Hommage Kirstie Alley, actrice américaine, grande protectrice des animaux

Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Le mythe Bardot !Cet ouvrage célèbre la vie et la carrière d'une des actrices françaises les plus remarquables au travers de plus de 200 photos rares, dont certaines inédites. Il nous plonge au cœur de ce que fut la Bardomania et retrace l'existence fascinante d'une jeune fille de " bonne famille " devenue un mythe.
J'ai eu le bonheur de découvrir ce livre très bien construit et avec je dois le dire des visuels de BB que je ne connaissais pas et pourtant...
Je vous ce livre qui trouvera j'en suis sûr une bonne place dans votre bibliothèque !
Bruno Ricard
Prix : 34,95 euros (Fnac -5% : 33,20 euros : Cliquez ICI)
Mes amis bonsoir, voilà encore une bien triste nouvelle, Mylène Demongeot est décédée ce jeudi 1 décembre 2022 à l'âge de 87 ans à Paris. Résidente dans le Sud-Mayenne depuis une dizaine d'année, l'actrice a notamment joué dans "Fantomas" ou encore "Les Bronzés".
Elle venait régulièrement diner à la maison, elle était très attachante, aimait les animaux, cause qu'elle défendait avec conviction, elle fût la marraine de la première vente aux enchères au profit de la fondation Brigitte Bardot à l'étude "Rossini" dirigé par mon ami Olivier Nuzzo Révol..
Adieu Mylène tu vas nous manquer
Bruno Ricard
Quelles sont les règles de la CITES ?
La CITES contient 3 annexes, dont les 2 principales définissent des règles de commerce international plus ou moins strictes selon le degré de protection dont les espèces ont besoin.
L’Annexe I comprend toutes les espèces menacées d’extinction. Le commerce de leurs spécimens est par principe interdit, sauf dans des conditions exceptionnelles.
L’Annexe II comprend toutes les espèces en danger, dont le commerce doit donc être réglementé pour éviter une exploitation incompatible avec leur survie. Leur commerce international est autorisé mais encadré et suivi.
« Même si la 19ème CoP de la CITES a permis de renforcer la protection de certaines espèces, la FBB ne peut pas se réjouir de ce marchandage des espèces sauvages alors que la biodiversité subit une crise mondiale sans précédent, et reconnue par tous ! Ne soyons pas dupes, cette grand-messe a encore une fois démontré que la CITES n’est pas destinée à protéger les animaux sauvages mais à orchestrer leur commerce international en tentant de réparer, avec quelques pansements, le désastre écologique qu’il cause… Certaines décisions n’arrivent que trop tard, comme pour le scinque à langue bleue, un lézard rare d’Australie vendu jusqu’à 9000 euros en Europe, alors que l’espèce est reconnue comme en danger depuis 2017 !
Comble de l’inconscience face au déclin alarmant de la biodiversité, l’Union européenne s’est illustrée, tout au long de cette CoP, par son attitude obstructive et condescendante, faisant barrage à la protection demandée par de nombreux pays pour leurs espèces endémiques, hippopotames et grenouilles de verre par exemple… Un boycott incompréhensible, certainement dicté par des intérêts économiques au détriment de la conservation et de la diplomatie internationale, que la FBB dénonce fermement ! »
Enfin, rappelons que le chiffre d’affaires annuel du commerce international légal d’espèces sauvages est estimé à plus de 15 milliards d’euros, et le commerce illégal à un montant équivalent, voire supérieur. Bien que les enjeux économiques soient considérables, il est plus qu’urgent de réglementer de façon stricte le commerce international des espèces sauvages et de cesser de marchander la vie d’êtres sensibles essentiels à la préservation de notre planète !
Contre toute attente, le député Nupes Aymeric Caron a retiré sa proposition de loi visant l'abolition de la corrida en France, le 24 novembre, à 17 h 30...
« En retirant ce texte, LFI a privé les parlementaires de la possibilité de débattre et les Français de pouvoir les écouter, ce qui est particulièrement frustrant » a indiqué Claire Starozinski, présidente de l’Alliance Anticorrida. En ajoutant : « Si je peux comprendre la colère de M. Caron, le débat ou même la lecture des amendements aurait permis de mettre en lumière les demandes indignes de parlementaires qui se sont livrés à une obstruction en règle » .
