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Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans

Publié le par Ricard Bruno

Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans
Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans..

Elle avait été aux côtés de Brigitte Bardot dans le film, "La mariée est trop belle"

L’héroïne du « Diable au corps » s’est éteinte « à la Maison nationale des artistes de Nogent-sur-Marne », a annoncé son gendre.

 

La doyenne du cinéma français s’en est allée. L’actrice Micheline Presle est décédée, ce mercredi 21 février, à l’âge de 101 ans, a annoncé son gendre Olivier Bomsel.« Micheline s’est éteinte paisiblement, à la Maison nationale des artistes de Nogent-sur-Marne » dans le Val-de-Marne, a-t-il déclaré, ajoutant que les obsèques se dérouleraient dans l’intimité.

Née à Paris en août 1922, elle aura tourné plus de 150 films, dont quelques-uns à Hollywood, se laissant porter par ses rencontres : de George Pabst à Alain Resnais en passant par Abel Gance, Jacques Demy ou Joseph Losey.

Héroine du film Le Diable au corps de Claude Autant-Lara, elle a joué avec de grands acteurs du cinéma tels que Gérard Philipe, Errol Flynn, ou encore Jean Gabin, rappelle Le Figaro. Elle avait été récompensée en 2004 par un César d’honneur pour l’ensemble de son œuvre.

Celle qui a longtemps été une des trois stars préférées des Français avec Danielle Darrieux et Michèle Morgan, a aussi été rendue par célèbre grâce à Falbalas (1945) de Jacques Becker, et de Boule de suif (1945) de Christian-Jaque.

Sa fille Tonie Marshall, seule réalisatrice à avoir jamais reçu un César, pour Venus Beauté (institut), en 1999, est décédée en mars 2020.

Lorsqu’elle a soufflé sa 101e bougie le 22 août 2023, la star de la mythique série des Saintes Chéries, diffusée sur l’ORTF, avait reçu des centaines de messages sur les réseaux sociaux. « . « Bon anniversaire à Micheline Presle ! Née en 1922, elle devient vedette du cinéma dans les années 40. Sa carrière (cinéma, théâtre et télévision) consacre un talent où la grâce, la distinction, la vivacité et la profondeur dramatique s’entremêlent », lui avait rendu hommage le ministère de la Culture.

 

Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans
Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans
Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans
Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans
Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans
Mort de l’actrice Micheline Presle, doyenne du cinéma français, à l’âge de 101 ans
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Kirghizstan : la gestion humaine de la population des chiens errants continue de marquer des points

Publié le par Ricard Bruno

L’association franco-kirghize d'écotourisme a dressé un bilan 2023 encourageant sur la gestion des chiens errants au Kirghizstan. Elle avait entamé en 2021, avec la Fondation Brigitte Bardot, un programme éthique et scientifique pour juguler la prolifération des canidés. L’année 2024 marche sur les traces des progrès des années écoulées.

Un programme permet de stériliser les chiens errants plutôt que de les tuer dans les environs de Bichkek. Photo : Fondation Brigitte Bardot.

Un programme permet de stériliser les chiens errants plutôt que de les tuer dans les environs de Bichkek. Photo : Fondation Brigitte Bardot.

2024 débute sous de bons auspices pour le programme Kumayik – « bon chien » – de l’association franco-kirghize d’écotourisme (AFKE). Démarré en 2021 en partenariat avec la Fondation Brigitte Bardot (FBB), le programme a pour but de prendre en charge les chiens errants dans plusieurs communes dont la capitale du Kirghizstan, Bichkek. Les chiens sont capturés, soignés, vaccinés, stérilisés puis relâchés.

Le programme a été créé en alternative aux méthodes brutales d’élimination au fusil soutenues par les autorités locales en mal de solutions pour réguler le phénomène.

La réponse de l’AFKE est éthique, mais aussi durable et efficiente, car l’abattage des chiens ne permet pas de réduire leur nombre. Au contraire, se sentant menacés, les chiens errants se reproduisent encore plus, comme l’explique la cynologue Tamara Barskaïa au média kirghiz Kaktus Media.

Plusieurs communes arrêtent les tirs sur les chiens

Depuis la création du programme, l’AFKE a obtenu la signature d’accords avec la ville de Kant, les villages de Luksembourg, Novopokrovka, Kirchelk et Djeek pour arrêter les tirs sur les chiens. Une clinique a été ouverte à Djeek pour permettre d’assurer des opérations au plus près des besoins de ces localités situées à l’Est de la capitale.

Le 17 janvier dernier, la ville de Novopokrovka est allée plus loin en adoptant un panel de mesures concernant les propriétaires de chiens. Ils auront obligation d’enregistrer leurs chiens auprès de l’AFKE. Leur vaccination, vermifugation et stérilisation seront aussi obligatoires. Ces opérations sont prises en charge par l’AFKE et n’entraîneront aucun frais pour les propriétaires de chiens, précise l’association.

