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Bessan : l'écuroduc a obtenu le soutien de la Fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

'écuroduc, un pont aérien déployé pour sauvegarder la vie des petits rongeurs, est devenu un exemple concret de cohabitation réussie entre l'homme et la faune sauvage.

écuroduc à Bessan

écuroduc à Bessan

Maëlle et Lucie, les co-fondatrices de l’association “Cohab”, célèbrent avec fierté le bilan positif de plus de deux ans depuis la mise en place de l’écuroduc à Bessan, un projet soutenu par la Fondation Brigitte Bardot.

Mission Cohab : protéger la biodiversité

L’association Cohab, fondée par Maëlle et Lucie, s’est donnée pour mission de trouver des solutions efficaces pour protéger la biodiversité et promouvoir une cohabitation respectueuse entre l’homme et la faune sauvage. Au cœur de leurs initiatives, les écuroducs jouent un rôle crucial en offrant aux petits rongeurs un passage sécurisé au-dessus des routes, éloignant ainsi le danger mortel des véhicules.

Un bilan positif

Le pont aérien à Bessan a été érigé il y a plus de deux ans, en réponse à une mortalité croissante d’écureuils sur la route d’Agde. Au fil du temps, l’efficacité du dispositif est évidente, et Maëlle et Lucie dressent un bilan positif des actions menées tout au long de l’année. Leur approche comprend non seulement l’installation d’écuroducs mais aussi des efforts tels que l’apport de nourriture à partir de dons et des relevés photographiques.

Soutien de la Fondation Brigitte Bardot

L’une des co-fondatrices souligne l’importance du soutien reçu de la commune, du département, et de la Fondation Brigitte Bardot : “Il a fallu convaincre de l’utilité de l’écuroduc, mais le projet a rapidement séduit les partenaires et les autorités locales.

Suivi et réduction graduelle

Equipées de harnais, Maëlle et Lucie effectuent régulièrement des relevés en bord de route pour évaluer l’efficacité du dispositif. Grâce à des pièges photographiques, elles comptabilisent les rongeurs, déterminent leur sexe, et confirment leurs allées et venues. Afin de ne pas rendre les écureuils dépendants de la nourriture apportée, les deux femmes réduisent progressivement la quantité de nourriture offerte, préservant ainsi leur instinct sauvage.

La réussite de l’écuroduc à Bessan témoigne de la possibilité d’une cohabitation entre l’homme et la faune sauvage, tout en préservant l’instinct naturel des animaux. Une initiative qui inspire à la fois la préservation de la biodiversité et l’équilibre harmonieux entre l’homme et la nature.

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CAP SUR UNE NOUVELLE RÉGLEMENTATION EUROPÉENNE PROTECTRICE DES CHIENS ET DES CHATS !

Publié le par Ricard Bruno

CAP SUR UNE NOUVELLE RÉGLEMENTATION EUROPÉENNE PROTECTRICE DES CHIENS ET DES CHATS !

La France est l’un des pays d’Europe où l’on compte le plus d’animaux de compagnie, avec près de 15 millions de chats et 8 millions de chiens dans les foyers français, soit plus de 43% des foyers français possédant au moins un chien ou un chat. 

L’Union européenne est devenue, en quelques années, un marché important évalué à plus de 1,3 milliard d’euros par an, où transitent et se vendent des millions de chiens et de chats, provenant des Etats membres mais également souvent de pays tiers, dans lesquels pullulent des fermes à chiots et chatons destinées à alimenter la demande croissante des consommateurs européens.

La Commission européenne a mené depuis 2015 différents travaux afin de documenter le commerce illégal de chiens et chats opérant au sein de l’Union et d’identifier les causes et facteurs facilitant ce trafic qui ne fait que prendre de l’ampleur, au détriment du bien-être et de la santé des animaux mais également de la protection des consommateurs qui n’ont souvent pas conscience de participer à ces activités frauduleuses.

