fondation brigitte bardot
Présentation de la FBB...
Elle fait l’acquisition de “la Mare Auzou”, qui deviendra son premier refuge.
UN SAUVETAGE D’ENVERGURE : 48 CHIENS TROUVENT REFUGE À LA FONDATION BRIGITTE BARDOT
La Fondation Brigitte Bardot vient de mener une importante opération de sauvetage, accueillant pas moins de 48 chiens dans ses refuges. Cette intervention d’urgence fait suite au décès accidentel d’une éleveuse qui gérait un élevage multi-races.
Face à cette situation dramatique, les enfants de l’éleveuse ont pris une décision courageuse : confier l’ensemble des animaux à la Fondation Brigitte Bardot. Après avoir tenté pendant plusieurs années de maintenir l’activité, ils ont reconnu ne plus pouvoir garantir seuls le bien-être optimal de ces nombreux pensionnaires.
Une diversité exceptionnelle
L’opération, menée vendredi dernier, a permis de secourir des chiens de toutes tailles : du minuscule Chihuahua au majestueux Dogue Allemand. Les 48 canidés ont été répartis entre les quatre refuges de la Fondation, permettant ainsi une prise en charge adaptée à chaque animal.
Une mobilisation collective
Ce sauvetage ne s’est pas limité aux chiens : chats et moutons présents sur place ont également été pris en charge, grâce à la mobilisation d’autres associations de protection animale. Cette collaboration inter-associative témoigne de la solidarité du monde de la protection animale, unis dans un même objectif : offrir une nouvelle vie digne à ces animaux en détresse.
Un avenir prometteur
Les équipes de la Fondation Brigitte Bardot se mobilisent désormais pour assurer le bien-être de ces nouveaux pensionnaires. Chaque animal bénéficiera d’un suivi médical complet et recevra l’attention nécessaire à sa reconstruction, avant d’être proposé à l’adoption.
“Cette opération n’aurait pas été possible sans le soutien de nos donateurs et sympathisants”, souligne la Fondation. “Leur générosité permet ces sauvetages d’urgence et offre un nouvel espoir à ces animaux.”
Vous souhaitez adopter ?
Les profils de ces nouveaux pensionnaires seront prochainement publiés sur le site de la Fondation. Les personnes intéressées par l’adoption sont invitées à consulter régulièrement les annonces pour découvrir ces futurs compagnons en quête d’un nouveau foyer.
La Fondation Brigitte Bardot rappelle que l’adoption est un acte responsable qui permet de sauver une vie. Choisir d’adopter plutôt que d’acheter, c’est offrir une seconde chance à un animal dans le besoin.
STOP À LA CHASSE À LA MARMOTTE !
Listes des signataires :
Pauline di Nicolantonio, Présidente de l’Association Justice Animaux Savoie (AJAS)
Monique Constant, Présidente Association pour la Protection, l’Étude et la Valorisation des marmottes (APEVM)
Nathalie Soisson, Présidente, Association de Protection des Animaux par le Droit (APRAD)
Yolaine de la Bigne, Administratrice et porte Parole de L’ASPAS
Christophe Coret, Président d’AVES France
Mathieu Nollet, Président de l’Association Végétarienne de France
Sébastien Testa, Président de Focale pour le Sauvage
Adriana Oancea Negro, Directrice des affaires publiques et internationales à la Fondation Brigitte Bardot
Pascal Marchand, Président de France Nature Environnement Savoie (FNE)
Charlotte Arnal, Fondatrice association Humanisma
Brigitte Gothière, Directrice de L214 Éthique & Animaux
Louis Schweitzer, président de la LFDA Fondation Droit Animal, Éthique et Sciences
Allain Bougrain-Dubourg, Président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO)
Fiona Mille, Présidente de Mountain Wilderness
Frédéric Freund, Directeur de l’Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs (OABA)
Muriel Arnal, Présidente de One Voice
Amandine Sanvisens, Directrice de Projet Animaux Zoopolis (PAZ)
Marie France Tabutaud, Présidente de la SPA de SAVOIE
Martine Noraz, Présidente de l’association Vivre et Agir en Maurienne
LA FONDATION BRIGITTE BARDOT LANCE SES PODCASTS !
