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La fondation Brigitte Bardot tente d'aider au dialogue...

Publié le par Ricard Bruno

Un groupe de militants de l'association Fondation Brigitte Bardot a passé trois jours à Mayotte pour tenter de trouver une solution au problème posé par la surpopulation de makis sur l'ilot Mbouzi. La première étape consistait à renouer le dialogue entre les différents acteurs. Sauf les agriculteurs.

20120227-christophe_marie.jpg

20120227-christophe marie

20120227-maki_mbouzi.jpgChristophe Marie repart "confiant mais vigilant"
© FBB

 

Les makis de l'ilot Mbouzi sont au cœur d'une  polémique qui dure maintenant depuis près de dix ans, opposant  l'association Terre d'Asile qui a créé le lieu en 1987 et les  Naturalistes de Mayotte, chargés de la gestion de ce qui est devenu  entre temps une réserve naturelle nationale administrée par le  conseil général de Mayotte qui en a la responsabilité.

La délégation de la Fondation Brigitte Bardot  (FBB) est donc arrivée jeudi après-midi pour « voir ce  qu'il est possible de faire » dans une situation qui  « n'est pas simple ». Christophe Marie, directeur  du bureau protection animale de la fondation, reconnaît un  « sureffectif indéniable» de makis sur l'ilot Mbouzi.  Reste à trouver des solutions acceptables, la pire étant  l'euthanasie des lémuriens « qui enverrait un signal très  négatif » vers une population qu'on tente de convaincre de  l'intérêt qu'il y a à préserver différentes espèces propres à  Mayotte et vers qui les autorités communiquent depuis de nombreuses  années. On a dû mettre fin à Mayotte, depuis une dizaine d'années,  à plusieurs pratiques ancestrales de consommation alimentaire, comme  la tortue marine, par exemple.

Il semblerait donc qu'« il n'y aura pas de  solution globale » et que l'on s'achemine vers un ensemble  de mesures, mais qui mettront du temps à être mises en place. Or,  le centre national de protection de la nature (CNPN), qui dépend du  ministère de l'environnement, a fixé un délai d'un an pour  « mettre un terme définitif à la présence de lémuriens  sur la réserve naturelle nationale de l'ilot Mbouzi ».  Intenable pour mettre en pratique les différentes solutions et même  « fantaisiste » pour Christophe Marie qui affirme  qu'« il faudrait trois ans ».

Sur les 800 lémuriens qui peuplent l'ilot « 200  sont âgés et vont mourir dans les deux à trois ans à venir »  mais pour ceux qui restent, « il n'est pas envisageable  d'amener des centaines de lémuriens en Grande Terre ». Ce  qui, de toutes façons soulèverait un tollé de la part des  agriculteurs. Une des solutions consiste donc à mener rapidement des  « actions de contraception » qui ne pourront pas  non plus toucher l'ensemble d'une population qui augmente de 10% par  an, selon le CNPN. La FBB apporterait une aide financière à ces  actions au « coût très lourd ».

 

20120227-maki mbouzi 

Sur l'ilot Mbouzi, une trop grande promiscuité...

Une autre piste consiste à envoyer un certain  nombre de makis dans des zoos de métropole. « Ils sont déjà  captifs » nous dit  Christophe Marie et c'est d'ailleurs là  que réside une partie du problème. Les makis de l'ilot Mbouzi ne  sont plus vraiment des animaux sauvages. Ils y sont nourris et ont  des rapports étroits avec les humains. Tous ne pourront donc pas  reprendre une vie sauvage. Le Refuge de l'Arche, en Mayenne, est prêt  à en « accueillir une centaine », mais d'autres  parcs zoologiques métropolitains pourraient les suivre, dans une  moindre mesure.

