Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Gainsbourg: Bardot raconte "sa plus belle déclaration d’amour"...

Publié le par Ricard Bruno

Serge Gainsbourg et Jane Birkin, lors du festival de Cannes, en 1979. Archives Nice-Matin

Le 2 mars 1991, « l’homme à tête de chou », un habitué de nos côtes, tirait sa révérence. Deux décennies plus tard, il est encore sur le devant de la scène. Brigitte Bardot se souvient

 

Sursollicitée alors qu’Annie Girardot vient de disparaître, Brigitte Bardot est rongée de tristesse. À La Madrague, elle prend malgré tout le temps de revenir sur celui qui fut son amant magnifique. « Je l’ai aimé et il m’a aimée, à la folie… », résume-t-elle, non plus les cheveux dans le vent, mais au cours d’une interview retraçant les moments clefs de leur liaison à leur séparation.
 
  

Brigitte Bardot Show ?
« Le résumé parfait de notre complicité. Le Brigitte Bardot Show avec Serge a été réalisé sur trois mois en 1967 [durant leur liaison, Ndlr]. Entre, je continuais à faire des films. Ce fut une vraie récréation, une vraie rigolade. Je faisais cela pour mon plaisir et peut-être aussi pour prouver que j’étais capable de chanter comme j’étais capable de danser ou de jouer la comédie. Je tournais quand j’en avais envie, sans demander à être payée et donc sans contraintes. »

Rap gainsbourien ?
« Ce show contenait notamment La Bise aux hippies en duo avec Sacha Distel. La chanson est composée par Serge. La diction fait effectivement penser au phrasé des musiques actuelles. C’est lui qui m’avait appris cette façon de hacher les mots. Bon, les paroles ne méritent pas un prix Nobel de littérature, mais c’était très drôle ! »

Variations sur Vanessa ?
« J’adore cette petite. Vanessa Paradis a un physique, une voix, une personnalité, une pureté… Enfin, je la trouve adorable ! Elle fut aussi une interprète de Serge et on nous compare souvent. Cela dit, je ne trouve pas que nous nous ressemblions tellement. Elle a une grande finesse dans les traits, un visage de madone. Moi, j’ai un visage plus carré. »

Je t’aime moi non plus ?
« Un matin, Serge me réveilla pour m’annoncer : “Je t’ai écrit cette nuit la plus belle preuve d’amour du monde”. C’était Je t’aime moi non plus. D’une impudeur grandiose. À notre image. Il n’existe aucun document filmé du duo. Cette chanson a failli causer un drame, car j’étais alors mariée à Gunther Sachs… Il a fallu, vite fait, la mettre dans le coffre-fort de Philips. Plus tard, malgré le grand succès du duo avec Jane Birkin, Serge a ressorti notre version. Je trouve ça bien pour le public de savoir que nous l’avions créée tous les deux. »

Séparation ?
« Après notre séparation, il m’écrivit dans la détresse un vibrant hommage : Initials BB, qui reste la plus belle déclaration d’amour qu’un homme m’ait jamais faite. Derrière ses agressivités qui ont défrayé la chronique, Serge était tendre et vulnérable. Nous sommes restés proches. D’ailleurs en 1989, malgré son désespoir et son mal de vivre, il m’avait envoyé un chèque de deux cent mille francs pour ma fondation. »

Amour pour BB chanteuse ?
« Encore en 2011 ? Je n’en sais rien moi ! Mais tant mieux, ça, c’est bien alors… Ça prouve que les chansons n’ont pas vieilli. Harley Davidson est complètement actuelle. Elle est devenue un classique, bien que je n’aie jamais su conduire une moto, mais on s’en foutait. On s’amusait ! Aujourd’hui, les chansons se ressemblent toutes. Elles sont chantées dans une espèce de yaourt, ça gueule dans le micro et on ne comprend rien (rires) ! »
 
Source : Nice Matin
Partager cet article
Repost0

Il y a 20 ans, Gainsbourg nous quittait...

