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Anglet : condamnée à une mort certaine, une vache fuit l'abattoir et prend la poudre d'escampette

Publié le par Ricard Bruno

Anglet : condamnée à une mort certaine, une vache fuit l'abattoir et prend la poudre d'escampette

Scène surréaliste lundi soir dans la ville d'Anglet (Pyrénées-Atlantiques), où une vache a fui les abattoirs pour échapper à la mort qui l'attendait. Elle a finalement été récupérée. Récit.

Elle a tout fait pour échapper à son triste destin !

Condamnée à une mort certaine, une vache a pris la poudre d’escampette en fuyant les abattoirs, semant quelque peu la panique.

La scène, assez rare, s’est déroulée à Anglet (Pyrénées-Atlantiques) et a contraint la municipalité à lancer un message d’alerte sur les réseaux sociaux, évoquant dans un premier temps la fuite d’un « taureau fougueux ».

Pour tenter d'échapper à son funeste destin, une vache fuit les abattoirs d'Anglet 

Il s’agissait en réalité d’une vache de race blonde d’Aquitaine pesant environ 600 kilos, comme l’ont précisé nos confrères de Ouest France.

Étant donné la situation et la confusion qui a régné dans la foulée, la Fondation Brigitte Bardot s’est proposée de recueillir l’animal pour lui éviter ainsi une issue funeste. En vain !

Des policiers, des pompiers ainsi qu’un vétérinaire se sont alors lancés à la recherche du bovin qui a finalement été neutralisé vers 21h, après deux heures de traque, à l’aide d’un tir hypodermique anesthésiant.

L’animal a finalement été rapatrié à l’endroit qu’il avait tenté de fuir, l’abattoir !

Source de l'article : Cliquez ICI

 
 
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Un homme construit un lit sur roulettes à son chien vieillissant afin qu’il profite de ses derniers jours

Publié le par Ricard Bruno

Nous aimons tous nos animaux de compagnie et ils occupent naturellement une place particulière dans nos cœurs. Ils peuvent devenir nos meilleurs amis dans les jours de bonheur comme dans les jours de désespoir. Ils sont fidèles et sont toujours prêts à prouver leur affection envers leur maître adoré. C’est donc tout à fait normal d’en prendre soin le mieux possible du début jusqu’à la fin de leur vie !

 Dans cet article, nous avons choisi de vous raconter une histoire d’amour d’un homme qui a fabriqué un lit mobile à roulettes pour offrir à son chien ses dernières vacances. Un récit à la fois attendrissant et émouvant qui a fait le tour du monde !

Tom Antonino fabrique un lit mobile pour son chien Cocoa

Tom Antonino est un homme qui vit dans l’État de Georgie dans le sud des États-Unis. Il forme avec sa femme et son Chesapeake Bay Retriever Cocoa une famille heureuse. Tous les trois, ont l’habitude aussi de passer leurs vacances au bord de la mer avec leur chien à Virginia Beach.

Bien entendu leur chien ne les quitte jamais. Mais Cocoa est maintenant un vieux chien. En effet, il vient de fêter son 16e anniversaire et sa mobilité est maintenant très difficile, souvent impossible.

C’est alors que Tom Antonino a eu la formidable idée de lui fabriquer un lit mobile afin qu’il puisse comme d’habitude partir en vacances pour respirer une dernière fois les embruns de l’océan.

Un homme construit un lit sur roulettes à son chien vieillissant afin qu’il profite de ses derniers jours

Tom voulait absolument vivre une vie heureuse et normale vie pour les derniers instants de vie de Cocoa. C’est d’ailleurs ce qu’il a motivé à construire un lit mobile afin de promener son chien avec un maximum de confort !

 

Tom et sa femme ont alors songé à mettre au point un lit sur roulettes qu’ils pourraient tirer avec une simple corde pour transporter Cocoa. Lorsque la fabrication du lit mobile sur roulettes fut achevée, la petite famille a eu alors le bonheur de partir en vacances à Virgina Beach pour en profiter un maximum, une dernière fois…

Cocoa vit ses dernières vacances sous le soleil de Georgie

Au cours d’une de ses dernières balades, sur la plage de Virgina Beach, Tom, sa femme et Cocoa ont rencontré Carrie Copenhaver. La femme a été émue de voir la manière dont le chien était transporté avec un lit mobile. Elle a donc demandé à Tom si elle pouvait faire quelques photos du chien mourant, mais visiblement heureux. L’homme a bien entendu accepté sans hésitation.

