Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

le web en parle

BB: sa lettre pour sauver les chevreuils bâlois

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot a écrit un second courrier à la présidente du Grand Conseil de Bâle-Ville pour tenter de sauver les cervidés qui séjournent au cimetière du Hörnli.

BB: sa lettre pour sauver les chevreuils bâlois

Le sauvetage des chevreuils qui dégradent les sépultures du cimetière paysager du Hörnli à Riehen (BS), c’est le nouveau combat de Brigitte Bardot (85 ans), l’ancienne actrice devenue militante de la cause animale. Dans une lettre datée du 18 novembre, BB s’adresse avec tact à la présidente socialiste du Grand Conseil de Bâle-Ville, Salome Hofer: «Il n’est pas utile d’ajouter la violence à la violence». écrit la star.

 

Son relais suisse, c’est Tomi Tomek: «Notre amitié épistolaire remonte à 1985», indique la fondatrice de «SOS Chats» à Noiraigue (NE). Les deux militantes ne se sont jamais rencontrées. Elles communiquent par lettres, BB étant réfractaire aux e-mails.

Après des années de vouvoiement, les deux militantes ont cassé la glace: elles sont l’une pour l’autre «Tomi» et «Bri». Brigitte Bardot a préfacé cette année le dernier livre de Tomi Tomek, «Aux Noms des Chats».

Intègre et tenace

Les deux femmes ont le même caractère, intègre et tenace: «Quand Darius Rochebin a souhaité la rencontrer à Saint-Tropez, dans l’idée de me présenter comme la BB suisse, j’ai refusé. Elle est bien trop sollicitée, il faut la laisser tranquille», confie Tomi Tomek. De leur complicité est né l’engagement de BB contre le projet d’abattage des chevreuils bâlois.

BB milite pour l’intégration des chevreuils au cimetière du Hörnli, via une gestion des naissances par vasectomie des mâles, la protection de certains espaces par des grillages et «le choix de privilégier des plantes peu appréciées des chevreuils».

«En cette période trouble, violente et anxiogène, nous avons plus que jamais besoin de pacifier note rapport à la nature et aux animaux», écrit Brigitte Bardot. Et la star de demander à la présidente du Grand Conseil de «répondre favorablement aux 150 000 citoyens signataires de la pétition pour la protection des chevreuils» du cimetière du Hörnli.

«Cette cause a ému jusqu’aux États-Unis et en Australie, où on ne croyait pas ça possible en Suisse», commente Tomi Tomek, qui peut compter sur des personnalités telles qu’Alain Morisod, Lauriane Gilliéron, Michael von der Heide et Laura Chaplin.

Une signature qui pèse de tout son poids. Même à Bâle?

«Ce parc doit rester un lieu de recueillement et non un champ de bataille», poursuit BB. Qui lui a soufflé ces mots? Tomi Tomek? «Je ne parle pas directement à Brigitte Bardot. Pour la cause animale, je communique avec Christophe, son assistant dans sa fondation», répond la pasionaria des chats.

Pourquoi cette deuxième lettre signée BB? «Nous craignons de voir les chevreuils abattus en une nuit, comme c’est arrivé à Zurich», explique Tomi Tomek. Si les autorités bâloises restent sourdes à l’appel de BB, TT trouvera un relais parlementaire pour tenter d’interdire l’abattage des chevreuils dans tous les cimetières de Suisse.

Brigitte Bardot s’adresse au ministre Eric Dupond-Moretti dans une lettre ouverte: "Curtis est aujourd'hui le coupable idéal"

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot s’adresse au ministre Eric Dupond-Moretti dans une lettre ouverte: "Curtis est aujourd'hui le coupable idéal"
Brigitte Bardot s’adresse au ministre Eric Dupond-Moretti dans une lettre ouverte: "Curtis est aujourd'hui le coupable idéal"

Chien retrouvé mort dans un appartement : son maître poursuivi pour abandon

Publié le par Ricard Bruno

Un habitant de Delle était jugé ce vendredi pour abandon volontaire d’animal domestique. En août 2019, le cadavre de sa chienne Dina avait été découvert chez lui. Il était poursuivi par trois associations de défense animale, dont la Fondation Brigitte Bardot.

