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AU GUATEMALA, LA FONDATION SOUTIENT AYUDA DEPUIS 2009

Publié le par Ricard Bruno

AU GUATEMALA, LA FONDATION SOUTIENT AYUDA DEPUIS 2009
Au Guatemala, l'association Ayuda joue un rôle majeur en effectuant des campagnes de soins et de stérilisation des animaux errants. La Fondation Brigitte Bardot soutient cette association depuis sa création, en 2009.

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SOIGNER LA POPULATION D'ANIMAUX ERRANTS

L’association Ayuda Para La Salud de Perros y Gatos  (Aide pour la santé des chiens et des chats) a été créée en 2009 dans un pays où la pauvreté est élevée et le contrôle des animaux errants traité par des empoisonnements publics semestriels. 

Fonctionnant en équipe constituée à 100% de bénévoles, Ayuda intervient essentiellement dans la région du lac Atitlan, dans les hautes terres guatémaltèques. 

La population de chiens errants y est estimée à 86 000 individus.

L’association organise des campagnes de stérilisation en faisant ce qu’elle appelle des « sterilization packages », incluant la stérilisation, la vaccination et des soins. Elle traite également les urgences et prend en charge les hospitalisations. 

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LE SOUTIEN DE LA FONDATION DEPUIS 2009

Ayuda Para La Salud de Perros y Gatos essaie également de faire adopter les chiens et les chats errants. Depuis sa création, en 2009, l’association a réussi à trouver 500 foyers, permettant à ces animaux d’échapper à un destin tragique.

Notre Fondation soutien l’activité d’Ayuda depuis sa création. En dix ans, nous avons financé la stérilisation de plus de 6 000 animaux, ce qui représente 50% de la totalité des stérilisations réalisées par Ayuda. 

En 2019, la FBB a aidé à la stérilisation, à la vaccination et au traitement de 730 chats et chiens. En 2020 et malgré la crise de la Covid-19, l’association AYUDA a réussi à finaliser plus de 700 stérilisations et vaccinations dans les villages autour du lac où vit une population particulièrement défavorisée !

Source de l'article : Cliquez ICI

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Papaye International : News de novembre 2020

Publié le par Ricard Bruno

Chers membres de la famille Papaye,
 
C'est avec grand plaisir que je vous partage la news de novembre où vous pourrez suivre les incroyables aventures de notre ami Cook.
 
En espérant vous savoir en pleine santé, je vous souhaite une bonne lecture.
 
A très bientôt.
 
Papayement vôtre !
 
Dorothée Prak
Association Papaye International
Papaye International : News de novembre 2020
Papaye International : News de novembre 2020
Papaye International : News de novembre 2020
Papaye International : News de novembre 2020
Papaye International : News de novembre 2020
Papaye International : News de novembre 2020
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Papaye International : News de novembre 2020
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Comment stopper l'hécatombe pour ces millions d'animaux sauvages tués sur les routes

Publié le par Ricard Bruno

Découvrez, chaque jour, une analyse de notre partenaire The Conversation. Aujourd’hui, des universitaires nous expliquent que la mort d’animaux sur les routes n’est peut-être pas une fatalité

Des millions d'animaux sauvages meurent chaque année sur les routes —

Des millions d'animaux sauvages meurent chaque année sur les routes —

  • 194 millions d’oiseaux et 29 millions de mammifères meurent chaque année sur les routes européennes, selon une étude publiée par notre partenaire The Conversation.
  • On pourrait drastiquement réduire ce nombre en repensant le système de clôtures et son déploiement géographique.
  • L’analyse de ce phénomène a été menée par Jochen A.G. Jaeger, professeur agrégé en environnement (Canada), Ariel Spanowicz, étudiant en Master de sciences environnementales (Suisse) et Fernanda Zimmermann Teixeira, chercheuse (Brésil).

Les animaux sauvages parcourent des kilomètres en quête d’eau, de nourriture, d’un partenaire ou d’une aire de reproduction. Mais ils se heurtent aux obstacles dangereux que sont les routes et la circulation.

Le développement routier qui prend de l’ampleur dans plusieurs pays, particulièrement dans les régions tropicales, pose ainsi un risque croissant pour la survie de nombreux mammifères, oiseaux, reptiles et amphibiens.

