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Brigitte Bardot : Dessinez votre star...

Publié le par Ricard Bruno

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Appel du pape...

Publié le par Ricard Bruno

 

Le pape Francesco I lance un appel aux italiens pour qu'ils remplacent l'agneau pascal (et le cabri) par un menu alternatif. L'article précise: Parmi les plus anciennes communautés chrétiennes, l'agneau était représenté sur les épaules du pasteur et symbolise l'âme sauvée par le Christ. Son assassinat pour Pâques n'a aucun fondement dans la tradition chrétienne. Ce sanglant rituel, en forte contradiction avec le concept de la résurrection, qui apporte le renouveau de la foi et l'espérance, est un rituel inutile dans notre société, déjà imprégnée de violence et de mort, qui ne sert qu'à satisfaire les intérêts de l'industrie alimentaire. ' Enfin!!! Un homme vrai, bon, juste, logique!! Quel Amour cet Homme merveilleux ! ♥ J'attendais tellement ce message! Merci!♥

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Merci à Sandrine !

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La société Akouna en liquidation judiciaire...

Publié le par Ricard Bruno

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Un ange s'est envolé, une étoile est née...

Publié le par Ricard Bruno

Cette histoire m'a beaucoup touché et j’ai été profondément ému à la lecture de cette terrible nouvelle concernant cette pauvre chèvre qui toute sa vie a vécu l’enfer sur terre...

Bruno Ricard

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Elle avait trois ans. Jamais au cours de sa vie elle n'a vu la lumière du soleil. Jamais elle n'a pu goûter un brin d'herbe ni ronger l'écorce d'un arbre.

Jamais elle n'a pu être elle. Une jeune chèvre qui voulait vivre, courir, être heureuse et s'amuser. Non, pendant ces trois années, elle a été enfermée dans un bâtiment. Elle a été exploitée jusqu'à la mort.

Je ne sais pas quel nom lui donner, tout ce que je sais c'est que je ne l'oublierai jamais.

 

Son éleveur l'a apportée chez nous avec le tracteur, étant donné que les routes étaient impraticables à cause de la neige.

Elle était allongée sur coté. Elle s'était cognée la tête. Sa position avait l'air horrible et je l'ai juste vite prise dans mes bras. J'ai vu qu'elle était déjà tellement maigre que je pouvais la porter toute seule.

C'était une grande chèvre, haute sur pattes. Elle a sûrement été très belle. Elégante.

Hier, quand je l'ai vue, elle n'était plus qu'un squelette recouvert de peau. L'ombre d'elle-même.

 

Avec ma mère, nous l'avons portée en haut, dans une chambre de la maison. Elle était en état d'hypothermie. On l'a allongée sur des couvertures près du radiateur. Elle s'est littéralement jetée sur le bol d'eau que nous nous lui avons donné. Elle était assoiffée. Cela devait faire des jours qu'elle n'avait pu rejoindre l'abreuvoir.

Cette chèvre m'a beaucoup marquée. Je la revois encore inspecter la chambre du regard. Elle était curieuse.

Elle a beaucoup bu. Elle a même encore mangé quelques brindilles de foin.

 

Elle était toute humide derrière et elle sentait déjà un peu le pourri. Un liquide marron coulait de son vagin. Son éleveur m'avait dit qu'elle avait mis bas il y a quelques jours, mais ce n'est que là que j'ai vraiment réalisé qu'elle avait une grave infection de l'utérus, dans un stade très avancé.

Elle est morte simplement parce qu'elle n'a pas reçu de soins après sa mise bas, pas d'antibiotiques et que durant ces derniers mois elle n'avait pas assez à manger. Je n'avais encore jamais vu un tel squelette vivant.

 

Je n'ai plus rien pu faire pour elle. Sa vie n'aura été que de A à Z un cauchemar. Je ne sais pas ce qui nous attend après la mort, mais pour elle, ça ne peut être que mieux. L'enfer, elle y est déjà passée.

Elle a vécu dans un élevage où les chèvres ont peur de l'homme. Dans un élevage où les coups ne sont pas des exceptions.

