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Un éleveur mayennais condamné pour privation de nourriture et de soins, son troupeau confisqué

Publié le par Ricard Bruno

Un agriculteur mayennais de 50 ans a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Laval à des amendes et à la confiscation de son cheptel d'une centaine de vaches. Les services vétérinaires ont constaté de graves manquements. La fondation Brigitte Bardot parle de maltraitance animale.

Photo d'illustration de vaches charolaises

Photo d'illustration de vaches charolaises

Un éleveur mayennais a été condamné par le tribunal correctionnel de Laval ce jeudi 22 août, notamment pour privation de nourriture ou d'abreuvement et privation de soin sur ses animaux. Son troupeau d'une centaine de vaches, confié depuis mai à deux associations (la Fondation Brigitte Bardot et OABA), lui a été confisqué. Il doit également payer de nombreuses amendes contraventionnelles et dédommager les parties civiles.

C'est la troisième fois que cet éleveur de 50 ans, né à Ernée, se retrouve devant la justice. Il a déjà été condamné deux fois pour détention de cadavres de bovins non signalés à l’équarrissage. Son exploitation de vaches allaitantes se situe sur les communes de Saint-Mars-sur-la-Futaie et St-Berthevin-la-Tannière.

Des vaches squelettiques

Jeudi, tout le procès a tourné autour d'un mot : le déni. Le mot est lâché par les services vétérinaires, et repris par le procureur. "Nous l'avons plusieurs fois averti mais il n'a pas changé son comportement" regrette la cheffe du service protection animale des services vétérinaires. Ses équipes dressent le même constat, lors de chaque visite ou presque : une partie des vaches squelettiques, pas assez d'eau ni de foin, et des cadavres régulièrement retrouvés au beau milieu des pâtures. En janvier 2019 par exemple, la vétérinaire constate quinze vaches "en état de misère physiologique", c'est à dire squelettiques.

"Les photos parlent d'elles même : il y a clairement souffrance animale et maltraitance" estime l'avocate de la fondation Brigitte Bardot, partie civile au procès. L'éleveur se défend : "J'aime mes vaches. Perdre des animaux, ça me rend malheureux !" Il reconnaît tout de même des lacunes, notamment sur le manque de nourriture l'hiver. Mais selon lui, les services vétérinaires "ne prennent jamais de photo quand les abreuvoirs sont remplis."

Le troupeau confié à des associations

Pour expliquer le nombre important de vaches mortes, il évoque des voisins qui lui en veulent : des gens avec des capuches auraient été vus dans ses parcelles. La juge l'interrompt : "Et ils ont fait quoi, ces gens, des liposuccions à vos vaches pour les rendre maigres ?"

Au tribunal, tout le monde est d'accord, même son avocat : cet agriculteur doit changer de métier. Lui-même assure qu'il voulait arrêter d'ici la fin de l'année. "Il a tout donné dans ce métier, il a mis du cœur à l'ouvrage, ça l'a aveuglé" reconnaît son avocat. Mais selon lui, la confiscation du cheptel, évalué à 80.000 €, l’empêche de vendre ses bêtes et donc le met en grande difficulté financière.

"J'entends bien qu'il faille prendre en compte le bien-être animal, poursuit-il, mais il faut aussi considérer la vie de cet homme de 50 ans, qui n'a aucune formation autre qu'agricole, est désormais hébergé par ses parents, et doit démarrer une nouvelle vie. Cette sanction me semble disproportionnée. Surtout qu'il n'a jamais voulu faire souffrir les animaux." Il envisage de faire appel.

L'éleveur a par contre été relaxé au cours du procès du délit de détention de cadavre sans déclaration : son avocat a prouvé qu'il avait bien fait appel à l'équarrissage la veille de la découverte par les services vétérinaires de quatre cadavres sur son exploitation, en avril 2019.

Source de l'article : Cliquez ICI

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SOS Amazonie ! mobilisation mondiale !

Publié le par Ricard Bruno

Quand Notre Dame a brûlé, une tragédie mondiale a été déclarée et en seulement quelques jours, 218 millions d'euros ont été collectés pour la reconstruire.

Cela fait 16 jours que l'Amazonie, le poumon du monde, brûle. Elle abrite plus de 600 espèces et PERSONNE NE FAIT RIEN, NI LES MÉDIAS ? NI LES GOUVERNEMENTS.

Le monde n'est pas en train de mourir, nous sommes en train de le tuer.

Que fait l'Europe, le reste du monde...R I E N !

Lien  https://www.neonmag.fr/prayforamazonia-un-hashtag-denonce-le-silence-autour-des-incendies-en-amazonie-535945.html

SOS Amazonie ! mobilisation mondiale !
SOS Amazonie ! mobilisation mondiale !
SOS Amazonie ! mobilisation mondiale !
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Discours de Jean-Paul Chambas en présence de Geneviève Darrieussecq "Sinistre" de notre gouvernement !

