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nouvelles de la fondation

Présentation de la FBB...

Publié le par Ricard Bruno

Présentation de la FBB...

QUI SOMMES-NOUS

La Fondation Brigitte Bardot (FBB) fondée par Brigitte Bardot en 1986, est une ONG française dont la mission est la protection des animaux sauvages et domestiques.

Reconnue d’utilité publique depuis le 21 février 1992, son champ d’action est national et international, la FBB intervient dans 70 pays. 

Aujourd’hui, elle compte plus de 70 000 donateurs répartis dans le monde entier, près de 300 salariés et plus de 500 enquêteurs et délégués bénévoles.

1962
Brigitte Bardot est la 1ère personnalité à dénoncer les méthodes d’abattage cruelles des animaux de boucherie.
 
1977
 
Elle se rend sur la banquise pour interpeller les consciences face au massacre des jeunes phoques.
 
1986
Brigitte Bardot crée sa Fondation à Saint-Tropez.
1988
Face au succès, le siège social est transféré à Paris.
1989-1992
De mai 1989 à octobre 1992, Brigitte Bardot présente une série de 13 épisodes “S.O.S animaux” qui remporte un énorme succès.
 
1992
Le 21 février, la Fondation Brigitte Bardot est reconnue d’utilité publique, grâce au don de la célèbre “Madrague” de Brigitte Bardot.

Elle fait l’acquisition de “la Mare Auzou”, qui deviendra son premier refuge.
 
1995
Le Dalaï Lama est nommé membre d’honneur de la Fondation.
 
2006
Brigitte Bardot fait don de sa propriété en région parisienne à la Fondation pour créer un 2ème refuge “Bazoches”.
 
2017
Ouverture d’un 3ème refuge “Montpon”, en Dordogne, grâce à une donation de Solange Pirel.
 
2019
Ouverture d’un 4ème refuge “La Davière”, en Normandie, grâce à une donation de Monsieur et Madame Aubert.  
 
2023
Agrandissement du refuge de Bazoches par l'acquisition de la propriété voisine.
 
2024
Agrandissement du refuge de la Mare Auzou par l'acquisition d'une propriété voisine.
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UN SAUVETAGE D’ENVERGURE : 48 CHIENS TROUVENT REFUGE À LA FONDATION BRIGITTE BARDOT

Publié le par Ricard Bruno

UN SAUVETAGE D’ENVERGURE : 48 CHIENS TROUVENT REFUGE À LA FONDATION BRIGITTE BARDOT

La Fondation Brigitte Bardot vient de mener une importante opération de sauvetage, accueillant pas moins de 48 chiens dans ses refuges. Cette intervention d’urgence fait suite au décès accidentel d’une éleveuse qui gérait un élevage multi-races.

Face à cette situation dramatique, les enfants de l’éleveuse ont pris une décision courageuse : confier l’ensemble des animaux à la Fondation Brigitte Bardot. Après avoir tenté pendant plusieurs années de maintenir l’activité, ils ont reconnu ne plus pouvoir garantir seuls le bien-être optimal de ces nombreux pensionnaires.

Une diversité exceptionnelle

L’opération, menée vendredi dernier, a permis de secourir des chiens de toutes tailles : du minuscule Chihuahua au majestueux Dogue Allemand. Les 48 canidés ont été répartis entre les quatre refuges de la Fondation, permettant ainsi une prise en charge adaptée à chaque animal.

Une mobilisation collective

Ce sauvetage ne s’est pas limité aux chiens : chats et moutons présents sur place ont également été pris en charge, grâce à la mobilisation d’autres associations de protection animale. Cette collaboration inter-associative témoigne de la solidarité du monde de la protection animale, unis dans un même objectif : offrir une nouvelle vie digne à ces animaux en détresse.

Un avenir prometteur

Les équipes de la Fondation Brigitte Bardot se mobilisent désormais pour assurer le bien-être de ces nouveaux pensionnaires. Chaque animal bénéficiera d’un suivi médical complet et recevra l’attention nécessaire à sa reconstruction, avant d’être proposé à l’adoption.

