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Gunter Sachs, l'ex-mari de Brigitte Bardot, s'est suicidé...

Publié le par Ricard Bruno

 

Le photographe allemand et ancien mari de Brigitte Bardot, Gunter Sachs, s'est suicidé, a indiqué dimanche la Fondation de l'ex-star de cinéma.

"Nous avons appelé le secrétaire particulier de Gunter Sachs qui nous a confirmé le suicide, mais nous n'avons aucune précision sur les circonstances", a-t-on déclaré à la Fondation.

Brigitte Bardot "a été informée et elle est effondrée. Elle avait gardé des liens très forts avec Gunter Sachs qui avait assisté aux 20 ans de sa Fondation", a-t-on ajouté.

Selon le magazine allemand Bunte, qui cite Rolf Sachs, fils de l'ancien playboy, le photographe est mort dans son chalet en Suisse. Il avait 78 ans.

La police du canton de Berne s'est refusée à tout commentaire. "Nous ne pouvons rien dire pour le moment", a répondu un porte-parole.

Gunter Sachs - Residenz Chalet

 

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Brigitte Bardot dans la presse cette semaine...

Publié le par Ricard Bruno

Journal le Parisien supplément "La Parisienne" cahier n°2 du samedi 07 mai 2011

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Journal "Libération"n°9325 supplément le mag du samedi 7mai et dimanche 8mai 2011 

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Journal le Monde supplément au n°20616 du jeudi 5mai 2011 (supplément grand format)

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Corrida : l’interview de Frédéric MITTERRAND !

Publié le par Ricard Bruno

 

Bruno Ricard

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La France de la H O N T E s'habille de sang : S C A N D A L E U X!

Publié le par Ricard Bruno

Je vous demande d'intervenir "NOMBREUX" auprès de nos dirigeants pour leur dire votre pensée profonde concernant ce SCANDALE de classement de la tauromachie au patrimoine immatériel de la France!

Réagisssez en masse auprès de ces journaux, n'oubliez pas que dans une année ce sont les élections! et que ce gouvernement pour la moitié sont des aficionados!

 

Bruno Ricard

 

Communiqué de la FLAC   

 

Chers amis,

La nouvelle vient de tomber !  Je vous laisse juge en lisant les liens ci-dessous...

http://www.laprovence.com/article/feria/la-tauromachie-entre-au-patrimoine-immateriel-de-la-france

http://www.sudouest.fr/2011/04/22/la-tauromachie-entre-a-l-inventaire-francais-du-patrimoine-culturel-immateriel-378618-727.php#commentaire_marqueur_position

Vous pouvez bien évidemment réagir à ces articles.

Maintenant, reste à savoir si les règles décisionnaires ont été respectées pour en arriver là ?  Les concertations pour une telle décision au sujet d'un sujet si controversé ont-elles eu lieu ?

N'oublions pas que la corrida est interdite et punie par la loi sur 90 % du territoire ! Sans oublier les deux tiers des français, y compris dans les régions taurines, qui sont pour l'interdiction de la corrida selon un sondage de l'IFOP au mois d'août dernier.  Et maintenant, elle entre au Patrimoine Immatériel de la France.  Cherchez l'erreur ?  Quand nous pensons que Frédéric Miterrand, il y a peu, dans un article de "Var Matin", déclarait qu'il ne souhaitait pas que les corridas reviennent à Fréjus, cela laisse rêveur...

Il est vrai qu'avec un gouvernement où la moitié est aficionado dont Nicolas Sarkozy et François Fillion, ceci peut expliquer cela...  C'est une décision scandaleuse et une honte pour notre pays !

Il nous reste maintenant à penser à une autre stratégie: celle par exemple, d'en savoir un peu plus sur la validité de cette décision très surprenante !

Amitiés attristées

Thierry Hély
Chargé de communication de la FLAC
www.flac-anticorrida.org

http://flac.over-blog.com/

 

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Alain Delon met en lumière son histoire d'amour avec...