À l’occasion du 90ème anniversaire de Brigitte Bardot, sa Fondation produit une première série de podcasts.
Animés par le journaliste Eric Angioletti, les différents épisodes permettront de découvrir l’histoire, les combats, les actions et les coulisses de la Fondation Brigitte Bardot, à travers les témoignages de ceux qui, quotidiennement, se battent pour faire avancer la cause animale.
Un média adapté à la vie moderne
Les podcasts audio offrent une flexibilité inégalée, permettant une écoute à tout moment et en tout lieu. Que ce soit en voiture, en faisant du sport, ou lors de tâches quotidiennes, ils s’adaptent à l’emploi du temps de chacun et sont accessibles sur smartphones, ordinateurs, et assistants vocaux notamment.
Sur toutes les plateformes
« Fondation Brigitte Bardot : le podcast de la protection animale » sera disponible sur l’ensemble des plateformes de streaming, dont Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music, Audible, et bien d’autres.
Dès le 13 janvier 2025
Abattage de 600 chamois dans le Doubs : la lettre ouverte de Brigitte Bardot
Monsieur le Préfet,
J’apprends avec effroi que le plan de chasse du Doubs, en cours jusqu’au 29 janvier 2025 autorise le prélèvement de près de 600 chamois au motif de « réguler» l’espèce…, prétexte toujours avancé par les tenants de la gâchette pour justifier des tueries de masse aujourd’hui au détriment des chamois qui sont pourtant l’emblème de votre région.
Rien n’arrête jamais les chasseurs et l’Etat se complait dans un clientélisme médiocre à sacrifier le vivant sur l’autel des intérêts particuliers des chasseurs qui osent encore se draper dans les habits de protecteurs de la biodiversité !
Ne croyez-vous pas qu’entre Noël et le jour de l’an, il serait attendu et espéré un peu de répit pour le vivant qui peuple vos forêts et montagnes et qui émerveille les amoureux de la nature ?
Vous ne pouvez et vous ne devez pas cautionner et vous rendre complice d’un tel massacre, je n’imagine pas que cela soit pour cela que vous ayez embrassé la carrière de serviteur de l’Etat; alors faites entendre votre différence, ayez le courage à une époque où nous approchons d’une extinction massive des espèces animales de choisir la vie et de renoncer à perpétrer des années et des années de tueries auxquelles vous pouvez aujourd’hui dire STOP.
Mettez un point final à ces pratiques et vous serez le Préfet qui a réussi, contre les réflexes acquis de son administration, contre le lobbying des chasseurs toujours avides de nouvelles parties de chasse, à laisser vivre sur votre territoire les petits chamois.
Ignorez mon appel et celui des protecteurs de la nature et vous replongerez dans la grisaille de vos dossiers, enfermé dans vos habitudes technocratiques, sans vous poser de question et sans remettre en cause la pratique de l’Etat qui doit être au service de tous et non de seulement quelques-uns.
Vous avez le choix,
Faites le Bon !
Brigitte BARDOT
Le premier Commissaire européen chargé du bien-être animal
Le 27 novembre dernier, le Parlement européen a élu la nouvelle Commission européenne, avec en son sein le tout premier Commissaire européen chargé du bien-être animal, le Hongrois Oliver Várhelyi. Cette nouvelle Commission européenne est entrée en fonction le 1er décembre.
Ce diplomate, avocat de formation, avait été nommé par la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, le 17 septembre dernier pour gérer le portefeuille bien-être animal et avait passé plusieurs auditions avant d’être définitivement confirmé.