“Cette opération n’aurait pas été possible sans le soutien de nos donateurs et sympathisants”, souligne la Fondation. “Leur générosité permet ces sauvetages d’urgence et offre un nouvel espoir à ces animaux.”

Vous souhaitez adopter ?

Les profils de ces nouveaux pensionnaires seront prochainement publiés sur le site de la Fondation. Les personnes intéressées par l’adoption sont invitées à consulter régulièrement les annonces pour découvrir ces futurs compagnons en quête d’un nouveau foyer.

La Fondation Brigitte Bardot rappelle que l’adoption est un acte responsable qui permet de sauver une vie. Choisir d’adopter plutôt que d’acheter, c’est offrir une seconde chance à un animal dans le besoin.

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Jeunes loups ou adultes: ce canton ne sait plus et cesse de les tuer

Publié le par Ricard Bruno

 Jeunes loups ou adultes: ce canton ne sait plus et cesse de les tuer

Les Grisons suspendent les tirs de régulation des jeunes loups sur leurs terres. La croissance du canidé rend en effet difficile la distinction entre jeunes et adultes et rend la garantie d'un abattage légal impossible.

Les autorités grisonnes interrompent l'abattage systématique de jeunes loups destiné à réguler la population des meutes dans le canton. En raison de leur taille et de leur poids, beaucoup de jeunes canidés ne se distinguent désormais plus des adultes, invoquent-elles.

 

Interrogé mercredi par Keystone-ATS, le chef du secteur grands prédateurs du Service grison de la chasse et de la pêche, Arno Puorger, dit sa «surprise» face à la croissance des jeunes loups vivant dans le canton. Onze d'entre eux auraient encore dû être abattus d'ici à la fin de la période de régulation prévue par la Confédération, au 31 janvier. Il n'en sera rien.

 

Brigitte Bardot avait reconnu dans une lettre au tribunal

Le fait que les jeunes loups commencent de plus en plus à quitter leur meute pour vivre seuls rend la garantie d'un abattage légal impossible, souligne Arno Puorger. Les tirs de régulation des meutes sont donc suspendus dans celles qui ne présentent aucun comportement problématique.

 

D'ici à la fin du mois, seules les trois meutes posant problème seront visées. Le canton veut les éliminer. Celle vivant dans le Parc national en fait partie. «Aucune d'entre elles n'a encore été entièrement abattue», précise Arno Puorger.

Le loup grand perdant en Suisse, la loutre gagnante, selon le WWF

Depuis le début de la période de régulation, au moins 47 loups ont été abattus dans les Grisons. L'objectif a été désormais abaissé à un total de 55 d'ici à la fin janvier.

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STOP À LA CHASSE À LA MARMOTTE !

Publié le par Ricard Bruno

 STOP À LA CHASSE À LA MARMOTTE !

Il y a quelques jours, la FBB co-signait, avec plusieurs autres associations de protection animale, une lettre adressée à François Bayrou, premier Ministre et Agnès Pannier-Runacher, Ministre de la Transition écologique, pour protéger les marmottes alpines de la chasse. Une pratique cruelle et sans fondement qui menace ces petits rongeurs emblématiques de nos montagnes.

Monsieur le Premier Ministre,

Madame la Ministre de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques,

Par la présente, nous vous demandons de sortir au plus vite la marmotte de la liste des espèces chassables. Cette demande répond à une demande citoyenne forte. A ce jour plus de 99 500 français ont signé une pétition à votre attention demandant l’abolition de cette pratique.

La chasse à la marmotte est un loisir purement récréatif qui ne peut en aucun cas tenter de se justifier pour des raisons de régulation ou de lutte contre des dégâts aux cultures. Au contraire, la marmotte joue un rôle écologique important : le broutage augmente la biodiversité végétale locale et son activité fouisseuse contribue à l’aération, au drainage et à la fertilité des sols. Appréciées des touristes et des randonneurs, les marmottes sont un réel atout touristique, notamment dans les régions de montagnes. Présentes sur les cartes postales, reprises dans la communication des collectivités, offices du tourisme et entreprises de nos régions, les marmottes sont constitutives de notre patrimoine naturel, et leur disparition serait dramatique.