Le cadavre du chien avait été retrouvé le 8 août 2019 dans un appartement de la rue de la Paix à Delle.  Photo d’archives

Le cadavre du chien avait été retrouvé le 8 août 2019 dans un appartement de la rue de la Paix à Delle. Photo d’archives

L’affaire avait beaucoup ému à l’époque. Le 8 août 2019, pompiers et gendarmes découvraient le cadavre d’un chien en état de décomposition avancée dans un appartement de la rue de la Paix à Delle. Alertés par une odeur pestilentielle émanant du logement, les voisins avaient d’abord pensé que le propriétaire du logement était décédé.

 

Plus d’un an plus tard, l’émotion était toujours vive au tribunal correctionnel de Belfort où le maître de Dina, chienne labrador de 11 ans, était jugé pour abandon volontaire d’animal domestique. Poursuivi par trois associations de défense animale (Fondation Brigitte Bardot, Défense animale Belfort et association Stéphane Lamart). Mais aussi par la mairie de Delle.

Confiée à une connaissance

À la barre, le prévenu dément avoir abandonné sa chienne. Souffrant de graves problèmes de santé à l’époque, il avait dû aller habiter chez sa compagne, qui a peur des chiens.

Il avait alors confié Dina à un certain « Christophe », une connaissance. « Il était à la rue. Je lui ai proposé d’habiter chez moi. En échange, il devait faire quelques travaux et garder ma chienne. Je pensais que c’était l’affaire de deux-trois semaines », explique le quadragénaire, qui ne voulait pas mettre Dina en refuge.

Il assure avoir rencontré cet ami « au PMU tous les dimanches pour lui remettre des croquettes ».

« L’abandon, c’est la solution des lâches »

Mais l’enquête n’a pas permis d’identifier ce « Christophe ». « Pour la simple et bonne raison qu’il n’existe pas », lance Me Patrice Grillon, l’avocat parisien de l’association Stéphane Lamart. « Vous avez fait le choix conscient de laisser votre chienne âgée sans eau, sans nourriture et sans lumière dans cet appartement. »

« L’abandon, c’est la solution des lâches », assène Me Olivia Symniacos, pour la Fondation Brigitte Bardot. « Vous habitiez à quelques centaines de mètres, mais vous ne vous êtes jamais préoccupé de son sort. »

« Sa peine, il la porte tous les jours »

À la défense, Me Amélie Baumont s’est étonné de ce « lynchage ». « Mon client a fait l’erreur de confier Dina à la mauvaise personne. Il se sait responsable moralement de sa mort. Sa peine, il la porte tous les jours. »

Dans cette affaire, le ministère public a requis dix mois de prison avec sursis probatoire à l’encontre du Dellois. Les associations de défense animale lui réclament aussi près de 10 000 € de dommages et intérêts. Le jugement a été mis en délibéré au 2 décembre 2020.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Des chèvres sauvages menacées d’être abattues si elles ne trouvent pas un propriétaire rapidement

Publié le par Ricard Bruno

Un appel a été lancé sur les réseaux sociaux pour sauver une trentaine de chèvres sauvages divagants sur les hauteurs de Cabrières et Mourèze. Jugées agressives, les caprins pourraient être abattus.Un collectif recherche des repreneurs. Quatre bêtes ont été adoptées cette semaine mais il en reste.

Les internautes se mobilisent pour sauver ces chèvres du pic de Vissou - Yann Bothorel

Les internautes se mobilisent pour sauver ces chèvres du pic de Vissou - Yann Bothorel

Un collectif vient de se constituer sur Facebook pour tenter de sauver une trentaine de chèvres abandonnées en pleine nature au Pic de Vissou dans l'Hérault. Ce troupeau de caprins pourrait être abattu s'il ne trouve pas un propriétaire très rapidement. Ces bêtes ensauvagées entre Cabrières et Mourèze, au sud ouest de Clermont-l'Hérault seraient agressives à en croire les panneaux d'affichage municipaux. Des promeneurs auraient été attaqués par des boucs quand les femelles sont en chaleurs Le site est fréquenté par de nombreux randonneurs et parapentistes. 