Publié le par Ricard Bruno

Le vingtième anniversaire de la mort de Serge Gainsbourg mercredi donne lieu à un foisonnement d'hommages, d'expositions et de rééditions, au premier rang desquelles l'intégrale de ses enregistrements agrémentée de versions "inédites".

 

Gainsbourg, génie musical... Gainsbarre, phénomène insolent. Il y a vingt ans, jour pour jour, Serge Gainsbourg tirait sa révérence, emporté par une 5ème crise cardiaque à l'âge de 62 ans. Ses chansons et son oeuvre n'ont pas pris une ride. Cet anniversaire donne lieu à un foisonnement d'hommages, d'expositions et de rééditions, au premier rang desquelles l'intégrale de ses enregistrements agrémentée de versions "inédites". Le coffret de 20 CD rassemble quelque 250 chansons, dont plus de 20 versions ou titres inédits.

Depuis fin décembre, le public peut déjà entendre sur les radios et internet une version chantée par Serge Gainsbourg de "Comme un boomerang", un titre qu'il avait écrit pour Dani. Dans l'intégrale, figurent également des versions instrumentales inédites de "Valse de Melody" et "Ah ! Melody", deux titres de l'album-culte "Histoire de Melody Nelson".

Mais les fans de Gainsbarre attendent surtout "L'Escroc", un titre qu'il avait enregistré pour servir d'interlude dans un film à sketchs. La chanson, qui avait été découpée en petits morceaux pour les besoins du film, a été remontée par Universal. La maison de disques publie également un double best-of, une double compilation de ses interprètes, de Juliette Gréco à Vanessa Paradis, la réédition vinyle de ses quatre premiers albums et de sa version de "Comme un boomerang", ainsi que le DVD "D'autres nouvelles des étoiles".


Ses plus belles chansons expliquées

Avec plus de 800 titres, Serge Gainsbourg, disparu le 2 mars 1991, a écrit sa vie en chansons, explique Gilles Verlant, auteur avec Loïc Picaud de "L'intégrale Gainsbourg" (ed FetJaine), qui raconte l'histoire de quelques unes de ses plus célèbres créations.
 
"La Javanaise" (1963)
 

"Devenu un des plus grands classiques du répertoire de Gainsbourg, La Javanaise aurait pu tomber dans l'oubli. La chanson est née un soir d'été que Serge Gainsbourg a passé au domicile de Gréco, à écouter de la musique classique et à déguster du bon vin. Mais la chanson n'a pas du tout marché à sa sortie, car Gréco remplissait les salles mais ne vendait pas de disques. A la suite du succès d'Aux armes et caetera, la maison de disques de Serge a ressorti son catalogue et un nouveau public a découvert son répertoire dans les années 80. Entre 1963 et le moment où la chanson redevient à la mode en 1988, il n'y en a eu que trois versions. Aujourd'hui, c'est la chanson qui rapporte le plus de droits à ses héritiers."


 
 
"Je t'aime moi non plus" (1967)
 
 "C'est Brigitte Bardot qui a réclamé à Serge une vraie chanson d'amour. Mais juste avant sa publication, elle le supplie de ne pas sortir ce duo sulfureux. Le disque est édité à dix exemplaires retenus dans le coffre-fort de la maison de disques. S'il faudra attendre 1986 pour entendre officiellement cette version, des fuites ont rapidement lieu et Serge lui-même la faisait écouter en cachette aux journalistes. En 1969, Gainsbourg enregistre une version avec Jane Birkin. Le Vatican appelle au boycott et parvient à faire stopper la production en Italie, en Espagne, au Portugal, au Brésil... En Angleterre, la BBC censure le titre qui devient quand même numéro un des ventes. Selon la légende, le reine des Pays-Bas serait une des instigatrices majeures de la censure du disque, Philips, la maison de disque de Gainsbourg étant une société néerlandaise."
 


