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Brigitte Bardot : une icône...

Publié le par Ricard Bruno

L’exposition consacrée à Brigitte Bardot dans le cadre de l’espace Landowski à Boulogne-Billancourt connaît un tel succès qu’il a fallu la prolonger jusqu’au 7 mars prochain. Quelles sont les raisons de cet engouement ?

Affiche de l'exposition

 

Il s’agit d’abord de rendre un juste hommage à notre star nationale qui, selon Valéry Giscard d’Estaing, incarne la beauté française, comme les nymphes de Jean Goujon.

Mais si Brigitte nous renvoie l’image de la blonde beauté de nos chansons d’antan, elle incarne aussi l’esprit gaulois : une fière indépendance à l’égard des préjugés, des convenances mondaines et des combines carriéristes ou financières, « un art d’être sans contraintes ni carcan, assimilé hier à l’immoralité, aujourd’hui à du racisme et autre incitation à la haine raciale » (1). C’est pourquoi l’idée de donner ses traits au buste de Marianne qui orne, depuis 1969, nos mairies est géniale. Brigitte Bardot a le beau visage de la liberté, comme elle en a l’esprit.

Une telle conjoncture devait déterminer un destin exceptionnel : quel roman que la vie de notre B.B. nationale !

Née à Paris le 28 septembre 1934 dans une famille bourgeoise, Brigitte se crut d’abord destinée à la danse qu’elle pratiqua dès l’enfance, mais la photographie s’empare de son lumineux physique : à quinze ans elle pose pour les magazines Elle et Veillée des chaumières en petit mannequin bien sage, puis le cinéma jette son dévolu sur cette ravissante adolescente et ne la quittera plus. Elle débute en 1951 avec un second rôle au côté de Bourvil dans Le trou normand. Les contrats vont alors se succéder à un rythme accéléré tout au long des années 1950 et 1960 : B.B. tournera une quarantaine de films révélant un charme envoûtant, un talent instinctif, alors qu’elle n’a fréquenté aucun des cours d’art dramatique où se forment les acteurs. Son succès prend très vite une dimension mondiale, parfois teintée de scandale pour des apparitions jugées à l’époque trop dénudées qui attachent à sa personne une image scandaleuse que la vie privée de la vedette ne dément pas.

Brigitte Bardot et Jacques Charrier

 

Après un mariage malheureux avec Vadim, puis Jacques Charrier qui lui donne un fils nommé Nicolas, B.B. s’amourache de divers partenaires, telle un Don Juan féminin amoureux de l’amour et refusant la fidélité. Elle se stabilisera, la soixantaine venue, en épousant Bernard d’Aumalle, un ami de Le Pen, au grand scandale des milieux médiatiques dominés par la gauche.

La vie peu édifiante de la comédienne l’a exposée à la réprobation des autorités morales: les Témoins de Jéhovah la vouent à la damnation éternelle ; à l’exposition universelle de Bruxelles en 1958, le pavillon du Vatican, décoré sur le thème des sept péchés capitaux, était orné d’une photographie de Brigitte Bardot pour illustrer la luxure. Mais les hommes d’Eglise le savent : à qui aura beaucoup aimé il sera beaucoup pardonné, et celle qui vit au pays où sainte Marie Madeleine, la pécheresse repentie de l’Evangile, finit son existence terrestre, comptera au Jugement dernier des avocats de poids, à commencer par saint François d’Assise.

Son amour des animaux

En 1973 Brigitte Bardot décide de quitter en pleine gloire une éblouissante carrière. Elle a confié au public la raison d’un choix délibèré: « J’ai donné ma jeunesse et ma beauté aux hommes, je donne ma sagesse et mon expérience aux animaux. » Déjà en 1962 elle s’était publiquement élevée contre les conditions d’abattage des petits animaux, chèvres, veaux et moutons, rencontrant l’approbation du général De Gaulle qui appréciait « la simplicité de bon aloi de cette femme ». Onze ans plus tard, B.B. entre en sa religion : Aphrodite fait place à la Potnia Thèron des Anciens,  maîtresse des fauves et des animaux. Elle entame un combat contre les souffrances inutiles infligées aux animaux de toutes sortes, contre la chasse aux bébés phoques et de manière générale contre l’usage de la fourrure animale dès lors que l’industrie textile peut la remplacer, contre les conditions horribles de transport vers les abattoirs et l’élevage industriel qui chosifie des êtres vivants, souffrant de la négation du comportement pour lequel ils sont naturellement programmés, contre la chasse, la corrida, la zoophilie, l’hippophagie, le gavage des oies et des canards.

La Fondation Brigitte Bardot, créée en 1986 grâce à la vente des bijoux, œuvres d’art, effets personnels de la vedette, finance la recherche sur les solutions alternatives à la vivisection par des études en laboratoire sur les cellules, et favorise l’adoption d’animaux abandonnés.