Lire aussi sur Novastan : Des chiens errants stérilisés plutôt qu’abattus : une première à Bichkek

Parmi les mesures adoptées, l’organisation ou la participation à des combats de chiens dans la ville sera interdite. Il s’agit d’un « résultat historique dans un pays ou n’existe pas de loi de protection animale », s’est félicité Philippe Boizeau, président de l’AFKE, auprès de Novastan. 

Kant, ville pionnière

La ville de Kant, à l’Est de Bichkek, fut la première dans le pays à avoir décidé, en 2023, d’interdire les tirs sur les chiens. Près de 2 000 chiens par an étaient abattus, rapporte la Fondation Brigitte Bardot.

Convaincue par les bienfaits d’une gestion éthique des chiens errants, la ville s’est dotée d’une clinique vétérinaire qui a permis, selon les chiffres de l’AFKE, de stériliser et vacciner 1 236 chiens en 2023.

Lire aussi sur Novastan : Brigitte Bardot entendue par le président kazakh

Les habitants de Kant, pleinement impliqués, joignent tous les jours l’équipe de Kumayik pour demander la stérilisation de chiens errants et ainsi faire avancer le programme.

Autre avancée, un point de collecte des déchets modernisé dans le deuxième microdistrict de Kant a aussi été installé « pour éliminer les sources de nourriture disponibles pour les chiens errants et réduire le risque de propagation des maladies chez les chiens », a indiqué l’association.

La formation à la stérilisation continue

En septembre 2022, le programme de formation à la stérilisation destiné aux vétérinaires kirghiz, mis en place dès 2021 par l’AFKE et la FBB, a été salué par l’ambassadeur de France, François Delahousse, en visite dans la clinique de l’université agraire de Bichkek.

Une équipe internationale de vétérinaires de l’organisation FARVets a atterri au Kirghizstan en décembre 2022 pour dispenser une formation vétérinaire – financée par la FBB – afin de transmettre son expertise vétérinaire de soins et de stérilisation des animaux dans le cadre de l’opération Kumayik.

L’AFKE et la FBB s’étaient appuyées dès le début sur l’expérience longtemps éprouvée de vétérinaires indiens originaires du Sikkim, en Inde, comme le rapporte le média kirghiz 24.kg. Ces derniers avaient mis en place, en 2006, le programme Sarah pour répondre aux nombreux cas de transmission de rage par les chiens qui sévissait dans cet État du Nord-Est de l’Inde.

Les risques liés aux chiens errants

Le volet information, sensibilisation et éducation du programme Kumayik s’attache à informer le public sur les dangers associés aux chiens errants si rien n’était fait. Ceux-ci  peuvent présenter un danger pour les citoyens, adultes et enfants, comme pour les animaux domestiques en raison de leur comportement parfois agressif.

Le média Cabar Asia, représentant en Asie centrale d’Institute for War & Peace Reporting (IWPR), rapporte qu’à Bichkek plus de 2 000 personnes en moyenne par an se font mordre par des chiens. Un chiffre en constante augmentation.

N’ayant aucun soin ni de suivi hygiénique, ils sont de plus susceptibles de propager des maladies comme la rage, la leptospirose ou la gale, constituant autant de menaces pour la santé publique.

Les tirs encore présents

En 2024, malgré l’avancée des actions de l’AFKE, les tirs sur les chiens sont encore une réalité. Pas plus tard que le 31 janvier dernier, l’AFKE témoigne avoir pris en charge un chien gravement blessé par balles, dans le village de Djeek.

Lire aussi sur Novastan : Le sort des animaux errants au Kirghizstan

Autre méfait rapporté par la FBB : une chienne a été attaquée par des chiens de combat sur ordre de leurs maîtres dans la ville de Kant, en mars dernier. L’équipe de Kumayik a pu intervenir à temps pour sauver la chienne. Un acte de cruauté qui a soulevé l’émoi des habitants de la ville.

Objectif : une loi sur la protection animale

Les localités prennent progressivement conscience des bénéfices d’une gestion responsable et éthique des chiens errants en prenant des mesures adéquates pour résoudre les problèmes de nuisance et de sécurité, tout en accordant au bien-être animal une place prépondérante.

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L’objectif du programme Kumayik est désormais de convaincre les députés de voter une loi nationale de protection animale à l’instar de celle votée par le Kazakhstan en décembre 2021.

L’AFKE et la FBB travaillent en collaboration avec le public et les députés pour aboutir à l’adoption de ce cadre législatif au Kirghizstan.

Patrick Do Dinh
Rédacteur pour Novastan

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Va-t-on cuisiner Brigitte Bardot à la sauce woke ?