Le directeur du bureau protection animale de la FBB  a montré une certaine satisfaction à avoir participé à ce que le  dialogue se renoue entre les acteurs, notamment entre les deux  associations Terre d'Asile et les Naturalistes de Mayotte. On  « entendait des invectives » mais il n'y « avait  pas de dialogue ». Reste à faire entrer dans les  négociations les agriculteurs qui souffrent déjà des ravages  provoqués en Grande Terre par les makis, mais également par les  roussettes qui prélèvent une quantité non négligeable sur les  cultures, de l'ordre de 30 à 40%. Or, de ce côté là, on n'a pas  avancé puisque les associations de préservation de la nature n'ont  pas inclus les agriculteurs dans leurs discussions. Ce qui n'aura pas  manqué de les faire réagir et dès ce matin, la FDSEAM (Fédération  départementale des Syndicats d’exploitants agricoles de Mayotte)  envoyait un communiqué rappelant que si les makis sont importants  pour Mayotte, les agriculteurs aussi. (Lire « Makis  et ours des Pyrénées même combat ? »

Après avoir rencontré le préfet vendredi  après-midi, Christophe Marie a noté « une volonté de  réunir les gens » et de ne pas agir « dans la  précipitation » de la part des services de l'état. Quant  au Conseil Général, qui porte pourtant la responsabilité de la  gestion de la réserve naturelle nationale de l'ilot Mbouzi, « il  n'y a pas eu de contact possible ».

Les représentants de la fondation Brigitte Bardot  sont repartis dimanche matin « confiants mais vigilants ».

 

Source :  http://www.malango-actualite.fr/article/la_fondation_brigitte_bardot_tente_d_aider_au_dialogue-8355.htm

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Le vrai scandale des abattoirs : le manque de transparence...

Publié le par Ricard Bruno

linkLa polémique sur les abattoirs d'ïle de France qui pratiquent exclusivement l'abattage rituel fait rage depuis que Marine Le Pen s'est exprimée suite au reportage d'envoyé spécial sur le sujet. Cependant, le vrai scandale n'est pas là, il est dans le manque complet de transparence des abattoirs qui ne permettent pas au citoyen de savoir précisément la qualité de ce qu'il consomme.

Loin des envolées et des débats stériles, cette tribune veut proposer des solutions simples pour améliorer la transparence des abattoirs et mieux informer le citoyen.

Depuis plus d'un siècle, les abattoirs constituent un sujet hautement polémique. En 1906, le livre la jungle d'Upton Sinclair scandalise l'opinion publique américaine qui découvre l'insalubrité et les conditions de travail extrêmement difficile des ouvriers dans les abattoirs. L'auteur fut reçu par le président Théodore Roosevelt lui même et des mesures législatives suivirent pour assurer l'hygiène des abattoirs. A la même époque, les mouvements de défense des animaux connaissent un rapide essor avec des connotations parfois antisémites. En 1893, la Suisse interdit par référendum l'abattage rituel qui consiste à égorger l'animal, suivi de la Norvège en 1930, de l'Allemagne nazie en 1936 et de l'Italie fasciste en 1938. L'histoire et la présence de mouvements antisémites rend le débat très polémique.

Aujourd'hui, bien que la réglementation a évolué et que la qualité s'est améliorée depuis Upton Sinclair, les abattoirs sont toujours critiqués pour leur manque d'hygiène et pour la pratique de l'abattage rituel. Récemment, Marine Le Pen a relancé le débat sur la viande hallal après la diffusion d'un reportage d'envoyé spécial sur France 2 qui montre que tous les abattoirs d'Île de France pratiquent l'abattage rituel. Cependant, les autorités musulmanes ne sont pas opposées à l'étouffement. En février 2004, le recteur de la Mosquée de Paris accueillant l’actrice et militante de la cause animale Brigitte Bardot justifiait ainsi sa position : « l’étourdissement préalable n’est licite que dans le cas où il n’entraîne pas la mort de l’animal et qu’il puisse être réversible ». Il ajoutait : « que l’électronarcose était déjà largement pratiquée à travers le monde dans les abattoirs industriels produisant de la viande halal ». Source : communiqué de l’AFP, 11 février 2004.

Le reportage de France 2 pointait très bien les deux problèmes des abattoirs français ; le non respect des normes sanitaires imposées par la loi et le manque de transparence sur l'abattage rituel qui est un problème juridique européen.

