Brigitte Bardot au fronton de France télévision aujourd'hui...
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Dans le cadre de l'exposition Romy Schneider, des objets et autres gadgets commerciaux à l'effigie de Brigitte Bardot ont été saisis, ce mercredi matin au Palais des Festivals de Cannes.
Mandaté par l’avocat conseil aux intérêts de la star et sur décision de justice, un huissier assermenté est venu constater la présence d'objets représentant BB non soumis aux droits légaux et les a saisis.
D'autres actions chocs pourrait cibler prochainementciblant la société Akouna qui organise l'événement Cannois et d'autres expositions en France, notamment sur le mythe Bardot, apprend t-on de source bien informée.
L'exposition Romy Schneider se tient au Palais des festivals de Cannes jusqu’au 2 septembre.
Les férues de mode le savent : la mode, c'est tout une histoire. En témoignent les couvertures de magazines vintage, qui en un coup d'oeil nous font voyager à travers des décennies. Parmi les icônes qui ont posé, on pense à Brigitte Bardot la plus célèbre des croqueuses d'hommes, ou à la pétillante Audrey Hepburn. Évidemment, Marilyn Monroe et Twiggy font elles aussi parti des heureuses élues, toujours délicieusement naturelle.
On retrouve alors les années 20, années folles, années où les femmes jouent les garçons, belles mais surtout rebelles, elles s'affirment au travers des premiers médias. S'en suivent les années 30 et 40, plus sages mais tout aussi affirmées. Deux décennies où les femmes ont pris le rôles de leurs maris, partis en guerre.
Les magazines se sont multipliés dans les années 50, où les couvertures retracent bien la mode de l'époque. Grâce et élégance, Hollywood est en pleine expansion. Les robes sont plus droites, plus serrées, les jupes plus courtes, merci Mary Quant.
On arrive ainsi dans les années 60, la folie des sixties. La jupe se raccourcit de plus en plus, l'audace prend place. Les pantalons deviennent des blue jeans, les silhouettes se rajeunissent, les imprimés sont colorés... et les pin-up s'imposent.
Enfin dans les années 70, un seul mot d'ordre : on ose ! Pois, paillettes, superpositions, tout y est pour se montrer libre. Playboy fait poser en 1971 sa première mannequin black, fraîche, souriante, pétillante... Un carton plein pour le magazine.
Tout une histoire de la mode qui se dévoile au travers des covers... A découvrir en images :
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Salomé de Bahia est une chanteuse brésilienne célèbre en France. Elle éclate sur scène en chansons comme Theme of Rio, Outro lugar, Cada vez, Brigitte Bardot ou encore Taj Mahal.
L'artiste travaille depuis 1984 dans le cabaret parisien Chez Félix au sein de la troupe Brazil Tropical. C'est à cet endroit où elle se fait repérer pour participer en 1995 au projet Brésil acid jazz Psycodelico de Reminiscence Quartet.
Salomé de Bahia est connue pour avoir travaillé avec le DJ français Bob Sinclar et en 1998, elle travaille avec le disc jockey Bob Sinclar sur la compilation "Sun Sun". L'année suivante, ils décident de retravailler ensemble en enregistrant une reprise du titre "Another Star" de Stevie Wonder dans une version made in Brasil intitulée "Outro Lugar"
Elle chante et enregistre "Brigitte Bardot", dans laquelle ellel fait part de son adoration pour l'icône française.
Christophe Marie porte parole de la fondation Brigitte Bardot intervient ce soir jusqu'à 20h00 sur RTL, vous pourrez retrouver en replay cette émission.