La Commission européenne en a conclu que la diversité des normes applicables dans chaque Etat représente un challenge en matière de protection animale et ouvre la voie à ces nombreux trafics, facilités par la faiblesse des contrôles, la clémence des sanctions et l’absence de coopération entre Etats.

Pour remédier à cette situation préoccupante, une nouvelle réglementation européenne visant à assurer la traçabilité et le bien-être des chiens et des chats vient d’être proposée par la Commission et sera débattue dans les prochain mois sur la scène européenne.

Elle prévoit notamment l’identification obligatoire des chiens et chats mis sur le marché de l’Union européenne et leur enregistrement dans une base nationale pouvant communiquer avec les bases des autres Etats membres, mais également l’amélioration des conditions d’hébergement des chiens et chats dans les élevages, animaleries et refuges, ou encore un meilleur encadrement des activités de reproduction afin de voir disparaître les « fermes-usines » à chiots et chatons qui exploitent les animaux de façon intensive.

Autre avancée notable : les mutilations (coupe des queues et des oreilles, ablation des doigts et des cordes vocales), maltraitances (coups, attache, contention permanente, port prolongé de la muselière…) et pratiques d’élevage nuisant à la santé et au bien-être des chiens et chats (consanguinité, hypertypes) devraient également être mieux encadrées au sein de l’Union européenne.

Enfin, les conditions de vente et don de chiens et de chats sur internet seront durcies, dans un souci de transparence vis-à-vis du consommateur et de lutte contre les pratiques frauduleuses.

Afin d’éviter la concurrence déloyale de pays tiers peu soucieux du bien-être animal, la Commission européenne propose que la mise sur le marché européen de tout chien et chat provenant d’un pays tiers soit conditionnée au respect de la réglementation européenne en la matière.

Bien que cette proposition de réglementation soit un pas encourageant en faveur de la protection des chiens et des chats, certaines lacunes demeurent et devront être comblées lors de l’examen du texte par le Parlement européen et par les Etats membres, et la Fondation Brigitte Bardot y veillera en faisant des propositions en ce sens aux décideurs politiques. En effet, de larges exceptions, notamment de par l’exemption des élevages et animaleries de petite taille, ne sont pas justifiées et ne permettront pas au texte de répondre à son objectif de protection animale généralisée et harmonisée au sein de l’UE. Par ailleurs, cette réglementation devrait s’appliquer à tous les animaux de compagnie et non seulement aux chiens et chats. En effet, des millions de lapins, rongeurs, furets, oiseaux, reptiles, poissons (…) sont élevés et vendus au sein de l’UE et sont tout autant sources de trafics et de souffrance ! Ces animaux ne doivent pas être oubliés alors que la Commission s’apprête à faire un pas considérable pour assurer le bien-être de nos animaux de compagnie. 

D’autres correctifs seront certainement à apporter au texte afin d’intégrer l’interdiction claire de certaines pratiques maltraitantes (utilisation de dispositifs étrangleurs, dégriffage…) et de la reproduction d’animaux présentant des « hypertypes » (anomalies physiques causant des souffrances et réduisant l’espérance de vie, telles que dysplasie, face aplatie, peau fortement plissée…), ou encore l’instauration d’un âge minimal pour la cession des animaux de compagnie.

En matière de protection des animaux de compagnie, la France s’est dotée depuis plusieurs années d’une réglementation plus contraignantes que nombre de ses voisins européens, notamment avec l’obligation d’identification des chiens et chats et, depuis peu, l’interdiction de la vente de chiens et chats en animalerie et l’encadrement de la cession d’animaux de compagnie en ligne. La France fera donc pour une fois figure de bon élève et aura l’opportunité de se démarquer dans le cadre des négociations européennes, en faisant valoir un modèle déjà en place répondant aux propositions de la Commission européenne, quoique manquant parfois de contrôle et d’application au niveau national…

 

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Cochons sauvages à Marignane : la Fondation Brigitte Bardot organise le "sauvetage" des "150 rescapés"

Publié le par Ricard Bruno

Cochons sauvages à Marignane : la Fondation Brigitte Bardot organise le "sauvetage" des "150 rescapés"

La Fondation souhaite transférer les cochons de Marignane dans une pension sous sa responsabilité mi-février. Depuis plusieurs années, l'espèce prolifère dans cette commune des Bouches-du-Rhône.