Publié le par Ricard Bruno

Pour rendre hommage aux femmes de sa vie, Alain Delon a choisi de les immortaliser dans un livre, nourri de photos illuminées par l'amour, la complicité et la beauté. Michel Drucker a rencontré ce monstre sacré du cinéma, avant de le recevoir sur son canapé rouge au cours de l'émission Vivement dimanche, spéciale Bourvil. Delon s'est prêté au jeu des confidences auprès du célèbre animateur de France 2, qui le décrit comme "un acteur hors norme qui doit tout aux femmes". Paris Match a recueilli leur discussion, qui dévoile notamment une histoire d'amour méconnue entre Delon et une autre légende... de la musique, cette fois. Extraits.

Nathalie, mère d'Anthony, "la seule qui s'est appelée Mme Delon". Mireille Darc, "sa complice pour la vie". Romy Schneider "évidemment". Et "Anouchka, sa fille", écrit Michel Drucker. Alain et Anouchka ont joué ensemble dans Une journée ordinaire aux Bouffes parisiens et cela a renforcé leur complicité déjà immense. "Je l'aime passionnément, comme j'aime son frère, Alain-Fabien. Mais que voulez-vous, elle, c'est une femme, alors je craque." Delon père et fille collaborent de nouveau ensemble puisqu'ils vont tous deux prêter leurs voix au documentaire historique l'Occupation intime qui retracera la vie des Allemands et des Français sous l'Occupation.

Au cours de cette ode aux femmes réalisée pour Paris Match, Alain Delon ne parlera pas de la mère d'Alain-Fabien et d'Anouchka, Rosalie Van Breemen . La dernière fois que ces deux là se sont rencontrés, c'était au tribunal concernant la garde d'Alain Fabien, qui lui a d'ailleurs été confié ... Les rapports sont tendus entre les deux, la jeune femme, qu'il n'a jamais épousé, c'est depuis, remariée deux fois . Mais une superbe photo témoigne de leur moment de bonheur. Le Samouraï va plutôt s'étendre sur une idylle que peu connaissent, et qui l'unit pourtant à une icône : Dalida, qu'il avait déjà rencontrée dans les années 1950, quand tous deux rêvaient de gloire, mais vivaient dans un hôtel rue Mermoz : "Elle venait du Proche-Orient avec, comme seul bagage, un titre de Miss Egypte 1954. [...] Dix ans plus tard, elle était devenue Dalida et moi, Delon." Les deux stars se retrouveront à Rome et s'aimeront "loin des regards et des paparazzi, et les rares rémoins de notre liaison restèrent discrets pendant des années".

Alain Delon ajoutera ensuite que lors de leurs retrouvailles, pour enregistrer le duo Paroles, Paroles en 1973, leur "complicité était intacte". La vie étant faite de regrets, le sien sera de ne pas l'avoir eu au téléphone "avant qu'elle ne décide d'en finir avec la vie". Avec autant de bonheur, il parle, durant l'enregistrement de Vivement dimanche, de ce livre dans les librairies depuis le 14 avril, Les Femmes de ma vie, préfacé par Brigitte Bardot, son amie de toujours.

Clémentine Célarié a croisé sur le canapé rouge de Drucker Alain Delon, mais également son père, André Célarié, journaliste radio. Elle sera à la télévision le samedi 30 avril sur France 3 dans la fiction Marthe Richard, l'histoire d'une ancienne prostituée qui a fermé les maisons closes. Arnaud Giovaninetti, un des autres acteurs de ce téléfilm, est aussi présent à Vivement Dimanche. Contrairement à ce qui avait pu être annoncé, l'émission diffusée le 24 avril n'est pas une spéciale Delon et les femmes de sa vie, mais à l'honneur de Bourvil. Ainsi, Patrick Sébastien ne peut s'empêcher de livrer une imitation de cette grande figure du Septième Art.

Source : http://www.purepeople.com/article/alain-delon-met-en-lumiere-son-histoire-d-amour-avec-dalida_a78336/1

 

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Delon : Il les a tant aimées...