Bruno Ricard
Stein des Anstoßes ist die Festsetzung eines ihrer wichtigsten Mitstreiter in Deutschland. Mitte Mai wurde der kanadisch-amerikanische Tierschützer «Captain» Paul Watson am Frankfurter Flughafen festgenommen. Er ist Leiter der Organisation «Sea Shepherd» (Deutsch: Meeres-Hirte), die mit eigenen Booten auf hoher See gegen brutale Fangmethoden und für den Schutz von Meerestieren kämpft. In Frankfurt war Watson eigentlich nur zwischengelandet, auf dem Weg nach Cannes – zu einer Spendengala zum 35. Geburtstag von Sea Shepherd am Rande des Filmfestivals.
Doch die Polizei präsentierte Watson einen Haftbefehl von Interpol – beantragt von Costa Rica – und statt zur Party kam er ins Gefängnis.
Der Vorwurf gegen ihn lautet «Eingriff in den Schiffsverkehr» und bezieht sich auf ein Ereignis im Jahr 2002. Damals soll er die Crew eines Schiffs aus Costa Rica bedroht und mit einer
Wasserkanone angegriffen haben. Das ereignete sich bei den Dreharbeiten zum Dokumentarfilm «Sharkwater», in dem er das sogenannte «Shark-finning» anprangert – die Jagd auf Haie, die nur
gefangen werden, um ihnen bei lebendigem Leibe die Flosse abzuschneiden. Dann werden die verletzten Tiere zurück ins Meer geworfen, wo sie verenden. Damals hatte die Regierung von Costa Rica
befürwortet, dass die Crew samt Kameramann an Bord Täter dieser illegalen Praxis aufspürt und an die Küste zurückleitet. «Ich schätze, dass trotzdem auf diese Weise 75 bis 90 Millionen Haie pro
Jahr getötet und verstümmelt werden», beklagt Watson gegenüber der RCZ und weist darauf hin, dass mit den Haifischflossen ein Millionengeschäft gemacht wird.
Das hat er in seinem Dokumentarfilm aufgedeckt: Darin sieht man auf Dächern von Fabrikhallen Tausende Flossen trocknen – offenbar für den Verkauf. «Hauptabnehmer sind die Chinesen. Dort gilt
Haifischflossensuppe als Statussymbol, das zu feierlichen Anlässen gereicht wird», erläutert der 61-Jährige. Der Preis pro Portion: etwa 100 Euro.
Watson vermutet dahinter mächtige Unternehmen, die auch Einfluss auf die costa-ricanische Politik haben. So wurden 2002 nicht die Hai-Fischer festgenommen, sondern er. Zweimal stand Watson
wegen dieses Vorfalls in Costa Rica vor Gericht, zweimal wurde das Verfahren eingestellt. Dass es jetzt zum dritten Mal wieder aufgerollt werden soll, ruft seine Unterstützer auf die
Barrikaden. Neben Filmstars wie Michelle Rodriguez, Sean Penn und Sean Connery ist Brigitte Bardot seine wohl prominenteste und radikalste Mitstreiterin. Sie bot sich sogar an, statt seiner ins
Gefängnis zu gehen. In einer Solidaritätsnote nannte sie ihn ihren «Kampfesbruder» und den «Captain of my heart».
Kennen gelernt haben sie sich vor 35 Jahren, als sie gemeinsam gegen das brutale Töten von Robben mobil machten. Bis heute sind sie in puncto Tierschutz unzertrennlich. Um zu zeigen, wie ernst
sie es meint, schrieb Brigitte Bardot sofort einen Brief an Bundeskanzlerin Merkel: «Madame la Chancelière», appellierte sie, «machen Sie nicht sich selbst und Ihr Land zur Komplizin einer
himmelschreienden Ungerechtigkeit. … Paul Watson darf nicht für eine Aktion verurteilt werden, die wir alle unterstützen sollten.» Statt im Gefängnis zu sitzen, werde er dringend für
Tierschutzaktionen gebraucht. Sie erhielt zwar keine Antwort, doch drei Tage später kam Paul Watson gegen die Zahlung von 250 000 Euro Kaution frei. Die Auflage: Er muss sich jeden Tag bei der
Polizei in Frankfurt melden – bis Mitte August. So lange hat die Regierung von Costa Rica Zeit, in Deutschland Akten einzureichen, die Watsons Auslieferung rechtfertigen.