Publié le par Ricard Bruno

Va-t-on cuisiner Brigitte Bardot à la sauce woke ?
Didier Desrimais a récemment dénoncé les délires éveillés, notamment l’antispécisme. L’essayiste animalier David Chauvet lui répond.

Dans sa récente chronique pour Parleur évoquant le livre de Jean-François Braunstein La philosophie devenue folleDidier Desrimais affirme ou du moins suggère que l’antispécisme est une forme de wokisme[1]. Disons-le clairement : cette affirmation n’a aucun fondement, mais Didier Desrimais et Jean-François Braunstein ont tout à fait raison de s’interroger sur les déviations passées et futures de l’anti-espèce. le cisme, comme toute autre idéologie.

On peut très bien détester le wokisme et être antispéciste, si l’on définit l’antispécisme comme le fait de ne pas nuire aux intérêts fondamentaux des animaux en partant du seul critère qu’ils appartiennent à une autre espèce – je dis « intérêts animaux », ce qui signifie qu’ils sont sensibles et dotés de conscience. Tout le monde comprend qu’il y a une différence entre un moucheron et un cheval, j’ose le dire, et on ne rejettera pas la protection due au second en citant simplement l’exemple du premier.

Oubliez les pitreries de Singer

L’antispécisme ne doit donc pas être considéré, en principe, comme un « une philosophie devenue folle ». Se soucier des animaux n’est pas nouveau, et certainement pas à cause de l’antispécisme de Peter Singer. Il suffit de rappeler, pour parler de la seule civilisation judéo-chrétienne, qu’en Eden Adam et Ève ne mangeaient pas de viande. Elle est souvent ignorée, mais elle a donné lieu à une «lecture végétarienne du christianisme»pour citer Olivier Christin et Guillaume Alonge dans leur belle étude Adam et Eve, paradis, viande et légumesdont le lecteur peut trouver une chronique en ligne par votre serviteur[2]. Pour preuve, l’ouvrage De l’abstinentia carnis du futur cardinal Silvio Antoniano au XVIe siècle. Certes, il s’agissait moins de se soucier des animaux que de retrouver un idéal de pureté et d’humilité. Mais croyez-moi, les antispécistes – du moins ceux d’entre eux qui se soucient sincèrement des animaux – seraient très satisfaits de la fin des abattoirs, même si elle était motivée par autre chose que leur idéologie.

Quand je parle de sincérité, je veux dire que l’antispécisme peut être aussi bien un moyen de défense des animaux qu’une posture idéologique vulgaire. Ou un simple jeu intellectuel, susceptible de sombrer dans les délires auxquels l’université est habituée – ce que dénoncent avec brio Didier Desrimais et Jean-François Braunstein. Mais aura-t-on envie de revenir à la hiérarchie des races parce que l’antiracisme se transforme désormais en wokisme le plus grotesque ? Ou priver les femmes du droit de vote à cause du néoféminisme ? Non, alors s’il vous plaît, pas de double standard avec l’antispécisme. Ce n’est pas l’antispécisme en lui-même qu’il faut condamner mais, comme l’antiracisme, ses excès. Refuser de torturer ou de tuer des animaux n’implique pas d’accepter la zoophilie, de vouloir épouser son chat ou toute autre proposition venant d’esprits à la dérive.

Démonisation

Ne pas faire cette distinction cruciale est non seulement un double standard, mais c’est aussi une grave erreur stratégique de la droite : parce que le fil est gros et qu’il n’échappe à personne sauf derrière lui. L’épouvantail de l’antispécisme est la cause animale que certains cherchent à diaboliser, par exemple en assimilant au wokisme, de manière bassement opportuniste, la lutte contre la tauromachie ou contre la chasse. Ce sont alors nos concitoyens, dont la grande majorité est sympathique à cette cause, que l’on veut couper de la droite. On ne le répétera jamais assez, tout comme l’écologie, la cause animale n’est pas essentiellement de gauche, et encore moins un avatar du wokisme.

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Il a soigné les caniches de Maria Callas et le perroquet de Céline : le vétérinaire des stars Philippe De Wailly est mort...

Publié le par Ricard Bruno

Il a soigné les caniches de Maria Callas et le perroquet de Céline : le vétérinaire des stars Philippe De Wailly est mort...

Philippe de Wailly, docteur vétérinaire de renom international, ancien président de l’Académie vétérinaire de France, membre d’honneur de l’American Veterinary Historical Society, est un éternel jeune homme de 98 ans, pressé de rendre service à son prochain à quatre pattes, à plumes, ou à écailles.