Or, leurs populations sont en déclin continu depuis les années 90. En cause notamment, les comportements inappropriés des randonneurs, certaines pratiques agricoles et pastorales, la présence de chiens dans les alpages, l’artificialisation des sols, la destruction de son habitat, le trafic routier ou encore le réchauffement climatique. Ce dernier point est le plus inquiétant. Plusieurs études scientifiques menées dans les Alpes et dans les Pyrénées ont montré l’impact du manque d’enneigement l’hiver sur le comportement et le taux de reproduction des marmottes ainsi que sur la survie des juvéniles. Plusieurs articles de presse s’en sont d’ailleurs fait l’écho et n’hésitent plus à évoquer la probabilité de voir la marmotte disparaître des montagnes françaises.

Alors que ce petit rongeur dispose d’un fort capital sympathie, qu’il engendre des retombées économiques importantes pour les acteurs du territoire et à l’heure où sa population décline, il est du devoir des pouvoirs publics de renforcer sa protection, et dans ce contexte, l’interdiction de la chasse à la marmotte est une mesure accessible et importante. En effet, chaque année, ce sont des centaines de marmottes qui sont tuées par les chasseurs, sans aucune nécessité, et il est particulièrement choquant que cette pratique cruelle et sans fondement impacte un effectif de marmottes déjà fragile.

Les associations et les citoyens ne sont pas les seuls à se préoccuper du sort des
marmottes françaises. Une Proposition de Loi vient d’être déposée à l’Assemblée nationale par le député savoyard Jean-François Coulomme. Elle a été signée par plus de 85 parlementaires. Avant le dépôt de cette Proposition de loi, plusieurs initiatives avaient émergé :
– en octobre 2022, 125 élus de tous bords avaient signé une lettre ouverte au Gouvernement demandant l’interdiction de la chasse à la marmotte ;
– entre 2022 et 2024, les députés Bastien Lachaud (LFI), Corinne Vignon (Renaissance), Alexandra Martin (LR) et le sénateur Arnaud Bazin (LR) ont chacun
déposé une Question écrite au Gouvernement sur cette thématique.


Nos voisins Italiens ont interdit la chasse à la marmotte en 1992. Dans le Cantal, les Pyrénées-Orientales, la Drôme, la Haute-Garonne, la Haute-Loire ou encore le Puy-de-Dôme cette pratique n’est plus autorisée depuis au moins 2012. La marmotte est protégée par l’annexe III de la Convention de Berne que la France a ratifiée en 1990. À ce titre, sa gestion doit “être réglementée afin de maintenir les populations hors de danger”. La première mesure à prendre pour protéger la marmotte est donc évidente : interdire sa chasse.


Pour toutes ces raisons, nous vous demandons, Monsieur le Premier Ministre, Madame la Ministre de la Transition écologique, de mettre fin à cette pratique archaïque et de retirer dans les plus brefs délais la marmotte de la liste des espèces chassables.

Vous remerciant de votre bienveillante attention, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier ministre, Madame la ministre, l’expression de notre considération distinguée.

Listes des signataires : 

Pauline di Nicolantonio, Présidente de l’Association Justice Animaux Savoie (AJAS)
Monique Constant, Présidente Association pour la Protection, l’Étude et la Valorisation des marmottes (APEVM)
Nathalie Soisson, Présidente, Association de Protection des Animaux par le Droit (APRAD)
Yolaine de la Bigne, Administratrice et porte Parole de L’ASPAS
Christophe Coret, Président d’AVES France
Mathieu Nollet, Président de l’Association Végétarienne de France
Sébastien Testa, Président de Focale pour le Sauvage
Adriana Oancea Negro, Directrice des affaires publiques et internationales à la Fondation Brigitte Bardot
Pascal Marchand, Président de France Nature Environnement Savoie (FNE)
Charlotte Arnal, Fondatrice association Humanisma
Brigitte Gothière, Directrice de L214 Éthique & Animaux
Louis Schweitzer, président de la LFDA Fondation Droit Animal, Éthique et Sciences
Allain Bougrain-Dubourg, Président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO)
Fiona Mille, Présidente de Mountain Wilderness
Frédéric Freund, Directeur de l’Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs (OABA)
Muriel Arnal, Présidente de One Voice
Amandine Sanvisens, Directrice de Projet Animaux Zoopolis (PAZ)
Marie France Tabutaud, Présidente de la SPA de SAVOIE
Martine Noraz, Présidente de l’association Vivre et Agir en Maurienne

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LA FONDATION BRIGITTE BARDOT LANCE SES PODCASTS !

