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Un refuge permet maintenant aux personnes âgées de vivre au milieu des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Lorsque les personnes âgées entrent en maison de retraite, elles sont souvent contraintes de se séparer de leurs animaux de compagnie. C’est un véritable déchirement. Puis, l’absence d’animaux au quotidien est un poids, pour ceux qui ont toujours connu la présence réconfortante d’un compagnon à 4 pattes. Alors un refuge a eu une idée hors du commun.

Illustration : "Un refuge permet maintenant aux personnes âgées de vivre au milieu des animaux "

C’est en France, en Seine-Maritime, que cette belle initiative a vu le jour. L’association AVA (Agir pour la Vie Animale) possédait déjà un premier refuge situé à Cuy-Saint-Fiacre. 36 ans plus tard, en septembre 2022, ils ont créé un nouvel espace à Rouvray-Catillon. Nommé La Coloc d’AVA, ce refuge a un concept tout à fait original : il propose aux personnes âgées de venir vivre au milieu des animaux de sauvetage.

 

 

Illustration de l'article : Un refuge permet maintenant aux personnes âgées de vivre au milieu des animaux

Un refuge qui offre une deuxième chance aux animaux

Le sanctuaire de La Coloc d’AVA accueille des dizaines d’animaux de sauvetage. Il peut s’agir d’animaux domestiques abandonnés, comme Roxanne, une Yorkshire Terrier que sa maîtresse ne pouvait plus garder. Tout aussi bien que des animaux retraités, comme Lascar, un poney qui a accompagné de nombreux enfants en centre équestre. Mais il y a aussi des êtres vivants ayant échappé à l’euthanasie ou à l’abattoir. Les animaux de ferme sont nombreux. On y retrouve notamment des chèvres, des paons, des poules et des chevaux.

Illustration de l'article : Un refuge permet maintenant aux personnes âgées de vivre au milieu des animaux

Liberté, partage et complicité

Au sein du refuge, les pensionnaires sont en liberté. Pas de cage ou de box pour les enfermer. Tout le monde cohabite, et les animaux qui aiment nager ont même accès à une piscine chauffée et couverte.

Illustration de l'article : Un refuge permet maintenant aux personnes âgées de vivre au milieu des animaux

Mais ils ne sont pas les seuls à cohabiter dans ces lieux. Le sanctuaire fonctionne également un peu comme une maison de retraite, qui propose aux personnes âgées de vivre en compagnie de tous les animaux. La première personne bénéficiant de cette structure n’est autre que le fondateur historique de l’association, Maxime Léger. Il y a 17 ans de cela, il avait passé le flambeau à Thierry Bedossa. Désormais, il passe sa retraite dans un endroit qui lui permet « de rester avec les animaux, en sécurité ».

L’association souhaite que ce concept se développe, pour permettre de rendre heureux de nombreux animaux tout comme de nombreuses personnes âgées.

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Il maltraite ses chiens dans le Calvados, trois mois de prison ferme requis par le procureur

Publié le par Ricard Bruno

Un homme de 23 ans a été jugé, ce jeudi 26 octobre 2023, pour avoir frappé violemment un chien et en avoir maltraité trois autres à Touques et Caen (Calvados) entre février et avril 2022.

Il maltraite ses chiens dans le Calvados, trois mois de prison ferme requis par le procureur

 

La chienne de race American Staffordshire avait été amenée le 7 avril 2022 chez le vétérinaire par la sœur du prévenu après avoir reçu de la part de ce dernier, à Touques (Calvados) chez son père, un coup de pied qui l’avait projetée contre une porte.

 

Bilan : hémorragie interne, ablation de la rate, nécrose d’une partie de la vessie et plusieurs hématomes pour l’animal qui avait été sauvé in extremis. Par ailleurs, on avait retrouvé dans l’appartement de Caen, où l’homme a vécu jusqu’en février 2022 avec sa compagne, trois autres chiens, staff et croisé bouledogue, sans nourriture, sans eau et l’un portant un collier anti-aboiement. Des petites cages étaient posées dans une pièce, de l’urine au sol.