 

Une plainte déposée en gendarmerie 

Quelques bêtes auraient été abandonnées il y a quatre ans, avant de se reproduire au grand air. La prolifération de ces caprins poserait aujourd'hui problème et les mairies de Mourèze et Cabrières auraient l'intention de les euthanasier si elles ne trouvent pas un propriétaire très rapidement.

''Ne vous approchez pas des chèvres'' précise un communiqué de la maire de Cabrières

'Dans le contexte, il semblerait que seule l’éradication soit possible'' écrit le maire de Mourèze sur le site internet de la mairie. Pourtant ces chèvres seraient des chèvres du Rove, évoluant autrefois dans les espaces méditerranéens. Elles seraient nécessaires à l'équilibre de la végétation pour préserver notamment des incendies. Les abattre serait une erreur, selon plusieurs bergers.

Dans le contexte, il semblerait que seule l’éradication soit possible écrit le maire de Mouréze

L'appel à l'aide a rapidement tourné sur les réseaux sociaux

L'alerte a été lancée par un habitant de Montagnac connaissant bien le secteur.  Son appel émis sur Facebook a rapidement eu un écho favorable. En quelques heures plus de 15.000 personnes ont partagé le post agrémenté de photographies et d'un arrêté municipal, émanant de la mairie de Mourèze, interdisant la divagation des animaux. "J'ai bon espoir qu'on évite cet abattage, indique Yann. De nombreuses associations ont entendu mon appel."

"Dire que ces chèvres dérangent, c'est exagéré. C'est toujours un plaisir de les voir. Nous n'avons jamais été agressés par ces chèvres. Je veux bien croire qu'elles représentent un danger sur la route, mais je ne les ai jamais vu en bas du Pic. Quand on va à la montagne, s'il y a  des vaches avec leurs veaux, elles peuvent être agressives, ce n'est pas pour autant qu'on va les abattre."

 

Avis partagé par le maire de Mourèze, Serge Didelet. ''Depuis des mois nous avons de belles paroles. Ce mardi,nous avons eu de nombreuses propositions pour reprendre les caprins. Mais j'attends des actes. Quoiqu'il en soit nous devons trouver des solutions pour stopper cette prolifération. Des promeneurs nous ont alertés que les caprins étaient agressifs. Je n'ai pas à remettre en doute leurs paroles.''

La préfecture de l'Hérault avait déjà alerté les maires

''En date du 25 mars 2019, Monsieur le préfet nous informait par courrier de la présence anormale de chèvres en divagation sur le domaine public et nous invitait à intervenir pour régulariser cette situation, précise Serge Didelet. Plus clairement formulé : il faut s’en débarrasser !"

Le maire et les élus se sont mis en quête de trouver d’éventuels adoptants, mais à chaque fois, ils se sont vus rétorquer le fait que les bêtes ne sont ni vaccinées ni enregistrées à la naissance et dépourvues d’identification à l’oreille.

"Dans le contexte, il semblerait que seule l’éradication soit possible. En conséquence, des battues, décidées par la préfecture, seront organisées sous le contrôle de la gendarmerie et des lieutenants de louveterie en encadrement des chasseurs qui voudront se porter volontaires."

Depuis son appel, Yann a reçu le soutien de la Fondation Brigitte Bardot et de 30 Millions d'Amis. Une autre solution que l'abattage pourrait être rapidement trouvée dans les prochains jours. 

Dans la semaine, un habitant de Nébian est allé sans autorisation en récupérer quatre. La mairie va lui demander d'aller voir un vétérinaire rapidement car elle sne sont pas vaccinées donc susceptibles de transmettre des maladies.  