 
"Aux armes et caetera" (1979)
 
 "L'adaptation reggae de +La Marseillaise+ relance la carrière de Serge après l'échec de L'homme à la tête de chou (1976) en même temps qu'elle crée un nouveau scandale. Comment est née l'idée de la chanson ? Gainsbourg s'attendait-il à de telles réactions ? On ne sait pas. La légende veut qu'il ait écrit toutes les paroles la veille d'enregistrer. Il expliquera dans la presse que le fameux refrain aux armes et caetera figure sur le manuscrit original de l'hymne où, dès le deuxième refrain, le texte est raccourci en cette formule. Mais ses détracteurs y voient une insulte à l'hymne national, il reçoit des menaces et l'éditorialiste du Figaro Magazine, Michel Droit, l'attaque dans un texte aux relents antisémites. Ca a été un vrai traumatisme pour lui et peut-être plus encore pour Jane Birkin. Elle a écrit une lettre à Michel Droit, tandis que Serge se contentait de lancer : on n'a pas le droit d'être aussi con".
 


 
"Mon Légionnaire" (1987)
 
 "Gainsbourg avait parfois des idées de chansons qui mettaient un certain temps à arriver à maturité. Il aimait cette chanson qu'il avait entendue quand il était gamin, interprétée par Marie Dubas et Edith Piaf. En 1984, quand il publie l'album +Love on the Beat+, c'est la première fois qu'un artiste d'une telle stature écrit et compose des chansons qui traitent de l'homosexualité. Il aurait été logique que Mon Légionnaire y figure. Mais Gainsbourg s'est entêté à chanter la chanson, car il voulait être fidèle à Piaf et Dubas. Il a passé des heures en studio en piquant des colères parce qu'il n'y arrivait pas. En 1987, quand il enregistre You're under arrest, il refait une tentative en talk-over (en parlant, ndlr), et cette fois, ça fonctionne".



Source : http://www.rtlinfo.be/info/magazine/musique/779358/il-y-a-20-ans-gainsbourg-nous-quittait-ses-plus-belles-chansons

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Mercredi 02 mars 2011 sur FR3 à 23h15 avec Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Mercredi 02 mars 2011 sur FR3 à 23h15 avec Brigitte Bardot ! (Déjà Diffusé)

l'homme qui aimait les femmes

 Réalisation: Pascal Forneri
Durée
: 109 min
 source >> programme tv sur guidetv.france3.fr

sgRésumé : Didier Varrod, journaliste, homme de radio, auteur, documentariste a croisé le chemin de Serge Gainsbourg en 1984, alors qu'il faisait ses premiers pas dans la presse. Une rencontre de celles qu'il n'a jamais oubliées, étant aussi témoin de sa dernière télévision sur France 3 dans «Les grands», en décembre 1990. A l'aube des vingt ans de la disparition de l'artiste, il cosigne avec le réalisateur Pascal Forneri, un documentaire intime sur ce mythe de la chanson française qui avait l'art et la manière de créer d'inoubliables titres, notamment pour ses muses...

 
(Merci Brigitte S)

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Annie Girardot : Le cinéma français l’a «laissée tomber»

Publié le par Ricard Bruno

Préambule: Je suis d'accord à 100% avec Mlle Brigitte Bardot et Henry -Jean Servat dans leur propos et leur commentaire.

Bruno ricard

Web Master du Blog "Brigitte Bardot"

....................................................................................................................................................................

Annie Girardot: le coup de gueule de Brigitte Bardot

Au lendemain de la mort d’Annie Girardot, Brigitte Bardot et Henry-Jean Servat ont pris la parole dans les médias pour défendre l’actrice, victime selon eux d’une grande injustice de la part de la «grande famille» du 7e art.

