Harcourt Chanson française Coffret....Brigitte Bardot en chanson....
Ed Harcourt (Interprète) (Vinyle album). 3 volumes Paru le 8 octobre 2021
Prix : 29,99 euros
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
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Brigitte Bardot, défenseure des animaux, a publié un communiqué sur Twitter après la mort d'une ourse tuée par un chasseur en Ariège le 20 novembre.
Le parquet de Foix annonçait aujourd'hui l'ouverture d'une information judiciaire contre X pour "destruction d'une espèce protégée". L'information judiciaire est aussi ouverte pour "chasse illégale dans une réserve". Le chasseur n'aurait pas dû se trouver à cet endroit. Une pétition pour interdire les battues dans les zones à ours, lancée la plateforme Mesopinions.com a recueilli près de 50 000 signatures.
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Le titre est "Nouvelle attaque contre le foie gras"....et moi je rajoute TANT MIEUX ! à quand son abolition ?
Bruno Ricard
L’association a salué une «bonne nouvelle pour les oies et les canards», dans un communiqué diffusé jeudi, journée mondiale de lutte contre le foie gras, et à la veille de l’ouverture du Marché de Noël, où des producteurs de foie gras alsaciens tiennent des stands.
«Le service du protocole de la mairie strasbourgeoise (...) veille particulièrement au respect de cette démarche en adéquation avec notre politique du bien-être animal», poursuit Mme Barseghian, qui reconnaît que «la tradition a ancré solidement cette consommation dans notre culture alsacienne»: «la légende ne veut-elle pas que le pâté de foie gras ait été inventé à Strasbourg» vers 1780 «par Jean-Pierre Clause, cuisinier du maréchal des Contades?», écrit encore l’élue EELV.
«En tant que maire de la capitale européenne», elle se dit également «particulièrement attentive à la suite du débat qui a eu lieu en juin (2021) au Parlement européen et qui vise la suppression progressive de l’élevage en cage des animaux d’ici 2027 dans l’Union européenne».
«Bravo à (Jeanne Barseghian), maire de (Strasbourg), qui bannit des réceptions officielles le +fruit+ de la torture animale. Le gavage provoque souffrance et maladie, une pratique contre nature qui doit être interdite!», a réagi sur Twitter Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot.
«La décision, dont personne n’a jamais parlé, est effective depuis un an et demi», note une source proche de la mairie, qui tempère la portée de la mesure: «Il ne s’agit pas d’un changement majeur en termes de volumes» par rapport aux mandatures précédentes, où le foie gras n’était selon elle pas servi en grandes quantités.
Selon cette même source, Villeurbanne, dans la banlieue lyonnaise, a également renoncé au foie gras pour ses réceptions.
Le texte prévoit notamment l’interdiction progressive des animaux sauvages dans les cirques et delphinariums
Après plusieurs mois d’attente, la proposition de loi contre la maltraitance animale a définitivement été adoptée jeudi 18 novembre dernier. Il s’agit d’une victoire pour les défenseurs des animaux, même si certains élus et associations pensent que l’on aurait pu aller plus loin.
C’est une excellente nouvelle : la proposition de loi contre la maltraitance animale a été définitivement adoptée par le Parlement ! Le texte comprend huit mesures principales envers le bien-être animal. Tout d’abord, les animaux sauvages seront progressivement retirés des cirques jusqu’en 2028. « C’est une opportunité pour relancer le cirque en itinérance sans animaux. Le public lui-même devient de moins en moins attiré par les programmes avec espèces sauvages », a noté Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot.
Les delphinariums seront également supprimés en l’espace de cinq ans. En revanche, cela ne s’applique pas aux delphinariums destinés à la recherche scientifique. Concernant les animaux domestiques, les chiots et les chatons ne pourront plus être vendus en animalerie à partir de 2024, et les sanctions en cas de cruauté ou d’abandon d’animaux seront renforcées.