Publié le par Ricard Bruno

EN UN MOT COMME EN CENT : CORRIDA BASTA !

Jean-Paul Chambas est un peintre qui fait des dessins tauromachiques à caractère zoophile et pornographique très avilissants pour l'image de la femme ; sous couvert d'art"... Ben voyons..

http://flac-anticorrida.org/censure-et-pornographie-taurine/

Cette vidéo vaut son pesant de cacahuètes !

Cette vidéo date de quelques années...

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LCI : Christophe Marie face à Willy Schraen et le lobby de la chasse

Publié le par Ricard Bruno

B RA V O Christophe Marie, face à ce personnage répugnant, tu portes haut les valeurs de la fondation...

Bruno Ricard 

Alors que la ministre de la Transition Écologique s'apprête à recevoir le lobby chasse, le Porte-parole de la FBB Christophe Marie débat avec le président de la Fédération nationale des chasseurs Willy Schraen sur la politique complaisante d'Emmanuel Macron en faveur de la chasse.

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Lettre ouverte du CRAC Europe (Comité Radicalement Anti Corrida) au Président de la République Française

Publié le par Ricard Bruno

Mardi 20 août 2019

Lettre ouverte du CRAC Europe (Comité Radicalement Anti Corrida) au Président de la République Française

Monsieur le Président de la République,

Le 14 août, deux de vos ministres, Madame Jacqueline Gourault, ministre de la cohésion sociale et des relations avec les collectivités territoriales et Monsieur Didier Guillaume, ministre de l’agriculture et chargé du bien-être animal, ont assisté, au premier rang, à une corrida à Bayonne.

C’est scandaleux et inacceptable !

Comment un ministre en charge du bien-être animal peut-il être présent à une corrida, spectacle de barbarie rejeté par 80% des français ?

Ce n’est pas une erreur politique, c’est plus que cela. C’est cautionner et être complice d’actes de cruauté en public.

C’est, aussi, approuver les « écoles » taurines qui enseignent à de jeunes enfants la maltraitance animale.

Même conclusion pour Madame Jacqueline Gourault.

Le CRAC Europe demande la démission de monsieur Didier Guillaume, ministre de l’agriculture et en charge du bien-être animal et de madame Jacqueline Gouraud. Des amateurs de barbarie, même légale, n’ont rien à faire dans un gouvernement.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma plus haute considération.

Alès le 16 août 2019

Pour le CRAC Europe 
Didier Bonnet, président 
craceurope@gmail.com

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Un éleveur mayennais condamné pour privation de nourriture et de soins, son troupeau confisqué

Publié le par Ricard Bruno

Un agriculteur mayennais de 50 ans a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Laval à des amendes et à la confiscation de son cheptel d'une centaine de vaches. Les services vétérinaires ont constaté de graves manquements. La fondation Brigitte Bardot parle de maltraitance animale.

Photo d'illustration de vaches charolaises.

Photo d'illustration de vaches charolaises.

Un éleveur mayennais a été condamné par le tribunal correctionnel de Laval ce jeudi 22 août, notamment pour privation de nourriture ou d'abreuvement et privation de soin sur ses animaux. Son troupeau d'une centaine de vaches, confié depuis mai à deux associations (la Fondation Brigitte Bardot et OABA), lui a été confisqué. Il doit également payer de nombreuses amendes contraventionnelles et dédommager les parties civiles.

C'est la troisième fois que cet éleveur de 50 ans, né à Ernée, se retrouve devant la justice. Il a déjà été condamné deux fois pour détention de cadavres de bovins non signalés à l’équarrissage. Son exploitation de vaches allaitantes se situe sur les communes de Saint-Mars-sur-la-Futaie et St-Berthevin-la-Tannière.

Des vaches squelettiques

Jeudi, tout le procès a tourné autour d'un mot : le déni. Le mot est lâché par les services vétérinaires, et repris par le procureur. "Nous l'avons plusieurs fois averti mais il n'a pas changé son comportement" regrette la cheffe du service protection animale des services vétérinaires. Ses équipes dressent le même constat, lors de chaque visite ou presque : une partie des vaches squelettiques, pas assez d'eau ni de foin, et des cadavres régulièrement retrouvés au beau milieu des pâtures. En janvier 2019 par exemple, la vétérinaire constate quinze vaches "en état de misère physiologique", c'est à dire squelettiques.

"Les photos parlent d'elles même : il y a clairement souffrance animale et maltraitance" estime l'avocate de la fondation Brigitte Bardot, partie civile au procès. L'éleveur se défend : "J'aime mes vaches. Perdre des animaux, ça me rend malheureux !" Il reconnaît tout de même des lacunes, notamment sur le manque de nourriture l'hiver. Mais selon lui, les services vétérinaires "ne prennent jamais de photo quand les abreuvoirs sont remplis."