Nouveau rebondissement dans l'affaire des cochons sauvages à Marignane. Après avoir dénoncé le gazage de dizaines d'animaux par les services vétérinaires du département en décembre dernier, la Fondation Brigitte Bardot entend organiser une vaste opération de "sauvetage" pour "les 150 rescapés".

"Nous avons un lieu d'accueil et nous ne pouvons plus envisager le maintien des cochons à Marignane, même en enclos", a indiqué sans plus de détails le porte-parole de la Fondation, Christophe Marie, à France 3 Provence-Alpes, vendredi 2 février, après un rendez-vous infructueux avec la Direction départementale de la protection de la population (DDPP).

"À Marignane, ils sont condamnés"

Le porte-parole entend organiser les captures des cochons sauvages "mi-février" : ils seront transférés "dans une pension" sous la responsabilité de la fondation. "À Marignane, ils sont condamnés, la mairie ne s'en cache pas", conclut Christophe Marie.

Depuis quelques années, l'espèce prolifère dans la commune. Début 2022, France bleu Provence rapportait une estimation d'environ 250 cochons autour de cette zone, alors qu'ils n'étaient que "quelques individus" moins de cinq ans auparavant.

Return to #Marignane after the gassing of 350 #cochons by the town hall, the Brigitte Bardot Foundation organizes the rescue of the 150 survivors. Delicate operation, to be continued...

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Castillon-la-Bataille : 40 chats libres identifiés par la Ville

Publié le par Ricard Bruno

Anne Grillard présente le bilan de la première année de l’opération Chats libres.

Anne Grillard présente le bilan de la première année de l’opération Chats libres.

Quarante chats trappés sur la période de mars à décembre 2023. Le bilan de la première opération Chats libres, présenté ce mardi 16 janvier à la mairie de Castillon-la-Bataille, est prometteur. Aujourd’hui, 40 chats numérotés sont libres, identifiés et stérilisés. « Ce sont les chiffres de terrain sur six mois effectifs. Ce n’est pas en une année que nous réglerons le problème des chats errants sur le territoire, c’est un travail de plusieurs années pour juguler », précise Anne Grillard. La salariée de Castilab, entreprise à but d’emploi, a été missionnée pour cette action nationale, suivie en mairie, en lien avec les associations de protection animale, notamment la fondation Brigitte-Bardot qui aide aux financements.

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Oise. Un bouc et une chèvre retrouvés morts malgré des signalements de riverains pour maltraitance

Publié le par Ricard Bruno

À Saint-Rémy-en-l’Eau (Oise), une chèvre et un bouc ont été retrouvés morts fin décembre 2023, suscitant l’indignation du voisinage. Selon des riverains, leur mort est liée aux conditions de vie déplorables dans lesquelles ils étaient détenus par un particulier, malgré plusieurs interventions de la gendarmerie et l’alerte de différentes associations. Le mis en cause pourrait faire prochainement l’objet de poursuites.

Image d'illustration...

Image d'illustration...

Un habitant de Saint-Rémy-en-L’eau (Oise) est soupçonné par ses voisins d’actes de maltraitance animale. Fin décembre 2023, un bouc et une chèvre lui appartenant ont été retrouvés morts dans leurs enclos. Pour l’heure, aucune enquête policière ni action en justice n’a été décidée à son encontre mais il pourrait faire prochainement l’objet de poursuites, rapporte Le Parisien , dimanche 21 janvier 2024.