Jamais elle n'a pu dormir sur de la paille propre et sèche. Etant donné que le fumier n'est sorti qu'une ou deux fois par an, le sol est toujours humide et sale.

 

J'aurais tant voulu lui montrer ou lui offrir une autre vie...

Je ne l'ai connue que quelques heures, mais la souffrance de tout son corps et son regard ne me quitteront pas aussi vite.

 

Elle était tellement jeune... 

 

Source de l'article : Cliquez ici

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Brigitte Bardot et Repetto...

Publié le par Ricard Bruno

La célèbre marque de ballerine, qui a fêté ses 65 ans l’année dernière, traverse le temps sans prendre une ride, inspirant à tous les amateurs de glamour discret l’image de la ballerine à la française, piétinant inlassablement les salles du Palais Garnier.

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Brigitte Bardot et Serge Gainsbourg, deux des meilleurs ambassadeurs de la marque Repetto.

Mais si la célèbre maison française a connu une histoire bien moins calme que la grâce tranquille des danseuses qu’elle habille. Partie intégrante de la culture française, elle fût portée par les figures emblématiques qui ont fait la renommée de la marque.

Rose Repetto - À tout seigneur, tout honneur, les ballerines sont d’abord une marque éponyme de sa célèbre créatrice, Rose,  au sortir de la Seconde guerre mondiale. Geste d’amour d’une mère, la genèse des fameuses chaussures prétend que Rose ne supportant plus de voir son fils Roland, jeune danseur classique, revenir les pieds en sang, confectionna pour lui des chaussons de danse permettant le meilleur confort. 

Brigitte Bardot - "Initiales B.B." restera à jamais la première égérie, et sans doute une des plus marquante des ballerines Repetto. Balayés l’image sage et bon teint des petits rats de l’Opéra de Paris, Brigitte Bardot demande à Rose Repetto d’utiliser ses ballerines pour le film Et Dieu… créa la femme. Parfum de scandale et œuvre sulfureuse, la sortie sur du film sur les écrans en 1956 avec B.B. en vedette troublante fait définitivement sortir la ballerine de son cercle restreint et bon genre, et s’affiche comme la chaussure d’une femme libérée, branchée et parisienne.

Serge Gainsbourg - Le dandy provocant va quasiment à lui tout seul accomplir un autre virage stratégique : imposer Repetto comme une marque pouvant chausser les hommes. Adepte du modèle "Zizi", à l’origine conçue par Rose Repetto pour sa belle-fille Zizi Jeanmaire, Gainsbourg les chaussera volontiers en pleine année érotique de 1969. Succès immédiat, qui propulsera le "fumeur de gitanes" ambassadeur de la marque.

Jean-Marc Gaucher – Lorsqu’il arrive aux manettes de Repetto en 1999, la marque, pourtant forte d’un passé glorieux, est moribonde. Le décès de Rose Repetto en 1984, le manque d’innovation, des repreneurs qui n’ont pas su trouver une alchimie nouvelle, les ballerines parisiennes se retrouvent au bord du dépôt de bilan. Le secret de Jean-Marc Gaucher ? Peut-être de ne pas être un homme du sérail de la danse. L’entrepreneur à la carrière multiple (il a commencé comme employé d’usine, puis aide-comptable ou technicien chez TF1) arrive for d’un succès, la création de Rebook France. Le challenge Repetto l’emballe. En quelques années, il donne à la marque un air de renouveau, rajeunit les équipes, et ouvre de nouveaux horizons en Corée du Sud et au Japon. Lui, l’homme pourtant peu averti des codes du monde de la danse, redonne l’âme et le goût du succès  à une marque qui, même si elle reste connue dans le monde entier pour ses fameuses ballerines, a su franchir l’étape de la diversification : maroquinerie et robes chics font maintenant entièrement partie de l’identité Repetto.  