Publié le par Ricard Bruno

Delon : Il les a tant aimées

Dans un magnifique album photo, le plus pudique des acteurs rend hommage aux femmes de sa vie

Un entretien avec Michel Drucker - Paris Match

Je le connais depuis longtemps, et pourtant nos tête-à-tête ont été rares. La pudeur sans doute, qui a souvent peur de ces rendez-vous parce qu’ils sont quelquefois faits de ­silence. Notre amitié est née bien sûr sur les plateaux de la télévision, dans les années 70. Mais aussi sur certains tournages. Je me souviens m’être fait tout petit sur le plateau du « Cercle rouge » et du « Clan des Siciliens ». Ce déjeuner avec « le lion », je m’y suis préparé depuis plusieurs jours parce qu’avec Alain on ne sais jamais quelle sera la météo du ­moment. Ciel couvert ou grand bleu. Si ce jour-là vous ­tombez sur « Le samouraï », bonjour l’ambiance ! Mais si vous tombez sur « Plein soleil », vous allez connaître un vrai moment de bonheur parce que, quand le séducteur sourit à la vie, il est alors irrésistible. Ce rendez-vous est important car, pour la première fois, il va me parler longuement d’un sujet qu’il connaît mieux que personne : les femmes… Ses femmes. Celles qui ont partagé sa vie : Nathalie, la seule qui s’est appelée Mme Delon. Mireille Darc, son amie, sa complice pour la vie, celle qui le connaît le mieux. Romy Schneider ­évidemment… Et Anouchka, sa fille, sa star qu’il aime ­aujourd’hui plus que tout au monde et avec qui il vient de vivre, au théâtre, peut-être la plus grande émotion de sa carrière. Mais il y a aussi les femmes qui sont ses amies de toujours, au premier rang desquelles Brigitte Bardot, qui signe de manière éblouissante la préface d’un « album souvenir » événement qui sort dans quelques jours. Et puis il y a ses partenaires, celles qui l’ont accompagné depuis cinquante ans devant les caméras des plus grands metteurs en scène.

Enfin, il y a des révélations, dont la plus touchante est son histoire d’amour avec Dalida. Ils s’étaient connus en 1956, voisins de chambre dans un petit hôtel du VIIIe arrondissement de Paris. Comme convenu, nous nous retrouvons à 13 h 15 chez Laurent, le restaurant des hommes d’affaires et des politiques, à deux pas du palais de l’Elysée. Un endroit calme et discret, propice à la confidence, où les ­réseaux les plus influents se croisent chaque jour. Alain Delon est un ponctuel qui n’aime pas que les autres ne le soient pas. A 13 h 15 précises, je l’aperçois en conversation avec deux femmes blondes qu’il enveloppe de son regard magique. Il est souriant. Je suis tombé sur un bon jour, un jour de séduction. En entrant dans le restaurant, les quelques femmes présentes se retournent sur notre passage – que dis-je ? sur son passage. C’est comme ça depuis cinquante ans. Quand l’acteur français le plus connu dans le monde entre quelque part, à Paris, Tokyo, Shanghai ou Moscou, on a l’impression pendant quelques ­secondes que le temps s’arrête. En passant près d’une table, j’entends une femme blonde couverte de bijoux, la cinquantaine galbée, triomphante, souffler à sa voisine : « Il est toujours beau. » A 17 ans déjà, dira sa mère Mounette, dans la char­cuterie familiale tenue par son beau-père, le môme ­désarmait les clientes rien qu’en les regardant : « Il avait des yeux qui foudroyaient. Il possédait déjà cette aura et ce regard de loup qui mettent tout par terre. »

Ce regard-là a terrassé les plus belles femmes du cinéma français et international. Delon a été un des plus beaux mecs du monde. Et il écrit dans cet album exceptionnel, jalonné de photos souvent inédites : « J’ai voulu par ce livre rendre hommage à celles que j’ai aimées, qui m’ont aimé et à qui je dois tout ce que je suis. » Car cet acteur hors norme doit tout aux femmes. Il n’a cessé de vouloir les séduire et, à 70 ans passés, il aime toujours se retourner sur une silhouette gracile et croiser le regard d’une jeune fille qui lui fait comprendre qu’il n’est pas seulement l’idole de sa mère. Au cours de ce long ­entretien, celui qui se considère comme le « Dernier des ­Siciliens » m’a paru parfois mélancolique, dégageant une forme de lassitude, de désenchantement devant le temps qui file. Car cet homme si doué pour tout n’a jamais été doué pour le bonheur. Comme l’écrit si bien Brigitte Bardot dans sa préface : « Si mon ami Alain donne cette image d’un homme qui mord la vie à pleines dents, il sait aussi apprivoiser la mort. Peut-être sera-t-elle la dernière “femme de sa vie”. »