Il est choquant de voir qu'un abattoir qui n'est pas aux normes n'est pas sanctionné. Ceci est d'autant plus critiquable qu'il peut continuer à vendre sa viande et que le consommateur ne sera pas tenu au courant. Le rapport de la cour des comptes de 2008 qui était accablant sur la situation sanitaire des abattoirs français n'avait pas été rendu public. Il est impossible pour un citoyen d'avoir accès aux rapports et aux évaluations des abattoirs. Toutes ces données devraient pouvoir être librement accessibles sur internet. Des données du ministère de l'agriculture sont déjà disponibles sur le site data.gouv.fr mais on n'y trouve aucune information sur l'hygiène des abattoirs. Avant d'être publiée, l'information doit pouvoir être recueillie et il est essentiel que les inspecteurs des directions départementales des services vétérinaires (DDSV) soient en nombre suffisant pour s'assurer que la loi est respectée et que la note attribuée corresponde à la réalité. Malheureusement, l'État français est prolifique quand il s'agit de voter des lois mais il est souvent incapable d'embaucher assez de gens pour les faire appliquer. Faire ressortir épisodiquement les carences de la filière de l'abattage dans des livres ou des reportages audiovisuels est insuffisant, il faut un contrôle permanent de l'État et des citoyens.

Profitant des failles juridiques et du laxisme des administrations, nombre d'abattoirs se sont engouffrés dans la voie de l'abattage rituel pour pouvoir échapper à une réglementation contraignante. A l'instar de l'abattoir de Meaux, la généralisation de l'abattage rituel a permis des économies d'échelle permettant ainsi d'augmenter leurs marges. La logique est purement économique, relevant d'un simple calcul coûts/avantages/risques. Ce qu'il faut, c'est justement inverser cette logique en introduisant plus de transparence pour que le consommateur puisse sanctionner les abattoirs. Cependant, la législation européenne n'impose aucune règle en matière de transparence. Au final, tout le monde y est perdant. Les autorités musulmanes sont les premières à dénoncer la supercherie du halal car égorger la bête ne suffit pas, il faut qu'elle soit bénie par un imam et tuée en direction de la mecque (ce que peu d'abattoirs respectent). De plus, le consommateur qui tient à ce que la bête soit étouffée y perd aussi car il consomme de la viande d'un animal qui a été égorgé. Les divisions de la communauté musulmane rendent très difficile l'avènement d'un label hallal. Cependant, il n'est pas nécessaire d'instaurer juridiquement un label pour résoudre le problème de la transparence sur la mort de l'animal. La législation européenne peut être modifiée pour que sur l'étiquette soit indiqué la méthode d'abattage.

Au lieu de s'embourber dans des débats avec des connotations qui peuvent être dérangeantes et qui donnent lieu à des dérives haineuses, il serait préférable d'appliquer les mesures suivantes :

  • Transparence et accessibilité des données sur les abattoirs. Les rapports et les évaluations de chaque abattoir doivent être disponibles sur internet en libre accès. Le site data.gouv.fr peut très bien se prêter à cette diffusion.

  • Augmentation des effectifs des inspecteurs des directions départementales des services vétérinaires (DDSV) pour que les contrôles soient réguliers.

  • Enrichir l'étiquetage des produits en indiquant la méthode d'abattage (étouffement ou égorgement) et l'évaluation de l'abattoir.

Pour ceux qui veulent aller plus loin sur les enjeux du hallal en Europe, je recommande vivement la lecture de l'excellent article de Florence Bergeaud-Blackler, sociologue des religions, Nouveaux enjeux autour de l’abattage rituel musulman : une perspective européenne, cahiers d'économie et de sociologie rurales n°73, 2004.

Source : Cliquez ici

Publié dans le web en parle

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Chiens attachés / La bêtise n'excuse pas la cruauté

Publié le par Ricard Bruno

 

CHARLEVILLE-MEZIERES (Ardennes) Sans aller jusqu'à des tortures volontaires et sadiques, des maîtres sans cœur ni scrupules attachent ou détiennent leurs chiens dans des conditions abominables… qui peuvent les envoyer devant un tribunal.

Exemple d'un chien dans une commune des Crêtes pré-ardennaises (visible de la route) dont les conditions d'attache sont répréhensibles par la loi… surtout en plein hiver !

Exemple d'un chien dans une commune des Crêtes pré-ardennaises (visible de la route) dont les conditions d'attache sont répréhensibles par la loi… surtout en plein hiver !