L'avenir ? Des pieds jusqu'à la tête

La maison Repetto aborde cette année 2013 pleine de défis, le premier, et non des moindre, est d’atteindre le succès avec sa collection de prêt-à-porter féminin Printemps/Été 2013. "J’apprécie déjà beaucoup la qualité des ballerines Repetto, et le très grand choix de coloris, souvent rare sur ce type de produits" affirme Éloïse, 21 ans, danseuse occasionnelle et amatrice avisée de la maison Repetto . "J’ignore ce qu’il en est du prêt-à-porter, mais forcément je pars avec un a priori positif." Disponible depuis la toute fin de l’année 2012, Repetto attend beaucoup de cette nouvelle collection, symbole de l’extension de son savoir-faire. La marque s’est reposée sur sa nouvelle égérie, la gracieuse danseuse Juliette Gernez, pour présenter cette collection. Ironie du sort ou clin d’œil aux origines, pour assurer la réussite d’une diversification reposant sur des hauts près du corps et des robes légères, la marque continue de faire confiance aux charmes d’une danseuse classique toute en sobriété et en élégance. Comme si l’influence des ballerines d’opéra originelles ne devaient jamais s’évaporer…   

Source : Cliquez ici

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Une histoire vraie !

Publié le par Ricard Bruno

Joël est employé de banque, son bureau est situé au premier étage d’un immeuble du centre ville d’une agglomération située près d’un plan d’eau. Il y a quelques semaines, il aperçoit une cane colvert qui fait son nid sur le bord de la fenêtre de son bureau, à plus de 3 mètres au-dessus du trottoir. La cane a pondu 10 œufs dans la jardinière,  cette dernière lui sert de nid pour couver ses œufs pendant quelques semaines. Un jour, les 10 œufs font place à 10 canetons!...                   

Joël se demande alors comment la cane va se débrouiller pour amener ses petits à l'eau dans cet environnement urbain, car ceci se produit généralement pendant les premières 48 heures qui suivent l’éclosion. Le lendemain,  en arrivant au bureau, Joël remarque la cane qui est sur le bord de la fenêtre et qui encourage ses canetons à la rejoindre. Elle s'envole jusqu'au trottoir,  puis elle cancanne afin d'encourager ses petits à faire le saut.         

Joël ne peut imaginer ces petites créatures plongeant dans le vide !.. Et pourtant le premier caneton saute et tombe sur le trottoir de ciment. Joël sort alors du bureau et se place directement sous la fenêtre, observant le petit qui se remet d'une chute qui aurait pu lui être fatale.         

Joël regarde vers le haut car le 2ème caneton se prépare à sauter à son tour ; il se cache sous le porche pendant que la cane continue à appeler ses petits. Quand le caneton saute, Joël sort de son abri juste à temps pour l'attraper au vol. Il le dépose à côté de la cane et du premier encore un peu ''groggy".       

1 par 1 les canetons continuent de sauter et Joël les ratrappe les uns après les autres. Les passants s'arrettent sur le trottoir et  les regardent sauter jusqu'au dernier. La famille se retrouve de  nouveau réunie, au grand plaisir de la maman.         

Joël réalise alors que la petite famille n'a pas encore terminé son périple.  Il lui faut encore traverser 2 pâtés de maisons, quelques rues et ruelles et la foule du centre ville, avant d'arriver au premier plan d'eau.         

Les secrétaires qui observaient la scène depuis l'étage descendent rejoindre Joël et lui apportent une boîte en carton pour y placer les 10canetons sous l'œil vigilant de la cane. IL tient la boîte assez bas pour que la cane puissent voir ses petits. Il se dirige lentement vers la rivière à travers les rues du centre-ville, la mère le suivant à courte distance.        

Arrivés près de l’eau, la cane dépasse Joël pour s'y baigner et se met à cancanner de nouveau. Les employés penchent alors la boîte en la posant sur le sol afin d'aider les canetons à sortir pour rejoindre leur mère dans l'eau. Les 10 petits nagent maintenant en formation serrée autour de leur maman.            

Joël raconte que la cane a fait quelques cercles devant eux en cancannant comme pour les remercier de leur aide précieuse.

Source et photographies : Cliquez ici

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Brigitte Bardot dans Paris Match...