S’agissant de ses priorités, il faudra attendre le 11 février prochain et l’annonce du programme de travail pour avoir tous les détails sur ses intentions, mais il est d’ores et déjà permis d’affirmer qu’il a beaucoup de travail en perspective.
En effet, la Commission européenne avait annoncé la révision des textes législatifs relatifs au bien-être des animaux en 2020, dans le cadre de la stratégie De la Ferme à la Table avec un objectif de publication à fin 2023. Or, à ce jour, seuls deux textes sont à l’ordre du jour : la révision du règlement relatif au bien-être des animaux de ferme pendant le transport (avec la tenue d’un vote final en plénière en novembre/décembre 2025) et le règlement relatif au bien-être et la traçabilité des chiens et des chats élevés, détenus et commercialisés, en tant qu’animaux de compagnie, à des fins économiques. La révision de trois autres législations (abattage, élevage et étiquetage bien-être animal) est toujours attendue.
D’autres sujets tout aussi importants devront être mis à l’ordre du jour, notamment suite à l’initiative citoyenne européenne «Fur Free Europe» (pas de fourrure en Europe), qui demandait une interdiction de l’élevage d’animaux à fourrure et de la vente de produits contenant de la fourrure dans l’UE ou encore l’interdiction de l’élevage en cage pour 300 millions d’animaux d’élevage. Des engagements pris par la Commission européenne, mais sans aucune avancée concrète à ce jour.
La désignation d’un Commissaire européen chargé du bien-être animal est a priori une nouvelle encourageante et signe d’une meilleure prise en compte des demandes des citoyens européens et de la reconnaissance du fait que le BEA est une préoccupation majeure pour ces citoyens. Cependant la révision ambitieuse de la législation européenne sur le bien-être animal ayant pris un certain retard, nous suivrons avec le plus grand soin les actions du commissaire Várhelyi.
Essonne. Appelée pour sauver une femme séquestrée, la police découvre des chèvres ligotées
a police a sauvé trois chèvres ligotées et enfermées dans une camionnette à Grigny (Essonne) samedi 23 novembre 2024. Photo d’illustration.
A Grigny (Essonne), samedi 23 novembre, la police a été prévenue par un passant qu’une femme était enfermée dans un fourgon et hurlait. Sur place, les agents ont découvert que les cris provenaient en réalité d’animaux.
La police a été alertée de la présence d’une femme enfermée dans un fourgon à Grigny (Essonne) samedi 23 novembre 2024. Un passant l’a contacté après avoir entendu des hurlements provenant du véhicule stationné, raconte Actu Essonne mercredi 4 décembre 2024. Une intervention a été déclenchée pour venir sauver la victime.
« Elles paraissent mortes »
La police de Juvisy-sur-Orge a forcé la porte du fourgon mais est tombée sur trois chèvres ligotée, abandonnée, et sans eau. Elles se trouvaient au milieu d’un « capharnaüm », décrit Action Protection Animale sur son site Internet. Aucune femme n’était séquestrée.
La police « sort délicatement les animaux qui semblent mal en point tout en appelant les pompiers pour leur prodiguer les premiers soins », poursuit l’association. Puis Action Protection Animale a été contactée afin de prendre en charge les trois petites chèvres. Elles « étaient visiblement destinées à être tuées puis mangées. Elles sont vivantes, mais très affaiblies. Certaines ne bougent plus si bien qu’elles paraissent mortes », écrit l’association.
Des animaux tués clandestinement
Une situation que la présidente Anne-Claire Chauvancy connaît bien. « Ce sont souvent des animaux achetés ou parfois volés chez des éleveurs, qui sont abattus clandestinement lors de fêtes. De manière quasi systématique, les animaux sont enfermés dans un véhicule jusqu’au jour de l’évènement », a-t-elle précisé à nos confrères.
Les chèvres ont été transférées chez un vétérinaire puis, quand leur état l’a permis, elles ont rejoint une structure de la Fondation Brigitte Bardot. Action Protection Animale a annoncé avoir déposé plainte.