Or, les routes tuent déjà une quantité massive d’animaux sauvages, entraînant le recul de certaines populations locales, notamment d’espèces qui vivent en faible densité ou qui se reproduisent lentement, comme les lynx, les blaireaux, les porcs-épics, les tortues et les hiboux. Cela peut déclencher une réaction en chaîne en perturbant les relations mutuellement bénéfiques ou en rompant les réseaux alimentaires, entraînant la disparition d’autres espèces.

Des centaines de milliers, voire de millions d’animaux selon le pays, entrent en collision avec des véhicules chaque année. En effet, une étude récente nous permet d’estimer que 194 millions d’oiseaux et 29 millions de mammifères meurent chaque année sur les routes européennes. Bien que plusieurs régions aient pris des mesures contre la mortalité de la faune sur la route, notamment les Pays-Bas et la Suisse avec des clôtures et des écoducs, l’enjeu demeure préoccupant à l’échelle mondiale.

Les clôtures fauniques posées le long d’une route réduisent les accidents, mais ne sont pas sans controverse. Elles sont en effet loin d’avoir la bonne réputation des écoducs, parce qu’elles amplifient l’effet de barrière des routes.

Nous avons élaboré un plan pour recenser les tronçons de route les plus urgents à clôturer à partir de nos observations des tronçons de route les plus dangereux.

Essentielles, mais controversées

Poser et maintenir des clôtures le long des routes coûte très cher. Sauf là où la sécurité du conducteur est en jeu, les organismes de transport ont largement négligé les mesures de réduction des accidents de la route impliquant la faune.

Écoduc du parc national Dwingelderveld, aux Pays-Bas, avec des clôtures pour guider les animaux vers la traverse et les empêcher d’aller sur la route

 

Les organismes de transport et les gestionnaires de la faune interrogés au sujet des clôtures en bordure de route sont nombreux à afficher leur scepticisme et les considèrent souvent comme des mesures désagréables. À l’inverse, les écoducs ont la réputation d’être « géniaux ». Or, en réalité, ces « traverses géniales » à elles seules ne réduisent pas la mortalité faunique sur les routes.

Des données récentes révèlent que la mortalité sur les routes est plus préjudiciable à la plupart des populations d’animaux sauvages que les clôtures. Dans la majorité des cas, il est plus urgent d’installer des clôtures que des écoducs. Mais de quelle longueur devraient-elles être et où devrions-nous concentrer nos efforts ?

Les zones les plus mortelles

Il n’est pas réaliste de clôturer un réseau routier au complet. Nous avons déterminé comment les organismes de transport peuvent recenser les tronçons de route les plus urgents à clôturer en utilisant des enquêtes sur la mortalité, en recensant les routes les plus dangereuses à plusieurs échelles et en mettant en place des mesures d’atténuation d’une manière méthodique selon une approche de gestion adaptative.

Vos clôtures sont-elles trop courtes ? Les organismes de transport peuvent décider de clôturer les trois zones dangereuses recensées à l’échelle de 200 mètres (à gauche) ou celle recensée à l’échelle de 1.000 mètres (à droite), mais la clôture la plus longue dans l’analyse à 1.000 mètres donne clairement de meilleurs résultats dans cet exemple/schéma

Les zones dangereuses peuvent être recensées à différentes échelles, ce qui peut influer sur le positionnement des clôtures. Une zone dangereuse a une certaine échelle pourrait se révéler moins mortelle a une autre échelle.

Nous avons utilisé des données de mortalité faunique obtenues sur trois routes : une route du sud du Québec et deux routes du Rio Grande do Sul, au Brésil. La première route passe à travers la réserve faunique des Laurentides et longe le parc national de la Jacques-Cartier au Québec. L’une des routes du Brésil traverse deux aires protégées et longe la réserve de biosphère de la forêt atlantique, tandis que l’autre longe les pentes de la serra Geral et les lagunes côtières.

Notre hypothèse était que plusieurs sections de clôtures courtes pourraient être construites près des zones dangereuses recensées à petite échelle pour réduire les accidents. Nous pensions que cette approche réduirait en outre la longueur totale des clôtures par rapport à la protection de quelques zones dangereuses recensées à grande échelle, sans empirer le bilan de mortalité faunique.