Le texte final stipule que les peines pourraient s’élever jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende, selon les cas. Pour les défenseurs des animaux, reste à savoir si cela s’appliquera vraiment dans les tribunaux, car il y a rarement eu des peines de prison auparavant.
La majorité LREM-Agir estime qu’il s’agit d’une « étape historique du combat pour la cause animale », certains défenseurs des animaux ne sont pas satisfaits de la loi votée par le Parlement. En effet, les partis politiques Libertés et Territoires, La France insoumise et le Parti animaliste pensent que le texte ne va pas assez loin.
Le tribunal correctionnel a prononcé la confiscation des animaux de la société d'événementiel de Saint-Ouen-en-Brie. Ils sont confiés définitivement à la fondation Brigitte Bardot.
Deux mois de délibéré auront permis aux juges du tribunal correctionnel de Melun de statuer, le mercredi 18 janvier, sur une affaire de maltraitance animale hors du commun qui concerne une entreprise d’événementiel implantée à Saint-Ouen-en-Brie (Seine-et-Marne).
Hors du commun c’est bien le terme, non pas en raison de la gravité des sévices subis mais plutôt par le nombre et la variété des animaux concernés. Des mygales, des serpents, toute une variété de tortues exotiques, mais aussi des dromadaires, des oiseaux de proie, des aras et des perroquets. En tout, plus d’une soixantaine de spécimens de toutes espèces et de toutes provenances.
Une véritable arche de Noé ! Alors pourquoi un cheptel d’une telle ampleur pour au final n’assurer que de rares prestations sur scène ou face caméra ? Et surtout pourquoi tant de négligence dans la qualité de leurs soins, de leur élevage et de leur entretien ?
La SARL concernée est implantée sur un grand domaine de 7 hectares situé entre Mormant et Nangis. Elle est entrée dans le collimateur d’associations comme la SPA, la fondation Brigitte Bardot ou l’OABA (Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs), toujours vigilantes en ce qui concerne la protection animale, à la suite d’un courrier de signalement à la préfecture.
Hors du commun c’est bien le terme, non pas en raison de la gravité des sévices subis mais plutôt par le nombre et la variété des animaux concernés. Des mygales, des serpents, toute une variété de tortues exotiques, mais aussi des dromadaires, des oiseaux de proie, des aras et des perroquets. En tout, plus d’une soixantaine de spécimens de toutes espèces et de toutes provenances.
Une véritable arche de Noé ! Alors pourquoi un cheptel d’une telle ampleur pour au final n’assurer que de rares prestations sur scène ou face caméra ? Et surtout pourquoi tant de négligence dans la qualité de leurs soins, de leur élevage et de leur entretien ?
La SARL concernée est implantée sur un grand domaine de 7 hectares situé entre Mormant et Nangis. Elle est entrée dans le collimateur d’associations comme la SPA, la fondation Brigitte Bardot ou l’OABA (Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs), toujours vigilantes en ce qui concerne la protection animale, à la suite d’un courrier de signalement à la préfecture.
Ce courrier, daté de 2019, provenait d’un député des Alpes-Maritimes alerté par la situation de l’élevage. Les enquêtes diligentées ensuite ont fait état d’irrégularités de gestion de l’entreprise sur le plan administratif (transport et présentation d’animaux).
Des constatations en août 2020 et une perquisition de gendarmerie en mars 2021 ont permis de relever des cas de maltraitance animale présumée : porcs amaigris, chevaux et poneys aux sabots démesurément longs, moutons non-tondus et vivant dans leur fumier, locaux, cages et volières insuffisamment proportionnées, éclairées ou chauffées… Bref, un ensemble de conditions qui ont conduit à la dispersion progressive de l’ensemble du cheptel hétéroclite, confié ensuite à des associations d’accueil.