Lire aussi : Un gendarme de la Garde républicaine de Deauville au tribunal pour avoir maltraité des chevaux

 

« Il minimise »

Le prévenu, jugé ce jeudi 26 octobre 2023 à Caen, reconnaît le coup de pied sans intention de faire mal. « Il a eu peur parce que le chien s’est mis à aboyer alors qu’il tenait son bébé dans les bras », est-il expliqué lors de l’audience. Il affirme que sa compagne nourrissait les chiens quotidiennement et que les cages servaient seulement en cas de punition. « Il minimise en s’appuyant sur des pseudos principes éducatifs canins », intervient l’avocat de la Fondation Brigitte-Bardot qui sollicite 2 000 € de dommages et intérêts, tandis que la Société de défense des animaux de la Côte fleurie demande 4 000 € pour les frais de vétérinaire et de garde de la chienne qui vient seulement d’être adoptée.

Dix mentions au casier judiciaire

« Il dit aimer les animaux mais plusieurs témoignages parlent de son agressivité, sans compter que les chiens n’étaient pas déclarés », reprend le procureur qui requiert une peine de trois mois d’emprisonnement ferme envers le prévenu dont le casier comporte déjà dix mentions plus 300 € d’amendes contraventionnelles et l’interdiction de détenir des animaux. « Ce jeune homme n’est pas le tortionnaire qu’on nous décrit. Le geste n’était pas intentionnel. Par ailleurs, on ne peut pas lui reprocher ce qu’il se passait pour les autres chiens puisqu’il ne vivait plus dans cet appartement. Et enfin, rien ne prouve que les chiens étaient catégorisés avec des obligations spécifiques pour leur propriétaire », reprend Me Pannetier en défense. Elle plaide une relaxe, mis à part pour le coup de pied, et demande qu’il ne soit pas interdit à son client de détenir des animaux avec qui il vit depuis son enfance. La décision du tribunal sera rendue le 8 novembre.

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Brigitte BARDOT...Publicité Frigeavia...

Publié le par Ricard Bruno

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Tirs de loups: Brigitte Bardot dénonce «une folie» dans une lettre ouverte à Albert Rösti

Publié le par Ricard Bruno

Tirs de loups: Brigitte Bardot dénonce «une folie» dans une lettre ouverte à Albert Rösti
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Dordogne : Isabelle et sa fille veulent sauver de l'euthanasie leur cheval malade, ce que refuse l'Etat

Publié le par Ricard Bruno

La préfecture de Dordogne impose à Isabelle et sa fille, Marine, d'euthanasier leur cheval en raison d'une maladie infectieuse dont il est porteur. Aidées par la fondation Brigitte Bardot et le député Serge Muller, les propriétaires assurent que "Plaisir des fleurs" est "porteuse saine".

Marine et Isabelle avec le cheval "Plaisir des fleurs". - Isabelle Mansais

Marine et Isabelle avec le cheval "Plaisir des fleurs". - Isabelle Mansais

Marine et Isabelle tentent tous les voies de recours possible pour sauver "Plaisir des fleurs", leur cheval malade d'une anémie infectieuse au Bugue (Dordogne). Le 11 octobre dernier, la préfecture de Dordogne a envoyé un courrier clair. Elles doivent "procéder à l'euthanasie de [leur] équidé le 25 octobre 2023 au plus tard". Ce courrier intervient après des recours déjà entamés par Isabelle et sa fille pour tenter de sauver leur bête.

"La maladie est transmissible même en l'absence de signes cliniques"

"Plaisir des fleurs" est atteint d'une anémie infectieuse des équidés. Une maladie dont "l’infection aboutit à la persistance à vie du virus chez l’animal infecté qui devient alors un réservoir du virus et une source de contamination potentielle pour les équidés environnants", selon l'association RESPE (réseau d'épidio-surveillance en pathologie équine). C'est pour cette raison que la préfecture réclame l'abattage de l'animal en considérant que "la maladie est transmissible même en l'absence de signes cliniques". Ce que réfutent les propriétaires du cheval.

"Cet animal, ça fait peut-être plus de 20 ans qu'il a été contaminé par ses parents et il cohabite avec poney depuis huit ans. Et ce poney est négatif ! " assure Isabelle Mansais, la propriétaire de "Plaisir des fleurs". Par ailleurs, elle s'appuie sur la Loi de Santé Animale européenne 2021 pour contrer la décision de la préfecture. Selon Isabelle, l'animal ne doit pas être euthanasié, mais elle doit juste se soumettre à une "obligation de déclaration, de surveillance et de certification" pour sa jument.