Enfin, last but not the least, notre B.B. nationale ose émettre des protestations publiques contre l’abattage rituel, particulièrement fréquent au moment de la fête musulmane de l’Aïd el kebir ; elle a beau invoquer nos coutumes ancestrales, la loi Grammont, les lois française et européenne obligeant les bouchers des abattoirs à étourdir l’animal avant de le tuer, c’est peine perdue, car elle prête ainsi le flanc à l’accusation qui tue aujourd’hui : le racisme. Avant le MRAP, le syndicat des fourreurs avait utilisé l’argument : du moment que des lois nazies avaient humanisé l’abattage, Brigitte Bardot se voyait stigmatisée en nouvelle Eva Braun ! Elle a perdu cinq procès en diffamation mais persiste et signe.Bargot vs Quick Aux dernières nouvelles notre star nationale a demandé aux gestionnaires de la chaîne de restauration rapide Quick de renoncer à proposer aux clients de la viande hallal provenant de bêtes égorgées sans étourdissement préalable et tournées vers La Mecque.

Brigitte Bardot humaniste et moraliste

Brigitte Bardot a publié des mémoires exprimant toute sa sagesse. Elle y dénonce avec pertinence les divers aspects de notre décadence : la pornographie, la violence qui commence par s’attaquer aux animaux avant de s’en prendre aux êtres humains, l’idéologie du gender qui nie la nature féminine, l’homopholie et l’exhibitionnisme des gay-prides, la plongée dans les abîmes de l’anarchie du fait d’une immigration incontrôlée. Ces propos de bon sens ne pouvaient que soulever l’indignation du monde médiatique, et les Fogiel et les Ruquier n’ont pas manqué de se déchainer contre celle qui dit tout haut ce que le peuple français pense tout bas, comme le prouvent les fabuleux tirages de Un cri dans le silence ou de Pourquoi.

Nul n’est prophète en son pays, dit-on, mais on a su rendre hommage à notre Brigitte sous d’autres cieux: les Autrichiens lui ont attribué le prix My Way en 2002 pour son engagement en faveur des animaux après le professeur Barnard et avant Jean-Paul II (!), puis Lech Walesa, qui compte d’ailleurs parmi les amis de notre star.

La bonté proverbiale de la Dame de la Madrague (2), petit paradis terrestre où chiens et chats voisinent avec toute une basse-cour et un cochon familier, rayonne aussi sur les êtres humains : Brigitte est la providence des vieillards sans ressources du pays auxquels elle prodigue visites et cadeaux, elle a remué ciel et terre pour sauver le village d’orphelins de Joséphine Baker, elle s’occupe d’enfants atteints de maladies graves, elle s’est engagée dans des campagnes en faveur de quelques condamnés à mort qu’elle jugeait innocents. Voilà qui devrait faire cesser les calomnies des bonnes âmes qui s’indignent à l’idée que l’on consacre de l’énergie à la cause des animaux au lieu de la réserver exclusivement aux êtres humains, comme si l’amour de la création excluait l’amour de l’humanité. Brigitte n’a aucune dureté de cœur, elle se consacre à ceux que la plupart d’entre nous négligent, torturent et sacrifient sans scrupule parce qu’ils ont le malheur d’être utiles à l’homme.

On pourrait s’étonner que le combat de Brigitte Bardot soit aussi solitaire : les écologistes qui clament à tout venant le devoir de préserver la nature ne se bousculent pas pour la soutenir. S’ils préfèrent s’attaquer aux producteurs de CO2, ce n’est pas seulement par réflexe grégaire de gauchistes à l’égard d’une femme marquée à droite. C’est surtout parce que la surexploitation animale se trouve au coeur du système mondialiste, dont les Verts sont les propagandistes fanatiques. Alfred Jarry fait apostropher le Père Ubu en ces termes par son épouse: « Si vous ne leur donnez des viandes et de l’or, vous perdrez le pouvoir tout à l’heure ! » Tant que les hommes auront leur ration quotidienne de boeuf aux hormones, de porc ou de poulet élevé en batterie, ils ne se révolteront pas contre les maux du mondialisme que les écologistes se garderaient bien de mettre en question. La foule qui se presse depuis quatre mois à l’Espace Landowski de Boulogne-Billancourt vient y voter avec ses pieds pour une icône de l’identité nationale.

Claire Magnard
10/02/2010

1) E.Bonini:Brigitte Bardot. Editions Alphée.

2) La Madrague, près de St Tropez, proprièté de B.B

Source : http://fr.novopress.info/50948/b-b-une-icone-de-lidentite-nationale/

Publié dans le web en parle

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Non aux cirques avec animaux...