Certains, comme Yoan Gillet (RN) ont proposé de remplacer « Abolir la corrida : un petit pas pour l’animal, un grand pas pour l’Humanité » par « Gommer les traditions taurines, effacer la passion du peuple du Sud » ou encore « Imposer l’idéologie d’un homme aux villes taurines » !
Patrick Vignal, (Renaissance) a demandé de remplacer dans le titre de la loi « l’Humanité » par « moustique » ou de renommer le titre par « Restreindre la liberté individuelle des Français en matière de loisirs »…
Les taurins hurlent « Victoire ! » alors qu'il s'agit, au mieux, d'un sursis...
Le troupeau de 8 chèvres qui a perturbé la tranquillité de Saint-Brice pendant 2 ans, vient d'être sauvé par la Fondation Brigitte Bardot.
Le troupeau de chèvres a été gardé dans une ferme de Saint-Brice jusqu’à son départ samedi 19 novembre 2022. ©DR
Samedi 19 novembre 2022, deux représentants de la Fondation Brigitte Bardot sont venus chercher le troupeau de chèvres qui a erré pendant plusieurs mois dans la commune de Saint-Brice et l’a transporté dans un autre département.
Nous offrons une retraite à vie à tous les animaux que nous sauvons. Ils ont été transportés dans un autre département, sur un site tenu par des professionnels qui vont les nourrir et assurer le suivi sanitaire. Les mâles seront castrés
Ce problème de divagation de chèvres est apparu en 2020. Le troupeau de huit caprins avait provoqué des dégâts dans les cultures et présentait un danger pour les automobilistes qui circulait sur la RD 962, entre Domfront en Poiraie et Ceaucé.
Des agriculteurs et des habitants s’étaient plaints. Le maire a multiplié les démarches auprès du propriétaire pour régler ce problème. Sans succès. Il a alerté les services vétérinaires de la préfecture de l’Orne. Le 20 octobre 2022, la situation s’était débloquée. Une dizaine de conseillers municipaux et bénévoles ont capturé les animaux qui ont été placés dans une ferme de la commune, lieu de dépôt désigné par arrêté municipal.
Ce problème de divagation de chèvres est apparu en 2020. Le troupeau de huit caprins avait provoqué des dégâts dans les cultures et présentait un danger pour les automobilistes qui circulait sur la RD 962, entre Domfront en Poiraie et Ceaucé.
Des agriculteurs et des habitants s’étaient plaints. Le maire a multiplié les démarches auprès du propriétaire pour régler ce problème. Sans succès. Il a alerté les services vétérinaires de la préfecture de l’Orne. Le 20 octobre 2022, la situation s’était débloquée. Une dizaine de conseillers municipaux et bénévoles ont capturé les animaux qui ont été placés dans une ferme de la commune, lieu de dépôt désigné par arrêté municipal.
Après le départ des animaux, le maire, Serge Costard exprimait son soulagement. « Je remercie vivement la Fondation Brigitte Bardot et les gens charmants que j’ai pu avoir au téléphone et sur le terrain pour cette affaire qui se termine bien pour ces animaux, ainsi que la Direction des services vétérinaires de la préfecture ».
Sans l’apport de la fondation Brigitte Bardot, les animaux auraient finis à l’abattoir (euthanasie).
Qui ? Bagllerina
Quoi ? Une ballerine pliable, déclinable, indémodable et de qualité supérieure. Chic intemporel.
Initiales BB. L’acronyme aux majuscules doublées, un signe de chance, désigne évidemment la grande Brigitte Bardot. Mais il pourrait tout aussi bien convenir à Bagllerina et à son objet phare, la ballerine. Cette chaussure, véritable essentiel féminin, incarne un charme assez classique, symbole d’élégance naturelle. Aux origines : le monde de la danse et même de l’opéra – elles sont alors d’un rose timide. Dans la vie d’une femme d’aujourd’hui, elles se parent le plus souvent de noir. Chez Bardot, dans Et Dieu… créa la femme, elles arborent un rouge vif, flambant. L’objet du scandale ? La ballerine, décidément, n’est pas qu’une chaussure pour jeunes filles rangées.