Ami des stars et surtout de leurs animaux, qu’il a connus pour la plupart dans la salle d’attente de son cabinet à Boulogne, Philippe de Wailly a soigné le perroquet de Céline, les bichons de Sylvie Vartan, les canaris et les canards de Brigitte Bardot, les cacatoès et les chiens de Yul Brynner et les lévriers de Jane Fonda. Auteur d’une trentaine d’ouvrages de vulgarisation scientifique, cet entomologiste de formation conservait intacte sa curiosité d’avoir pu exercer son métier avec passion.

Il était de plus mon voisin direct à Boulogne Billancourt, je l’ai côtoyé de très nombreuses années, il me demandait à chaque fois des nouvelles de Brigitte Bardot et de sa sœur Mijanou, un type de la vieille école, que j’appréciais beaucoup.

Il va nous manquer… Adieu l’ami des animaux, tu rejoins ceux que tu as soignés et aidés depuis 1954 !

 

 

Bruno Ricard

 

COVID-19 : abandons et pratiques dangereuses - ActualitésSi vous saviez ce que les animaux m'ont appris, Philippe de Wailly, Editions GlypheVétérinaire Philippe de Wailly - avis, photos, numéro de téléphone et  adresse - Hôpitaux vétérinaires à Boulogne-Billancourt - Nicelocal.fr

Il a soigné les caniches de Maria Callas et le perroquet de Céline : le  vétérinaire des stars publie ses mémoires - Le ParisienIl a soigné les caniches de Maria Callas et le perroquet de Céline : le  vétérinaire des stars publie ses mémoires - Le ParisienIl a soigné les caniches de Maria Callas et le perroquet de Céline : le  vétérinaire des stars publie ses mémoires - Le ParisienLe « vétérinaire des stars » toujours engagé contre la souffrance animale !  - Fondation 30 Millions d'AmisPhilippe de Wailly - Babelio

Le sixième sens des animaux - Poche - Philippe de Wailly, Brigitte Bardot -  Achat Livre | fnacLe Sixième Sens Des Animaux - Nature et animaux | Rakuten

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Bessan : l'écuroduc a obtenu le soutien de la Fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

'écuroduc, un pont aérien déployé pour sauvegarder la vie des petits rongeurs, est devenu un exemple concret de cohabitation réussie entre l'homme et la faune sauvage.

écuroduc à Bessan

écuroduc à Bessan

Maëlle et Lucie, les co-fondatrices de l’association “Cohab”, célèbrent avec fierté le bilan positif de plus de deux ans depuis la mise en place de l’écuroduc à Bessan, un projet soutenu par la Fondation Brigitte Bardot.

Mission Cohab : protéger la biodiversité

L’association Cohab, fondée par Maëlle et Lucie, s’est donnée pour mission de trouver des solutions efficaces pour protéger la biodiversité et promouvoir une cohabitation respectueuse entre l’homme et la faune sauvage. Au cœur de leurs initiatives, les écuroducs jouent un rôle crucial en offrant aux petits rongeurs un passage sécurisé au-dessus des routes, éloignant ainsi le danger mortel des véhicules.

Un bilan positif

Le pont aérien à Bessan a été érigé il y a plus de deux ans, en réponse à une mortalité croissante d’écureuils sur la route d’Agde. Au fil du temps, l’efficacité du dispositif est évidente, et Maëlle et Lucie dressent un bilan positif des actions menées tout au long de l’année. Leur approche comprend non seulement l’installation d’écuroducs mais aussi des efforts tels que l’apport de nourriture à partir de dons et des relevés photographiques.

Soutien de la Fondation Brigitte Bardot

L’une des co-fondatrices souligne l’importance du soutien reçu de la commune, du département, et de la Fondation Brigitte Bardot : “Il a fallu convaincre de l’utilité de l’écuroduc, mais le projet a rapidement séduit les partenaires et les autorités locales.

Suivi et réduction graduelle

Equipées de harnais, Maëlle et Lucie effectuent régulièrement des relevés en bord de route pour évaluer l’efficacité du dispositif. Grâce à des pièges photographiques, elles comptabilisent les rongeurs, déterminent leur sexe, et confirment leurs allées et venues. Afin de ne pas rendre les écureuils dépendants de la nourriture apportée, les deux femmes réduisent progressivement la quantité de nourriture offerte, préservant ainsi leur instinct sauvage.

La réussite de l’écuroduc à Bessan témoigne de la possibilité d’une cohabitation entre l’homme et la faune sauvage, tout en préservant l’instinct naturel des animaux. Une initiative qui inspire à la fois la préservation de la biodiversité et l’équilibre harmonieux entre l’homme et la nature.

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UNE VRAIE JUSTICE POUR LES 10 CHATS DROGUÉS ET JETÉS SUR LA ROUTE PAR LEURS PROPRIÉTAIRES !