Parmi les nombreuses réactions qu’a suscitées le décès d’Annie Girardot, deux sortent du lot. Peut-être parce qu’elles sont un peu plus virulentes que les autres, davantage empreintes d’émotion et de tristesse.
Brigitte Bardot pour commencer. Les deux actrices ont partagé l’affiche du film Les Novices de Guy Casaril, en 1970, et depuis sont restées très proches. BB était une des seules à continuer de prendre des nouvelles d’Annie Girardot et a vu cette dernière glisser petit à petit dans l’oubli. Ce qui lui a valu cette réaction plutôt vive: «Annie, qui a été une actrice très importante, a été oubliée par cette famille, entre guillemets, du cinéma. Cette famille-là, qu’elle aille se faire foutre! Ce n’est pas une famille. Ces gens l’ont laissée tomber!».



Un avis que partage à 100% Henry-Jean Servat. Le journaliste était invité lundi de l’émission C à vous d’Alessandra Sublet, sur France 5. Il a poussé un véritable coup de gueule contre le cinéma français, fustigeant le comportement de ce dernier qui verse aujourd’hui «des larmes de crocodile» sur la mort de l’actrice. «Je me souviens que Truffaut qui est un cinéaste que pourtant on aime bien lui a fait une lettre qui est honteuse, lui reprochant qu’elle truquait, qu’elle était une femme d’artifices». Complètement lancé et intarissable, il a pointé du doigt la Nouvelle Vague qui, selon lui, «n’a jamais voulu faire travailler Annie Girardot, jamais! Alors maintenant on vient me dire qu'elle était bonne actrice… Elle a eu un hommage aux César? Elle n’a jamais eu d’hommage aux César, jamais. Elle a eu un César, mais jamais on a célébré Annie Girardot».

 

Allesandra Sublet a tout juste le temps de faire une petite remarque qu’Henry-Jean Servat repart de plus belle: «Il fallait la faire tourner cette femme. Moi j’ai tourné des émissions avec elle pour TF1, ils n’ont pas voulu les diffuser parce que c’était rien. J’ai fait des interviews quand est sorti Adieu blaireau, Libération n’en a pas voulues». Puis le journaliste achève sa diatribe: «Aujourd’hui, quand on vient me dire qu’Annie Girardot était une fille formidable, elle était dans une maison, solitaire. Seuls Delon, Hossein et Bardot prenaient des nouvelles d’elle. (…) Alors quand j’entends la profession qui sanglote sur Annie Girardot alors qu’ils l’ont laissée crever sans jamais la faire travailler, je trouve ça inimaginable».

Source : http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/annie_girardot_le_coup_de_gueule_de_brigitte_bardot_221730

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Exposition Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Au salon du disque, les collectionneurs exposent et font moisson de trésors!Au salon du disque, les collectionneurs exposent et font moisson de trésors

Exposition-disues-a-nimes-le-27-02-2011.JPG

Exposition-disues-a-nimes-le-27-02-2011--1-.JPG

Il s'appelle Jean-Paul mais écrit son prénom J.Pol, en référence à 'Pol'nareff, dont il est fan depuis 1966. Sa bible (son répertoire de collectionneur) dans le sac, il arpente les allées du salon du disque.

Sa collection est si vaste (il n'a pas loupé un seul concert des 27 de la tournée 2007 !) qu'il a peu d'espoir de tomber sur la pièce rare, mais il vient là   « trouver de quoi faire plaisir aux amis » et surtout échanger, passionnément, avec d'autres fans d'autres idoles.

Parmi lesquels Pierre, et son stand dédié à Brigitte Bardot.   « C'est Gainsbourg qui m'a emmené à BB », explique ce Nîmois, grand admirateur de l'homme à la tête de chou. Il y a dix ans, en pistant les productions de Gainsbarre, il s'est intéressé à ses interprètes et donc

 

à Brigitte Barbot. Depuis, la blonde boudeuse lui a donné l'occasion d'amasser quelques trésors, notamment des 45 tours rarissimes et nombre de pressages étrangers (japonais, espagnols, russes). Assez de pièces remarquables pour présenter cette exposition qui attire les connaisseurs.