Publié le par Ricard Bruno

Numéro de voltige devant le cirque Pinder

Manifestation. Opposés à la captivité des animaux, ils ont protesté, hier, à l'entrée du parking du Zénith.

Parents et enfants unis dans la défense des animaux devant le Zénith où est installé le cirque Pinder. Photo DDM, Frédéric Charmeux.
Parents et enfants unis dans la défense des animaux devant le Zénith où est installé le cirque Pinder. Photo DDM, Frédéric Charmeux.

Le spectacle était autant à l'intérieur du chapiteau que devant le cirque Pinder, hier après-midi, sur le parking du Zénith. Une vingtaine d'opposants à la captivité des animaux sauvages s'est réunie avec des banderoles où l'on pouvait lire : « Pour des cirques sans animaux », « Prisonniers à vie ! Mais pour quels crimes ? » ou encore « Les animaux ne sont pas des clowns »…

Munis de tracts pour dénoncer les conditions de vie des bêtes, ils ont été entraînés dans un drôle de numéro de voltige par le personnel du cirque Pinder. Au volant de leurs camions publicitaires et au son d'une célèbre musique des arts de la piste, le personnel du cirque a contraint les manifestants à se déplacer d'un côté à l'autre de la voie d'accès au parking, au rythme d'un ballet mouvementé. C'est finalement, un peu plus loin que les manifestants ont trouvé la quiétude pour informer les spectateurs.

Polémique juridique

« Nous nous retrouvons maintenant depuis trois ans sur le parking du Zénith où s'installe le cirque Pinder pour protester contre les mauvais traitements infligés aux bêtes », indique Ludovic du collectif Animal Libre qui appelait à la manifestation avec d'autres associations comme Animal Amnistie, Agir pour les animaux ou encore la fondation Brigitte Bardot, notamment. « Nous demandons un cirque sans animaux mais aussi l'application d'une décision de justice qui vient de condamner le cirque Pinder pour détention illégale de deux éléphants et d'un jaguar. Ils doivent être saisis comme l'ordonne la loi ».

Agacé par cette polémique, Gilbert Edelstein, président du Syndicat National du Cirque et PDG du Cirque Pinder Jean-Richard conteste les faits : « Je n'ai reçu aucune notification du tribunal et nous avons obtenu des relaxes pour tout ce qui nous est reproché. Ces gens-là sont des intégristes qui infiltrent les institutions. Nous préparons une grande manifestation à Paris pour être écoutés et pour pouvoir continuer à faire notre travail ».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/28/786683-Numero-de-voltige-devant-le-cirque-Pinder.html
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Déclaration de Brigitte Bardot : Boycot de la viande...

Publié le par Ricard Bruno

Paris, le26 février 2010

 

 

 

 

 

 

 

Brigitte Bardot :

 

« Je demande aux Français de faire une grève de la viande ! »

 

 

 

Chaque jour, en France, des milliers d’animaux sont égorgés sans étourdissement, puis vendus dans tous les réseaux de distribution, sans que le consommateur soit informé des conditions cruelles d’abattage.

 

Ces animaux sont saignés puis laissés à l’agonie durant de longues et douloureuses minutes, suspendus encore conscients avant d’être découpés pour alimenter, d’une part, le marché halal et cascher mais aussi la distribution générale en infraction totale à la réglementation française et européenne qui imposent l’étourdissement préalable des animaux.

 

Cette viande issue d’une souffrance animale extrême (liée à certaines pratiques religieuses) se retrouve partout et à l’insu de tous les consommateurs pris en otages.

 

Alors je supplie les Français de ne plus accepter l’inacceptable, de se révolter et ne plus être complices des horreurs perpétrées dans les abattoirs.

 

Je demande aux Français de faire une grève de la viande pour ne plus être trompés en consommant, sans le savoir, des produits issus d’abattages rituels (musulman et juif) qui entraînent une souffrance animale extrême, insupportable et injustifiable.

 

J’ai combattu et combattrai toujours l’horreur des abattoirs, la torture infligée aux bêtes jusqu’à leur dernier souffle, mais rien ne change car nous nous comportons aujourd’hui encore avec la même barbarie, la même indifférence coupable face à un abattage qui montre toute l’inhumanité de l’homme vis-à-vis de l’animal.

 

Si on ne peut rien attendre des politiques pour, au minimum, faire respecter la réglementation, alors les citoyens doivent agir !

           Brigitte Bardot

             Présidente
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Bruno Ricard

Bonjour,

 

Face à la généralisation et la banalisation de l’abattage rituel en France, Brigitte Bardot lance un appel pour une « grève de la viande ».