Le troupeau confié à des associations

Pour expliquer le nombre important de vaches mortes, il évoque des voisins qui lui en veulent : des gens avec des capuches auraient été vus dans ses parcelles. La juge l'interrompt : "Et ils ont fait quoi, ces gens, des liposuccions à vos vaches pour les rendre maigres ?"

Au tribunal, tout le monde est d'accord, même son avocat : cet agriculteur doit changer de métier. Lui-même assure qu'il voulait arrêter d'ici la fin de l'année. "Il a tout donné dans ce métier, il a mis du cœur à l'ouvrage, ça l'a aveuglé" reconnaît son avocat. Mais selon lui, la confiscation du cheptel, évalué à 80.000 €, l’empêche de vendre ses bêtes et donc le met en grande difficulté financière.

"J'entends bien qu'il faille prendre en compte le bien-être animal, poursuit-il, mais il faut aussi considérer la vie de cet homme de 50 ans, qui n'a aucune formation autre qu'agricole, est désormais hébergé par ses parents, et doit démarrer une nouvelle vie. Cette sanction me semble disproportionnée. Surtout qu'il n'a jamais voulu faire souffrir les animaux." Il envisage de faire appel.

L'éleveur a par contre été relaxé au cours du procès du délit de détention de cadavre sans déclaration : son avocat a prouvé qu'il avait bien fait appel à l'équarrissage la veille de la découverte par les services vétérinaires de quatre cadavres sur son exploitation, en avril 2019.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Corrida BASTA...GOUVERNEMENT...BASTA

Publié le par Ricard Bruno

Corrida BASTA...GOUVERNEMENT...BASTA
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Corrida les ministres brillent par leur présence UNE HONTE !

Publié le par Ricard Bruno

Corrida les ministres brillent par leur présence UNE HONTE !

La présence des ministres Jacqueline Gourault et Didier GUILLAUME
a provoqué un tollé sans précédent. Trois jours plus tard, le 17 août , Geneviève Darrieussecq secrétaire d'État, préside une corrida à Dax, Jusqu'où ira ce Gouvernement dans la duplicité et la provocation ?

Comment peut on faire confiance à un tel gouvernement pro corrida et anti-animaux !

Bruno Ricard

Merci à l'alliance anti corrida


 
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le dernier couple de pie-grièche en France est mort

Publié le par Ricard Bruno

Le dernier couple de pie-grièche à poitrine rose qui vivait en France, plus exactement dans le bassin de Thau, vers Villeveyrac, s'est éteint. Il n'avait pas pu se reproduire.

Pie-grièche à poitrine rose (©D.R.)

Pie-grièche à poitrine rose (©D.R.)

Le dernier couple de pie-grièche à poitrine rose présent en France vivait dans l’Hérault, à l’Ouest de Montpellier,dans le bassin de Thau.Vivait donc, car il vient de disparaître. Du coup, l’espèce est en grand danger en Europe, selon la Ligue de protection des oiseaux, la LPO de l’Hérault.

Au début du XXe siècle, la pie-grièche à poitrine rose était considérée comme une espère commune, présente en grand nombre dans le nord-ouest et le sud-est du pays. Cent ans plus tard, un seul couple était répertorié dans l’Hérault, début juillet. Ils n’ont malheureusement pas réussi à se reproduire. Le couple est mort.

Une disparition programmée qui a échappé au grand plan régional de sauvegarde lancé il y a onze ans et au plan national d’action mis en oeuvre depuis 2013.

La faute à l’agriculture intensive ? 

Selon la LPO. Parmi elles, la première est sans aucune doute ladiminution des insectes par l’usage systématique de pesticides et plus globalement, l’intensification de l’agriculture, à la fois en France mais aussi dans sa zone d’hivernage, en Afrique. 

Autres explications : les changements climatiques, le braconnage, la modification des sols dans ses zones d’habitat, ou bien la très longue migration et les risques qu’elle entraîne (près de 10.000 kilomètres deux fois par an). Se trouvant en bordure d’aire de répartition, il est d’ailleurs logique que la France et l’Espagne soient aujourd’hui les plus impactés. 

La pie-grièche à poitrine rose fait aujourd’hui partie des espèces migratrices « qui ont besoin d’une coopération mondiale, ou qui pourraient en bénéficier de manière significative« , selon un classement européen. C’est la raison pour laquelle la LPO réclame qu’un programme de sauvetagesoit lancé à l’échelle internationale. 

Les autres espèces de la pie-grièche ne sont pas menacées.

Source de l'article : Cliquez ICI

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