Quelques jours après, Carrie Copenhaver a posté les photographies de Cocoa et de son lit mobile sur son mur Facebook. Tenez-vous bien,  e post a été partagé plus de 60 000 fois et a obtenu près de 4000 commentaires ! À noter aussi que cette histoire attendrissante a été relayée sur une chaîne de télévision locale américaine.

Depuis, le vieux Chesapeake Bay Retriever a rendu l’âme mais pour son plus grand bonheur, il a pu passer ces dernières vacances avec ses maitres adorés. Tom regrette encore la disparition de son chien mais il nous a confié qu’il aura toujours une place spéciale dans son cœur.

Cocoa est devenu un chien très célèbre sur Facebook. De retour de ses dernières vacances, il a vécu six mois sur son lit mobile et même s’il n’était plus capable de se déplacer en toute autonomie, sa vie a pu rester la plus normale possible jusqu’à son dernier souffle !

Bien sûr, le vieux chien ne pouvait plus sauter sur les gens pour leur dire bonjour comme il le faisait lorsqu’il était encore vigoureux. Mais il prenait un véritable plaisir à rencontrer les gens qui venaient le voir sur son lit à roulettes !

Tom et sa femme ont remercié Carrie d’avoir fait connaître cette histoire grâce au réseau social Facebook. C’est Lauren, la femme de Tom qui a d’ailleurs écrit un message sur la page pour apprendre la triste nouvelle et la mort du vieux Chesapeake Bay Retriever Cocao.

 Elle a écrit comme dernier message : « nous vous remercions tous d’avoir partagé cette histoire. Cocoa est aujourd’hui plus de ce monde mais ces derniers jours furent heureux jusqu’à la dernière seconde. Son souvenir restera pour toujours dans nos cœurs et même s’il nous manque beaucoup, il aura toujours une place à part dans notre famille ».

L’histoire du chien Cocoa nous rappelle bien entendu que la vie n’est pas éternelle. En moyenne, un  Chesapeake Bay Retriever a une espérance de vie comprise entre 10 et 13 ans. Toutefois, certains chiens de cette race vivent plus longtemps et il n’est pas rare de voir des Chesapeake Bay Retriever vivre jusqu’à 15 ou 16 ans.

Comme chez les humains, la longévité de la vie des chiens dépend en fait de plusieurs facteurs comme la génétique, l’alimentation ou encore  les soins médicaux apportés au cours de leur vie.

Les Chesapeake Bay Retriever ne sont pas les chiens qui ont la plus grande espérance de vie. D’ailleurs, pour votre information les chiens qui vivent le plus longtemps sont généralement les chiens qui pèsent moins de 10 kg et qui ont une petite taille.

Prendre soin des animaux de compagnie en fin de vie

Lorsque l’on adopte un animal de compagnie comme un chien ou un chat, nous savons qu’il faudra en prendre soin le mieux possible jusqu’à leurs derniers instants de vie. Dans le pire des scénarios, il faut faire appel à un vétérinaire pour euthanasier un animal qui aurait des douleurs insupportables.

Mais lorsque ce n’est pas le cas et que le chien ou le chat vit une vieillesse paisible, il est possible de leur offrir des derniers jours heureux. C’est d’ailleurs ce que nous montre l’histoire de Tom et de son chien adoré Cocoa.

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NON à l'abattage des renards du bois de Beauregard à la Celle Saint-Cloud