Un nouvel engouement
Ainsi va la vie dans ce salon qui fête cette année son dixième anniversaire, en compagnie d'exposants fidèles depuis le premier jour.   « Je suis un organisateur heureux », commente Alain Vincent, membre de l'association Musique passion, qui met la manifestation sur pied.   « Nous avons de plus en plus de monde, c'est dire qu'il y a un véritable engouement pour le vinyle. Outre les collectionneurs, nous recevons beaucoup de particuliers qui font des recherches très précises. »

Hier matin, une heure après l'ouverture, 250 personnes avaient déjà passé la porte de la salle des Costières et fouillaient méthodiquement dans les bacs. À la recherche d'un plaisir qui sera inusable. Et pour des prix correspondant à toutes les bourses : de 50 centimes d'euros jusqu'à des galettes pouvant atteindre 250 ou 300 (les Beatles 1965). Nostalgie...

 

Source Article : http://www.midilibre.com/articles/2011/02/28/NIMES-Au-salon-du-disque-les-collectionneurs-exposent-et-font-moisson-de-tresors-1551763.php5

Partager cet article
Repost0

Annie Girardot...Brigitte Bardot : Sa réaction..

Publié le par Ricard Bruno

Je remet un article concernant Annie Girardot car j'en ai besoin..., je remet  la réaction de BB à la disparition de son amie "Annie", mon commentaire personnel à la réaction de Brigitte, et la filmographie d'Annie Girardot, en notant une chose que pas UNE CHAINE n'a mis au programme hier soir un des innombrables film qu'elle a fait, je vous laisse juge de ce q'il faut penser des chaines de télévision, pour ma part c'est une HONTE!

A l'annonce de la disparition d'Annie Girardot plusieurs personnalités ont tenu à adresser un mot en la mémoire de l'actrice. Interrogée par Le Parisien, Brigitte Bardot a eu des mots  très tendres pour la comédienne sans manquer de laisser éclater sa colère à l'égard du cinéma français.

"J’avais pour elle une infinie tendresse. Ma santé m’empêchait de la visiter mais mon secrétaire, Franck, lui apportait mes petits mots qu’on lui lisait…" confie Brigitte Bardot.

Malgré les hommages redus par les uns et les autres, Brigitte Bardot pointe une forme d'hypocrisie : "Annie, qui a été une actrice très importante, a été oubliée par cette famille, entre guillemets, du cinéma… Cette famille-là, qu’elle aille se faire f... ! Ce n’est pas une famille. Ces gens l’ont laissée tomber !"

Mon commentaire concernant la réaction de Mlle Brigitte Bardot  :  Brigitte a raison !!! Le cinéma a laissé tomber Annie Girardot pendant de longues années et tout d'un coup c'est un concert de louanges. A nous de démêler les hypocrites de ceux qui, comme Line Renaud, tenaient vraiment à cette femme exceptionnelle, injustement frappée par cette terrible maladie.

 

Bruno Ricard

 