Les animaux peuvent cependant facilement contourner des clôtures trop courtes. Ils risquent même de se faire frapper à l’extrémité des clôtures, un problème surnommé l’« effet bout de clôture ». En effet, les clôtures doivent être assez longues pour réduire le risque d’effet bout de clôture.

Quelques clôtures longues ou de nombreuses clôtures courtes ?

Le compromis entre l’utilisation de quelques clôtures longues ou de nombreuses clôtures courtes comporte d’importantes conséquences pour la conservation de la biodiversité. Trouver le bon équilibre dépend de la distance parcourue par les animaux, de leur comportement vis-à-vis de la clôture, des cibles de réduction de la mortalité pour chaque espèce et de la structure du paysage environnant.

Par exemple, les tortues se déplacent sur des distances beaucoup plus courtes qu’un lynx, et leurs zones dangereuses sont très localisées. En conséquence, bien qu’une abondance de clôtures courtes convienne aux tortues, les clôtures pour lynx doivent être beaucoup plus longues.

La longueur d’une clôture influe sur la réduction prévue de la mortalité faunique. En ce sens, l’installation de clôture dans les zones dangereuses recensées à plus petite échelle, soit 200 mètres (ligne affichée en mauve), réduirait davantage la mortalité faunique sur les routes s’il n’y avait pas d’effet de bout de clôture/schéma

Une fois les clôtures installées, les zones dangereuses peuvent disparaître ou se décaler et de nouvelles peuvent apparaître : nous devons donc pouvoir adapter les mesures d’atténuation. Notre plan graduel aide les gestionnaires du transport à décider de l’emplacement et de la longueur des clôtures.

Il a été démontré que les clôtures sont un moyen efficace et réaliste de réduire la mortalité faunique sur les routes. Les organismes de protection de la faune et de transport devraient miser sur les clôtures plutôt que sur les écoducs pour réduire l’impact des routes et de la circulation sur les populations d’animaux sauvages. Les automobilistes profitent eux aussi des effets bénéfiques des clôtures sur la sécurité routière.

Enfin, le boom de construction routière partout sur la planète représente une menace croissante pour la biodiversité, mettant en évidence le besoin urgent de réduire la mortalité routière de façon globale et de poser des clôtures pour protéger la faune.

Cette analyse a été rédigée par Jochen A.G. Jaeger, professeur agrégé de Géographie, planification et environnement à l’université Concordia de Montréal (Canada), Ariel Spanowicz, étudiant en Master de sciences environnementales à l’école polytechnique fédérale de Zurich (Suisse) et Fernanda Zimmermann Teixeira, chercheuse post-doctorale à l’université fédérale du Rio Grande do Sul (Brésil). L’article original a été publié sur le site de The Conversation.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Fermeture de la ferme des 1000 vaches...

Publié le par Ricard Bruno

Fermeture de la ferme des 1000 vaches...

À quelques jours de sa fermeture, le gérant de la tristement célèbre ferme-usine refuse l'offre de la FBB de recueillir et placer en pension les vaches afin de leur éviter l'abattoir. Nous appelons Matthieu Ramery à reconsidérer sa décision !

Bravo Brigitte Bardot tout est dit !

Publié le par Ricard Bruno

Bravo Brigitte Bardot tout est dit !
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Abolir la chasse, pas la réformer

Publié le par Ricard Bruno

Lors de la marche blanche organisée en hommage a Morgan Keane à Cajarc, le 5 décembre.

Lors de la marche blanche organisée en hommage a Morgan Keane à Cajarc, le 5 décembre.

Abolir la chasse, pas la réformer
Par Le parti Révolution écologique pour le vivant (REV)  

Après un nouvel accident qui a coûté la vie à Morgan Keane, un jeune homme de 25 ans, le parti Révolution écologique pour le vivant appelle à l’interdiction pure et simple de la chasse en France.