Publié le par Ricard Bruno

NON à l'abattage des renards du bois de Beauregard à la Celle Saint-Cloud

Une famille de renards vivants au bois de Beauregard à la Celle Saint-Cloud va être être abattue suite à la plainte d'une dizaine de riverains qui les accusent de tuer leurs animaux domestiques. Un lieutenant de louveterie a été sollicité afin de les abattre. Nous demandons l'annulation de cet abattage et qu'une solution pacifique soit trouvée. Les renards sont des animaux sauvages qui ne font qu'essayer de survivre. Prédateur de rongeurs, il évite leur prolifération. Parfois charognard, il participe à l’élimination des animaux malades et des cadavres, évitant ainsi les épidémies. Entre 600 000 et un million de renards sont déjà victimes de la chasse chaque année en France. Battues, tir de nuit, piégeage, déterrage… doit-on encore rajouter à ce massacre une famille de renards supplémentaires ? Les renards sont montrés du doigt car ils peuvent véhiculer l’échinococcose alvéolaire, zoonose transmissible aux humains et animaux domestiques. En ingérant les larves du parasite, présentes dans les viscères de rongeurs, des vers se développent dans leur intestin et ils deviennent ainsi contagieux. Mais, comme ce fut le cas durant la lutte contre la rage, les opérations d’abattage massif des renards sont inefficaces et contre-productives. Selon le document de l’OFB de 2016 : « Dans l’état actuel des connaissances, l’efficacité du contrôle des populations de renards pour diminuer les risques pour l’homme n’est pas démontrée car le territoire reste contaminé du fait de la résistance du parasite dans le milieu extérieur et de la présence de rongeurs, hôtes intermédiaires indispensables au cycle de la maladie. » Des études ont ainsi démontré l’efficacité d’antiparasitaires et de vermifuges à titre préventif ou en traitement chez les animaux sauvages comme domestiques. Ces solutions sont également efficaces en ce qui concerne la gale sarcoptique, infestation que l’on retrouve chez les animaux sauvages et les chiens. Cette maladie est transmissible aux humains mais ils n’en sont pas affectés car les parasites meurent dans leur peau. Aux noms des animaux, reconnus comme êtres doués de sensibilité dans le code civil et par la science (Déclaration de Cambridge), et de la sauvegarde de la biodiversité nous demandons à Monsieur Le Maire Olivier Delaporte de trouver une solution pacifique afin que ces renards soient épargnés. Une solution telle qu'un trappage afin de les relâcher dans un bois environnant dans lequel ils ne gêneront personne est possible. Des associations s'occupant de la faune sauvage tels que Faune Alfort ou l'ASPAS pourraient sans doute participer à ce sauvatage. Tuer, massacrer, est la solution de facilité. Non à l'abattage de la famille de renards du bois de Beauregard, oui à une solution pacifique.

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La sculpture tropézienne de Brigitte Bardot priée de se rhabiller... à l'or fin

Publié le par Ricard Bruno

La sculpture tropézienne de Brigitte Bardot priée de se rhabiller... à l'or fin

Parce que ses patines successives ne convenaient pas, les courbes signées Manara vont être masquées durant deux semaines au public pour une opération esthétique dans les règles de l’art...

LIFTING DORÉ

A Palm Springs, la statue géante de Marilyn Monroe immortalisant la scène de "Sept ans de réflexion" avec la bouche d’aération qui fait voleter sa robe, est dans le viseur pour "incitation au harcèlement sexuel"...

 

Pendant ce temps, à l’entrée de Saint-Tropez, celle, dénudée, de Brigitte Bardot, doit aller se rhabiller ! Enfin pas n’importe comment... A la feuille d’or s’il vous plaît !

Une mission délicate confiée depuis ce jeudi à l’Atelier Schaefer, société spécialisée basée en Champagne.
L’aboutissement d’une démarche initiée par Bernard d’Ormale, le mari de Brigitte qui ne pouvait plus voir en peinture le bronze "dégradé" de Madame inauguré pour ses 83 ans, le 28 septembre 2017.

 

"JEANNE D’ARC DES ANIMAUX"

"La dernière patine était vraiment dégueulasse. Et le climat marin n’arrangeait rien. La sculpture dessinée par Milo Manara et conçue à Pietrasanta, n’était plus mise en valeur. Avec son accord, j’ai demandé à ce qu’elle trouve un aspect plus éclatant, comme celui de la statue parisienne de Jeanne d’Arc, Place des Pyramides", cite - au hasard ! - en exemple l’époux Bardot.

Le financeur initial, la Maison Millon s’est associée à un mécène "admirateur de Brigitte" pour couvrir les 10.000 euros de l’opération esthétique.

Un calicot dissimule pendant deux semaines cette Vénus de Milo lovée dans son coquillage, qui ensuite devra faire l’objet de la plus grande vigilance pour ne pas être "égratignée"...

BB "FLATTÉE"...