Publié le par Ricard Bruno

BB dans le Paris-Match de cette semaine...

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Brigitte Bardot de nouveau aux enchères...

Publié le par Ricard Bruno

3 lots seront proposés aux enchères publiques

le dimanche 31 mars 2013 à Cannes

 

n°188 : Alexandre BARTHET, né en 1962 & GRACER, né en 1956 BRIGITTE BARDOT

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Alexandre BARTHET, né en 1962 & GRACER, né en 1956 BRIGITTE BARDOT Diasec signé et numéroté 2/3 99,5 x 99,5

Estimation : 1500/2000 euros

 

n°234 : Francis APESTEGUY, né en 1952 BRIGITTE BARDOT A LA MADRAGUE Tirage

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Francis APESTEGUY, né en 1952 BRIGITTE BARDOT A LA MADRAGUE Tirage signé et numéroté 10/30 sous l'image 34,2 x 51,6

 

Estimation : 500/600 euros

 

n°115 : Jean BARTHET 1920-2000 BRIGITTE BARDOT Tirage signé à l'encre noire

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ean BARTHET 1920-2000 BRIGITTE BARDOT Tirage signé à l'encre noire sur l'image, au dos mention "Exposition Galerie Miromesnil, Paris Décembre 1998", épreuve d'artiste tampon photo Jean Barthet Estate Jean Barthet 127 x 118

 

Estimation : 2000/3000 euros

...

LIEU DE VENTE

Hôtel Martinez

73 Boulevard de la Croisette

06400 Cannes

RETROUVEZ L'ITINÉRAIRE SUR GOOGLE MAPS

BESCH CANNES AUCTION

 

Contact :

Tél. : 04 93 99 22 60

Fax : 04 93 99 30 03

besch@cannesauction.com

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Brigitte Bardot dans le journal "The Telegraph"...

Publié le par Ricard Bruno

How Brigitte Bardot got under our skin

A new film season and a new book explore the appeal of the upper-middle-class French girl Brigitte Bardot who 'couldn’t act’. Jane Shilling reports.

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French bred: Bardot’s sex-kitten grace was combined with a bourgeois sense of entitlement 

 

"I started out as a lousy actress,” Brigitte Bardot once remarked, “and I have remained one.” There is an opportunity to judge whether Bardot’s brutal self-assessment was fair as a season of her films begins at Ciné Lumière. “And Bardot Became BB” features half a dozen films from the 50 or so that Bardot made in her two-decade career.

Bardot retired from acting in 1973 when she was 39. Since then she has devoted herself to animal rights activism, emerging periodically from semi-retirement to utter controversial obiter dicta which have led to several prosecutions for inciting racial hatred.

Almost worse – by the standards of celebrity, rather than conventional morality — her attitude to her beauty in old age is as insouciant as it was when she was young. Instead of following the approved path for an ageing star of trying to preserve her looks with Botox and surgery, Bardot looks like the 78-year-old she is: a disturbing reminder that even the most glorious sex kitten must eventually wither and fade.

Yet the image of her in her prime remains impregnable. The initials BB are still redolent of a luscious eroticism, and her style of sexy simplicity — the loose blonde hair, ballet flats and gingham frocks that seemed so outrageous in the Fifties, when the regulation uniform for film stars involved mink coats, a permanent wave and diamonds – is perennially modern, still imitated by celebrities, such as Kate Moss and Vanessa Paradis, young enough to be Bardot’s granddaughters.

Ginette Vincendeau, professor of film studies at King’s College London, whose book on Bardot has just been published, argues that the durability of BB’s allure makes her a more interesting cultural phenomenon than better actresses such as Catherine Deneuve or Jeanne Moreau.

Bardot was born in 1934, the daughter of Louis Bardot, a wealthy industrialist, and his wife Anne-Marie. Brigitte and her younger sister, Marie-Jeanne had a conventional upper-middle-class upbringing in the affluent Paris suburb of Passy.