Publié le par Ricard Bruno

UNE VRAIE JUSTICE POUR LES 10 CHATS DROGUÉS ET JETÉS SUR LA ROUTE PAR LEURS PROPRIÉTAIRES !
La pétition

En juin 2023, 10 petits chats ont été drogués au Lexomil et ensuite jetés sur la route par leurs propriétaires. Je n’en reviens pas !

 

Apparemment, l’homme et sa fille ont pris l’initiative de s’en débarrasser sur la demande de la mère de famille, cette dernière étant malade et ne pouvant pas rester au contact des chats. 

 

De nos jours, il existe beaucoup de moyens pour recueillir les animaux abandonnés. Alors pourquoi avoir drogué et jeté d’une voiture ces pauvres bêtes !? 

 

Beaucoup de refuges ou d’associations sont justement là pour ça, mais non. Le plus simple était apparemment de leur faire du mal !! Sur les 10 chats, seulement 2 ont pu être sauvés, grâce à une assistante vétérinaire qui suivait la voiture d’où ils ont été jetés… Heureusement qu’elle les suivait !

 

Le père et sa fille ont tous deux été condamnés, mais malheureusement la peine est bien trop faible en vue de l’acte qui a été commis. Vous allez rire : le premier a écopé d’un stage de citoyenneté et la seconde d’une amende 500 € avec sursis. 

 

J’ai énormément de mal à croire qu’en 2024 des personnes soient encore capables de tels actes sur les animaux ! C’est pour cela que je prends l’initiative de rédiger cette pétition, car étant une grande amie des animaux et faisant partie d’une association de protection animale, je me dois de rassembler un maximum de personnes afin que tout cela cesse. 

 

Aidez les animaux en signant et en partageant cette pétition massivement. Afin que la lutte contre la violence animale se fasse entendre. Tous ces actes de maltraitance doivent cesser !

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CAP SUR UNE NOUVELLE RÉGLEMENTATION EUROPÉENNE PROTECTRICE DES CHIENS ET DES CHATS !

Publié le par Ricard Bruno

CAP SUR UNE NOUVELLE RÉGLEMENTATION EUROPÉENNE PROTECTRICE DES CHIENS ET DES CHATS !

La France est l’un des pays d’Europe où l’on compte le plus d’animaux de compagnie, avec près de 15 millions de chats et 8 millions de chiens dans les foyers français, soit plus de 43% des foyers français possédant au moins un chien ou un chat. 

L’Union européenne est devenue, en quelques années, un marché important évalué à plus de 1,3 milliard d’euros par an, où transitent et se vendent des millions de chiens et de chats, provenant des Etats membres mais également souvent de pays tiers, dans lesquels pullulent des fermes à chiots et chatons destinées à alimenter la demande croissante des consommateurs européens.

La Commission européenne a mené depuis 2015 différents travaux afin de documenter le commerce illégal de chiens et chats opérant au sein de l’Union et d’identifier les causes et facteurs facilitant ce trafic qui ne fait que prendre de l’ampleur, au détriment du bien-être et de la santé des animaux mais également de la protection des consommateurs qui n’ont souvent pas conscience de participer à ces activités frauduleuses.

La Commission européenne en a conclu que la diversité des normes applicables dans chaque Etat représente un challenge en matière de protection animale et ouvre la voie à ces nombreux trafics, facilités par la faiblesse des contrôles, la clémence des sanctions et l’absence de coopération entre Etats.

Pour remédier à cette situation préoccupante, une nouvelle réglementation européenne visant à assurer la traçabilité et le bien-être des chiens et des chats vient d’être proposée par la Commission et sera débattue dans les prochain mois sur la scène européenne.

Elle prévoit notamment l’identification obligatoire des chiens et chats mis sur le marché de l’Union européenne et leur enregistrement dans une base nationale pouvant communiquer avec les bases des autres Etats membres, mais également l’amélioration des conditions d’hébergement des chiens et chats dans les élevages, animaleries et refuges, ou encore un meilleur encadrement des activités de reproduction afin de voir disparaître les « fermes-usines » à chiots et chatons qui exploitent les animaux de façon intensive.

Autre avancée notable : les mutilations (coupe des queues et des oreilles, ablation des doigts et des cordes vocales), maltraitances (coups, attache, contention permanente, port prolongé de la muselière…) et pratiques d’élevage nuisant à la santé et au bien-être des chiens et chats (consanguinité, hypertypes) devraient également être mieux encadrées au sein de l’Union européenne.

Enfin, les conditions de vente et don de chiens et de chats sur internet seront durcies, dans un souci de transparence vis-à-vis du consommateur et de lutte contre les pratiques frauduleuses.

Afin d’éviter la concurrence déloyale de pays tiers peu soucieux du bien-être animal, la Commission européenne propose que la mise sur le marché européen de tout chien et chat provenant d’un pays tiers soit conditionnée au respect de la réglementation européenne en la matière.

