plata-copie-1Manitas de Plata

Manitas de Plata, 92 ans, l’un des plus populaires guitaristes flamenco du XXe siècle, est aujourd’hui plongé dans le désarroi le plus total. Après avoir gagné des fortunes, le musicien, qui a vendu 93 millions d’albums, est ruiné. Malade et cloué dans un fauteuil roulant, il n’a même pas les moyens de se payer une auxiliaire de vie. Il lance un appel à l’aide.

Depuis son petit logement de 24 m2 de la Grande Motte, dans l’Hérault, le musicien Manitas de Plata a accordé une interview exclusive à La Dépêche.

Vous lancez un appel pour que les gens vous viennent en aide. Mais qu’avez-vous fait de tout l’argent que vous avez gagné ?

Toute ma vie, j’ai vécu au jour le jour. Je ne pensais pas qu’un jour tout s’arrêterait. Aujourd’hui je n’ai plus de contrat et la maladie complique ma vie. Mes droits d’auteur sont bloqués pour régler des arriérés d’impôt et ma famille n’est pas assez aisée pour m’aider, même si mon fils Fernando fait ce qu’il peut avec le peu qu’il gagne. L’argent que j’ai gagné je l’ai dépensé en m’amusant et j’en ai énormément donné autour de moi, à des gitans comme moi qui étaient pauvres. Je faisais vivre plusieurs familles et il m’arrivait souvent de payer un mariage ou un enterrement à des cousins éloignés ou à des gitans que je connaissais à peine. Je ne regrette pas. Si j’avais à nouveau de l’argent, j’en donnerais toujours autant. L’argent s’est fait pour ça. Ce qui est difficile, c’est de voir que quand tout va bien vous avez plein d’amis et que quand vous êtes ruiné quasiment tout le monde vous abandonne.

Vous ne regrettez pas de ne pas avoir investi, placé une partie de vos gains ?

Oui, je le regrette aujourd’hui. Mais, ce n’était pas dans ma culture. Pour nous, les gitans, acheter de la terre ça ne se fait pas. La terre c’est pour les morts. Maintenant, je vois ça différemment.

Picasso et Dali, qui étaient vos amis, vous avaient offert des toiles. Que sont-elles devenues ?

Je ne sais pas. Je ne les ai jamais retrouvées. Peut-être me les a-t-on volées ou les ai-je perdues ? Je trouvais ça beau mais je n’ai jamais considéré l’art comme une valeur marchande. J’aurais sans doute dû.

Cela vous touche que des gens essayent de vous venir en aide ?

Énormément ! Ça montre qu’il y a des gens qui ont du cœur et c’est ça que je veux voir même si ça me gêne un peu d’en être arrivé là. Mais, j’ai vraiment besoin d’une personne pour m’aider dans mes tâches et soins de la vie quotidienne. C’est pourquoi je sollicite leur générosité.

Quelle serait la meilleure chose qui puisse vous arriver aujourd’hui ?

D’avoir des contrats, de remonter sur scène et de faire des disques. Le public me manque énormément (ndlr : il se met à pleurer avant de se ressaisir). Je veux lui dire que je l’aime et que j’attends toujours de le retrouver. La musique c’est ma vie. J’ai fait des triomphes partout dans le monde. À Londres, New York, au Japon… Et tout ça c’est fini. Mon fils Manero, décédé l’an dernier, me manque aussi énormément. Je suis né dans une caravane, à Sète, et parfois je rêve d’en avoir une à nouveau. J’aimerais bien également revoir Johnny Hallyday. Je sais qu’il me comprendrait. J’ai joué pour lui dans son film «d’où viens-tu Johnny».

Pensez-vous que votre âge et votre état de santé vous permettent encore de jouer ?

Oui. Je pourrais faire de courts récitals assis. J’en rêve.

Êtes-vous heureux ?

Oui et non, surtout parce que je ne travaille plus, que je suis malade et que je n’ai plus assez d’argent pour vivre.

Avez-vous un message à adresser à tous ceux qui liront cette interview ?

Je veux leur dire qu’il faut être généreux, se soucier des autres d’autant que les autres c’est aussi nous et que personne ne sait ce qu’il peut arriver dans la vie».


Une association de soutien

Nathalie, l’ancienne compagne de Manitas, a décidé de créer une association pour lui venir en aide. «Si j’avais plus d’argent j’aurais bien évidemment réglé les choses moi-même, explique la jeune femme. Ce n’est malheureusement pas le cas. Manitas, qui a ému et fait rêver tant de gens avec sa musique, fait partie de notre patrimoine, nous ne pouvons pas le laisser comme ça».

Jacques Martin, avocat et conseiller général de l’Hérault soutien l’initiative de Nathalie : «J’espère que des gens, notamment des artistes, seront sensibles à sa situation. En attendant, j’essaie de voir comment le conseil général pourrait davantage l’aider». Stéphan Rossignol, le maire de la Grande-Motte, commune où vit Manitas de Plata, assure, quant à lui, «réfléchir à ce que pourrait faire la municipalité».

Pour contacter l’association : contact@manitas-de-plata.fr 

Source : Cliquez ICI

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Les maillots de bain les plus cultes du cinéma !

Publié le par Ricard Bruno

La plupart de ces films ont été des succès mais si on s’en souvient, c’est en partie grâce aux maillots arborés par leurs héroïnes. De Brigitte Bardot à Virginie Ledoyen, en passant par Bo Derek, Halle Berry et Isabelle Adjani, zoom sur les 25 maillots les plus célèbres du septième art !