Ceux qui souhaitent en adopter sont invités à se rapprocher au plus vite des mairies de Nébian, Cabrières et Mougères.

 

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Canard agressé à Sigean : la fondation Brigitte Bardot porte plainte, les auteurs entendus par la gendarmerie

Publié le par Ricard Bruno

Un canard a été sauvagement agressé à Sigean (Aude), samedi 7 novembre 2020. La fondation Brigitte Bardot a déposé plainte. Identifiés, les auteurs sont entendus par les gendarmes.

La gendarmerie audoise a convoqué les jeunes qui ont agressé un canard à Sigean.

La gendarmerie audoise a convoqué les jeunes qui ont agressé un canard à Sigean.

La vidéo a suscité l’indignation sur les réseaux sociaux. Samedi 7 novembre 2020, un canard a été sauvagement agressé près de l’étang de Sigean, dans l’Aude. Trois jeunes étaient alors impliqués dans cette scène, filmée et diffusée sur Internet.

Dépot de plainte et convocation

Très rapidement, après la publication de la vidéo sur Instagram et Twitter, bon nombre d’internautes ont mentionné les comptes de la fondation Brigitte Bardot, 30 Millions d’Amis, ou encore Pet Alert. La première n’a pas tardé à répliquer : « notre avocat a déposé plainte immédiatement auprès du procureur de la République de Narbonne » explique Romy Turpin, responsable du service juridique de la Fondation.

Partager cet article
Repost0

Gigantesque ferme de crocodiles en Australie, le projet scandaleux d'Hermès ?

Publié le par Ricard Bruno

Une ferme de crocodiles près de Darwin, en Australie. La marque Hermès prévoirait d'en construire une nouvelle en vue de produire pas moins de 50.000 sauriens en 5 ans.

Une ferme de crocodiles près de Darwin, en Australie. La marque Hermès prévoirait d'en construire une nouvelle en vue de produire pas moins de 50.000 sauriens en 5 ans.

Alors que plusieurs griffes de luxe se sont détournées des peaux de reptiles exotiques, Hermès suivrait le chemin inverse et prévoirait d'investir des dizaines de millions de dollars dans un projet de ferme-usine de crocodiles, selon un média national australien. Si cette information est avérée, la Fondation 30 Millions d'Amis déplore un tel déni des attentes sociétales en matière de bien-être animal.

Quand les crocodiles versent des (vraies) larmes ! L'enseigne de luxe Hermès aurait acquis une ferme horticole au nord de l'Australie afin d'y construire le plus vaste élevage de crocodiles du pays, selon le média national australien ABC, relayé par Ouest-France (10/11/2010). La future exploitation – dont les travaux seraient estimés à 40 millions de dollars – devrait « produire » jusqu'à 50.000 sauriens en cinq ans, permettant ainsi de fabriquer davantage de sacs en cuir exotique... vendus autour de 20.000 euros pièce.

Opacité sur les fournisseurs de peaux

Si cet élevage-usine voyait le jour, cela reviendrait à augmenter de moitié le nombre de crocodiles élevés pour leur cuir et leur viande dans l'État des Northern Territories (Territoires du Nord). Une région au triste bilan – plus de 24.600 peaux exportées entre 2018 et 2019 d'après le Département des Ressources naturelles et environnementales – et dont les marques Hermès et Louis Vuitton posséderaient déjà à elles seules « l'écrasante majorité » des fermes, souligne le média australien qui a pu consulter des documents relatifs au projet et soumis à l'agence locale de protection de l'environnement.

Pour éviter de susciter l'indignation – légitime – des consommateurs, le géant français du haut de gamme tenterait pourtant de maintenir l'opacité sur ses pratiques. Ainsi, la future ferme-usine serait portée par la société « PRI Farming »... elle-même dirigée par trois responsables d'Hermès associés à un homme d'affaires australien, Mick Burns, également surnommé le « roi des crocodiles ». « Hermès et Louis Vuitton préfèrent garder secret leur contrôle des fermes de crocodiles, leur implication dans cette industrie n'étant mentionnée sur aucun de leurs sites web, pointe ABC. Les éleveurs rachetés par les marques de luxe signent souvent des accords de confidentialité leur interdisant de mentionner la vente. »

Contactée par 30millionsdamis.fr pour éclaircir ce point, l'enseigne n'a pas souhaité donner suite à nos sollicitations.