"Une fois le travail terminé, l’or est très résistant aux aléas climatiques et salins, néanmoins le moindre contact peut endommager la dorure. Appliquer une couche de vernis ou de résine est impossible car cela dénaturerait le résultat final qui perdrait en qualité visuelle", annonce Emilien Schaefer qui s’avoue forcément impressionné d’œuvrer sur BB depuis ce jeudi.

"La symbolique est très forte. Intervenir sur l’image d’une personne vivante si célèbre est une première pour moi", confie le jeune homme.

Quant à l’intéressée, elle déclare simplement de sa Madrague, être "flattée" de l‘attention et remercie tous ceux qui participent à cette mise en valeur, même si elle n’avait bien entendu rien demandée. Le combat qui l’anime n’ayant pas changé de camp. Celui des animaux en cage. Pas des trophées inertes à sa gloire.

Source de l'article : Cliquez ICI

 
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Vols de chiens : les voyous de plus en plus déterminés

Publié le par Ricard Bruno

ENQUÊTE - Vols à l'arraché, agressions en pleine rue, cambriolages... Les malfrats n'hésitent plus à brutaliser les propriétaires de chiens, espérant amasser quelques milliers d'euros à la revente.

 

Les acteurs de terrain interrogés par Le Figaro ont tous remarqué une explosion des vols de chiens depuis l'arrivée du Covid. Olena Bloshchynska / stock.adobe.com

Les acteurs de terrain interrogés par Le Figaro ont tous remarqué une explosion des vols de chiens depuis l'arrivée du Covid. Olena Bloshchynska / stock.adobe.com

La future loi contre la maltraitance animale renforcera-t-elle la lutte contre les vols de chiens ? Chaque année en France, ils seraient près de 75.000 à disparaître dans l'ombre de malfrats toujours plus zélés, n'hésitant plus à agir en plein jour, sous les yeux des témoins et des caméras de surveillance. Des vols qui se sont largement multipliés ces derniers mois, si l'on en croit l'ensemble des acteurs de terrain que Le Figaro a interrogés, à savoir forces de l'ordre, bénévoles, Société protectrice des animaux (SPA) et animaleries.

 

«Il n'existe pas de chiffres l'attestant, mais c'est une catastrophe en ce moment, dénonce au Figaro la porte-parole de la Brigade de protection animale, une association majoritairement composée de policiers et gendarmes bénévoles. Les voleurs n'hésitent plus à couper les laisses dans les rues, investir les jardins, cambrioler... Il existe même des contrats sur la tête de chiens repérés en amont, exécutés par certains spécialistes du rapt.»

Source de l'article et suite : Cliquez ICI

 
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Que vont devenir les animaux de cirque ? "Où allons-nous les mettre ?" s'inquiète le directeur d'un refuge

Publié le par Ricard Bruno

L'interdiction progressive des animaux sauvages dans les cirques itinérants est une bonne nouvelle pour les défenseurs du bien-être animal. Pourtant, elle ne va pas sans poser certains problèmes. Qui va accueillir ces animaux ? Une équipe d'"Envoyé spécial" s'est rendue dans un refuge qui héberge notamment des tigres et lions en provenance de cirques.

A Saint-Martin-la-Plaine (Loire), le refuge Tonga héberge des animaux sauvages que lui remettent les autorités, comme les dix tigres qui ont été saisis dans l'Oise fin 2020. Il doit son nom à son premier pensionnaire, un hippopotame de cirque. Blessé, l'animal avait été confié en 2007 à Pierre Thivillon, propriétaire d'un zoo, qui avait alors décidé de créer un refuge. Aujourd'hui, ce dernier reçoit principalement des singes de laboratoire, et des félins provenant de cirques.

C'est le cas de Jon, un lion récupéré il y a six mois dans un état pitoyable. Muriel Arnal, présidente de l'association de protection animale One Voice, a gardé des photos de son arrivée. Elles montrent un animal hébété et décharné, les côtes saillantes, la queue tranchée et ensanglantée. "Il pesait 116 kilos à son arrivée, se rappelle Pierre Thivillon. Il en fait aujourd'hui 200."

Comment les refuges pourront-ils faire face ?