 

Par ailleurs, la Fondation Brigitte Bardot et l’association belge GAIA viennent de saisir la Commission européenne afin qu’une procédure soit engagée contre la France et la Belgique pour non respect de la réglementation européenne sur l’abattage :


http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40237
 


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Abattage rituel : La commission Européenne interpellée...

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot et l’association GAIA demandent à la Commission européenne de sanctionner la France et la Belgique pour non respect de la réglementation sur l’abattage.
 

Source :

Paris, le 25 février 2010

Monsieur John Dalli
Santé et Politique des Consommateurs
Commission européenne
Rue de la Loi, 200
B – 1049 Bruxelles

Monsieur le Commissaire,

Sous la précédente Commission, nous avons pu apprécier quelques avancées significatives en matière de défense et respect des animaux, que ce soit grâce au courage de Stavros Dimas qui a proposé et obtenu que l’Europe ne soit plus complice du massacre des phoques, ou à votre prédécesseur, Markos Kyprianou, qui a pris l’initiative d’un ambitieux plan d’action pour la protection et le bien-être des animaux.

Aujourd’hui, la Fondation Brigitte Bardot et l’association GAIA (Groupe d’Action dans l’Intérêt des Animaux) tiennent à vous alerter des dérives constatées, en France et en Belgique, dans la pratique de l’abattage rituel (musulman et juif).

Depuis plusieurs années déjà, nos deux organisations dénoncent, preuves à l’appui, la cruauté de l’égorgement des animaux en toute conscience dans les abattoirs, sans étourdissement préalable, qui condamne les bêtes à une longue et douloureuse agonie.

Nos interventions répétées auprès des autorités françaises et belges n’ont abouti à aucune amélioration, bien au contraire, puisque les abattoirs généralisent désormais la saignée des animaux à vif, faisant de « l’exception » prévue dans les textes une règle générale, ce qui constitue une infraction manifeste à la réglementation européenne.

Un sondage réalisé par l’IFOP*, en décembre 2009, montre que les Français sont seulement 24 % à accepter de consommer de la viande issue d’un animal abattu sans étourdissement préalable alors que, d’après le rapport du COPERCI (comité permanent de coordination des inspections) « Enquête sur le champ du Halal », 80 % des ovins seraient égorgés en France sans étourdissement préalable. C’est aussi le cas, selon le secteur des abattoirs, de 92 % des ovins abattus en Belgique.

Même si le ministère français de l’Agriculture tente de minimiser ces chiffres en les ramenant à 48 %, il n’en demeure pas moins vrai que la généralisation de l’abattage rituel et sa distribution dans le circuit classique, sans aucune indication, est inacceptable et constitue une tromperie pour le consommateur mais aussi un détournement de la législation.

En effet, dans les rites musulmans et juifs, une grande partie de l’animal ne peut être consommée car elle n’est ni « halal » ni « casher ». Après inspection par les sacrificateurs, des carcasses entières sont refusées et tous ces produits issus de l’abattage rituel se retrouvent dans le circuit classique. Dès lors, l’exception prévue (à l’obligation d’étourdissement préalable) dans le cadre de l’abattage rituel ne peut être justifiée puisque la viande n’est pas étiquetée halal ou casher.

Les contacts pris auprès des différents acteurs de la filière démontrent que la plus forte opposition n’émane pas des représentants des cultes mais de l’industrie et du commerce des viandes, en particulier des abattoirs... C’est inacceptable !

Les distributeurs généralisent et banalisent, eux aussi, les produits issus d’abattages rituels comme nous pouvons le constater aujourd’hui avec la chaîne de « restaurants » Quick qui propose, dans certains de ses établissements en France, de la viande bovine provenant exclusivement de bêtes saignées à vif profitant ainsi de l’ignorance des consommateurs.

En Belgique, l’association GAIA a pu mener, fin 2009, une investigation dans 11 abattoirs belges pratiquant l’abattage rituel. Le constat est toujours le même, les animaux sont égorgés puis laissés à l’agonie durant de longues minutes, les bêtes sont placées les unes à côté des autres et assistent à la mise à mort de leurs congénères avant d’être saignées à leur tour, en contradiction également avec les préceptes religieux

…/…
En France, la Fondation Brigitte Bardot a pu dresser le même constat. Comme il ne nous revient pas de porter une appréciation théologique, nous nous baserons sur le cahier des charges « halal » de la grande Mosquée d’Evry-Courcouronnes qui fixe comme principe, notamment, de ne pas montrer le couteau à l’animal sacrifié ni de l’égorger devant un autre… Ces comportements « haram » ont pourtant été systématiquement observés par la Fondation Brigitte Bardot sur les différents sites d’abattage contrôlés.