Derrière les écailles, la souffrance

En 2009, la marque à la carriole avait été épinglée par l'association PeTA dans une enquête consacrée à deux de ses fournisseurs au Texas et au Zimbabwe. Dans ces élevages sordides, les lanceurs d'alerte avaient pu filmer « des dizaines de milliers de crocodiles confinés dans de tristes fosses en béton, de la naissance à l'abattage », « des employés incisant et charcutant plus de 500 alligators conscients alors que ceux-ci luttaient pour se dégager », ou encore des animaux « dont les pattes bougent encore plusieurs minutes après la tentative d'abattage ».

En investissant massivement dans l'élevage de crocodiles, Hermès choisirait donc délibérément d'ignorer les attentes sociétales en matière de bien-être animal... alors même que certains de ses concurrents ont déjà franchi le pas en s'engageant pour une mode plus éthique. Ainsi, en décembre 2018, Chanel avait annoncé son intention de ne plus utiliser de peaux exotiques (crocodile, lézard, serpent et raie) dans ses prochaines collections. D'autres griffes de luxe telles que Gucci, Versace et Furla ont quant à elles décidé de cesser définitivement l'utilisation de la fourrure.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Les animaux durant la 1ère guerre mondiale...

Publié le par Ricard Bruno

Les animaux durant la 1ère guerre mondiale...

Un grand nombre d'animaux furent utilisés par les belligérants lors de la Première Guerre mondiale, principalement des équidés pour le transport et la cavalerie, des chiens pour le transport (chien d'attelage) et la transmission des messages, ainsi que des pigeons voyageurs.

Les animaux pendant la Première Guerre mondiale - Archives départementales  et patrimoine du Cher

Les animaux, héros oubliés de la Grande Guerre

Les animaux, héros oubliés de la Grande Guerre

11 novembre 1918 : 10 choses à savoir sur les animaux et la Grande Guerre

Une plaque commémorative à Paris pour les animaux morts durant la Première  Guerre mondiale

Les animaux, ces héros de l'ombre de la Première - Ville de Paris

Les animaux et la Première Guerre Mondiale | Robin des Bois

14-18, les animaux dans la Grande Guerre | L214 Éducation

Stubby", l'histoire vraie du chien devenu héros de la Première Guerre  mondiale | Le HuffPost

 

Les animaux, héros oubliés de la Grande Guerre

https://dailygeekshow.com/wp-content/uploads/2016/03/beauty-photo.jpg

Les animaux pendant la Première Guerre mondiale - Archives départementales  et patrimoine du Cher

Les Animaux Héros pendant la Première Guerre Mondiale

11 novembre 1918 - 2018 - Bêtes de tranchées, héros silencieux

Ces animaux héros de guerre | Le 15-18

14 millions d'animaux ont participé à la Première Guerre mondiale | Playbac  Presse Digital: journaux jeunesse Le Petit Quotidien, Mon Quotidien,  L'actu, L'éco et plus !

Un pigeon a sauvé 200 soldats durant la Première Guerre mondiale ! | Le  Saviez-Vous ?

Dossier : les animaux de guerre

 

 

 

14-18, les animaux dans la Grande Guerre | L214 Éducation

Quels sont les « animaux de guerre » auxquels certains élus veulent rendre  hommage ?