EST-CE l'approche des élections qui électrise le débat public ? En tout cas, les associations de protection animale n'ont jamais été aussi promptes à vouloir médiatiser leurs actions.
Deux enquêtrices officiellement mandatées, Dominique H. pour la Fondation Assistance aux Animaux, et Françoise R. pour la Fondation Brigitte Bardot, viennent de nous alerter à propos de cas de maltraitance qu'elles ont constatés sur des chiens à l'attache.
Ce ne sont pas des animaux frappés et/ou privés de nourriture mais simplement des chiens qui sont attachés dans des conditions que la loi peut assimiler à des mauvais traitements envers les animaux si une plainte est déposée.
Parfois, il arrive que ces pauvres bêtes cumulent les deux, c'est-à-dire qu'elles soient attachées dans des conditions insensées (collier trop serré, chaîne trop courte…) et à la fois victimes de coups, mais les deux enquêtrices voudraient surtout faire passer le message à ces maîtres qui s'estiment irréprochables dès lors qu'ils remplissent régulièrement la gamelle de leur souffre-douleur.
Dominique H. et Françoise R. ont souhaité ne pas communiquer leurs patronymes pour éviter les injures ou les menaces au téléphone. Elles reconnaissent que leurs enquêtes sont difficiles à mener.
La première parle d'une femelle terre-neuve dans un village de la Vallée de la Semoy, qui n'avait jamais été détachée. C'est grâce à une pétition des voisins, excédés par les aboiements incessants de la chienne, que son sort a fini par s'améliorer. L'animal attaché était visible de la route. La déléguée de la Fondation Assistance aux Animaux a dû faire appel à la gendarmerie pour faire enlever la chienne. Le maître a été condamné à 1 000 euros d'amende et 400 euros de dommages et intérêts à verser à la SPA qui était partie civile.

La liberté l'a tué
Autre cas, celui d'un dogue argentin qui était attaché à un radiateur… tellement court que la pauvre bête ne pouvait même pas s'allonger correctement. Remuant la queue de manière réflexe comme le font tous les chiens, le dogue se la cognait sans arrêt contre le radiateur et avait fini par l'entamer jusqu'à l'os !
Une voisine qui avait eu l'occasion d'entrer dans le logis des maîtres du dogue a finalement pris la décision de signaler la situation. La plainte est encours. Le chien a été retiré de chez ses tortionnaires et placé dans une famille où il n'était plus attaché… Mais il est rapidement mort d'une crise cardiaque parce qu'il n'avait jamais été habitué à être libre de ses mouvements ! La liberté l'a tué. « J'espère qu'il est mort de bonheur », soupire l'enquêtrice.
Sa collègue, pour sa part, a eu affaire au cas d'une femelle rottweiller que ses maîtres habitant dans un appartement HLM de la Ronde Couture enfermaient dans un placard. L'animal était maigre à faire peur. La Fondation Bardot a porté plainte. Après un passage par la fourrière, la chienne a pu être placée dans une famille. Le cas va être jugé incessamment.
L'infraction de mauvais traitements envers un animal domestique est punissable au titre de l'article R. 654-1 du Code pénal.

 

Source : Cliquez ici

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Récapitulatif des sites et des journaux concernant l’appel de Brigitte Bardot en faveur des parrainages pour Marine Le Pen

Publié le par Ricard Bruno

1)      http://www.lavoixdunord.fr/Election-presidentielle-2012/2012/02/22/article_brigitte-bardot-demande-aux-maires-de-soutenir.shtml

2)      http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20120222.FAP0910/brigitte-bardot-appelle-les-maires-a-parrainer-marine-le-pen.html

3)      http://www.francesoir.fr/actualite/politique/brigitte-bardot-la-lente-derive-a-droite-d-un-sex-symbol-187445.html

4)      http://www.parismatch.com/Actu-Match/Politique/Actu/Parrainages-Brigitte-Bardot-vole-au-secours-de-Marine-Le-Pen-378411

5)      http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/brigitte-bardot-exhorte-les-maires-de-france-a-parrainer-marine-le-pen-22-02-2012-1433878_324.php

6)      http://www.elle.fr/Societe/News/Parrainages-Brigitte-Bardot-soutient-Marine-Le-Pen-1924068

7)      http://www.letelegramme.com/presidentielle-2012/parrainages-de-marine-le-pen-brigitte-bardot-est-en-colere-et-ecrit-aux-maires-22-02-2012-1609662.php

8)      http://www.staragora.com/news/brigitte-bardot-au-secours-de-marine-le-pen/439913

9)      http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/brigitte_bardot_monte_au_front_255244