 

Un habitant de Saint-Rémy-en-L’eau (Oise) est soupçonné par ses voisins d’actes de maltraitance animale. Fin décembre 2023, un bouc et une chèvre lui appartenant ont été retrouvés morts dans leurs enclos. Pour l’heure, aucune enquête policière ni action en justice n’a été décidée à son encontre mais il pourrait faire prochainement l’objet de poursuites, rapporte Le Parisien , dimanche 21 janvier 2024.

 

« Les choses pourraient se décanter dans les jours à venir , a notamment précisé le parquet de Beauvais à nos confrères. Dans la commune de près de 400 habitants, deux riverains ont déjà sollicité l’association 30 millions d’amis et la Fondation Brigitte-Bardot. Cette dernière a fait savoir qu’elle se porterait partie civile si nécessaire.

 

Manque de nourriture, fuites…

 

À l’été 2022, soit plus d’un an avant la mort des animaux, des voisins avaient déjà alerté les autorités sur leurs conditions de vie. Une première inspection de la gendarmerie avait alors eu lieu. Un an plus tard, les militaires se sont une nouvelle fois rendus sur place après de nouveaux signalements de riverains, explique le journal francilien. Ils avaient notamment secouru la chèvre qui s’était retrouvée coincée dans une palette en tentant de sortir de son enclos.

Interrogés par Le Parisien, les voisins du mis en cause ont fait état d’un manque de nourriture, d’eau « croupie », de bêtes qui avaient l’habitude de hurler et de fuir ainsi que d’un propriétaire souvent absent. L’homme posséderait également des poules décharnées et un chien, qui serait également coutumier des fugues. Selon les riverains, l’homme n’aurait jamais répondu à ses convocations devant la gendarmerie.

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Eure : un incroyable élan de solidarité a permis de sauver un chien errant du froid

Publié le par Ricard Bruno

Eure : un incroyable élan de solidarité a permis de sauver un chien errant du froid

Plus tôt ce mois-ci, un élan de solidarité a permis de sauver un chien errant du froid dans l’Eure. Aujourd’hui, le toutou se repose au chaud dans un refuge, où il attend d’être adopté.

C’est la belle histoire du jour. Il y a une semaine, une femme a sauvé un chien errant du froid grâce à un bel élan de solidarité, racontent nos confrères de Paris-Normandie. L’animal a pu être pris en charge par une association.

Alors qu’elle se promenait avec son conjoint près de Pont-Audemer (Eure), Marine Goupil a aperçu un chien errant sur la route. Face à cette situation, cette habitante de Brestot, âgée de 35 ans, a tenté de l’attraper, sans succès.

«Nous avons essayé longtemps mais c’était impossible. Je suis repartie en pleurs. Ça me faisait mal de laisser ce chien-là. Nous y sommes alors retournés pour lui donner à manger et il était encore là», explique la jeune femme au site d’information.

De retour chez elle, Marine Goupil s’empresse de contacter les refuges et les associations de protection des animaux. Mais ce n’est pas tout ! Cette bénévole au grand cœur a également lancé des appels sur les réseaux sociaux avant de contacter la mairie de Rougemontier, qui «a l’obligation de faire quelque chose pour les animaux errants».

 

Un vague de solidarité pour sauver le chien

 

Par chance, son appel à l’aide a rapidement porté ses fruits. En effet, la Fondation Brigitte Bardot - qui a eu vent de cette histoire - a décidé de se rendre sur place le lendemain pour venir en aide au pauvre toutou.

«Une vague de solidarité s’est mise en place. Le lundi, une trentaine de personnes s’est relayée pour surveiller le chien et lui donner à manger. J’étais au travail mais je suivais ce qu’il se passait sur place», a confié Marine Goupil.

Avant d’ajouter : «Un agriculteur m’a dit qu’il l’avait vu depuis trois semaines. Il dormait dans l’abri de ses moutons».

Les personnes présentes sur les lieux ont finalement réussi à attraper le chien errant. La boule de poils, qui est en réalité une chienne, a été transportée à la clinique vétérinaire pour passer des examens.