 

Tribune. Morgan Keane avait 25 ans. Il habitait dans le petit village de Calvignac, dans le Lot, dans une maison héritée de ses parents aujourd’hui décédés, qui s’étaient installés là quarante ans plus tôt. Morgan, très apprécié par les habitants, vivait chichement de petits boulots. Il avait un jeune frère qui est désormais seul. Le 2 décembre dernier, un peu avant 17 heures, Morgan coupait du bois à une centaine de mètres de chez lui, pour chauffer sa maison, lorsqu’il a été abattu d’un coup de fusil.

Non pas un assassinat, mais un «homicide involontaire» dont l’auteur est un chasseur de 33 ans qui participait à une battue aux sangliers. La faute à «pas de chance» ? Pas tout à fait. L’enquête devra d’abord déterminer si les consignes de sécurité ont été respectées. Si elles ne l’ont pas été, cela signifie que l’on ne peut pas faire confiance à tous les chasseurs. Si elles l’ont été, cela signifie que les lois sur la chasse sont incapables de protéger les citoyens.

Ensuite, il serait mensonger de prétendre que la mort de Morgan est une triste exception. Le 1er décembre, quatre chasseurs ont été condamnés par le tribunal correctionnel de Thonon-les-Bains, en Haute-Savoie, pour l’homicide d’un homme de 34 ans, Mark Sutton, fauché pendant qu’il se promenait en VTT. L’auteur du tir a écopé de quatre ans de prison, dont un ferme, et les trois autres chasseurs ont aussi été sanctionnés pour avoir tenté de maquiller la vérité.

Morgan et Mark sont morts. Mais combien de riverains ou de promeneurs échappent de peu au même sort, lorsqu’une balle leur passe juste à côté, tandis qu’ils sont dans leur jardin ou en train de prendre l’air sur un chemin ? Il y a quelques jours encore, une balle a traversé la vitre du salon d’un habitant d’une résidence pour personnes âgées à Mayenne, en Pays de la Loire. Encore une battue au sanglier et une inadvertance.

Pour la saison de chasse 2019-2020, l’Office français de la biodiversité (OFB) a enregistré 141 accidents, dont 11 mortels. Sur ce total, 10% des victimes n’étaient pas des chasseurs. Et chaque année, les statistiques sont peu ou prou les mêmes. Curieusement, ces victimes «collatérales» de la chasse sont complètement ignorées des élus de tous bords. Pourtant Morgan Keane et Mark Sutton ont été tués par balles, alors qu’ils menaient leurs activités tranquillement, sans déranger personne. Dans d’autres circonstances, la mort de ces innocents aurait provoqué une vague d’émotion et, probablement, les hommages de la classe politique. Mais quand la mort est causée par un chasseur dans le cadre d’un «loisir» autorisé par la loi, on fait bien peu cas de la victime… D’ailleurs quel autre loisir bénéficie de ce traitement de faveur qui lui autorise un quota de victimes non-pratiquantes de l’activité ?

Une indifférence coupable

L’indifférence publique aux victimes humaines de la chasse est une indifférence coupable. Et l’on ne peut que regretter qu’aucun membre de ce gouvernement si prompt à caresser les chasseurs dans le sens du poil n’exprime son émotion et n’agisse pour que cela ne se reproduise plus. D’autant que ces accidents à répétition entraînent un sentiment d’insécurité qui ne fait que grandir, particulièrement en zone rurale. En 2017, un sondage Ifop (1) révélait que 71% des Français se sentent en insécurité lorsqu’ils se promènent dans la nature en période de chasse. Un chiffre en constante augmentation : ils étaient 61% en 2016 et 54% en 2009.

Après la mort de Morgan, certains écologistes ont tout de même protesté. Ils ont demandé le respect des règles qui entourent la chasse et l’amélioration de certaines d’entre elles. Cette prise de position vaut mieux que rien. Mais elle est bien trop timide.

Nous, écologistes de la Révolution écologique pour le vivant (REV), refusons les petits accommodements avec une pratique désuète qui n’a plus sa raison d’être aujourd’hui et réclamons l’abolition pure et simple de la chasse. Notre mouvement, qui a vu le jour il y a moins de trois ans, est antispéciste, c’est-à-dire qu’il refuse la discrimination des individus en raison de leur espèce. A ce titre, notre programme prévoit la fin de toute forme d’exploitation animale, au nom du droit à vivre de tous les animaux non-humains sentients. Il s’agit d’une lecture du vivant qui s’oppose à la pensée majoritaire et propose de nouveaux paradigmes pour construire un monde plus juste.