Filmographie d'Annie Girardot

L'Homme aux clés d'or (1956)
Reproduction interdite (1956)
Le Rouge est mis (1957)
L'Amour est en jeu (1957)
Maigret tend un piège (1957)
Le Désert de Pigalle (1958)
La Corde raide (1959)
Recours en grâce (1959)
La Française et l'amour (1960)
Rocco e i suoi fratelli (1960)
La Proie pour l'ombre (1960)
Les Amours célèbres (1961)
Le Rendez-vous (1961)
Smog (1961)
Le Bateau d'Émile (1961)
Le Crime ne paie pas (1961)
Le Vice et la vertu (1962)
Pourquoi Paris ? (1962)
Il giorno più corto (1962)
Les Camarades (1963)
La Bonne Soupe (1963)
I Fuorilegge del matrimonio (1963)
Le Mari de la femme à barbe (1963)
L'Autre Femme (1963)
The Ape Woman (1964)
La Ragazza in prestito (1964)
Un monsieur de compagnie (1964)
Ah ! Les belles familles (1964)
Una voglia da morire (1964)
Déclic...et des claques (1964)
Guerre secrète (1965)
Trois chambres à Manhattan (1965)
Le streghe (1966)
Vivre pour vivre (1967)
Les Gauloises bleues (1968)
Story of a woman (1968)
La bande à Bonnot (1968)
It Rains in My Village (1968)
Dillinger Is Dead (Dillinger è morto, 1968)
Erotissimo (1968)
Metti una sera a cena (1969)
Il seme dell'uomo (1969)
Un homme qui me plaît (1969)
Clair de terre (1969)
Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas mais elle cause (1970)
Les Novices (1970)
Mourir d'aimer (1971)
La Mandarine (1971)
La Vieille Fille (1972)
Les Feux de la Chandeleur (1972)
Traitement de choc (1972)
Il n'y a pas de fumée sans feu (1972)
Elle cause plus, elle flingue (1972)
Juliette et Juliette (1973)
Ursule et Grelu (1974)
Le Soupçon (1974)
La Gifle (1974)
Il faut vivre dangereusement (1975)
Il pleut sur Santiago (1975)
Le Gitan (1975)
Docteur Françoise Gailland (1975)
D'amour et d'eau fraîche (1975)
Cours après moi que je t'attrape (1976)
A chacun son enfer (1976)
Jambon d'Ardenne (1976)
Le Dernier Baiser (1977)
Le Point de mire (1977)
Tendre Poulet (1977)
La zizanie (1978)
Vas-y maman (1978)
L'Amour en question (1978)
La Clé sur la porte (1978)
L'ingorgo – Una storia impossibile (1978)
Le Cavaleur (1978)
Cause toujours, tu m'intéresses (1978)
Bobo Jacco (1979)
On a volé la cuisse de Jupiter (1980)
Le Cœur à l'envers (1980)
Une robe noire pour un tueur (1981)
La vie en mauve / All night long (1981)
La vie continue (1981)
La Revanche (1981)
Liste Noire (1984)
Souvenirs, souvenirs (1984)
Partir, revenir (1985)
Adieu Blaireau (1985)
Prisonnières (1988)
Cinq jours en Juin (1989)
Comédie d'amour (1989)
Il y a des jours... et des lunes (1990)
Faccia di lepre (1990)
Toujours seuls (1991)
Merci la vie (1991)
Les Braqueuses (1994)
Les Misérables (1994)
Les Bidochon (1995)
Portagli I Miei Saluti aka Tentazioni Metropolitane (1997)
Préférence (1998)
L'Âge de braise (1998)
Ainsi soit nous (short, 2000)
T'aime (2000)
Des fleurs pour Irma (2001)
Ceci est mon corps (2001)
The Piano Teacher (La Pianiste, 2001)
Epsteins Nacht (2002)
La Prophétie des grenouilles (2004, voice of the elephant)
Je préfère qu'on reste amis... (2005)
Caché (2005)
Le Temps des porte-plumes (2006)
Christian (2006)
C'est beau une ville la nuit (2006)

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Annie Girardot...témoignages...

Publié le par Ricard Bruno

19 heures. s'est déclarée lundi «bouleversée, extrêmement choquée et triste» après l'annonce de la disparition de son amie Annie Girardot. «Je ressens un chagrin infini. Après la mort de qui m'a déjà rendue si triste, c'est comme si on m'avait enfoncé un nouveau clou dans le coeur», a confié Brigitte Bardot à l'AFP. «J'aimais infiniment Annie Girardot. Elle a eu une fin de vie dramatique. Ma santé m'empêchait de la visiter mais mon secrétaire Franck lui apportait mes petits mots qu'on lui lisait. J'avais pour Annie une infinie tendresse. Elle a eu une vie à la fois extraordinaire et dramatique», a ajouté l'ancienne actrice.