Paris Match. Quel est le premier visage de femme qui t’a marqué ?
Alain Delon. Celui de ma mère, Mounette. C’est la première photo du livre. Ma mère en train de me baigner dans une petite baignoire en cuivre. Mounette (qui s’appelait Edith) m’a adoré, admiré. Elle a été si fière de ma réussite. Elle a compris très vite que je n’étais pas un gamin comme les ­autres. Elle aurait voulu être actrice. Elle en avait le tempérament mais la vie et un remariage en ont décidé autrement. Je suis devenu ce qu’elle avait voulu être et elle a été néanmoins ­heureuse de ma réussite. Je la remercie pour tout cela et pour le reste.

Cet album, “Les femmes de ma vie”, est une sorte de livre de mémoire illustré par des dizaines de photos. Qu’as-tu ressenti en les choisissant ?
C’était émouvant et déchirant. Voir toute sa vie défiler en quelque 200 photos a été parfois une épreuve. Je ne connaissais pas certaines de ces photos. Beaucoup de souvenirs sont revenus. Ce qui me rend mélancolique, c’est que certaines de ces femmes ne sont plus là. D’autres ont vingt ans de plus que moi. Elles sont à la fin de leur vie mais, malgré leur âge, ce sont des personnalités à jamais ancrées dans mon existence. Je dis d’ailleurs, dans le livre, que je retiens ce que j’ai possédé et que je n’oublie jamais.

C’est le cas de Brigitte Auber et de Michèle Cordoue ?
Je peux même affirmer qu’elles m’ont lancé. Brigitte Auber, dans les années 50, était une vedette. Héroïne de “Rendez-vous de juillet” de Jacques Becker, elle était également à l’affiche, à l’époque, de “La main au collet”, d’Alfred ­Hitchcock, aux côtés de Grace Kelly et de Cary Grant. Dans ces années-là, je ne suis rien. Je rentre d’Indochine. Ma rencontre avec Brigitte, rue Saint-Benoît dans une boîte de jazz, sera décisive. J’habiterai très vite chez elle. C’est Brigitte qui me présenta Michèle Courdoue, l’épouse du metteur en scène Yves Allégret. Elle m’imposera auprès de son mari qui me donnera mon premier rôle dans “Quand la femme s’en mêle”, titre prémonitoire. Plus de cinquante ans après, je n’oublie pas ce que je dois à ces deux femmes.

Il y a quatre femmes-clés qui figurent à tes côtés à la une de ce numéro de Match : Romy, Nathalie, Mireille et Anouchka. Comment t’ont-elles aimé ? Comment les as-tu aimées ?
Avec Romy, les souvenirs sont doux et douloureux. Ce que je garde à jamais dans mon cœur, c’est son sourire. Quand elle souriait, tout s’éclairait, se métamorphosait. En 1958, je suis débutant. Elle est déjà “Sissi”, star européenne. Elle n’a que 20 ans. Moi, j’étais un jeune loup que l’Indochine avait durci. Tout nous séparait. J’ai fait des essais concluants, et elle m’a choisi pour être à ses côtés dans “Christine”. Et puis, avec la complicité de mon ami Jean-Claude Brialy qui me manque tant, nous sommes devenus amants.

Vos retrouvailles dix ans après étaient-elles pour toi une façon de la remercier ?
Absolument, entre-temps ma carrière s’était envolée et la sienne avait marqué une longue pause. Ce fut “La piscine”, de Jacques Deray, qui fut un raz de marée.

Dans cette magnifique galerie, il y a celle qui fut la seule à s’appeler Mme Delon. Parle-moi de la maman d’Anthony.
En effet, Nathalie et moi sommes passés devant le maire en 1964 et Anthony est né. Avec Nathalie il y avait une ­ressemblance troublante. On nous a souvent pris pour le frère et la sœur. Notre traversée ne fut pas toujours de tout repos car Nathalie avait un tempérament proche du mien. Mais, avec les années, nous nous sommes retrouvés et je suis fier ­d’Anthony.