Après avoir saisi le député (RN) du Bergeracois, Serge Muller, et la fondation Brigitte Bardot, les propriétaires tentent un nouveau recours au tribunal administratif de Bordeaux. La préfecture indique que "ces voies de recours ne sont pas suspensives de la décision" d'ordonner l'euthanasie de "Plaisir des fleurs". Dans son arrêté, la préfecture prévient qu'en cas de "défaut d'exécution [...] de cette décision, Isabelle "pourra être pénalement sanctionné". Quoi qu'il arrive, Isabelle et Marine ne comptent pas laisser entrer un vétérinaire chez elles pour euthanasier leur cheval.

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Revue Elle de 1991 (Japon) Brigitte Bardot en couverture

Publié le par Ricard Bruno

Revue Elle de 1991 (Japon) Brigitte Bardot en couverture
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Brigitte Bardot: «Je suis choquée par la haine dévastatrice contre le loup»

Publié le par Ricard Bruno

«Une décision meurtrière, indigne»: l'ancienne icône du cinéma a adressé une lettre acérée à Albert Rösti, conseiller fédéral chargé du Département de l’environnement. Elle dénonce un «plan d’abattage massif» contre les loups

Brigitte Bardot: «Je suis choquée par la haine dévastatrice contre le loup»

Brigitte Bardot a pris la plume. La star française, engagée dans la protection des animaux à travers sa fondation, a écrit à Albert Rösti pour dénoncer une ordonnance de l’Office fédéral de l’environnement. Celle-ci veut strictement limiter le nombre de loups sur le territoire de la Confédération. Les organisations de la nature estiment que près de 70% de la population de loups pourrait ainsi être supprimée. Chaque minute compte pour les associations, puisque le texte devrait entrer en vigueur en décembre. Brigitte Bardot explique au Temps les raisons de sa colère et appelle la Suisse à revenir sur cette décision.

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Brigitte Bardot : "C'était son but...", quel est ce premier métier qu'elle a abandonné pour devenir actrice ?

Publié le par Ricard Bruno

Icône du cinéma, Brigitte Bardot est une star mondialement connue sur le grand écran. Pourtant BB avait d'autres rêves à ses débuts. Un célèbre photographe a dévoilé une rare photo d'elle et a ainsi révélé le premier métier qu'elle rêvait de faire...

Brigitte Bardot : "C'était son but...", quel est ce premier métier qu'elle a abandonné pour devenir actrice ?

En 1956, après une quinzaine de films, Brigitte Bardot décroche le rôle principal de Et Dieu créa la femme - Roger Vadim, lui, vient de créer un mythe. Star du cinéma, Brigitte Bardot crèvera l'écran ensuite dans La Vérité d'Henri-Georges Clouzot et Le Mépris de Jean-Luc Godard. Pourtant, la Parisienne ne se destinait pas à jouer la comédie...

 

Une photo d'époque et une révélation : Bardot devait être...

Le photographe Jean-Marie Perier a publié, mardi 10 octobre, sur son compte Instagram, une photo d'archive en noir et blanc de BB dansant sur un piano. L'homme a vu la carrière des plus grands comme Françoise Hardy, Sylvie Vartan, Jacques Dutronc et Johnny Hallyday exploser dans les années 60.

Jean-Marie Périer s'est souvenu des débuts de Brigitte Bardot et a ainsi fait une confidence sur la carrière dont elle rêvait avant le cinéma : "Brigitte Bardot danse. C'était son but au départ, elle ne voulait que danser. C'est Vadim qui, en inventant le symbole féminin le plus éclatant du cinéma mondial, a changé son destin pour toujours avec un film. Le monde entier l'enviait mais sa vie n'en n'était plus une."

Brigitte Bardot : "C'était son but...", quel est ce premier métier qu'elle a abandonné pour devenir actrice ?