Il n’y a aucune raison que l’abattage rituel déroge à l’obligation d’étourdissement préalable des animaux, le cahier des charges « halal » précisant même : « Le calme, des sujets à égorger, provoqué par l’électronarcose est toléré, du moment que ce procédé ne provoque pas la mort. »

Cette position rejoint celle du Dr Dalil Boubakeur, Recteur de l’Institut musulman de la Grande Mosquée de Paris, et de nombreuses autres personnalités musulmanes qui affirment, elles aussi preuves à l’appui, que l’Islam n’est pas hostile à l’étourdissement dès lors que ce dernier est réversible.

Cette réversibilité a été démontrée par l’Académie vétérinaire de France qui, dans son rapport « sur le degré de réversibilité de l’étourdissement des animaux d’abattoir tel qu’il est pratiqué en France » indique que : « l’étourdissement électrique des animaux de boucherie, et notamment des ovins, est réversible s’il est correctement appliqué ».

Toujours selon le sondage IFOP réalisé en décembre dernier, les Français désapprouvent à 72 % la dérogation de ne pas étourdir les animaux avant leur abattage.

Les instances scientifiques sont aujourd’hui nombreuses à dénoncer la cruauté de l’abattage rituel. D’après la Fédération des vétérinaires d’Europe : « l’abattage des animaux sans étourdissement préalable est inacceptable en toute circonstance ».

En décembre 2009, l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) a présenté son premier rapport d’expertise sur la douleur animale. Dans le domaine de l’abattage rituel, il ressort une grande variabilité pour la perte de conscience des bovins, après la saignée, pouvant aller jusqu’à 14 minutes lors de la formation de faux anévrismes qui concerneraient, toujours d’après le rapport d’expertise de l’INRA : « 17 à 18 % des animaux lors d’abattages musulman (halal) et juif (shechita) ».

Monsieur le Commissaire, nous ne pouvons pas tolérer de voir se généraliser l’égorgement des animaux en toute conscience et dans la souffrance, c’est pourquoi nous sollicitons votre intervention.

La Commission européenne se doit d’agir et de sanctionner la France qui généralise l’abattage sans étourdissement préalable, faisant de « l’exception » la règle générale. Elle doit également sanctionner la Belgique si aucune suite n’est donnée aux investigations menées par l’association GAIA dans les abattoirs du pays.

Notre démarche ne vise nullement à stigmatiser telle ou telle pratique religieuse, telle ou telle communauté, notre devoir est seulement de dénoncer la cruauté et la barbarie qui s’exercent aujourd’hui encore à l’encontre des animaux.

Dans l’attente de votre réaction et l’espoir de pouvoir vous rencontrer, soyez assuré, Monsieur le Commissaire, de toute notre considération.



Brigitte Bardot
Présidente
Fondation Brigitte Bardot
Michel Vandenbosch
Président
GAIA






* Les Français et l’étourdissement des animaux avant leur abattage – Sondage IFOP réalisé du 8 au 10 décembre 2009 sur un échantillon de 1015 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, pour le compte de la Fondation Brigitte Bardot, de l’Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs, la Société Nationale pour la Défense des Animaux et l’association Stéphane Lamart.

 

 


Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40237
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Fleurance. Elle milite pour le droit des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Rencontre. Caroline Canu relaye des associations.

Caroline Canu a déjà recueilli plus animaux abandonnés. Photo DDM, Jpdg.

Caroline Canu est la correspondante et enquêtrice locale pour la fondation pour les animaux de Brigitte Bardot. Elle est également bénévole sur le terrain pour l'association de Stéphane Lamart qui se mobilise pour la défense des droits des animaux. «Je trouve sur la ville beaucoup de maltraitance et d'excès de mauvais comportement envers les animaux», confie-t-elle, «par exemple, il y a près de deux mois, on a trouvé un chien perdu au pont du Gers. Il y a aussi des chiens attachés sur simplement un mètre de chaîne au pied d'escalier de balcon. On m'a relaté également des chiens enfermés dans des caisses de transport. Autant de conditions inacceptables pour les animaux, comme j'ai pu avoir le témoignage dernièrement d'un chien enfermé et oublié dans un coffre de voiture». Elle parle également de chevaux restés en plein été, sans eau ni fourrage pendant plusieurs jours. Sans compter les chats abandonnés autour des maisons. «Il est difficile de penser que Fleurance a autant de chats que d' habitants», ajoute Caroline Canu. Elle dénonce également les disparitions mystérieuses d'animaux: chiens de chasse, dans les jardins, comme chats domestiqués. «Déjà beaucoup de personnes me connaissent et m'amène des animaux», confie cette bénévole, «j'ai ainsi recueilli onze chats, deux chiens, lapins, tortues, oiseaux, des animaux dont les propriétaires se sont lassés. On doit prendre conscience que les animaux ne sont pas des jouets. Nous devons nous regrouper entre bénévoles pour essayer d'éradiquer maltraitance et abandon de plus en plus nombreux. Il faut être conscient que l'on est passible d'amende et même de prison, lorsqu'on maltraite les animaux».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/24/783609-Fleurance-Elle-milite-pour-le-droit-des-animaux.html

Publié dans le web en parle

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Non aux montreurs d'ours à Montpellier : La fondation Brigitte Bardot dénonce.