Mais la mort de Morgan rappelle que, parmi les raisons qui justifient la suppression de la chasse, l’une d’entre elles concerne directement les humains et leur droit à vivre paisiblement, sans être terrorisés lorsqu’ils se baladent près des champs ou en forêt, ou lorsqu’ils sont simplement chez eux et que des chasseurs sont à proximité.

Supprimer la chasse, génératrice de violences gratuites, est donc simplement une étape logique dans la construction d’un monde plus humain. Le meilleur hommage que notre société puisse rendre à Morgan Keane serait que sa mort, inutile, stupide, cruelle, lui en fasse prendre conscience.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Les préfets de plusieurs départements souhaitent prolonger la chasse au petit gibier

Publié le par Ricard Bruno

Les préfets de plusieurs départements souhaitent prolonger la chasse au petit gibier
Incroyable mais vrai !
Les préfets de plusieurs départements souhaitent prolonger la chasse au petit gibier pour... Réguler ? ... Eviter des dégâts sur les cultures ? ... Lutter contre une espèce invasive ?
Non ! Si les préfets veulent prolonger la chasse au-delà des dates réglementaires, c'est pour "écouler la production du gibier d'élevage" qui n'a pas pu être lâché pendant le confinement.
Par exemple, dans le document ci-dessous, le Préfet du Cher écrit : "Cinq établissements d'élevage de petit gibier du département n'ont pas pu écouler leur production pendant cette période, 30 000 faisans et 10 000 perdrix n'ont pas pu être vendus à la période habituelle".
Vous avez bien lu. Alors que la chasse au faisan ou à la perdrix s'arrête normalement en décembre ou début janvier, l'Etat veut reculer cette date de plusieurs semaines pour permettre aux éleveurs de gibier de vendre leur production et aux chasseurs de chasser des animaux élevés en captivité et relâchés juste pour être tués. Bref, du ball-trap sur animaux vivants en pleine nature.
Pour justifier leur activité, les chasseurs mettent souvent en avant la nécessité de "réguler" des animaux qui, sans eux, seraient en surnombre dans la nature et causeraient des dégâts aux cultures. Cet exemple montre exactement le contraire : élever des animaux spécifiquement pour les relâcher et les chasser. Aucune "régulation". Rien de "naturel". Un simple loisir qui consiste à faire souffrir et abattre des êtres sensibles pour le plaisir.
Au-delà de la question animale, les autres usagers de la nature et habitants des zones rurales vont donc devoir subir des semaines de chasse en plus, avec les risques que cela comporte, simplement parce que des préfets veulent contenter quelques amoureux du fusil.
Départements concernés selon les infos de :
- Charente-Maritime
- Somme
- Nord
- Pas-de-Calais
- Aude
- Cher
- Deux-Sèvres
- Eure
Pour 4 d'entre eux, une consultation publique est ouverte.
Vous pouvez écrire un mail pour dire ce que vous pensez de ce projet :
- Aude : écrire jusqu'au 22/12 à ddtm-suedt-ufber@aude.gouv.fr
- Cher : écrire jusqu'au 24/12 à dtt-contribution-environnementale@cher.gouv.fr
- Deux-Sèvres : écrire jusqu'au 11/12 à ddt-see-e@deux-sevres.gouv.fr
- Eure : écrire jusqu'au 7/12 à ddtm-sebf-mnfc@eure.gouv.fr
Lien vers le projet d'arrêté du Cher : https://www.cher.gouv.fr/.../Chasse-Projet-d-arrete...
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Il noyait et enfermait son chat au congélateur : un homme condamné pour actes de cruauté

Publié le par Ricard Bruno

Un homme de 21 ans a été condamné mardi par le tribunal correctionnel d'Agen, dans le Lot-et-Garonne, pour des sévices sur son chat. A l'audience, il a indiqué qu'"il ne supportait pas les miaulements"...

Il noyait et enfermait son chat au congélateur : un homme condamné pour actes de cruauté

Un homme de 21 ans a été condamné mardi par le tribunal correctionnel d'Agen, dans le Lot-et-Garonne, pour des actes de cruauté envers son animal de compagnie, un chat prénommé Simon rapporte La Dépêche du Midi.