10)  http://www.slate.fr/france/50433/brigitte-bardot-marine-le-pen-parrainages

11)  http://tianplus.blogs.nouvelobs.com/archive/2012/02/22/brigitte-bardot-defend-la-cause-de-marine-le-pen.html

12)  http://www.marinelepen2012.fr/2012/02/22/brigitte-bardot-et-une-tres-nette-majorite-de-francais-pour-la-presence-de-marine-a-la-presidentielle/

13)  http://fr.news.yahoo.com/brigitte-bardot-monte-au-front-094606986.html

http://www.ledauphine.com/france-monde/2012/02/22/brigitte-bardot-demande-aux-maires-de-parrainer-marine-le-pen

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Brigitte Bardot s'expose au Sofitel...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot s'expose au Sofitel

Brigitte Bardot s'expose à travers les Etats Unis

 

Une exposition de photographies de Brigitte Bardot va sillonner l'Amérique du Nord jusqu'en décembre 2012 dans les hôtels de la chaîne Sofitel. 

Une exposition d'une quarantaine de photographies de l'actrice et sex-symbol française Brigitte Bardot, a été inaugurée ce 21 février à Los Angeles dans les hôtels Sofitel. L'exposition voyagera par la suite à travers les Etats-Unis pendant toute l'année 2012, a annoncé son organisateur Henry-Jean Servat dans un communiqué. M. Servat, biographe de stars et ami intime de BB, a choisi une quarantaine des plus beaux clichés de l'icône française. 

Après Los Angeles, l'exposition itinérante sera visible dans les établissements de la chaîne hôtelière Sofitel notamment à Chicago en avril-mai 2012, à Washington de juin-septembre 2012 et à New York en octobre-décembre 2012. 

La star ne traversera pas l'Atlantique pour accompagner l'exposition, mais le communiqué assure que "Brigitte Bardot est évidemment enchantée de l'hommage initié par les hôtels Sofitel saluant une carrière qu'elle a délaissée mais qui l'encourage dans son combat pour le respect des animaux". 

Brigitte Bardot, icône incontestable

Un catalogue "collector", réunissant notamment une lettre de Brigitte Bardot et la majorité des photographies de l'exposition, a été édité aux Etats-Unis, spécialement pour l'occasion. 

Si Brigitte Bardot a toujours refusé de tourner aux Etats-Unis, malgré les multiples appels du pied d'Hollywood, elle y a connu un énorme succès dans les années 50 et 60, notamment après le sulfureux Et Dieu créa la femme -gros succès aux Etats-Unis, bien que copieusement censuré. 

Toujours considérée par les Américains comme l'archétype du sex-symbol à la française, BB avait fait parler d'elle outre-Atlantique en 2008, lorsqu'elle s'était invitée dans la campagne électorale américaine en qualifiant la républicaine Sarah Palin, alors colistière de John McCain, de "honte pour les femmes". 

 

Source : Cliquez ici

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Brigitte Bardot s'expose au Sofitel...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot s'expose au Sofitel

Brigitte Bardot s'expose à travers les Etats Unis

 

Une exposition de photographies de Brigitte Bardot va sillonner l'Amérique du Nord jusqu'en décembre 2012 dans les hôtels de la chaîne Sofitel. 

Une exposition d'une quarantaine de photographies de l'actrice et sex-symbol française Brigitte Bardot, a été inaugurée ce 21 février à Los Angeles dans les hôtels Sofitel. L'exposition voyagera par la suite à travers les Etats-Unis pendant toute l'année 2012, a annoncé son organisateur Henry-Jean Servat dans un communiqué. M. Servat, biographe de stars et ami intime de BB, a choisi une quarantaine des plus beaux clichés de l'icône française. 

Après Los Angeles, l'exposition itinérante sera visible dans les établissements de la chaîne hôtelière Sofitel notamment à Chicago en avril-mai 2012, à Washington de juin-septembre 2012 et à New York en octobre-décembre 2012. 

La star ne traversera pas l'Atlantique pour accompagner l'exposition, mais le communiqué assure que "Brigitte Bardot est évidemment enchantée de l'hommage initié par les hôtels Sofitel saluant une carrière qu'elle a délaissée mais qui l'encourage dans son combat pour le respect des animaux". 