Publié le par Ricard Bruno

Pour réagir contactez la mairie de Montpellier : http://www.montpellier.fr/114-contacter-la-mairie.htm

Bruno Ricard

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La fondation de la star s'indigne auprès du maire de Montpellier à propos d'un spectacle de montreurs d'ours.

Hélène Mandroux "griffée" par Brigitte BardotHélène Mandroux griffée par Brigitte Bardot
ANIMAUX : La fondation de la star s'indigne auprès du maire de Montpellier à propos d'un spectacle de montreurs d'ours


Comme si "l'ours Frêche" ne suffisait pas... Hélène Mandroux vient de recevoir un courrier de la fondation Brigitte Bardot. La star aujourd'hui dévouée à la protection des animaux s'indigne quant à la tenue d'un spectacle de montreurs d'ours qui doit se tenir du 3 au 27 juin, à Montpellier, dans le cadre du Printemps des comédiens.
Un coup de griffe dans l'eau puisque cet événement culturel, qui existe depuis 1987, est une initiative du conseil général et n'est donc pas du ressort de la mairie.
Sur le thème de "La route des Tziganes", le festival a effectivement programmé la venue des montreurs d'ours Poliakov. Pour la fondation Brigitte Bardot, il s'agit là « d'une utilisation scandaleuse de ces animaux sauvages, d'une exhibition indigne et immorale dans laquelle la nature même de l'animal est inhibée et asservie pour le seul plaisir de l'homme. » Et de poursuivre l'argumentaire dans le but de faire annuler l'événement. « La plupart de ces animaux sont enfermés dans une petite cage et trimbalés sur les routes de France, d'une ville à l'autre. Pour une heure de spectacle par jour, combien de kilomètres vivent-ils enfermés ? Ne pensez-vous pas que cela relève de la maltraitance ? » Du côté de l'organisation du Printemps, on ne culpabilise pas pour autant. Daniel Bedos : « Les Poliakov font partie des rares professionnels dans ce domaine à présenter toutes les garanties et toutes les autorisations. Je dirais même qu'ils ont plus de respect pour les animaux que certaines personnes pour les humains... Ce projet artistique n'est pas de la provocation. L'ours est l'animal emblématique et sacré des Tziganes et a parfaitement sa place dans notre festival. » Pour Jacques Atlan, conseiller général à la culture , « il ne faudrait donc plus avoir de poisson rouge ni de chien en laisse ? La relation entre les Tziganes et les ours dépasse largement BB et la date de son combat. Ça fait franchement sourire, qui plus est venant d'une personne qui a évolué dans le spectacle toute sa vie. On a l'impression que, plus elle avance dans l'âge, plus son champ de vision de la réalité se rétrécit. Nous sommes non seulement à l'aise mais très fiers de ce spectacle et nous invitons Brigitte Bardot à venir voir que ces ours ne se portent ni plus mal ni moins mal que ses chiens à elle ! » En attendant, Hélène Mandroux poursuit son vrai combat dans l'arène politique.

Source : http://www.midilibre.com/articles/2010/02/24/MONTPELLIER-Helene-Mandroux-griffee-par-Brigitte-Bardot-1124229.php5#contribution#contribution#reaction
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Les défenseurs des animaux s’insurgent contre Quick et la viande halal

Publié le par Ricard Bruno

 


Rejoignant le combat de Brigitte Bardot, l’association strasbourgeoise Animalsace, qui milite pour la défense des intérêts des animaux et pour la promotion du végétarisme en Alsace, demande à l’enseigne Quick, dans un communiqué publié sur son site aujourd’hui, de cesser la commercialisation de viande halal : « Sans prendre part à la controverse politique qui entoure cette décision de la marque Quick, indique l’association, nous demandons à Quick, sur le seul terrain de l’éthique, de renoncer à cette décision. En effet, nous considérons que l’abattage rituel pose avant tout un problème éthique, celui de la souffrance animale. » En citant un article du Figaro paru le 21 septembre 2009 (De la viande halal vendue comme non halal), l’association rappelle que « au delà de la décision de la marque Quick, en France (2006-07) 28 % des bovins, 43 % des veaux et 62 % des ovins et caprins ont été tués en abattage rituel ».