Brigitte Bardot se passionne très rapidement pour la danse. C'est à l'âge de 7 ans qu'elle prend ses premiers cours. Elle entrera en 1949 au Conservatoire de Paris pour apprendre la danse classique. Des talents qu'elle montrera au monde entier en 1958, en tutu et collant pour une émission de variétés pour le réveillon de la Saint Sylvestre, virevoltant avec le danseur étoile de l'époque, Michel Renault.

 

Mais Brigitte Bardot ne deviendra jamais danseuse professionnelle, devenant plutôt actrice avec le succès qu'on lui connait.

Le combat d'une vie : Bardot et les animaux

Aujourd'hui, Brigitte Bardot - qui a récemment eu 89 ans - se consacre corps et âme à une seule chose : la cause animale. L'actrice, qui a stoppé sa carrière au cinéma en 1973, a fondé en 1986 une fondation portant son nom, pour trouver une famille aux chats et chiens orphelins et se mobiliser contre la maltraitance, la chasse ou encore la captivité.

Brigitte Bardot : "C'était son but...", quel est ce premier métier qu'elle a abandonné pour devenir actrice ?

La star, qui a eu droit à une mini série sur sa vie diffusée sur France 2 en mai dernier, coule des jours heureux dans sa maison de La Madrague, près de Saint-Tropez dans le Var. Une vie isolée, qu'elle passe entourée de ses animaux et de son mari.

Source de l'article : Cliquez ICI

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ÉQUIDÉS : UN ENGAGEMENT D’UNE TRENTAINE D’ANNÉES !

Publié le par Ricard Bruno

Tout au long de l’année, la Fondation reçoit de nombreux appels de propriétaires souhaitant placer leur(s) équidé(s) pour des raisons financières, physiques, familiales et bien d’autres…

Néanmoins, depuis quelques mois, nous constatons une nette augmentation d’appels de propriétaires d’équidés qui, à cause de leur âge et/ou du manque de moyens financiers, ne peuvent plus subvenir à tous leurs besoins. Il est évident que l’inflation n’a rien facilité pour les ménages les plus fragiles. Toutefois, cette hausse d’abandons fragilise les associations de protection animale qui n’ont plus aucune place disponible pour l’accueil de nouveaux pensionnaires.

Depuis le début de l’année, 56 équidés issus de cessions s’ajoutent aux 1183 se trouvant déjà sous la protection de la Fondation Brigitte Bardot ; c’est autant de places que nous pourrions réserver pour des équidés issus de maltraitance. Nous privilégions les sauvetages d’équidés maltraités, âgés ou encore malades, mais certaines situations ne nous laissent que peu de choix… Le nombre de prises en charge explose, laissant nos refuges et pensions à saturation.

Nous tenons à rappeler qu’acquérir un équidé, c’est s’engager pour une trentaine d’années. Toute acquisition demande une réflexion au préalable, car ce dernier peut facilement nous survivre ! Certes, la vie réserve bien des surprises… Toutefois, malgré les obstacles qui peuvent se dresser sur le chemin de chacun, il ne faut pas perdre espoir : des solutions existent.

  • Il existe de nombreuses pensions qui accueillent les équidés de particuliers en échange d’une contrepartie financière. Ces pensions assument donc toutes les tâches nécessaires à leur bien-être et s’engagent à subvenir à tous leurs besoins. L’avantage, c’est la possibilité pour le propriétaire de rendre visite à ses animaux lorsqu’il le souhaite, de continuer à veiller sur eux tout en laissant la pension s’occuper des tâches qui sont désormais difficiles à assumer physiquement.
  • Dans le cas où l’aspect financier ne permettrait pas cela, il est possible de demander de l’aide auprès de sa famille, ses amis, ses voisins, etc. Il se peut que des proches aient du temps à consacrer à vos équidés pour vous aider, n’hésitez pas à demander de l’aide !
  • Si vous avez la capacité physique de vous occuper de vos animaux, mais que l’aspect financier pose un problème ponctuellement, sachez que certaines associations, dont la FBB, proposent des aides financières visant à vous aider de manière exceptionnelle.
  • Enfin, si vous êtes inquiets quant à l’avenir de vos équidés après votre décès, la meilleure solution est de les inscrire sur votre testament afin de s’assurer qu’ils ne soient pas laissés à l’abandon.

Les équidés sont des êtres sensibles ; luttons ensemble contre les abandons.

 

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