Cheval durant la Seconde Guerre mondiale — Wikipédia

Ces animaux ont changé le cours de la guerre 14-18 - Edition du soir Ouest  France - 03/04/2017

 

 

Partager cet article
Repost0

Savoie : une association craint que des marmottes soient "enterrées vivantes" par la construction d'une piste de ski

Publié le par Ricard Bruno

Savoie : une association craint que des marmottes soient "enterrées vivantes" par la construction d'une piste de ski

Une nouvelle piste de ski est en travaux à Albiez-Montrond, menaçant une dizaine de terriers de marmottes, selon une association locale. Les rongeurs risquent de se retrouver bloqués à l'intérieur après le terrassement de la piste.

Voilà la connerie humaine continue encore et encore, tout cela sur l'hôtel du FRIC", incompréhensible, on détruit la nature, les espaces naturels, on va finir par avoir une terre aseptisée, plus aucun animal ne pourra vivre ou survivre, quelle honte, comment les autorités peuvent laisser faire ! c'est incompréhensible...
Bruno Ricard 

L'association Vivre et agir en Maurienne a planté des panneaux sur la future piste de ski pour signaler les terriers de marmottes. • © France 3 Alpes

L'association Vivre et agir en Maurienne a planté des panneaux sur la future piste de ski pour signaler les terriers de marmottes. • © France 3 Alpes

Les marmottes hibernent déjà au pied des aiguilles d'Arves, mais pas les engins de chantier. Une armée de pelleteuses a débarqué début octobre dans la petite station-village d'Albiez-Montrond (Savoie) pour créer une nouvelle piste de ski. Le tout sur un terrain parsemé d'une dizaine de terriers de marmottes qui risquent d'être ensevelis par les travaux, provoquant une levée de boucliers générale pour sauver ces rongeurs.

La mairie met en avant un projet d'avenir qui a fait l'objet d'études environnementales. "Je peux vous garantir que nous n'empêcherons pas les marmottes de dormir pendant l'exploitation des domaines skiables", affirme le premier adjoint au maire d'Albiez-Montrond, Bruno Rambaud. Une promesse qui ne convainc pas l'association Vivre et agir en Maurienne.

Photos à l'appui, elle montre que des terriers de marmottes parsèment ce terrain prêt à être terrassé par les engins de chantier. Des pancartes ont été plantées tout autour en signe d'opposition au projet. "Si les engins de chantiers terrassent, ils vont complètement colmater [les terriers] des marmottes et donc elles vont être enterrées vivantes. Elles ne pourront pas sortir", craint Annie Collombet, représentante de l'association.

 

Liaison vitale pour Albiez-Montrond


Couplée à une nouvelle remontée mécanique, la nouvelle piste devrait permettre de relier le petit domaine d'Albiez-Montrond à son grand frère voisin des Karellis à horizon 2002. Une liaison qui apparaît comme vitale pour la petite station village. "Le but premier, c'est d'augmenter l'exploitation de la saison d'hiver de 25% puisque les Karellis font partie des dernières stations qui ferment sur la fin de saison. Le deuxième objectif, c'est de rationner le domaine skiable", ajoute Bruno Rambaud.

Des intérêts économiques qui passent avant la faune locale, "sacrifiée dans une fuite en avant d'autant plus incompréhensible que l'urgence écologique n'est plus à démontrer", déplore l'association Vivre et agir en Maurienne. "Se servir de cet animal emblématique pour attirer les touristes l'été et puis ne pas hésiter à les massacrer quand ça nous gêne, je trouve que c'est scandaleux", juge sa représentante. Marmottes ou pas, les travaux de la future piste de ski continuent. Son ouverture est prévue courant décembre, à l'aube d'une saison qui s'annonce incertaine.

 

Partager cet article
Repost0

Des scientifiques repèrent un immense groupe de morses au nord de la Russie

Publié le par Ricard Bruno

Un rassemblement de morses (illustration).

Un rassemblement de morses (illustration).

Au nord de la Russie, des scientifiques ont repéré un groupe de plus de 3.000 morses rassemblés sur les rives de la mer de Kara. Une observation inédite pour cette espèce dont l'habitat est menacé par la fonte des glaces et l'exploitation arctique.