Chez Bagllerina, au cœur du XIVe arrondissement de Paris, on célèbre la ballerine et on l’exporte jusqu’aux plus lointaines contrées, de la Hongrie au Japon. Christine Natkin, fondatrice de cette entreprise à taille humaine et pourtant internationale, s’emploie depuis 2011 à faire vivre sa marque, aux côtés de son mari qui lui apporte un précieux soutien.
Plus qu’une simple paire de chaussures, ces ballerines deviennent un allié pour leur aimable détentrice. C’est tout l’intérêt de la ballerine, chaussure que l’on peut enfiler et retirer à l’envie, au gré des circonstances et des besoins. Toutes les femmes le savent bien. Cette chaussure plate et pourtant charmante est une fameuse alternative aux terribles talons hauts (rarement pratiques pour flâner dans la rue, descendre à la plage ou courir entre deux rendez-vous). Les porter, c’est aussi une manière de se faire du bien !
Bagllerina conjugue la prestance des beaux cuirs italiens, espagnols ou marocains, avec l’argument de la praticité.
Grâce à une semelle innovante, coupée au niveau de la voûte plantaire, on peut aisément la plier en deux dans un élégant petit sac (d’où le nom de la marque : Bag…llerina). Il n’y a plus qu’à les laisser à disposition dans la boîte à gants, ou tout simplement au bout du bras, à la manière d’une pochette. Elles vous accompagnent partout. Un savoir-faire qui fait l’objet d’un dépôt à l’international.
Un considérable travail a été réalisé pour améliorer la souplesse et l’agilité de la chaussure. Une aisance qui n’est pas au détriment du raffinement. Les deux valeurs sont conjuguées. Christine Natkin a su concevoir des dizaines de modèles et de coloris, variés à la manière d’un camaïeu. De la très classique ballerine vernie de noir à de très originales déclinaisons parées de bijoux indiens, c’est du fait main. Il existe même des ballerines surmontées de légers talons, pour les clientes qui désirent ne pas trop perdre en altitude.
Brigitte Bardot adore
Dernière novation : un partenariat de prestige avec Brigitte Bardot, éternelle ambassadrice de l’art de vivre à la française. Une collection spéciale a ainsi été conçue en partenariat avec le sex-symbol des années 1960. Cause animale oblige, nul cuir, mais du raphia. De quoi donner une superbe touche estivale, authentique et bohème… La ballerine « Madrague » évoque la tranquillité de la maison du pêcheur. Ambiance coquillage & crustacés. La sandale « Flamenco » rappelle la passion de « BB » pour la musique et la danse gitane. Un pompon, original et amusant, parsème la chaussure.
Christine Natkin tient, depuis le lancement de sa marque, à souligner l’aspect voyage, synonyme d’évasion, d’une chaussure qui est partout chez elle. De l’été à l’hiver, des plages de Syracuse aux restaurants de Courchevel, la ballerine se décline. Au Normandy, à Deauville, le grand hôtel propose les chaussures à ses clientes. Un étendard du luxe. Quelle belle idée aussi, en cette saison froide, que ces ballerines rembourrées d’une douce fourrure, élégante manière d’accueillir les invités avec confort et maintien.
Après une carrière dans la communication, en lien avec les nouvelles technologies (Philips, notamment) Christine Natkin fait, à l’orée des années 2010, le choix d’une reconversion dans le monde de la chaussure. Avec pour seul bagage, alors, son concept de ballerine chic et choc. Au salon Who’s Next, c’est la folie ! Les ballerines, présentées pour la première fois au public, font carton plein. Un succès qui depuis va crescendo, jusqu’à impressionner certains grands noms de la chaussure transalpine. En moyenne, on déboursera, pour chaque paire, autour de 130 euros. Un prix compétitif au regard de la qualité du produit et surtout de sa longévité. Elles sont tout bonnement inusables. Belle idée cadeau à déposer sous le sapin. Mesdemoiselles et mesdames : à vos ballerines !