Die einzige, die dieses Verfahren abkürzen könnte, ist nach Auskunft des Oberlandesgerichtes Frankfurt die Bundesjustizministerin. «Wenn sie verkünden würde, dass es sich um ein politisch
motiviertes Verfahren handelt, und zum Beispiel sagen würde, die Tierschutzziele von Herrn Watson wären sinnvoll, dann könnte das eine Auslieferung stoppen», erläuterte ein Sprecher des
Gerichtes der RCZ. Doch das Bundesjustizministerium schweigt still; den Medien gegenüber und auch gegenüber der BB. Sie hatte vor lauter Ärger darüber Mitte Juni an Justizministerin
Leutheusser-Schnarrenberger geschrieben: «Ich wende mich an Sie, weil diese groteske Situation, mit der sich Deutschland der Lächerlichkeit und der Schande preisgibt, sofort beendet werden
muss. Der Auslieferungsantrag von Costa Rica ist völlig unbegründet.»
Doch die Mühlen der Justiz mahlen weiter langsam. Paul Watson selbst versucht, das Beste aus seinem Aufenthalt in der deutschen «Warteschleife» zu machen. «Selbst wenn ich hier nichts tun kann
und womöglich in Costa Rica länger im Gefängnis verschwinden sollte, habe ich doch zumindest etwas erreicht: Ich habe wieder neue Aufmerksamkeit auf das Schicksal der Haie und der Meerestiere
gelenkt – das ist mir das Wichtigste», sagte er der RCZ.
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Bonjour,
Comme vous pouvez le constater, la ministre déléguée aux personnes handicapées se vautre dans les arènes et s'en vante. Alors que l'Association des Paralysés de France a toujours refusé fermement tout argent provenant de corrida ! C'est proprement scandaleux ! Je pense que la pauvre, elle ne sait pas ce qui va lui arriver ! Au niveau courriers et mails, ça va lui faire tout drôle... Je suis sans illusion sur ce que peut en penser Jean-Claude Gayssot...
Saint-Tropez - Septembre 1974 - Portrait de Brigitte Bardot à l'heure de son 40e anniversaire. | Photo Jack Garofalo
Stéphane Bergouhnioux, le coréalisateur de "Match, l'album des Français", revient sur les secrets de fabrication du documentaire.
Paris Match. Pour quelles raisons vous êtes-vous penché sur Paris Match ?
Stéphane Bergouhnioux. Cet hebdomadaire est depuis plus de soixante ans une institution en France, ancrée dans le paysage médiatique. Je l’ai toujours parcouru mais, en me
plongeant dans les archives, je me suis aperçu à quel point chaque numéro traverse tous les genres. People, têtes couronnées, stars, mais aussi reportages de guerre, politiques, sociologiques.
Le journal “ratisse” très large, c’est passionnant.
Le documentaire est très long, quatre épisodes de cent dix minutes. Comment avez-vous procédé ?
Il a fallu six mois de travail. Le film est lié aux histoires racontées par une quarantaine de reporters et photographes de l’équipe actuelle, mais aussi un grand nombre d’anciens. Lié aussi aux
photos qui nous ont marqués en regardant des milliers d’images fournies par les archives. Comme Hitchcock en costume, les pieds dans l’eau, à Cannes, Bardot en bonne sœur les seins nus, ou ces
gens agrippés à un radeau de fortune dans les rues de La Nouvelle-Orléans. Le documentaire ne raconte pas soixante ans de l’histoire du monde, mais les grandes histoires du monde racontées par
Paris Match.