Bien que cette proposition de réglementation soit un pas encourageant en faveur de la protection des chiens et des chats, certaines lacunes demeurent et devront être comblées lors de l’examen du texte par le Parlement européen et par les Etats membres, et la Fondation Brigitte Bardot y veillera en faisant des propositions en ce sens aux décideurs politiques. En effet, de larges exceptions, notamment de par l’exemption des élevages et animaleries de petite taille, ne sont pas justifiées et ne permettront pas au texte de répondre à son objectif de protection animale généralisée et harmonisée au sein de l’UE. Par ailleurs, cette réglementation devrait s’appliquer à tous les animaux de compagnie et non seulement aux chiens et chats. En effet, des millions de lapins, rongeurs, furets, oiseaux, reptiles, poissons (…) sont élevés et vendus au sein de l’UE et sont tout autant sources de trafics et de souffrance ! Ces animaux ne doivent pas être oubliés alors que la Commission s’apprête à faire un pas considérable pour assurer le bien-être de nos animaux de compagnie. 

D’autres correctifs seront certainement à apporter au texte afin d’intégrer l’interdiction claire de certaines pratiques maltraitantes (utilisation de dispositifs étrangleurs, dégriffage…) et de la reproduction d’animaux présentant des « hypertypes » (anomalies physiques causant des souffrances et réduisant l’espérance de vie, telles que dysplasie, face aplatie, peau fortement plissée…), ou encore l’instauration d’un âge minimal pour la cession des animaux de compagnie.

En matière de protection des animaux de compagnie, la France s’est dotée depuis plusieurs années d’une réglementation plus contraignantes que nombre de ses voisins européens, notamment avec l’obligation d’identification des chiens et chats et, depuis peu, l’interdiction de la vente de chiens et chats en animalerie et l’encadrement de la cession d’animaux de compagnie en ligne. La France fera donc pour une fois figure de bon élève et aura l’opportunité de se démarquer dans le cadre des négociations européennes, en faisant valoir un modèle déjà en place répondant aux propositions de la Commission européenne, quoique manquant parfois de contrôle et d’application au niveau national…

 

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Près de Bayeux : le refuge de Castillon organise une Saint-Valentin pour les chiens abandonnés

Publié le par Ricard Bruno

Samedi 10 et dimanche 11 février 2024, le refuge de Castillon organise sa 3e Saint-Valen'Chiens. Une opération séduction destinée à favoriser l'adoption de ses pensionnaires.

Une vie dévouée à la cause animale pour Marie-Thérèse Marie, créatrice du refuge du Castillon en 1973.

Une vie dévouée à la cause animale pour Marie-Thérèse Marie, créatrice du refuge du Castillon en 1973.

Mais aussi des personnalités qui ont permis au refuge d’exister. Comme Brigitte Bardot qui s’étranglait dans un courrier en constatant que la municipalité refusait le permis de construire en 1985. Ou encore « Madame Drucker », l’actrice Dany Saval, qui, un an plus tard, en 1986, se rendait au refuge de Castillon et attirait la foule à la « fête des animaux » qui y était organisée.

Les animations destinées à sortir de l’ombre les chiens abandonnés se sont poursuivies pendant 20 ans. Entre-temps, le refuge de Castillon trouvait sa forme actuelle en 1994. Grâce aux dons et à des legs. Parmi les donateurs, le milliardaire Malcolm Forbes, qui avait acheté le château de Balleroy en 1970, et avait pris soin de citer le refuge de Castillon dans son testament (5 000 francs).

C’est quoi la Saint-Valen’Chiens ?

Adoptante de Naura et bénévole au refuge de Castillon, Alice Lemal s'implique dans le refuge

Adoptante de Naura et Oslo, Alice Lemal s'implique comme bénévole au refuge de Castillon depuis fin 2021.

Ces vingt dernières années, il n’y a plus eu de manifestations au refuge qui s’est concentré sur le placement des animaux. C’était sans compter l’imagination des bénévoles qui, pour la troisième année, organisent une Saint-Valentin très spéciale.

L’idée, lancée par Nathalie Le Calvé, est simple : inviter le public à se rendre au refuge de Castillon au moment de la Saint-Valentin (célébrée le 14 février) pour y trouver l’amour inconditionnel d’un chien.

Ils sont actuellement une vingtaine (sur 24 places) à attendre de trouver un foyer. Autrement dit, le refuge est plein et ce genre de manifestation favorise les chances d’adoption.

« Grâce aux deux premières éditions de cette manifestation, une dizaine de chiens ont pris un nouveau départ », indique Alice Lemal, bénévole au refuge depuis l’adoption de Naura, une femelle Jack Russell de 4 ans, en mars 2021.