La longue audience de septembre dernier avait permis d’entendre les gérants de l’entreprise ; un homme et son épouse, respectivement âgés de 63 ans et de 58 ans. Au centre des débats, à la fois les irrégularités administratives de gestion de l’entreprise qui se dispensait de quantité d’autorisations. Les animaux étaient utilisés pour des spectacles, prestations et présentations dans l’univers de l’événementiel : soirée Harry Potter au Georges-V ou tournages de clip pour chanteur à succès.
Dans leurs plaidoiries les avocats des parties civiles, pour les trois associations de défense animale, avaient évoqué « les conditions de vie déplorables faisant froid dans le dos » et réclamaient des indemnités.
La procureure avait pour sa part relevé sept infractions et réclamé 4 000 € d’amende contre la société et ses deux gérants, ainsi qu’une interdiction d’utilisation professionnelle des animaux.
Le tribunal a finalement prononcé des relaxes partielles concernant les pratiques commerciales trompeuses et les mauvais traitements, courant sur plusieurs mois. Ainsi que pour la détention de cadavres d’animaux. Mais les deux prévenus ont été condamnés pour le surplus et devront verser chacun 1 000 € d’amende.
La SARL écope pour sa part de 2000 € d’amende et la condamnation devra être affichée sur le site durant 2 mois. Enfin, la confiscation des animaux a été décidée et ils sont confiés définitivement à la Fondation Brigitte Bardot. En outre, plusieurs milliers de dommages et intérêts devront être versés aux différentes associations de protection animale qui étaient parties civiles dans ce dossier.
Gabriel Attal, en visite jeudi dans un refuge animalier de la Fondation Bardot à Bazoches-sur-Guyonne, dans les Yvelines, a salué "une étape fondamentale" avec l'adoption par le Parlement d'une proposition de loi contre la maltraitance animale.
Par un ultime vote du Sénat quasi unanime, le Parlement a adopté définitivement jeudi une proposition de loi pour "lutter contre la maltraitance animale", avec au menu la vente de chiots et chatons en animalerie prohibée et des peines durcies pour sévices ou abandons.
"Ce texte est une étape fondamentale. L'histoire de la société, c'est des progrès pour tous et les animaux ne peuvent pas rester hors du chemin", a commenté le porte-parole du gouvernement .
Accompagné de la députée Aurore Bergé (LREM) et guidé par Ghyslaine Calmels, directrice générale de la Fondation Bardot, Gabriel Attal, chaussé de bottes, est parti à la rencontre des pensionnaires à quatre pattes.
Il s'est arrêté devant l'enclos des vieux chiens, dont certains sont handicapés après des actes de maltraitance. Il a ensuite visité la chatterie puis s'est longuement arrêté dans l'enclos des chèvres.
"J'aime les animaux et j'essaie de les défendre", a confié au téléphone avec Brigitte Bardot Gabriel Attal, qui à son ministère s'occupe d'un coq et d'une poule. , il s'est dit "émerveillé par le travail fait pour ces animaux, souvent récupérés dans des états difficiles, qu'il s'agisse de maltraitance ou d'abandon".
Il a rappelé "des mesures très fortes sur l'interdiction de la vente de chatons, de chiots en animalerie avec l'encadrement drastique de la vente par internet et notamment la fin des animaux captifs dans les cirques".
Parmi les mesures, la vente de chiots et chatons en animalerie sera interdite en 2024. La présentation des animaux dans les vitrines ne sera plus permise. La vente d'animaux en ligne sera mieux encadrée.
Le texte durcit également les sanctions pour maltraitance, jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende en cas de mort de l'animal.
"Quand on prévoit un durcissement de peine d'une manière générale, c'est pour qu'il soit appliqué. Il y aura un suivi par le garde des Sceaux et le gouvernement pour que ces mesures soient appliquées. Il faut des sanctions exemplaires", a affirmé M. Attal.
"La mort d'un animal devient un délit ce n'est plus une contravention. Les parquets auront une vigilance renforcée", a confirmé Aurore Bergé.