Publié le par Ricard Bruno

LA FONDATION BRIGITTE BARDOT LANCE SES PODCASTS !

À l’occasion du 90ème anniversaire de Brigitte Bardot, sa Fondation produit une première série de podcasts.

Animés par le journaliste Eric Angioletti, les différents épisodes permettront de découvrir l’histoire, les combats, les actions et les coulisses de la Fondation Brigitte Bardot, à travers les témoignages de ceux qui, quotidiennement, se battent pour faire avancer la cause animale.

Un média adapté à la vie moderne

Les podcasts audio offrent une flexibilité inégalée, permettant une écoute à tout moment et en tout lieu. Que ce soit en voiture, en faisant du sport, ou lors de tâches quotidiennes, ils s’adaptent à l’emploi du temps de chacun et sont accessibles sur smartphones, ordinateurs, et assistants vocaux notamment.

Sur toutes les plateformes

« Fondation Brigitte Bardot : le podcast de la protection animale » sera disponible sur l’ensemble des plateformes de streaming, dont Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music, Audible, et bien d’autres.

Dès le 13 janvier 2025

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Info journal n°131du 4ème trimestre 2024 et Info journal junior n°81

Publié le par Ricard Bruno

Info journal n°131du 4ème trimestre 2024 et Info journal junior n°81
Info journal n°131du 4ème trimestre 2024 et Info journal junior n°81
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Le premier Commissaire européen chargé du bien-être animal

Publié le par Ricard Bruno

Le premier Commissaire européen chargé du bien-être animal

Le 27 novembre dernier, le Parlement européen a élu la nouvelle Commission européenne, avec en son sein le tout premier Commissaire européen chargé du bien-être animal, le Hongrois Oliver Várhelyi. Cette nouvelle Commission européenne est entrée en fonction le 1er décembre.

Ce diplomate, avocat de formation, avait été nommé par la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, le 17 septembre dernier pour gérer le portefeuille bien-être animal et avait passé plusieurs auditions avant d’être définitivement confirmé.

S’agissant de ses priorités, il faudra attendre le 11 février prochain et l’annonce du programme de travail pour avoir tous les détails sur ses intentions, mais il est d’ores et déjà permis d’affirmer qu’il a beaucoup de travail en perspective.

En effet, la Commission européenne avait annoncé la révision des textes législatifs relatifs au bien-être des animaux en 2020, dans le cadre de la stratégie De la Ferme à la Table avec un objectif de publication à fin 2023. Or, à ce jour, seuls deux textes sont à l’ordre du jour : la révision du règlement relatif au bien-être des animaux de ferme pendant le transport (avec la tenue d’un vote final en plénière en novembre/décembre 2025) et le règlement relatif au bien-être et la traçabilité des chiens et des chats élevés, détenus et commercialisés, en tant qu’animaux de compagnie, à des fins économiques. La révision de trois autres législations (abattage, élevage et étiquetage bien-être animal) est toujours attendue.

D’autres sujets tout aussi importants devront être mis à l’ordre du jour, notamment suite à l’initiative citoyenne européenne «Fur Free Europe» (pas de fourrure en Europe), qui demandait une interdiction de l’élevage d’animaux à fourrure et de la vente de produits contenant de la fourrure dans l’UE ou encore l’interdiction de l’élevage en cage pour 300 millions d’animaux d’élevage. Des engagements pris par la Commission européenne, mais sans aucune avancée concrète à ce jour.

