Brigitte Bardot : Ouverture au grand public de l'exposition Vente aux enchères...
Mes amis Bonjour c’est le grand jour à l’étude Rossini en ce samedi 29 octobre 2016, ouverture au grand public à 10h45 et jusqu’à 18h00 de l’exposition vente aux enchères Brigitte Bardot…venez très nombreux découvrir les œuvres qui seront mises aux enchères dans ce même lieux le samedi 5 novembre 2016 à partir de 14h30, le fruit de cette vente exceptionnelle sera intégralement reversée à la fondation Brigitte Bardot…
Je tenais particulièrement à remercier toute l’équipe de la prestigieuse maison de vente aux enchères Rossini et particulièrement Olivier Nuzzo-Revol directeur général délégué ainsi que Jean Marpoué, conseiller artistique pour leur investissement de tout les jours…
Ps : EXPOSITIONS PUBLIQUES
Salle des ventes aux enchères Rosini 7, rue Rossini 75009 Paris
Samedi 29 octobre, dimanches 30 octobre, lundi 31 octobre, mardi 1er novembre,
mercredi 2 novembre, jeudi 3 novembre, vendredi 4 novembre de 10h45 à 18h
Samedi 5 novembre de 10h45 à 12h
RENSEIGNEMENTS
Guillaume Gadiffert
Tél: 01 53 34 55 18
guillaume.gadiffert@rossini.fr
TÉLÉPHONE DURANT LES EXPOSITIONS ET LA VENTE
Tél: 01 53 34 55 01
Rendez-vous le Samedi 05 novembre 2016 à 14h30.
Salle des Ventes Rossini : 7, rue Rossini - 75009 Paris
Je serais présent tout les jours, pour celles et ceux qui voudraient me rencontrer, ils sont les bienvenus…
Bruno Ricard
Cirque: la Fondation Brigitte Bardot interpelle Frédéric Cuvillier
La tenue du Festival de la Générosité, mettant notamment en scène des ours et des éléphants, n’est pas du goût de la Fondation
Voici le courrier adressé par la Fondation Brigitte Bardot, au maire de Boulogne-sur-Mer Frédéric Cuvillier, concernant la venue de dresseurs d’ours et d’éléphants cette semaine.
« Nous venons d’être alertés de la présentation de différents spectacles avec des animaux sauvages (notamment des ours et des éléphants) lors du 2ème Festival de la Générosité organisé par votre ville du 28 au 30 octobre prochains. Depuis de nombreuses années, la Fondation Brigitte Bardot mène des actions de sensibilisation auprès des organisateurs pour dénoncer ces spectacles (cirques, montreur d’ours…) mettant en scène des animaux sauvages détenus en captivité. Même si ces spectacles sont légalisés, nous voulons vous faire prendre conscience du caractère indigne et immoral de telles exhibitions dans lesquelles la nature même de l’animal est inhibée, asservie pour le seul plaisir de l’homme.
Il ne faut pas oublier que la plupart du temps, ces animaux sont enfermés dans leur cage et trimbalés sur les routes de France, d’une ville à l’autre. Pour une heure de spectacle par jour, combien de temps vivent-ils enfermés ? Pour nous, cela relève également d’une certaine forme de maltraitance. Oser prétendre que le dressage relève d’une quelconque pédagogie est d’une absurdité sans nom ! Que deviennent ces animaux à la fin de leur carrière ? Qu’en est-il de la sécurité du public lors de telles exhibitions ? Ces animaux, même asservis, restent des animaux sauvages avec des réactions imprévisibles, sensibles au bruit et à l’agitation de la foule… Faudra-t-il qu’un accident mortel se produise pour que les bonnes décisions soient enfin prises !
La présence de ces animaux sauvages captifs est-elle réellement nécessaire au succès de cette fête alors que tant d’autres animations de qualité seront présentées ? »
Vente au profit de la fondation brigitte bardot...Samedi 5 novembre à 14h30 à PARIS
L'intégralité des adjudications seront reversées à la fondation Brigitte Bardot
Bruno Ricard
TERRIENS (Earthlings) Narration par Maxime Ginolin
"Terriens", véritable film coup de poing sur la manière dont les humains traitent les animaux.
Réalisé par Shaun Monson
Le narrateur est Maxime Ginolin, à qui l'on doit le film "Le Jugement", et la musique est signé par Moby.
Révolutions animales | Appel à la création d'un secrétariat d'État à la condition animale.