Il sera interdit de présenter des animaux sauvages au public d’ici à deux ans prévoit la proposition de loi contre la maltraitance animale qui a été adoptée jeudi 18 novembre par le Sénat. Commentant ce vote, la majorité LREM-Agir vante une nouvelle « étape historique du combat pour la cause animale », à l’unisson des associations de protection. Et vous ?
La majorité en avait fait un cheval de bataille, au diapason des préoccupations de la société : le Parlement a adopté définitivement jeudi 18 novembre, via un ultime vote du Sénat quasi unanime, une proposition de loi contre la maltraitance animale.
Ce dernier vote a été acquis par 332 voix pour, une contre (celle de Nathalie Goulet, Union centriste) et dix abstentions.
Au menu figurent l’interdiction progressive des animaux sauvages dans les cirques et delphinariums, la fin de la vente de chiots et chatons en animalerie, et des peines durcies pour sévices ou abandon.
Il s’agit de conforter le lien entre les animaux et les hommes
, dans la lignée des législations sur les animaux depuis 1850.
La majorité LREM-Agir vante une nouvelle étape historique du combat pour la cause animale
, à l’unisson des associations de protection.
La SPA a salué une avancée majeure
avec de nouvelles mesures pour mettre fin à l’instrumentalisation de l’animal en tant qu’objet
. La France n’est plus le cancre de la protection animale en Europe
, s’est félicitée la Fondation Brigitte Bardot.
Le Parti animaliste applaudit aussi, espérant que la loi ne soit que le début de mesures visant à une véritable prise en considération des intérêts de tous les animaux
.
La condition animale n’est ni une lubie d’urbains en mal de nature ni une mode passagère mais un sujet auquel un nombre croissant de Français sont sensibles
et » irréversiblement politique », avait encore clamé mardi le co-auteur de la proposition de loi Loïc Dombreval (LREM), vétérinaire de profession, lors de sa dernière adoption à l’Assemblée.
Ce très large consensus dans les deux chambres a été obtenu moyennant la mise à l’écart de plusieurs sujets de fâcherie.
La proposition de loi ne s’attaque pas à la maltraitance animale dans son ensemble
, fustigent les députés Olivier Falorni (Libertés et territoires) et Bastien Lachaud (LFI), selon qui la chasse en particulier aura été particulièrement cajolée
pendant ce quinquennat.
Beaucoup reste à faire
, notamment contre l’élevage industriel, ce qui nécessite un changement de modèle agricole
, a plaidé le sénateur écolo Daniel Salmon.
Viendra inéluctablement le jour où nous saurons débattre de questions délicates, comme certaines pratiques de chasse, comme la corrida, comme certaines pratiques d’élevage
, veut croire M. Dombreval.
Principale pomme de discorde initiale, le devenir du millier d’animaux sauvages dans les 120 cirques itinérants actuels a fait l’objet d’un compromis. Il sera interdit de les présenter au public d’ici à deux ans, et de les détenir d’ici à sept ans.
Comment on va faire pour nourrir nos animaux pendant sept ans et en même temps engager une reconversion, c’est impossible
, rétorque William Kerwich, président du syndicat des capacitaires des animaux de cirque et de spectacle.
Il s’agit d’une loi arbitraire car il n’y a pas de maltraitance animale dans nos cirques
, affirme-t-il, en promettant une mobilisation
de la profession lundi.
La détention de cétacés dans les delphinariums – 21 dauphins et 4 orques en France – sera quant à elle exclue dans un délai de cinq ans.
Le gouvernement sera au rendez-vous afin d’aider cette transition
, en vue de la reconversion des personnels et pour des solutions d’accueil pour les animaux, a promis la secrétaire d’État à la Biodiversité Bérangère Abba.
La présidente de la commission des Affaires économiques au Sénat, Sophie Primas, s’est fait l’écho de la colère des professionnels envers un texte élaboré sans et parfois contre
eux. Un texte parfois dogmatique pour être médiatique
, a-t-elle taclé.