Je voudrais que tu me parles maintenant de Mimi, Mireille Darc.
Elle occupe une place à part dans cet album. C’est sans doute, parmi toutes les femmes que j’ai aimées, celle qui me connaît le mieux. Nous nous sommes connus en 1968 pendant le tournage de “La piscine”. J’étais séparé de Nathalie et je ­traversais une période très compliquée avec des soucis extraprofessionnels. Elle a été là, m’a aimé, m’a soutenu, et ça a duré quinze ans. Et je peux dire que ça dure toujours. Elle reste quelque part la femme de ma vie parce que nos liens, notre complicité sont inoxydables. Nous avons vécu tant de choses ensemble !

Elle a du mérite de t’avoir supporté si longtemps, car tu reconnais toi-même que vivre à tes côtés n’est pas une sinécure…
Je le reconnais. Je peux être colérique, caractériel, parfois injuste, et surtout d’une impatience maladive. Je n’aime pas l’hypocrisie ; je dis les choses parfois brutalement. Mireille a vécu des moments difficiles avec moi. C’est d’autant plus ­méritoire qu’elle a eu de graves problèmes cardiaques et a dû se faire opérer. Mon lien avec Mimi ne sera jamais rompu.

Il y a dans le livre une confession troublante et touchante : ton histoire d’amour avec Dalida, dans les années 60.
Nous nous sommes connus bien avant cela, dans les années 50. Je vivotais, je travaillais la nuit et au petit matin je m’écroulais dans la petite chambre d’un hôtel, rue ­Jean-Mermoz, près des Champs-Elysées. Au même étage, dans une autre mansarde, habitait une certaine Yolanda Gigliotti. Elle venait du Proche-Orient avec, comme seul bagage, un titre de Miss Egypte 1954. Nous rêvions de gloire et de lumière. Dix ans plus tard, elle était devenue Dalida et moi Delon. Nous nous sommes retrouvés à Rome. Nous nous sommes aimés loin des regards et des paparazzis, et les rares témoins de notre liaison restèrent discrets pendant des années. Et quand Eddie Barclay et Orlando, le frère de Dalida, nous proposèrent d’enregistrer le fameux duo “Paroles, paroles”, notre complicité était intacte. Je n’ai qu’un regret, qu’un remords, ne pas l’avoir eue au téléphone avant qu’elle ne décide d’en finir avec la vie.

Quelle est aujourd’hui la femme de ta vie ?
Ma fille Anouchka. Il y a quelques années, quand j’ai monté les marches de Cannes avec elle à mon bras, vous n’imaginez pas ce que j’ai ressenti ! Je viens de vivre au ­théâtre une des plus fortes émotions de ma vie. Imaginez : pour ce qui a été peut-être mon dernier tour de piste, j’ai donné la réplique à ma fille, devenue en quelques années une excellente comédienne. Je l’aime passionnément, comme j’aime son frère, Alain-Fabien. Mais que voulez-vous, elle, c’est une femme, alors je craque.

Pourquoi es-tu seul aujourd’hui ? Est-ce un choix délibéré ?
Je ne suis pas seul, pas du tout. Mais vivre avec qui ? Avec une femme beaucoup plus jeune que moi ? Mais je ne suis plus jeune ! Et puis quand on vieillit, on prend des habitudes. Les jeunes me déconcertent, j’ai du mal à les comprendre, eux qui passent leurs journées aimantés par l’écran de leurs ordinateurs et de leurs téléphones portables. Mais tu sais, Michel, il y a chez moi un paradoxe que tu connais. J’ai parfois été heureux en couple mais j’aime aussi être seul avec mes chiens. Les chiens qui ont jalonné ma vie pendant quarante ans m’ont toujours apporté une douceur et une quiétude infinies que les humains ne m’ont jamais données. Comme le dit Brigitte Bardot, cette amie que j’aime tant, il y a chez moi un côté sauvage. Je sais que je suis “un fauve”, et les fauves sont indomptables et seuls.

Source : http://www.parismatch.com/People-Match/Cinema/Actu/Delon-Il-les-a-tant-aimees-274263/

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Brigitte Bardot blâme Catherine Deneuve!

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot blâme Catherine Deneuve
Dans une interview choc accordée à Bernard Montiel pour le magazine Télé Star, Brigitte Bardot s'est exprimée, comme toujours, sur la cause qu'elle défend depuis des années : le droit des animaux.
Fidèle à son franc-parler légendaire, l'ex-actrice n'a pas hésité à descendre en flèche l'une de ses consœurs : la mythique Catherine Deneuve. En effet, la star de 76 ans accuse cette dernière de posséder une garde-robe trop « animale » à son goût.