 

Tout est bien qui finit bien

 

Depuis son sauvetage, la chienne se repose au chaud dans un refuge, où elle attend d’être adoptée : «J’ai déjà reçu plusieurs sollicitations. Je ne peux pas le garder sinon, je n’aurais pas hésité». À noter que le quadrupède a été prénommé Happy («heureux» en anglais). par son ange gardien.

«J’étais très contente du dénouement car la chienne était vraiment très affaiblie. La personne de la Fondation m’a dit qu’elle n’aurait pas survécu avec les températures».https://www.demotivateur.fr/animaux/eure-un-incroyable-elan-de-solidarite-a-permis-de-sauver-un-chien-errant-du-froid-37620

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90 chiens maltraités saisis dans l’Orne : l’éleveuse « dépassée » condamnée

Publié le par Ricard Bruno

Lors d’un contrôle de la gendarmerie et des services vétérinaires en janvier 2023 dans deux chenils ornais, appartenant au même élevage, 90 chiens avaient été découverts, détenus dans des conditions exécrables. L’éleveuse a été condamnée ce mardi 16 janvier 2024, par le tribunal judiciaire d’Argentan (Orne).

90 chiens maltraités saisis dans l’Orne : l’éleveuse « dépassée » condamnée

 

Une femme de 50 ans qui dirigeait un élevage canin à Caligny et Montilly-sur-Noireau a comparu devant le tribunal judiciaire d’Argentan (Orne), début décembre 2023. En début d’année, les 90 chiens qu’elle élevait avaient été saisis pour maltraitance et remis à la SPA. Ce mardi 16 janvier 2024, la prévenue a été condamnée à une amende.

90 chiens saisis et remis à la SPA

Début janvier 2023, les gendarmes et les services vétérinaires sont intervenus dans deux chenils à Caligny et Montilly-sur-Noireau, appartenant au même élevage.

Ils ont constaté que 90 chiens étaient détenus dans des cages bien trop petites, piétinant dans leur urine et leurs excréments « au milieu d’une odeur difficilement soutenable ». Les animaux étaient sales, manquaient de soins vétérinaires, certains présentaient des troubles du comportement ou étaient maigres. Les bergers de Laponie ont été saisis et remis à la SPA.

Deux associations parties civiles

Devant le tribunal, début décembre 2023, l’éleveuse avait mis en avant ses problèmes de santé pour tenter d’expliquer comment elle en était arrivée là, tout en admettant ses torts sur le fond. La femme de 50 ans avait alors murmuré « être dépassée ».

Lire aussi : Orne. Un chien amaigri reste sur un balcon, son maître est condamné par la justice

Deux associations (la SPA et la fondation Brigitte Bardot) s’étaient portées parties civiles : « le bien-être animal doit être une priorité, même dans le cadre d’une activité commerciale », avait noté l’avocat de la fondation Brigitte Bardot.

Condamnée à une amende

L’éleveuse de 50 ans a été condamnée à 3 000 € d’amende dont 2 000 € avec sursis. Elle a l’interdiction de continuer son métier d’éleveuse pendant 5 ans. Elle a également été condamnée à 225 € d’amende. Les 90 chiens saisis sont remis à la SPA.

La prévenue devra indemniser les deux parties civiles, à hauteur de 1 000 € pour la fondation Brigitte Bardot. 1 500 € pour la SPA. Elle devra également régler les 15 716 € de frais de garde des chiens à la SPA.

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Le centre de soin pour la faune sauvage de Savoie et de Haute-Savoie lance un appel aux dons

Publié le par Ricard Bruno

Photo d'illustration...

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L’hiver ce sont les hérissons, les rapaces, les chauves-souris qui trouvent refuge au centre. Le Tétras Libre, le centre de sauvegarde de la faune sauvage des Pays de Savoie a besoin d’argent pour payer les 4 salariés et le matériel. Il lance un financement participatif sur internet.