18h35. TF1, France 2, France 3 et TV5 vont bousculer leurs programmes de ce soir pour rendre hommage à la comédienne. Ainsi la première chaîne diffusera-t-elle «Annie Girardot: Ainsi va la vie» à 22h55, le bouleversant documentaire de Nicolas Baulieu, qui raconte mois après mois le combat de Girardot contre la maladie d'Alzeihmer.

18h30. Remarquant que la comédienne «avait servi les plus grands metteurs en scène français et italiens», le président de la République Nicolas Sarkozy a estimé dans un communiqué qu'Annie Girardot «avait mis l'alliage étonnant de force et de sensibilité qui caractérisait son immense talent au service d'oeuvres qui mettaient en valeur l'héroïsme ordinaire des classes populaires».

17h50. La ville de Montreuil (Seine-Saint-Denis) dédiera demain son centre local d'information et de coordination gérontologique (CLIC) à l'actrice, lors de l'inauguration, demain mardi.

17h45. «C'était une actrice populaire au sens le plus sublime, touchante et généreuse avec son public qui transcende les générations», salue Martine Aubry, première secrétaire du PS dans un communiqué. Pierre Laurent, secrétaire national du PCF remarque que «elle fut d'une incroyable dignité malgré une terrible maladie qui s'attaque à ce qu'il y a de plus terrible pour un comédien: sa mémoire».

17h40.
«Le public l'adorait. Elle a eu une carrière lumineuse, la pauvre petite...», confie à l'AFP, déchiré, le comédien Michel Galabru.

17h30. «Le cinéma français perd une de ses légendes», salue Jacques Chancel sur I>Télé.

17h20. Jack Lang, ancien ministre de la Culture, interrogé par l'AFP : «L'éblouissante carrière cinématographique d'Annie Girardot fait parfois oublier qu'elle fut d'abord une étonnante et rare actrice de théâtre. Sa gouaille irrésistible, sa puissance sur le plateau donnaient à tous ses rôles, un éclat, une force, une lumière incomparable (...) Sa personnalité dominait chaque oeuvre. Elle imprimait une marque inoubliable. Son nom était celui d'une icône jusqu'à perdre son prénom. Girardot restera à jamais comme un symbole de l'exigence artistique la plus élevée».

17h10. Robert Hossein, interrogé sur RTL : «j'ai une immense estime pour une immense comédienne. Je retiendrai d'elle, c'était quelqu'un qui avait un énorme caractère, une autorité terrible et puis une vie assez passionnée, assez tourmentée, quelqu'un d'extraordinairement attachant.... je trouve que c'est une grande perte pour la profession...»

17 heures. En septembre dernier, à l'occasion de la Journée mondiale de la maladie d'Alzheimer, la fille d'Annie Girardot, Giulia Salvatori, avait évoqué la maladie de sa mère dans une interview accordée au Parisien-Aujourd'hui en France. Relisez son témoignage bouleversant.

16h55. «Elle a incarné la femme idéale pour au moins deux générations de Françaises», salue le réalisateur Yves Boisset sur BFM TV. «C'est un pan du cinéma français qui disparaît».

16h50. Bertrand Blier, «sous le choc» à l'annonce du décès d'Annie Girardot, s'est souvenu avec émotion d'une personne «tellement drôle et douloureuse à la fois». «Les Français s'en souviennent comme d'une actrice qui avait joué dans beaucoup de comédies, elle avait pris un virage très populaire après 'Rocco et ses frères'. Mais elle était pleine d'émotion et de souffrance. Elle craquait facilement, comme sur la scène des César» en 1996.