Retrouvez la pétition la création d’un secrétariat d’État à la condition animale sur change.org
Aux origines, les animaux ont été des compagnons et des partenaires puis, en occident, sous l’impulsion de la religion, ils sont devenus des êtres inférieurs. Avec le développement de l’industrie, ils ont été transformés en annexes de machine et en matière première exploitable pour servir l’économie humaine. La place de l’animal dans nos sociétés s’est ainsi construite sur des fondements culturels anciens. Une construction qui nous conditionne encore de nos jours mais qu’une évolution scientifique a bouleversée. Ces dernières années, notre façon de considérer les animaux a, en effet, subi une profonde révolution. Nous savons que les capacités mentales des animaux varient selon les espèces et les individus et qu’elles ne dépendent pas de la taille de leur cerveau. Les animaux jugés pendant longtemps sans raison ont montré depuis qu’ils possèdent des compétences sophistiquées.
Moutons, cochons, éléphants … Ils ont une vie sociale, une mémoire à long terme, reconnaissent leurs congénères individuellement, communiquent entre eux. Les poissons, comme les oiseaux, utilisent des outils, coopèrent, anticipent. Alors que des centaines de millions d’années d’évolution nous sépare du poulpe, son cerveau d’escargot lui permet pourtant d’avoir une excellente mémoire, un raisonnement logique, des capacités de déduction, d’innovation, de jeu, d’apprentissage. La recherche a constaté que l’intelligence est née plusieurs fois sur la planète et qu’il n’existe pas, dans le cerveau, une catégorie de cellules spécifiquement humaine. Des neuroscientifiques internationaux affirment que tous les mammifères, oiseaux et autres créatures, y compris le poulpe, possèdent une conscience, ce qui veut dire qu’ils sont sensibles au plaisir et à la souffrance. Grâce à nombreux travaux, on sait aujourd’hui que la douleur et la souffrance existent chez les animaux, des poissons aux mammifères. L’intelligence, la conscience, l’empathie, la vie émotionnelle, le rire, la souffrance et même une forme de culture, ces attributs qui définissaient l’homme et lui seul, appartiennent désormais à un répertoire commun à l’homme et à l’animal qu’il n’est plus possible de contester.
Les animaux ne sont donc pas des machines ni des êtres pauvres en mondes à disposition des humains, ils sont des individus sensibles, inventifs, expressifs. Ils ne devraient donc plus être vus comme un ensemble de matériaux constitutifs d’une biodiversité mais une communauté d’individus capables de ressentir, d’agir et de réagir singulièrement.
Jugée hier avec condescendance, notre sollicitude pour les animaux est devenue une question sociétale bien vivace qu’on ne peut plus ignorer. C’est une préoccupation qui n’oppose pas les hommes et les animaux, bien au contraire puisqu’elle propose de réinventer une société dans le souci des uns et des autres ; une évolution qui arrive à une époque où, paradoxalement, nous n’avons jamais commis autant de cruautés sur les animaux.
Chaque jour, de nouveaux travaux scientifiques montrent que les animaux sont sensibles et dotés de compétences. Ces nouveaux éclairages mettent en lumière un décalage flagrant entre des faits incontestables, le respect qui leur est dû et les décisions politiques et économiques qui bafouent leur bien-être. Bien qu’ils soient donc devenus ces êtres sensibles au regard de la science et de la loi, les animaux restent pourtant soumis à une évaluation marchande et sont encore considérés comme des biens. Leur sort reste à la merci des souffrances utiles, des dérogations et des normes admissibles. En somme, la législation se soucie des animaux à condition que leur protection ne dérange pas. La satisfaction des enjeux culturels et économiques continue de primer sur les intérêts des animaux. Si leur sensibilité n’est désormais plus contestable et si la souffrance constitue le point de départ de toute position éthique, à quoi tout cela doit-il nous engager ? Que devient notre légitimité à les exploiter et à les faire souffrir ? Comment doit-on aujourd’hui les considérer ? Comme des biens ou des personnes non humaines telle que la science les définit ?Le temps est venu de penser et d’instituer d’autres rapports avec eux. Quels sont les changements précis à opérer ? Comment devrions nous vivre demain avec les animaux ?
Pour répondre à ces questions et initier de réelles modifications dans nos rapports avec les animaux, nous demandons la création d’un secrétariat d’Etat à la condition animale conduit par des experts multi disciplinaires et légitimes, spécialistes de la question animale.
Pour que les évolutions scientifiques en faveur des animaux domestiques et sauvages soient prises en compte dans les décisions politiques, éducatives, économiques, sociales ; que des budgets dignes de ce nom soient consacrés au développement des méthodes alternatives à l’expérimentation animale ; que de nouvelles économies alternatives à l’exploitation animale soient encouragées et soutenues, favorisant ainsi la création d’emplois et de nouvelles entreprises ; que la place de l’animal dans l’éducation soit repensée ; que soit favorisé un enseignement du droit animalier dans les universités ; que les policiers et magistrats soient formés au bien-être animal ; que les contrôles pour lutter contre la maltraitance soient renforcés et que les actes de cruauté soient punissables ; que des médiateurs pour les animaux soient envisagés pour veiller à l’application des lois et du droit.