Dans le cirque où il était maltraité, Jon ne participait pas aux spectacles, mais servait à la reproduction, une pratique autorisée en France... à condition que les petits soient vendus à des personnes habilitées à s'en occuper. Mais ce n'est pas toujours le cas, explique Muriel Arnal : "Beaucoup de cirques les font se reproduire pour vendre les lionceaux et les tigreaux sous le manteau, qui finissent dans les appartements, dans les caves... Et ça, il faut que ça s'arrête !"

Alors que la présence d'animaux sauvages dans les cirques itinérants doit être progressivement interdite en France (une mesure annoncée en septembre 2020), Pierre Thivillon s'inquiète. Il estime que les refuges existants ne pourront pas les prendre tous en charge. Le sien a déjà accueilli plus de 300 animaux depuis son ouverture. Les bâtiments et les enclos ont coûté 1,5 million d'euros, et le budget de fonctionnement atteint 200 000 euros par an, le tout financé par des dons et des associations. 

Extrait de "Un cirque sans animaux ?", un reportage à voir dans "Envoyé spécial" le 10 juin 2021.

Source de l'article et vidéo : Cliquez ICI

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Nouvelle loi en faveur du bien-être animal aux Pays-Bas : vers l'interdiction de nuire au "comportement naturel" des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Si, au cours de son évolution, l’humain a domestiqué de nombreuses autres espèces, ce n’est pas sans restreindre la liberté de ces boules de poils.

Si, au cours de son évolution, l’humain a domestiqué de nombreuses autres espèces, ce n’est pas sans restreindre la liberté de ces boules de poils.

La Belgique, et plus précisément la Wallonie avec son Code wallon du bien-être animal, figure parmi les premiers de la classe européenne en matière de respect et de défense de nos compagnons à quatre pattes. Mais les Pays-Bas pourraient bien prendre une longueur d’avance. En cause : ce pays frontalier est sur le point d’adopter un nouvel amendement à sa loi sur le bien-être animal. Il vise à empêcher les humains détenteurs d’autres espèces de nuire au "comportement naturel" ce celles-ci.

 

Votre chien n’est pas né avec une laisse et un collier autour du cou. Tout comme le lapin ou l’oiseau ne naît pas dans une cage. Si, au cours de son évolution, l’humain a domestiqué de nombreuses autres espèces, ce n’est pas sans restreindre la liberté de ces boules de poils avec lesquels nous partageons un morceau de notre vie et nouons de relations parfois intenses. Mais les autorités hollandaises semblent vouloir rendre aux animaux une vie plus proche de ce qu’elle était à l’origine.

Pour ce faire, et poussé par le "Parti pour les animaux" fort de ses 5 sièges au parlement, un amendement à la loi sur les animaux a été proposé. L’objectif ? Atténuer la souffrance encourue par les espèces soumises à l’élevage intensif dans ce pays situé au nord de la Belgique. Le texte entend interdire toute "restriction inutile des animaux dans leur comportement naturel" dès 2023.

Vers la fin de l’élevage ?

Si le texte a déjà été approuvé à la fois par la Chambre des représentants et le Sénat, ses contours restent à déterminer. En guise d’exemple, le Parti pour les animaux a estimé qu’élever des canards sans qu’ils aient accès à un point d’eau serait puni en vertu de cet amendement mais de nombreuses questions sont encore en suspend. Mais dans les grandes lignes, la règle prévoit que ce ne soit plus aux animaux de s’adapter à l’habitat de l’humain qui les détient mais à l’humain d’adapter son habitat au comportement naturel des animaux.

Carola Schouten, l’actuelle ministre néerlandaise de l’Agriculture, est actuellement en train de travailler à tracer des contours plus clairs à cette nouvelle règle qui devrait entrer en vigueur dans un peu plus de deux ans. Elle devrait présenter les résultats de ses travaux à la chambre avant la période de vacances estivales.

Les premiers ciblés par cette modification de la loi sont les éleveurs de bétail. Ils sont nombreux à craindre que cette loi signe, sur le long terme, la fin de l’élevage intensif aux Pays-Bas. Mais à plus courte échéance, ils redoutent de devoir apporter des modifications trop coûteuses à leur façon de travailler, qui mettrait en péril leur activité.

En ce sens, les élus de quatre partis ont exprimé leur inquiétude quant à l’impact sur les conditions de travail des agriculteurs. Car si la loi est prise dans son sens le plus strict, les agneaux, veaux et autres jeunes animaux ne peuvent être séparés de leur mère après la naissance, or c’est sur ce principe que repose une grande part de l’industrie laitière néerlandaise.