La désignation d’un Commissaire européen chargé du bien-être animal est a priori une nouvelle encourageante et signe d’une meilleure prise en compte des demandes des citoyens européens et de la reconnaissance du fait que le BEA est une préoccupation majeure pour ces citoyens. Cependant la révision ambitieuse de la législation européenne sur le bien-être animal ayant pris un certain retard, nous suivrons avec le plus grand soin les actions du commissaire Várhelyi.

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LETTRE DE BRIGITTE BARDOT À L’AMBASSADEUR DU NÉPAL EN FRANCE

Publié le par Ricard Bruno

LETTRE DE BRIGITTE BARDOT À L’AMBASSADEUR DU NÉPAL EN FRANCE

Monsieur l’ Ambassadeur,

De nouveau l’horreur et la sidération envahissent le monde civilisé devant le bain de sang qui vient de se dérouler ce week-end à Ghadimai, où plus de 11.000 buffles et des dizaines de milliers de chèvres, pigeons, poulets etc. ont été décapités devant et souvent par des enfants pour satisfaire la soi-disant requête de sacrifice de la déesse Gadhimai ?

N’éprouvez-vous aucune honte face à un tel déferlement de cruauté et de fanatisme que les autorités religieuses et le comité du festival n’ont de cesse d’attiser auprès de la communauté locale appauvrie et sans éducation ? Le gain financier est très juteux et quoi de mieux que de laisser une communauté dans son état d’ignorance avec des croyances barbares pour pouvoir la manipuler et la soumettre ? Savez-vous que les Nations Unis ont interdit d’utiliser la violence sur les animaux devant les enfants ? Or là ce sont les enfants eux-mêmes qui participent, quelle société êtes-vous en train de créer pour le futur ?

La représentante de ma Fondation s’est rendue à Mahagadhimai en mars 2023 pour rencontrer le prêtre qui officie durant ce festival, Mangal Chowdhury. À cette occasion il avait promis de mettre tout en œuvre pour que le sacrifice animal soit remplacé par des offrandes variées et devienne un sacrifice sans souffrance. Pourtant, cette année, le nombre de sacrifices a augmenté, de 7500 à 11.000 buffles (sans compter les autres animaux) et beaucoup d’entre eux très jeunes, certains presque agonisants du voyage et du mauvais traitement affligés, mais que les vétérinaires tentaient de remettre sur pied pour qu’ils soient décapités !
Le vice-président du Népal, Monsieur Ram Sahaya Prasad Yadav a ouvert l’inauguration de ce festival de la honte et cette année le président du Comité responsable du bain de sang était le maire de Mahagadhimai, Upendra Ydav, qui en mars dernier félicitait notre Fondation d’avoir stérilisé 80% des chiens de son village et se vantait d’être végétarien ! Quelle hypocrisie et quelle corruption.

Monsieur l’ambassadeur, le sacrifice animal durant ce festival doit être interdit et je vous demande de transmettre ma requête à votre Président. Vous avez cinq ans pour préparer la transition. Aujourd’hui, tous les êtres qui ont un cœur ne peuvent que détester votre pays et les autorités qui laissent de tels actes barbares se produire. Le Népal n’attire plus, j’espère que vous prendrez votre rôle au sérieux et ferez tout ce qui est en votre pouvoir pour redorer son image en lui redonnant de l’humanité.

Avec mes sentiments attristés, 

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Moselle : Un particulier enfermait plus de 150 volailles dans des conditions déplorables

Publié le par Ricard Bruno

Moselle : Un particulier enfermait plus de 150 volailles dans des conditions déplorables

Maltraitance - Deux associations ont découvert plus de 150 volailles enfermées dans des cabanons dans le jardin d’un particulier

Ce sont deux associations de protection animale, la Fondation Brigitte Bardot et Elry’s Près, qui ont donné l’alerte. Mieux, elles se sont rendues sur place pour une découverte peu commune. Plus de 150 volailles étaient enfermées dans des cabanons dans le jardin d’un particulier à Uckange, en Moselle, rapporte France Bleu Lorraine Nord.

Les poules, poussins et canards vivaient dans des conditions déplorables, entassés dans des cabanons, piétinant dans leurs excréments.

Appelée, la gendarmerie a ouvert une enquête pour mauvais traitements. Les animaux ont été récupérés par les associations.

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