Prendre en compte les intérêts des animaux, avec qui nous partageons ce monde, est devenu une question sociétale, politique et démocratique et ne peut que favoriser la construction d’une société plus humaine dans l’intérêt des hommes, des animaux, de la Planète.
Les signataires
Françoise Armangaud (philosophe)
Eric Baratay (professeur d’Histoire contemporaine)
Denis-Richard Blackbourn ( docteur en Ethnozoologie)
Gilles Bœuf (professeur à l’Université Pierre et Marie Curie, Conseiller scientifique auprès du président du Muséum national d’Histoire naturelle
Georges Chapouthier (directeur de Recherche Emérite au CNRS)
Valérie Chansigaud (historienne des sciences et de l’environnement)
Yves Christen (éthologue, docteur en science)
Philippe Cury (directeur de Rechercher à L’Institut de Recherche pour le Développement)
Boris Cyrulnik (neurologue, psychiatre et éthologue)
Fabienne Delfour (éthologue, spécialiste des cétacés)
Vinciane Despret (éthologue et philosophe)
Ludovic Dickel (professeur des Universités en Biologie des comportements)
Elisabeth de Fontenay (Philosophe)
Muriel Falaise (Maître de conférences en droit privé)
Pierre Jouventin (éthologue)
Christelle Jozet-Alvez (maître de conférences en biologie du comportement)
Emmanuelle Grundman (biologiste, journaliste et spécialiste des grands singes)
Thomas Lepeltier (Historien et philosophe des sciences)
Karine Lou Matignon (auteure, journaliste)
Baptise Morizot (Maître de conférences en philosophie)
Eric Navet (éthnologue)
Jean Marc Neumann (juriste et enseignant en droit de l’animal)
Matthieu Ricard (Biologiste, Moine Bouddhiste)
Le président de la République reçoit le patron des chasseurs français! A nous de réagir!!!!
Une HONTE nationale !...François Hollande...
Bruno Ricard
Chers amis de la nature,
Jeudi 27 octobre, François Hollande recevra Willy Schraen le président des la toute puissante fédération Nationale des chasseurs. Cela dans une très grande discrétion. A moins que…
Cela fait des semaines que les chasseurs, par l’intermède de leur lobbyiste Thierry Coste, travaillent à ce rendez-vous. Déjà lors de la campagne électorale de 2012, Coste avait organisé une rencontre entre Hollande, son équipe de Campagne et Baudin, le président de la Fédé des chasseurs de l’époque. Cette rencontre avait beaucoup rapporté aux chasseurs, et couté très chère à la nature : c’est qu’entre autre chose là cette occasion que François Hollande avait promis aux chasseurs que l’Office Nationale de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) resterait aux mains des chasseurs quoiqu’il arrive. Et il a tenu promesse en refusant que l’ONCFS n’intègre l’Agence Nationale de la Biodiversité.
Aussi, ce rendez-vous, des plus discrets, entre le Président de la République, le patron de la chasse française et son staff est à prendre très au sérieux.
D’après les indiscrétions qui ont filtré jusqu’à nous, le patron des chasseurs souhaite s’entretenir avec le Président de la république au sujet :
- De la chasse au loup (il veut des allègements de procédure pour les tirs de loups) !!!
- De la simplification du permis de chasser…
- De nouvelles mesures pour chasser l’oie au mois de février (elle est interdite a partir du 31 janvier et fait l’objet d’une bagarre devant les tribunaux depuis des années.
- Et de pas mal d’autres choses du même acabit…
C’est pourquoi nous vous proposons d’écrire à la présidence de la République en utilisant le formulaire internet http://www.elysee.fr/ecrire-
Nous vous recommandons d’être courtois (sinon le mel est détruit) mais ferme.
1) De faire part de votre étonnement quant à ce rendez-vous très discret, alors que le président de la République ne reçoit pas les présidents des grandes associations de protection de la nature et de protection animale
2) De vos attentes en matière de chasse (interdiction de la chasse le dimanche, raccourcissement des périodes de chasse, abolition de la chasse…)
3) De vos attentes en matière de protection de la nature et de protection animale.
4) Ne pas hésiter à préciser que de ces positionnements dépendra votre vote lors des prochaines élections présidentielles et législatives !
Nous devons être très nombreux à interpeller le Président de la République. Aussi, écrivez, mais faites également suivre ce message à vos proches et amis.
Pierre ATHANAZE
Président d'ACTION NATURE Rewilding France
20 Chemin de la Tour
69320 Feyzin
tel: 06 08 18 54 55
Rémi Gaillard : "L’animal est bien plus qu’un être sensible"...
Rémi Gaillard et son chien, Tilay. Image extraite de la vidéo « Dog ». Rémi Gaillard/N’importe Quoi TV 2015.
Sacré bonhomme, un type formidable avec du cœur...