L’inquiétude des détenteurs d’animaux de compagnie

C’est pourtant du côté des détenteurs d’animaux domestique que le point d’interrogation est le plus présent. Beaucoup se demandent, par exemple, s’ils pourront encore promener leur chien en laisse… Rassurante, Léonie Vestering, élue animaliste qui a contribué à la soumission de l’amendement a tenu à rassurer les citoyens sur Twitter. "Bien sûr que vous pouvez ! Mais vous n’avez pas le droit de l’attacher à vie. C’est ce que prévoit la modification de la loi : mettre fin aux écuries/cages et aux interventions non respectueuses des animaux."

Cette élue a aussi précisé que les contrôles policiers ne se feraient pas plus fréquents en vertu de ce nouvel amendement. "La police des animaux ne vérifiera pas si chaque maison est équipée d’une chatière", a-t-elle tweeté. Elle rappelle toutefois sa position assurant qu’il s’agit d’une "bonne nouvelle pour les millions d’animaux du secteur de l’élevage néerlandais".

Encore floue, cette nouvelle règle en faveur des boules de poils qui partagent notre foyer – ou pas – devrait faire beaucoup parler chez nos voisins. En Belgique, les animaux sont considérés comme des "êtres sensibles", ce qui leur confère une protection juridique. Qu’en sera-t-il aux Pays-Bas ? Ce sera aux autorités du pays d’en décider, d’établir les sanctions qui seront établies en cas de manquement à la règle et dans quelle mesure le "comportement naturel" d’un animal sera bafoué.

Source de l'article : Cliquez ICI

 
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Israël interdit le commerce de toute fourrure animale pour la mode !

Publié le par Ricard Bruno

L’État hébreu est devenu mercredi le premier pays à bannir totalement la vente et l’achat de fourrure, à l’exception de raisons religieuses ou scientifiques.

 

«Israël est le premier pays au monde à fermer ses portes à cette cruelle industrie», a écrit Jane Halevy-Moreno, directrice de la Coalition internationale anti-fourrure (IAFC).

«Israël est le premier pays au monde à fermer ses portes à cette cruelle industrie», a écrit Jane Halevy-Moreno, directrice de la Coalition internationale anti-fourrure (IAFC).

Israël a interdit mercredi par décret ministériel le commerce de fourrure animale pour la mode, devenant le premier pays à adopter une législation aussi stricte, a annoncé le Ministère de l’environnement.

«Souffrances inimaginables»

«Le commerce de fourrure animale, import et export, sera interdit sauf pour les besoins de la recherche, de l’enseignement et de certaines traditions religieuses», affirme le ministère dans un communiqué, précisant que l’interdiction entrera en vigueur dans six mois.

L’utilisation de la fourrure, rituellement utilisée pour les «Schtreimel», ce chapeau de véritable fourrure que portent certains juifs ultra-orthodoxes, reste donc autorisée.

«L’industrie du commerce de la fourrure provoque des souffrances inimaginables aux animaux et ce décret va transformer le marché de la mode israélienne le rendant meilleur sur le plan du respect des normes environnementales», a déclaré dans le communiqué Gila Gamliel, la ministre de l’Environnement.

Le ministère a également publié une lettre envoyée par Jane Halevy-Moreno, directrice de la Coalition internationale anti-fourrure (IAFC), saluant ce décret qualifié de «geste historique».

Élevage interdit depuis 1976

«Israël est le premier pays au monde à fermer ses portes à cette cruelle industrie», écrit Mme Halevy-Moreno.

Israël avait déjà interdit en 1976 l’élevage d’animaux pour leur fourrure.

Plusieurs pays à travers le monde ont instauré des interdictions partielles de commerce de la fourrure, notamment pour des espèces particulièrement menacées, comme le phoque.

L’interdiction totale du commerce de fourrure n’est en vigueur que dans certaines villes, comme São Paulo au Brésil ou encore dans l’État de Californie. L’Inde a déjà passé une réglementation similaire à l’échelle du pays, mais seulement pour les peaux de vison, de renard et de chinchilla.

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Brigitte Bardot en photos...Rares et/ou inédites !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en photos...Rares et/ou inédites !
Brigitte Bardot en photos...Rares et/ou inédites !
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