Les morses sont des mammifères particulièrement imposants dont la longueur dépasse généralement les 2,50 mètres pour une masse qui excède facilement la tonne. Autant dire qu'ils peuvent former des groupes très impressionnants lorsqu'ils se mettent à se rassembler par centaines.

C'est l'un de ces groupes - appelés échoueries - que des scientifiques ont repéré au nord de la Russie. Le rassemblement a été découvert l'année dernière sur les rives de la mer de Kara qui borde l'océan Arctique. Mais ce n'est que récemment qu'ils sont parvenus à le documenter et ils y ont dénombré plus de 3.000 morses.

Les morses qui sont des animaux très grégaires, se réunissent pour socialiser, communiquer et se reproduire. Les colonies se forment généralement sur la banquise ou les îles arctiques. Mais les scientifiques n'avaient encore jamais observé un groupe d'une telle ampleur à un tel endroit et montrant une telle diversité.

 

"Cette échouerie est unique parce qu'elle compte à la fois des femelles et des mâles, ainsi que des petits d'âge différent", a souligné à Reuters, Aleksander Sokolov, chercheur de l'Académie des Sciences russe. "Ce sont des animaux fascinants et vous vous retrouvez au milieu de milliers d'entre eux", s'est-il réjoui qualifiant le groupe de "laboratoire à ciel ouvert".

Un "signe positif" pour une espèce quasi menacée ?

Pour l'heure, les scientifiques savent peu de choses sur ce groupe et la raison de leur présence à cet endroit. Ils ont prélevé des échantillons ADN et équipé plusieurs spécimens de balise satellite afin de pouvoir suivre leurs mouvements au cours des prochains mois. Cette colonie pourrait toutefois faire figure de "signe positif", selon eux.

La sous-espèce de morse de l'Atlantique (Odobenus rosmarus rosmarus) est classée comme "quasi-menacée" par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Sa population est aujourd'hui estimée à 12.500 individus adultes mais elle a subi et subit encore de nombreuses pressions.

Les morses ont longtemps été tués pour leur graisse et leur ivoire avant que la chasse commerciale ne soit interdite au milieu du XXe siècle. Désormais, ils sont menacés par la dégradation et la disparition de leur habitat liées à la fonte des glaces et à l'exploration pétrolière et gazière.

Les morses sont menacés par la disparition de la banquise dont ils sont très dépendants

 

L'Arctique fait partie des régions les plus touchées par le changement climatique. En septembre dernier, la banquise estivale a atteint sa deuxième superficie la plus basse jamais enregistrée : 3,74 millions de kilomètres carrés. Et sa croissance peine chaque année un peu plus à redémarrer.

 

En octobre dernier, des chercheurs ont publié des données indiquant que la superficie de la banquise n'avait jamais été aussi basse pour cette période, atteignant seulement 6,5 millions de kilomètres carrés le 27 octobre. Soit plus de trois millions de kilomètres carrés de moins que la moyenne observée pour les mois d'octobre entre 1981 et 2010.

"Avec le changement climatique et la fonte des glaces, la banquise est plus fine et se forme plus tard. Tout ceci affecte les morses", a confirmé Aleksander Sokolov. La mer de Kara où le groupe a été repéré n'échappe pas à cette tendance. La saison sans glace y dure de plus en plus longtemps ces dernières décennies.

La présence de ces milliers de morses pourrait ainsi montrer que, malgré les pressions, la population parvient à se rétablir. "Nous voulons penser que c'est un signe positif", a confié à Reuters Andrei Boltunov du Marine Mammal Research and Expedition Center, soulignant ne pas pouvoir pour l'instant tirer de conclusions.

D'autres rassemblements importants de morses ont déjà été observés par le passé. En 2014, quelque 35.000 spécimens se sont amassés sur une plage près de Point Lay en Alaska, sur les rives de la mer des Tchouktches. Ils y reviennent depuis régulièrement poussés, là encore, par la raréfaction de la glace dont ils dépendent.

Source de l'article : Cliquez ICI

 
Partager cet article
Repost0