Vous intégrez aussi des scènes de fiction…
On a en effet reconstitué en décor le bureau du directeur légendaire, Roger Thérond, “l’œil” de Match, fonction occupée aujourd’hui par Olivier Royant. Une scène montre Thérond achetant des
photographies à un vendeur d’agence : il s’agit de l’exploit de Maurice Herzog sur l’Annapurna. Nous avons également reconstitué la salle des photographes. On en voit certains nettoyer ou réparer
leur appareil photo, d’autres qui jouent au poker, ou rédigent leur note de frais… Le décor du café La Belle Ferronnière, à l’époque où le magazine trônait près des Champs-Elysées, a lui aussi
été refait. On voit des membres de l’équipe y apprendre le décès à Budapest de leur ami Pedrazzini ou regarder les premiers pas de l’homme sur la Lune.
Comment voyez-vous le journal évoluer depuis soixante ans ?
Dans le fond, il n’a pas tellement changé. On retrouve la même constante : la couverture ne reflète pas ce que l’on peut lire dans les pages intérieures, qui contredisent souvent l’image “people”
du magazine.
Que vous ont appris les journalistes que vous avez interrogés ?
D’abord, depuis toujours, Match a travaillé avec des gens de très grande qualité, écrivains ou photographes de renom. La marque de fabrique, c’est de savoir passer d’un reportage sur la famille
de Monaco à un pays en guerre. L’autre clé, c’est l’émotion. Les événements sont regardés à travers les hommes et les femmes qui les font ou les subissent avec une réelle exigence d’écriture.
Enfin, la recherche du scoop, notamment photographique, est permanente depuis soixante ans. Nombre de photographes m’ont raconté les semaines et parfois même les mois de traque pour obtenir “le”
scoop sur une star ou une affaire criminelle. Je me suis rendu compte que les journalistes pouvaient rentrer du conflit libyen puis photographier Pierre Perret, comme Alvaro Canovas. Se faire
arrêter en Afghanistan en passant la frontière avec une burqa puis raconter l’histoire du village préféré des Français, comme Michel Peyrard.
Qu’avez-vous découvert au fil des mois ?
Que Grace Kelly avait été présentée au prince Rainier par un journaliste de Match. Que Vadim, photographe, avait épousé Bardot qui dormait sur un canapé aux Champs-Elysées les soirs de bouclage.
Cette proximité d’alors avec la quasi-totalité des stars françaises est inimaginable aujourd’hui, avec cette armada d’agents et d’attachés de presse qui font qu’il est plus difficile d’obtenir de
la fraîcheur dans ces sujets. J’ai découvert enfin le service du rewriting, petite usine d’écriture dont les membres rédigent les “chapôs” des reportages et les légendes photos qui les
accompagnent, ce qui donne une unité à l’ensemble des pages. Au fil des ans, ce service a fourmillé d’écrivains qui donnaient forme aux informations recueillies par les reporters sur les grands
faits divers du siècle
Et si on feuilletait ensemble « Paris Match » ? Ce lundi et les trois suivants, France 3 nous propose de découvrir l’histoire du magazine à travers quelques uns de ses reportages les plus
marquants. De Brigitte
Bardot à Fukushima, en passant par la famille Rainier de Monaco, la visite du chef indien d’Amazonie Raoni et même à l’intimité de Valéry Giscard d’Estaing en mai 1981… rien ne
sera oublié.
Dans les coulisses de « Match »
Lecteur assidu de « Paris Match » ou non, on se délecte des petites anecdotes et secrets dont fourmille chacun de ces quatre volets. Plus encore, Stéphane Bergouhnioux et Pascal Forneri, les deux
réalisateurs, nous emmènent dans les coulisses de l’hebdomadaire et nous dévoilent les méthodes de travail des photographes, ces conteurs d’histoires qui ont travaillé au magazine durant ses
soixante-trois ans d’existence. Des journalistes qui ont fait de leur appareil le vecteur de leur pensée. « Le poids des mots, le choc des photos » : jamais journal n’a porté si bien son
slogan.
> Quatre volets de 110 minutes diffusés tous les lundis sur France 3 dès ce soir à 20h35
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