La Saint-Valen’Chiens est donc également une porte d’entrée supplémentaire vers le bénévolat, d’autant que le refuge de Castillon a toujours besoin de bras, « pour permettre à tous les pensionnaires de se balader ». Alice Lemal a d’ailleurs récidivé en mai 2023 avec l’adoption d’Oslo, un croisé labrador, border collie et berger australien âgé de 4 ans. « Mais les gens qui rencontreront l’amour ce week-end ne pourront pas repartir directement avec un chien », alerte la jeune femme. 

 

Comment adopter un chien ?

Pour adopter un chien, il faut en effet montrer patte blanche. « On ne place pas les chiens pour les placer », martèle Marie-Thérèse Marie qui croise les profils des personnes avec ceux des chiens pour que l’association soit la plus cohérente possible. Question de bon sens. « Nous signons ensuite un contrat d’adoption qui engage le propriétaire. » 

Ce certificat d’engagement et de connaissance signé par l’adoptant « ne sera valable que 7 jours après la date de sa délivrance, le temps de s’accorder un délai de réflexion après lecture des informations contenues dans le certificat », précise le site service-public.fr. « À la fin de ce délai seulement, l’adoptant peut recueillir l’animal s’il juge qu’il sera capable de répondre à ses besoins durant toute sa vie. »

Le refuge de Castillon demande une participation financière qui couvre les frais vétérinaires (vaccination, puçage, castration ou stérilisation). Elle est de 300 € pour un chien de 0 à 6 ans, puis cette somme est dégressive avec l’âge de l’animal.

Enfin, il est bon de rappeler que l’abandon de son animal dans un refuge est la seule voie légale pour le faire. « C’est parfois un déchirement pour les propriétaires. On ne doit pas juger », insiste Marie-Thérèse Marie.

Le programme de la Saint-Valen’Chiens 2024

Les cani-randos du coeur rencontrent un franc succès depuis cet été au refuge du Castillon.

Les cani-randos du cœur rencontrent un franc succès au refuge de Castillon.

Plusieurs animations sont organisées dans le cadre de cette troisième édition de la Saint-Valen’Chiens, samedi 10 et dimanche 11 février 2024, de 10 h à 17 h non-stop, au refuge de Castillon.

  • Cani-randos. Outre les rencontres entre amoureux des chiens, les bénévoles du refuge ont prévu quatre cani-randos durant le week-end.

« Il s’agit de balades d’une heure pour 5 km. Les cani-randos organisées le matin (à 10 h samedi et dimanche) sont réservées aux chiens du refuge et ouvertes sur inscriptions par Messenger (Facebook) puisque nous n’avons plus de téléphone depuis la tempête Ciaran (qui a soufflé sur le Bessin le 2 novembre 2023, ndlr). Les cani-randos de l’après-midi (15 h samedi et dimanche) sont ouvertes aux chiens qui ont déjà été adoptés, à Castillon ou dans un autre refuge », précise Alice Lemal. N’ayez crainte, Alice Lemal et Nathalie Le Calvé, qui gèrent les réseaux sociaux du refuge, sont « hyper réactives ! »

Et comme les kilomètres à pied, ça n’use pas que les souliers, un stand de crêpes sera tenu tout le week-end.

  • Boutique solidaire. Durant ce week-end très spécial, une boutique solidaire sera ouverte pour acheter des objets et accessoires dédiés aux chiens et dont la recette soutiendra l’action du refuge.
  • Éducation canine. Un éducateur canin sera présent le samedi 10 février, de 11 h à 13 h. Il prodiguera ses conseils gratuitement. Une bonne occasion de régler certains détails avec son chien (même s’il est le meilleur toutou du monde…)
  • Grande tombola des amoureux. Le refuge organise une grande tombola des amoureux. Pour participer, il faut s’acquitter d’un ticket à 2 € en vente sur place au refuge le samedi 10 ou dimanche 11 février ou encore directement en ligne ici : https://cutt.ly/wwXqj0ob. Parmi les nombreux lots mis en jeu, il y a notamment un repas pour deux le jour de la Saint-Valentin le 14 février dans un hôtel-restaurant réputé ou un shooting photo professionnel pour deux sur Omaha Beach.

Le public a jusqu’au dimanche 11 février, 16 h 30, pour participer. « Le tirage au sort aura lieu en live sur place et sur notre page Facebook dimanche à 17 h », annonce Alice Lemal qui soulignait lundi que « nous avons déjà vendu plus de 200 tickets en ligne ».

Comment aider le refuge ?

Le refuge de Castillon fonctionne grâce à l’investissement des bénévoles et des dons. « Actuellement, ce dont nous avons le plus besoin, c’est de la lessive pour nettoyer les couvertures et du détergent pour le sol des boxes. Ensuite, nous avons toujours besoin de bénévoles pour sortir les chiens. Sachant que le plus difficile, c’est de fidéliser cet engagement », reconnaît Alice Lemal.