« C'est vraiment décourageant de voir que les jeunes portent aujourd'hui de la fourrure alors que la génération précédente, celle des années 80/90, ne l'aurait pas fait. Et je trouve pitoyable qu'une femme comme Deneuve, qui représente l'élégance française à travers le monde, soit couverte de cadavres. C'est monstrueux et grotesque. »

Source : http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/people/60999/brigitte-bardot-blame-catherine-deneuve.html

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Brigitte Bardot fustige les émissions de plus en plus débiles...

Publié le par Ricard Bruno

A voir dès demain un article complet dans le journal de télévision Télé Star n°1803 :

http://www.leblogtvnews.com/article-brigitte-bardot-fustige-les-emissions-de-plus-en-plus-debiles-71927560.html

 

Bruno Ricard

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Une sénatrice rend l’identification des chats obligatoire...

Publié le par Ricard Bruno

C’est à l’initiative d’une parlementaire qu’un texte obligeant les propriétaires de félins à identifier leur animal a été définitivement adopté (6/4/11). La Fondation 30 Millions d’Amis salue cette mesure qui contribuera à réduire le nombre de chats errants, mais aussi les erreurs de fourrière qui conduisent parfois à leur euthanasie.

Une sénatrice rend l’identification des chats obligatoireBonne nouvelle : le texte visant à rendre obligatoire l’identification - par tatouage ou puce - des chats en France, a été adopté par les députés puis en seconde lecture par le Sénat (6/4/11). L’idée en revient à Nicole Bonnefoy, sénatrice et conseillère générale de la Charente (16). Il concerne les chats nés après le 1er janvier 2012 et âgés de plus de 7 mois.

Combler un vide juridique

La loi de 1999 relative aux animaux dangereux et errants et à la protection des animaux stipule que tout chien de plus de quatre mois et né après le 6 janvier 1999 doit être identifié. Une mesure qui ne concernait pas les félins jusqu’à aujourd’hui. Selon l’article 214-5 du code rural, seule l’identification pour tous les chats - mais seulement dans le cadre d’un transfert de propriété - est obligatoire. « Sur les 9,9 millions de chats dénombrés en France, plus de 80 % - soit 4 félins sur 5 - ne sont pas identifiés. De ce fait, trop d'animaux sont perdus et placés en refuge avant d'être euthanasiés faute d'identification et ce, parfois par erreur », précise Nicole Bonnefoy. Un véritable drame pour les propriétaires d’animaux lorsqu’ils perdent leurs compagnons. Sans compter les milliers de chats abandonnés par des maîtres irresponsables qui attendent dans les refuges sans que l’on puisse retrouver et sanctionner leur propriétaire.

C’est ce vide juridique qu’a souhaité combler la sénatrice de Charente : compléter la loi pour que les chats soient eux aussi concernés par l’identification et non plus « livrés à eux-mêmes, dans des conditions sanitaires parfois déplorables ». En d’autres termes, un amendement pour les protéger et lutter plus efficacement contre les abandons. Une solution « humainement plus respectable et responsable que celle qui consiste à envoyer des chats à la fourrière », plaide la parlementaire.

Identification et stérilisation

La sénatrice espère une rapide mise en application de cet amendement, qui sera effectif dès le 1er janvier 2012. Une position entièrement partagée par la Fondation 30 Millions d’Amis qui aide de nombreuses Ecoles du Chat libre - en finançant les opérations de stérilisation - permettant ainsi de réduire le nombre de portées abandonnées en pleine nature et la prolifération des chats errants, parfois menacés de mort du fait de décisions expéditives des collectivités.

Stérilisation et identification sont aujourd’hui les moyens les plus efficaces de réduire, sans leur nuire, la prolifération des chats. Une priorité lorsque l’on sait qu’un couple de chats peut engendrer à lui seul jusqu’à 20 700 descendants en l’espace de 4 ans ! « Les chats peuvent vivre une vingtaine d’années, conclut Nicole Bonnefoy. Les identifier et les protéger, c’est le moins que l’on puisse faire pour ces animaux qui nous tiennent compagnie si longtemps. »

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