Le Tétras Libre reçoit des milliers d'animaux sauvages, biches, renards, chouettes, cygnes depuis son ouverture en 2020. Il avait alors été élu meilleur projet du budget citoyen du département et avait bénéficié d’une importante subvention. Le centre emploie 4 salariés dont 3 soigneuses. Il a besoin de 200.000 euros pour fonctionner tous les ans et on est loin du compte !

Plus d'animaux accueillis mais pas assez de moyens

Selon l’association, "les accueils d’animaux sauvages augmentent drastiquement mais pas nos moyens financiers. Le fonctionnement quotidien du centre de soins nécessite beaucoup de moyens en terme de matériel, nourriture, médicaments, fourniture d’énergie, mais aussi pour financer notre renfort saisonnier qui nous aide à gérer les centaines d’animaux qui arrivent en quelques mois avec tous les jeunes de l’année". Le centre est ouvert tous les jours de l’année. Il accueille uniquement les animaux de la faune sauvage. Les animaux domestiques sont dirigés vers d’autres structures "nous prenons en charge gratuitement tous les animaux sauvages en difficulté que l’on peut nous apporter".

La fondation Brigitte Bardot ou l'association 30 millions d'amis soutiennent aussi le Tétras Libre, elles participent notamment à l'achat de nourriture ou de médicaments.

Une cagnotte en ligne

Depuis le début du mois de décembre et jusqu'à fin janvier, un financement participatif est lancé via internet. Le message est clair : "notre centre de soins pour la faune sauvage risque de fermer ses portes fin 2024. Votre soutien financier nous aidera à garder le cap !". Idéalement le centre aurait besoin de subventions des collectivités pour le fonctionnement, pour payer les salaires notamment, le matériel et les médicaments alors que pour l'instant, les départements de la Savoie et de la Haute Savoie ou la Région donnent des aides essentiellement pour les investissements (les aménagements des salles de soin, des travaux, les agrandissements). Les responsables du centre espèrent que les collectivités viendront compléter la générosité des donneurs en ligne avec des subventions publiques pérennes.

Pour aider financièrement l'association : c'est ici

À l'intérieur les animaux sont isolés le temps de se refaire une santé

À l'intérieur les animaux sont isolés le temps de se refaire une santé

Cet hérisson là va retourner en quarantaine

et hérisson là va retourner en quarantaine

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LA FBB APPORTE SON SOUTIEN À L’ORGANISATION WFFT DANS LA RÉALISATION D’UNE MISSION DE SAUVETAGE HISTORIQUE DE 35 GRANDS FÉLINS.

Publié le par Ricard Bruno

LA FBB APPORTE SON SOUTIEN À L’ORGANISATION WFFT DANS LA RÉALISATION D’UNE MISSION DE SAUVETAGE HISTORIQUE DE 35 GRANDS FÉLINS.

La Fondation Brigitte Bardot a récemment appuyé l’organisation Wildlife Friends Foundation Thailand dans une opération de sauvetage sans précédent, visant à secourir 35 grands félins en détresse.

Le 16 décembre, une première intervention a permis le sauvetage de 12 tigres et 3 léopards des conditions déplorables d’une ferme intensive en Thaïlande. Ce groupe initial, choisi pour son état critique, a nécessité des soins urgents. Parmi eux, un tigre nommé Salamas, particulièrement faible, a dû être déplacé avec précaution sans sédation.

Les animaux ont été déplacés vers le sanctuaire de WFFT où ils bénéficieront de soins médicaux et d’un habitat naturel, marquant pour beaucoup leur première expérience de la liberté après une vie en captivité, nombre d’entre eux ayant passé plus de vingt ans dans une cage de béton.

Malheureusement, ces tigres et léopards ne pourront jamais être relâchés dans la nature, mais le refuge leur offre un environnement où ils pourront explorer, se socialiser et se rétablir.

La mission continue…

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