Il a été condamné à une amende et à verser des dommages et intérêts aux trois associations qui se sont portées partie civile dans ce dossier : la Fondation Brigitte Bardot, 30 millions d’Amis et l’ARPA.

L'alerte avait été donnée par ces associations de  protection des animaux après une vidéo, vue des milliers de fois sur les réseaux sociaux, où l'on apercevait ce petit chat subir de graves sévices.

Enfermé dans un vide sanitaire

Dans cette vidéo, on pouvait distinguer ce chat mâle, type chartreux, tenter de sortir de l’eau, dans un terrarium, repoussé par son maître. Et les violences ne s'arrêtaient pas là : le chat passait de l’eau, au congélateur, puis au noir complet enfermé dans un vide sanitaire sous un escalier ou encore victime de nombreux coups.

"Aujourd’hui, il vit dans une famille d’accueil et il se porte bien", a indiqué la présidente de l’ARPA 47, association de défense des animaux.

L'individu a expliqué à l'audience qu'il ne supportait pas les miaulements de son chat et donc qu'il cherchait à le faire taire par tous les moyens.

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PREMIÈRE COLLABORATION ENTRE LA FBB ET PUMAKAWA EN ARGENTINE

Publié le par Ricard Bruno

PREMIÈRE COLLABORATION ENTRE LA FBB ET PUMAKAWA EN ARGENTINE
En 2020, la Fondation Brigitte Bardot est heureuse d’aider pour la première fois l’ONG Pumakawa en Argentine, en participant à l’amélioration des infrastructures pour l’accueil et la réhabilitation des pumas secourus.

Fondation Brigitte Bardot Argentine

L’ACCUEIL ET LA RÉHABILITATION DES PUMAS

Pumakawa est une organisation à but non lucratif créée en 1998, qui se consacre à la restauration de l’habitat environnemental et à la conservation des espèces indigènes, dont les pumas, qui sont très peu nombreuses ou menacées d’extinction dans la région centrale de l’Argentine.

Pumakawa, a pour mission d’éduquer et d’intégrer de manière cohérente toutes les parties impliquées dans la protection du puma tout en réhabilitant son habitat naturel. Elle a décidé qu’en plus de montrer les effets néfastes de l’activité humaine sur l’habitat des animaux, l’institution œuvrerait pour réduire les conflits communautaires avec le puma et a développé des visites éducatives et mis en œuvre des campagnes de sensibilisation.

PRÉSENTE DANS LA RÉGION CENTRALE DE L'ARGENTINE

Pumakawa se concentre principalement sur la protection du Puma Concolor, dans la région centrale de l’Argentine. Les pumas récupérés par l’organisation souffrent de conditions traumatiques, de malnutrition sévère et de blessures générés par des accidents de tracteur ou de voiture, ainsi que d’attaques au fusil à pompe. Ils sont souvent dénutris ou victimes d’empoisonnement. Ces conditions ne permettent pas aux pumas de conserver leurs compétences de survie essentielles pour chasser, se défendre ou échapper à des situations mettant leur vie en danger.

Le puma est répertorié comme une espèce de « moindre préoccupation » par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) sur la liste rouge des espèces menacées, mais l’état des populations de puma d’Amérique centrale et du Sud est largement inconnu, et beaucoup sont soupçonnés d’être en déclin.

Fondation Brigitte Bardot Aide internationale argentine

L'AIDE DE LA FONDATION BRIGITTE BARDOT

Leur habitat naturel est détruit en raison des activités humaines et notamment l’expansion exponentielle de l’agro-industrie, des coupes et brûlis de la flore indigène. L’organisation œuvre pour résoudre les conflits liés à la perte d’habitat du puma et sensibiliser la population locale à sa protection en partenariat avec le gouvernement, le secteur privé, des ONG et des représentants des communautés locales.

En 2020, la Fondation Brigitte Bardot aide cette organisation pour la première fois en participant à l’amélioration de ses structures d’accueil pour réhabiliter les pumas et répondre aux futurs sauvetages.

Source de l'article Fondation Brigitte Bardot : Cliquez ICI

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