16h40. Pour Mireille Darc, qui avait joué avec elle dans «Elle boit pas elle fume pas elle drague pas mais... elle cause», «Annie était une très, très grande. Jouer avec elle était un éblouissement. Elle était étonnante. Elle aimait la vie. Annie était une femme de coeur et était généreuse. Pour moi, c'était plus qu'un modèle sur le plan artistique. Annie pouvait incarner tous les rôles. En Italie, j'ai habité chez elle. C'était quelqu'un d'extraordinaire qui dévorait la vie».

16h30. Pour Line Renaud, «Annie était un monument du cinéma français, une immense actrice, très instinctive et toujours juste. Son départ est bouleversant. Je suis allée l'embrasser une dernière fois dimanche soir. Sa fille Julia et sa petite-fille Lola m'avaient appelée pour me dire que c'était la fin. Cela a été réconfortant de la voir entourée de tellement d'amour. J'ai trouvé Annie très paisible. Depuis tant d'années, nous avions une grande complicité. En 1995, on avait tourné 'Les Filles du Lido'. Depuis, on se surnommait 'Les Gourdasses' en souvenir du tournage».

16h25. Déposez votre hommage à Annie Girardot dans l'article dédié.

16h20. «Je n'ai pas eu la chance de la diriger», regrette le réalisateur Jean-Pierre Mocky. «C'était une comédienne née, elle s'amusait tout le temps». «Mais, a partir de 30-40 ans, elle est devenue différente, moins gaie».

16h10.
Interrogé sur BFM TV, le réalisateur Claude Pinoteau voit en Annie Girardot «une femme extrêmement attachante, parce qu'elle était simple et gaie». «Elle avait une personnalité très à part, peut-être parce qu'elle arrivait d'une famille très modeste», poursuit-il.

16h05. Pour Jean Rochefort, elle était «l'amie idéale» et «la partenaire idéale».

16 heures. «Annie Girardot était peut-être la plus grande actrice du cinéma français d'après-guerre», salue Claude Lelouch sur BFMTV. «Elle restera mon plus beau souvenir de réalisateur et d'homme. C'était une femme extraordinaire aussi bien devant la caméra que derrière», poursuit-il.

16 heures. Annie Girardot avait joué dans près d'une centaine de films. Parmi les plus connus : «Rocco et ses frères» ou «Mourir d'aimer». Retrouvez sa filmographie en vidéos.

15h50. «Elle est partie paisiblement. Maman et moi étions à ses côtés», a déclaré Lola Vogel, petite-fille d'Annie Girardot.

15h40. Annie Girardot est décédée lundi à Paris, annonce sa famille. Elle avait 79 ans.

 

Bruno Ricard

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

Annie Girardot : Brigitte Bardot bouleversée...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot s'est déclarée lundi "bouleversée, extrêmement choquée et triste" après l'annonce de la disparition de son amie Annie Girardot.
"Je ressens un chagrin infini. Après la mort de Maria Schneider qui m'a déjà rendue si triste, c'est comme si on m'avait enfoncé un nouveau clou dans le coeur", a confié Brigitte Bardot.

"J'aimais infiniment Annie Girardot. Elle a eu une fin de vie dramatique. Ma santé m'empêchait de la visiter mais mon secrétaire Franck lui apportait mes petits mots qu'on lui lisait. J'avais pour Annie une infinie tendresse. Elle a eu une vie à la fois extraordinaire et dramatique", a ajouté l'ancienne actrice.
Brigitte Bardot a estimé "qu'Annie, qui a été une actrice très importante, a été oubliée par cette famille entre guillemets du cinéma".
"Cette famille-là, qu'elle aille se faire foutre! Ce n'est pas une famille. Ces gens l'ont laissée tomber!", a dit encore B.B., estimant toutefois que cette "disparition est aussi une délivrance pour Annie".

 

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/02/28/97001-20110228FILWWW00635-girardot-bardot-se-dit-bouleversee.php

Publié dans le web en parle

Partager cet article
Repost0

<< < 1 2 3 4 5 6