2-copie-1.jpg

En 1956, Brigitte Bardot affole les hommes avec ses formes dans un Bikini blanc aussitôt devenu culte dans « Et Dieu créa la femme ». Un sex-symbol naît.

Source : ELLE

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot un magnifique documentaire en octobre...

Publié le par Ricard Bruno

Bonjour à toutes et à tous !

Comme je vous l’annonçais dans un post il y a quelques mois de cela, je travaillais sur plusieurs gros projets concernant Brigitte Bardot et, un de ces projets voit le jour à savoir un magnifique documentaire sur la sublime Brigitte Bardot, fait par mon ami le réalisateur David Teboul, d’ailleurs le magazine Télérama y consacre cette semaine un dossier de 4 pages, vous y trouverez également BB en couverture de ce magazine…

Le documentaire sera diffusé en octobre sur ARTE

Bruno Ricard 

Telerama_3314_Bardot.jpg 

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

BB… crèmes : Halte à la tromperie !

Publié le par Ricard Bruno

6-copie-4.jpg

BB… crèmes : Halte à la tromperie !

 

Depuis un certain temps, de grandes marques de cosmétiques, susceptibles de tester leurs produits sur animaux (puisqu’elles n’ont pas signé la charte éthique qui dénonce cette pratique), commercialisent des « BB crèmes ».

Madame Brigitte Bardot, dont l’engagement contre l’expérimentation animale est sans faille, tient à préciser qu’elle n’a aucun lien de quelque nature que ce soit, juridique ou économique, avec les sociétés qui fabriquent ou commercialisent ces cosmétiques et déplore la confusion créée volontairement par les marques en question.

Elle met tout en œuvre pour mettre fin à ces pratiques qui relèvent du parasitisme et de la tromperie du consommateur.

 

Source : Fondation Brigitte Bardot

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Et "BB" créa Saint-Trop'...émission du 16 07 2013...sur RTL !

Publié le par Ricard Bruno

Bruno Ricard

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Un homme encorné à Pampelune : l'effrayante soif de violence des hommes

Publié le par Ricard Bruno

23 blessés. Voici le bilan du dernier encierro de Pampelune. Parmi eux, un homme a été encorné en début de parcours, touché en deux endroits du torse. Les images sont particulièrement impressionnantes. Pour Christophe Marie de la fondation Brigitte Bardot, cette tradition n'a aucun sens et ce spectacle est très malsain.

 

 

À chaque encierro c’est la même comédie, les encornés sont élevés au rang de "martyr" d’une tradition stupide qui consiste à lâcher les taureaux, devant une foule hystérique, dans des rues fermées où il n’y a qu’une issue fatale : les arènes de la ville.

Je ne vais pas m'apitoyer... 

 

Ce vendredi, les caméras de la TVE étaient présentes pour retransmettre, en direct, le 6e lâcher de taureaux. Il ne faut pas se leurrer, si les spectateurs sont aussi nombreux c’est précisément parce qu’ils veulent voir du "spectacle". Chutes de taureaux et blessures des touristes font partie du folklore. D’ailleurs, lorsque le 1er incident s’est produit, les caméras ont arrêté de suivre la course pour se focaliser sur le jeune espagnol transformé en pantin désarticulé, dénudé à coups de cornes, un spectacle affligeant et d’une inutile violence.

 

Il n’y a pas de quoi se réjouir devant ces accidents, mais finalement pas de quoi s’apitoyer non plus puisque la "victime" a fait le choix de participer à cette course, contrairement au taureau qui n’a pas d’autre choix, lui, que courir dans un mouvement de panique vers son lieu de torture et de mort.

 

Ces courses de taureaux rappellent aussi les courses de chevaux, comme le tristement célèbre Palio de Sienne en Italie, où les malheureux animaux sont envoyés "à la casse" dans des rues étroites et glissantes, provoquant de nombreuses chutes et fractures ouvertes tellement photogéniques…

 

Jubiler devant tant de violence, c'est insupportable

 

À ceux qui dénoncent ces jeux violents, les aficionados leur répondent que personne ne les oblige à participer ni même regarder donc, pour résumer, il suffit de fermer les yeux et ignorer. Le problème est que le taureau n’a pas cette liberté, et c’est justement parce qu’il n’est pas en mesure de s’opposer que les militants des droits des animaux mènent le combat.

 

Ce voyeurisme malsain me rappelle une triste expérience, en octobre 2011 dans les arènes de Rodilhan, nous étions quelques dizaines à faire bloc pour tenter d’empêcher une novillada. Alors que nous étions roués de coups, les spectateurs jubilaient, certains baissant le pouce pour donner leur "bénédiction" à la mise à mort, encourageant ainsi nos bourreaux à redoubler de violence. Lorsque nous avons déposé plainte, un gendarme clairvoyant nous a dit que nous avions offert un spectacle jouissif pour les aficionados.

 

Effectivement, ce qui nourrit ces traditions primaires, c’est la violence, rien d’autre, qu’elle soit dirigée envers l’homme ou l’animal. La délinquance est maquillée de "tradition" ou de "culture" pour la rendre légitime et respectable, mais les jeux du cirque ne sont jamais loin… L’abolition non plus car un jour l’évolution aura raison de la tradition !

 

Source : Cliquez ICI

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0