Bénévole depuis deux ans, elle offre tout son temps libre aux naufragés à quatre pattes. « J’y passe tout mon temps libre en dehors du travail. Mais c’est un travail d’équipe. Et tout le monde met la main à la pâte. »

Refuge de Castillon, 317 Chemin de Lignerolles, 14490 Castillon. Ouvert du lundi au dimanche, de 8 h 30 à 11 h 30. Et le mercredi de 8 h 30 à 11 h 30 et de 15 h à 17 h. Contact via la page Facebook Refuge de Castillon 14 Calvados ou 02 31 21 61 37.

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Ehpad : les séniors pourront-ils bientôt s'installer avec leurs animaux de compagnie ?

Publié le par Ricard Bruno

Une mesure de la proposition de loi sur le "bien-vieillir", examinée dès ce mardi 6 février au Sénat est particulièrement débattue : sanctuariser le droit des résidents en Ehpad à accueillir leur animal de compagnie. L'idée soulève de nombreuses difficultés selon ses opposants.

86 % des Français plébiscitent le droit des résidents d’accueillir leur animal domestique en Ehpad, selon un sondage Ifop pour la Fondation 30 millions d'amis.

86 % des Français plébiscitent le droit des résidents d’accueillir leur animal domestique en Ehpad, selon un sondage Ifop pour la Fondation 30 millions d'amis.

Les animaux pourront-ils bientôt suivre leur maître âgé lors de son entrée en Ehpad ? C'est l'une des mesures phares de la proposition de loi sur le "bien-vieillir" qui est examinée dès ce mardi 6 février par les sénateurs. Ce texte vise notamment à mieux reconnaitre le travail des aides à domicile, avec la création d'une carte professionnelle mais aussi le développement d'un fonds de soutien aux départements, chiffré à 100 millions d'euros, pour qu'ils participent aux frais de transports des professionnels de l'aide à domicile

 

D'autres mesures portent sur le bien-être des personnes âgées : l'inscription dans la loi du droit de visite dans les Ehpad, après le traumatisme de nombreuses familles lors de la crise du Covid-19 ; ou encore l'instauration d'un service départemental de l'autonomie en vue de "décloisonner" les politiques en faveur des personnes âgées et en situation de handicap.

Eviter l'abandon d'un animal

Une mesure, introduite lors des débats à l'Assemblée est assez commentée : sanctuariser le droit des résidents en Ehpad à accueillir leur animal de compagnie. C'est une demande de longue date de nombreuses associations, dont 30 millions d'amis. L'idée est d'ailleurs plébiscitée par 86% des Français selon un sondage Ifop commandé par l'organisation.

 

Pour le moment, l'accueil ou non des amis à quatre pattes des résidents est à l'appréciation des Ehpad. Ils sont encore peu acceptés, mais chiens et chats apportent pourtant du réconfort à leur maître. Le député LR Philippe Juvin, à l'origine de cet amendement estime auprès de l'AFP que "l'Ehpad doit être un lieu de liberté équivalente au domicile. Quand on y entre, c'est déjà une rupture, ajouter à cela l'abandon contraint d'un animal est intolérable".

De son côté, l'AD-PA, association des directeurs d'Ehpad et services à domicile, approuve l'accueil des animaux. "Il faut rompre avec le modèle sécuritaire et sanitaire des établissements, qui conduit à des mesures liberticides", défend son président Pascal Champvert auprès de l'AFP. La priorité est pour lui de "respecter les habitudes de vie des hommes et des femmes" intégrant un Ehpad.

 

La frilosité du Sénat

Si l'amendement de Philippe Juvin a été voté par les députés, il a été modifié par les sénateurs. Ces derniers souhaitent laisser la main aux établissements. "J'ai cru tomber de ma chaise... Garantir un tel droit poserait de nombreux problèmes : hygiène, allergies, phobies, compatibilité entre animaux", s'inquiète le sénateur Daniel Chasseing (Parti radical) dans un entretien avec l'AFP.

Avec un âge moyen d'admission en Ehpad à 85 ans, une telle mesure soulève certaines questions : qui s'occupera de l'animal en cas de perte d'autonomie ou d'hospitalisation du propriétaire ? La présidente de la Fondation 30 millions d'amis, Reha Hutin, estime que "des solutions existent, la famille peut prendre le relais, des bénévoles peuvent aussi venir prêter main forte""Il faut définir un cadre afin d'éviter ces séparations cruelles", tant pour le maître que pour le chien ou le chat, parfois abandonné en refuge.

Un projet pilote va être mené à partir du mois de mai dans un Ehpad de Libourne, en Gironde.

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