Elle adresse également une lettre à Daniel Cohn-Bendit, pour déplorer sa déclaration de vendredi 19 février sur LCI à propos des restaurants halal de Quick : « Et alors ? Si vous voulez manger d’autres viandes, allez autre part. » « Le représentant d’un grand parti écologiste, estime-t-elle, ne peut se permettre de rester aveugle au problème du bien-être animal en banalisant ainsi la pratique de l’abattage rituel. »

Source : http://alsace.novopress.info/1357/les-defenseurs-des-animaux-s%E2%80%99insurgent-contre-quick-et-la-viande-halal/

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La jupe, symbole d'oppression ou de libération?

Publié le par Ricard Bruno

Il n'y a pas à dire la jupe va à ravir à Brigitte Bardot!
Bruno Ricard

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Lorsque la jupe sublime le corps de la femme en général, et de Brigitte Bardot en particulier (ici dans les années 1950).

Symbole d'oppression ou de libération, la jupe? L'historienne Christine Bard revient dans un livre sur l'épopée de ce vêtement, attribut controversé de la féminité.

Rétines et pupilles, les garçons ont les yeux qui brillent, pour un jeu de dupes, voir sous les jupes des filles (...)" Bien sûr qu'il n'est pas dupe, Alain Souchon, quand il fredonne sa chanson légère. Pour autant, sait-il vraiment "ce que soulève la jupe"? C'est ce qu'a exploré Christine Bard, professeure d'histoire contemporaine à l'université d'Angers, dans son dernier livre à paraître début mars aux éditions Autrement. Un regard féministe sur ce vêtement qui questionne en profondeur les frontières du féminin et du masculin.

Depuis 2005, les hôtesses d'Air France ont le choix entre jupe et pantalon (à gauche).

DR

Depuis 2005, les hôtesses d'Air France ont le choix entre jupe et pantalon (à gauche).

Alors, êtes-vous plutôt jupe ou pantalon?

[Sourire.] Disons que j'ai évolué, peut-être en raison du travail de recherche que je mène depuis plusieurs années sur l'histoire du pantalon, qui m'a conduite à m'intéresser, par ricochet, à la jupe. Je suis donc revenue vers la jupe. Et je la vois avec plus de nuances et de tendresse qu'autrefois... Surtout depuis que des garçons la portent eux aussi.

La question n'est pas aussi futile que cela...

Bien sûr, et l'actualité le montre. En 2006, des lycéens bretons ont organisé la première Journée de la jupe. Constatant que certaines filles venaient toutes au lycée en pantalon alors qu'elles aimaient porter des jupes en dehors, ils ont imaginé une journée dévolue à la jupe, où elles devaient "oser" ce vêtement à l'école. Cette journée a permis de débattre des relations entre les sexes, de sexualité, de séduction, de violence... Au printemps dernier, le succès du film, avec Isabelle Adjani, a remis la jupe au coeur du débat, notamment sur les rapports entre garçons et filles.

Les lycéennes de Saint-Aubin-du-Cormier, en Bretagne, à l'origine, en 2006, de la Journée de la jupe, organisée pour lutter contre les préjugés.

Fred Dufour/AFP

Les lycéennes de Saint-Aubin-du-Cormier, en Bretagne, à l'origine, en 2006, de la Journée de la jupe, organisée pour lutter contre les préjugés.

Comment la jupe est-elle devenue un attribut de la féminité?

Elle symbolise depuis très longtemps le genre féminin, mais ça n'a pas toujours été le cas. Dans le monde méditerranéen, les hommes portent plutôt des vêtements ouverts. Les Romains portaient la toge et les Gaulois, des braies, des culottes longues. Ce n'est donc pas de toute éternité que les hommes portent un vêtement fermé. Néanmoins, le principe même de la différenciation des genres par le vêtement est très ancien. C'est d'ailleurs un principe religieux, puisque le Deutéronome interdit le travestissement.

La jupe est pourtant bel et bien devenue féminine...

La jupe peut être interprétée de différentes façons selon les époques, les lieux, les styles, les circonstances pour lesquelles on la porte. Dans le dictionnaire, elle est définie comme une "partie de l'habillement féminin qui descend de la ceinture à une hauteur variable". Son genre est donc fixé. Pendant des siècles, en France, le vêtement fermé était masculin et le vêtement ouvert, féminin. Cette différence s'est accentuée après la Révolution, lorsque le port du pantalon s'est généralisé pour les hommes.

Quand les femmes ont-elles commencé à en avoir "ras la jupe"?

Pendant longtemps, les femmes n'ont pas porté de sous-vêtements mais des jupons superposés. La norme était l'ouverture totale. Symboliquement, on peut y voir l'accessibilité du sexe féminin. Une évolution se produit à la fin du xixe siècle avec l'essor du cyclisme, les progrès de l'hygiénisme et le désir de libération, traduit par la naissance du mouvement féministe. Les femmes se sont alors mises à porter des culottes fendues. Puis, dans les années 1920, la culotte fermée s'est généralisée. Et le pantalon a cessé d'être un symbole de masculinité dans les années 1960, quand les femmes se sont approprié ce vêtement. Mais il s'agit alors d'un pantalon "féminisé", comme le montre par exemple le corsaire porté par Brigitte Bardot.