Brigitte studied ballet at the Paris Conservatoire and her mother encouraged her to pursue a modelling career. In 1949, aged 15, she appeared on the cover of Elle magazine. The film director Marc Allégret spotted her and dispatched his assistant, the journalist and photographer Roger Vadim, to invite her to audition for a role. She didn’t get the part, but Vadim noticed a quality far more potent than mere acting ability, and set about developing it.

Bardot remarked that the secret of her success was lucky timing, and the beginning of her career caught the swell of two waves of social change — the rise of mass media in France, and the emergence of a feminist critique of the conventional roles of women.

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Brigitte Bardot

In 1949, the year of Bardot’s first cover shoot, Simone de Beauvoir (who would later anatomise the Bardot phenomenon in her 1960 essay, Brigitte Bardot and the Lolita Syndrome) published The Second Sex, and the weekly photojournal Paris Match was launched.

Vadim saw to it that Brigitte, still an obscure starlet, appeared twice on the magazine’s cover, in 1951 and 1952, when she was billed as “the new Leslie Caron”. At the end of 1952 the magazine devoted two pages to her wedding to Vadim, under the headline “Brigitte Found Her Husband At Paris Match”.

Already she was becoming famous for being famous, her image adroitly positioned by Vadim, who took her to Cannes and contrived “spontaneous” photo-ops in which Bardot, barefoot with messy hair as though she’d just fallen out of bed, or dressed for the beach in a bikini, made a startling contrast to established stars.

By the time Vadim directed her in And God Created Woman (1956), the film that turned her into a global sensation, Bardot was already the focus of an explosive mixture of fascination and loathing.

Her acting skills had the critics straining for hostile superlatives: “Even when she says “hello” she manages to sound false,” moaned the satirical weekly, Le Canard Enchaîné, while Claude Mauriac (son of the ultra-Catholic novelist, François) attacked Vadim for “complacently exposing the body of his wife”, and Bardot for her “rampant narcissism”.

Not everyone minded so much about the exposing of the body: “Thank God there is Brigitte Bardot, the profile of a Renoir model, the walk of a dancer, an admirable mane,” wrote Jacques Doniol-Valcroze in France Observateur, concluding: “You cannot imagine a more charming and gracious young animal.” The essence of Bardot, however — and the secret, perhaps, of her allure — was that her sex-kitten grace was combined with a bourgeois sense of confidence and entitlement.

Unlike those other heroines of French culture, Edith Piaf and Coco Chanel (who, oddly for the designer who pioneered uncorseted fashion, loathed Bardot’s “make-shift” style), Bardot hadn’t clawed her way up from the streets.

Her provocatively “masculine” attitude towards her own sexuality, and her high-handed approach to her career, was at once subversive, and rooted in the sense of security that comes from a privileged background.

It was a combination that simultaneously attracted and repelled.

Intellectuals such as de Beauvoir and the novelists Marguerite Duras and Françoise Sagan, were fascinated by Bardot’s transgressive candour, while mass audiences couldn’t help being riveted by her extraordinary child-woman sexiness.

When she became the first celebrity model for Marianne, the emblem of the French republic, a provincial mayor refused to marry people beneath her bare-breasted image on the grounds that he couldn’t advocate fidelity under Brigitte Bardot’s gaze.

The highlights of Bardot’s film career are modest by comparison with her celebrity, but Prof Vincendeau argues that her best work — including Marc Allégret’s early comedy, En Effeuillant la Marguerite (1956), and her films with new-wave directors such as Louis Malle (Vie Privée, 1962) and Jean-Luc Godard (Le Mépris, 1963), are eloquent commentaries on celebrity.

The only sadness for British film fans is that Bardot’s magnificent contribution to British filmography, her first English-speaking film, Doctor at Sea (1955) in which she co-starred with Dirk Bogarde as Dr Sparrow, is unaccountably missing from Ciné Lumière’s season.

'And Bardot Became BB’ is at Ciné Lumière until March 21 (020 7871 3515)

'Brigitte Bardot’ by Ginette Vincendeau is published by Palgrave Macmillan, £12.99

Source : Cliquez ici

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