ça fait du bien par les temps qui courre...regardez jusqu'à la fin de la vidéo...
Bruno Ricard
Star française du canular, l’humoriste montpelliérain, qui comptabilise 5,4 millions d’abonnés et 1,5 milliard de vues, dénonce la maltraitance animale dans de nombreuses vidéos (« Dog », « Orca Funeral », « Safari »…). Entretien sans langue de bois.
Dans votre dernière vidéo*, vous distribuez dans la rue l’argent que vous avez reçu pour une pub en ligne. Vous gardez la plus grosse somme, 10 000 euros, pour la SPA de Montpellier. Comment est né votre engagement en faveur des animaux ?
J’ai toujours aimé les bêtes… Mais tout a vraiment commencé en 2004, lorsque j’ai rencontré l’ex-femme de ma vie. Elle avait un chien, il s’appelait Tilay. Elle devait s’absenter deux mois et m’a demandé de m’occuper de lui et des plantes. Ma compagne n’est finalement revenue qu’au bout de 2 ans. Alors pendant ce temps-là, j’ai respecté les consignes : j’ai arrosé le chien et promené les plantes. Avec Tilay, on s’est soutenus. C’était un Rottweiler croisé Beauceron, énorme ; 50 kilos de tendresse. Il est devenu mon frère, ma famille, mon meilleur pote. Jusqu’au jour où il est mort, en 2012. Ca m’a complètement foutu par terre, j’étais fracassé. Il m’a procuré plus d’émotions que la plupart des êtres humains. Depuis, j’ai une affection particulière pour les chiens et les animaux en général. Je m’en doutais avant, mais avec Tilay, j’ai pris conscience que l’animal est bien plus qu’un être sensible : il a une âme, un grand cœur, des sentiments… J’avais déjà fait des vidéos où je me déguisais en escargot pour créer un embouteillage sur l’autoroute, en poulet qui se recueille devant une rôtisserie… C’était plus de la déconne. A la mort de mon chien, c’est d’avantage devenu un engagement. Je me suis dit qu’avec la notoriété que j’ai la chance d’avoir, notamment auprès des jeunes, autant faire passer des messages qui me sont chers et que je trouve justes. J’ai tourné une vidéo à la SPA contre les abandons, une autre à Marineland, afin de dénoncer la captivité. Je venais de visionner le documentaire « Blackfish », ça m’a révolté... Cette année, j’ai voulu rebondir sur ces connards qui payent une fortune pour tuer un lion, juste pour le plaisir de se prendre en photo avec leur trophée. Alors j’ai réalisé « Safari ».
Hors caméra, vous êtes le parrain de la SPA de Montpellier.
J’y suis très souvent, je leur donne un coup de main pour la com, tout ça. J’ai accepté à condition d’être seulement le parrain des animaux. C’était en 2015, au moment de la polémique à propos de « Dog ».
Déguisé en chien, vous mimiez une levrette sur une femme et vous vous êtes retrouvé accusé de « banaliser les agressions sexuelles».
Dans ce sketch, je ne fais que mimer un chien abandonné qui tente d’attirer l’attention. J’embête un golfeur pour qu’il me lance un bâton, je vole un frisbee… Le but initial était de faire réagir sur l’abandon. Moi qui aime tellement les femmes, je ne pensais pas déchaîner la fureur des féministes ! Finalement, elles m’ont rendu service : j’ai gagné des millions de vues et surtout, il y a eu un record d’adoptions à la SPA de Montpellier. Je ne pouvais pas espérer mieux.
A quand une vidéo contre la fourrure, la corrida ?
La fourrure, c’est pour très bientôt. Je viens de réaliser une campagne publicitaire avec Animalter et Mode Sans Fourrure. Contre la corrida, j’ai une idée énorme, mais j’ai peur de me prendre un coup d’épée. Je continue d’y réfléchir et de peaufiner le truc avec mon cameraman.
En juin 2016, vous étiez la voix de la vidéo choc de L214 à propos de l’abattoir de Pézenas et de celui du Mercantour, épinglés pour maltraitance. Depuis, êtes-vous devenu végétarien ?
J’ai arrêté le poulet, le cochon, mais je mange encore du bœuf de temps en temps. J’ai une copine végane qui m’initie. Je n’ai pas encore trop fouillé le sujet pour remplacer totalement la viande.
Avez-vous des animaux ?
Non. Je pense adopter un animal tous les jours… Je sais que j’ai tort, mais depuis la mort de mon chien je n’y arrive pas, j’aurais peur de le trahir.
Si on ne devait retenir qu’une seule de vos vidéos, laquelle ce serait ?
Question difficile… Pour vous ce serait… ?
Dog !
Ah oui, ça me va super bien comme choix. Ca veut dire que je n’écoute pas ce qu’on peut me reprocher et que je continue de m’amuser !