Plaquer la jupe était donc une libération?

Ce n'est pas si simple. Le triomphe du pantalon dans les années 1960 coïncide avec celui de la minijupe. Les jeunes femmes d'alors se libèrent en portant soit le pantalon, le jean notamment, soit la minijupe, bien différente de la jupe imposée aux filles dans les écoles. Ce que veulent les femmes est la possibilité de s'habiller comme elles le veulent, en jupe ou en pantalon. Or, aujourd'hui encore, ce choix n'est pas partout possible, puisque certaines professions exigent le port obligatoire de la jupe. Songez que c'est seulement en 2005 que les hôtesses d'Air France ont gagné le droit au pantalon, avec la collection de Christian Lacroix.

C'est ce que font valoir les nouvelles féministes, les Ni putes ni soumises, par exemple, qui utilisent la jupe comme symbole du droit à la féminité.

Dès 2003, le mouvement Ni putes ni soumises a revendiqué le droit à la féminité en l'associant au droit à la jupe. L'association a mis en évidence le fait que la jupe est interprétée comme un signal de disponibilité sexuelle. De fait, beaucoup de filles, pour préserver leur réputation et leur tranquillité, adoptent le pantalon, notamment au collège. Ce constat n'est pas spécifique aux quartiers défavorisés. D'ailleurs, l'initiative de la Journée de la jupe est née dans un lycée catholique, non loin de Rennes. Tous les milieux sociaux sont concernés. Ce qui est frappant, c'est qu'au moment où ce droit à la féminité est proclamé on semble oublier que la jupe était un vêtement imposé aux femmes et que le pantalon leur était interdit. Il est curieux de voir ainsi affirmer comme un droit une obligation qui n'est pas si ancienne.

Est-ce le signe d'un renversement de valeurs entre deux générations de féministes?

Non, les féministes d'aujourd'hui, comme celles des années 1970, revendiquent la liberté de choix. Ni putes ni soumises dénonce le fait que le pantalon soit imposé aux filles de la même manière qu'il y a quarante ans les féministes dénonçaient la jupe obligatoire et toutes les contraintes esthétiques imposées aux femmes.

Vous consacrez une bonne partie de votre livre à la jupe pour hommes. La jupe reste-t-elle un (des seuls) privilège(s) féminin(s)?

La jupe, une aspiration à la liberté que revendique Jean Paul Gaultier, dès 1985, dans ses collections pour hommes.

p. verdy / AFP

La jupe, une aspiration à la liberté que revendique Jean Paul Gaultier, dès 1985, dans ses collections pour hommes.

Je pensais que ce sujet occuperait quelques lignes de mon livre, car je croyais que les jupes pour hommes avaient été un échec, depuis les premiers modèles de Jean Paul Gaultier, en 1985. En réalité, cela a beaucoup changé ces toutes dernières années. Aujourd'hui, une association milite pour le port de la jupe masculine et il en est beaucoup question sur Internet. Les hommes en jupe revendiquent le droit de s'habiller comme ils le souhaitent, en s'inspirant de l'argumentaire féministe sur le droit de choisir. J'espère que ce mouvement se développera. Mais ce ne sera pas facile. La jupe pour hommes provoque des réactions d'homophobie, car elle est perçue comme une effémination. Ce serait pourtant bon signe que, dans une démocratie, une aspiration à la liberté ne se heurte pas à la violence, au rejet et à l'exclusion. La jupe soulève à sa manière la question du genre et de la sexualité pour les femmes et les hommes. En faire un vêtement mixte nous ferait sortir de l'ancien régime vestimentaire, qui différencie à l'extrême les deux genres.

La jupe, symbole d'oppression ou de libération?

 

 

Ce que soulève la jupe, de Christine Bard,Autrement, 17€. En librairie le 3 mars.

Source : http://www.lexpress.fr/styles/question-style/la-jupe-symbole-d-oppression-ou-de-liberation_850327.html
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Belle leçon d'amitié entre animaux...

Publié le par Ricard Bruno

L’orang outan a été sauvé, mais il n’allait pas bien moralement, le chien est arrivé en très mauvais état.

L’orang outan est resté avec lui, nuit et jour jusqu’à ce qu’il aille mieux.

Il a trouvé une raison de vivre et depuis…ils sont amis pour la vie !

Voyez les photographies ci-dessous, à méditer.

Bruno Ricard
(Merci Valérie)


   


  



   
   

 

Publié dans le web en parle

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