Brigitte Bardot, icône incontestable

Un catalogue "collector", réunissant notamment une lettre de Brigitte Bardot et la majorité des photographies de l'exposition, a été édité aux Etats-Unis, spécialement pour l'occasion. 

Si Brigitte Bardot a toujours refusé de tourner aux Etats-Unis, malgré les multiples appels du pied d'Hollywood, elle y a connu un énorme succès dans les années 50 et 60, notamment après le sulfureux Et Dieu créa la femme -gros succès aux Etats-Unis, bien que copieusement censuré. 

Toujours considérée par les Américains comme l'archétype du sex-symbol à la française, BB avait fait parler d'elle outre-Atlantique en 2008, lorsqu'elle s'était invitée dans la campagne électorale américaine en qualifiant la républicaine Sarah Palin, alors colistière de John McCain, de "honte pour les femmes". 

 

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VIANDE HALAL : CONSIDERER AUSSI LA SOUFFRANCE DES ANIMAUX !

Publié le par Ricard Bruno

12-halal

  

Nos amis musulmans ne nous le reprocheront pas !

Nous les respectons et avant de poursuivre, disons-le franchement, cet article n’est pas rédigé avec des intentions racistes. Nous les considérons y compris leur religion.Mais il est une question qui ne me laisse pas indifférent, c’est l’abattage rituel des animaux dits « de boucherie ».

Mon respect du vivant et mon amour des bêtes ne m'autorise pas à soutenir ce rite cruel. Mais, ma déception est d'autant plus grande et ma colère à peine contenue en prenant conscience de la provenance réelle de la plupart des viandes issues d’animaux abattus dans ces conditions insoutenables, c’est-à-dire égorgés en pleine conscience !

On l’appelle la viande Halal ! Nous en mangeons tous, certainement à notre insu, et là je ne suis plus d’accord, en dépit du respect témoigné envers ceux qui n’appartiennent pas à ma culture ! Pour des questions culturelles et économiques, musulmans et juifs rejettent certains morceaux... Ces derniers seraient alors écoulés dans la filière classique.

12-halal-1

L’O.A.B.A. (Oeuvre d’Assistance aux bêtes d’Abattoirs), fondée en 1961 par la courageuse madame Gilardoni, - hommage à sa mémoire - nous dit : « Sur trois animaux abattus rituellement, c'est-à-dire sans étourdissement préalable, presque deux seront en fait consommés par l'ensemble des consommateurs toutes confessions confondues ».

Et le Coperci (Comité permanent de coordination des inspections, regroupant l'inspection générale de l'administration, l'inspection générale de l'agriculture et le conseil général vétérinaire ) de souligner : « Dès 2005, une « part non négligeable » des animaux égorgés selon le rite musulman ou juif « vendue dans le circuit classique sans mention particulière »

Questions : Doit-on, au nom d’une religion, imposer autant de souffrances, abominables, cruelles, inhumaines, à des êtres vivants ? Doit-on aussi laisser le consommateur dans l’ignorance face aux conditions d’abattages ? Ne serait-il pas infiniment plus honnête d’apposer un label sur les emballages : « Viande Hallal » ?  Réponse présumée à cette question : l’inquiétude des industriels de la viande enclins d’étouffer la vérité par crainte de voir les clients se détourner d’une viande obtenue par ces méthodes inhumaines... D’où, également, le silence sur ce rapport du Coperci qui n’a jamais été rendu public. Précaution que confirme d’ailleurs la Fédération nationale de l'industrie et du commerce en gros des viandes (FNICGV).

Cette mesure, n’est pas, reconnaissons-le, très intègre envers le consommateur qui se doit d’être informé sur les moyens d’abattages, même si cette question en appelle une autre tout aussi cruciale : « Peut-on et doit-on moralement accepter ces sacrifices d’animaux au nom d’une  religion ? ». M@scoTT’, en appelle au coeur et à la raison des responsables religieux juifs et musulmans de France. Comment cette vérité sur la souffrance des animaux n’a t-elle jamais interpellée ces hautes dignités alors que toutes les religions prônent le respect de la création d'autant que le Coran ne prévoit pas ce mode de tuerie et rejette toute forme de violence ?

Infos : >> PENSEZ A SIGNER LA PETITION - Les animaux ne sont pas des meubles !

Par ailleurs, dans le cadre de la qualité de la consommation, sept repères ont été créés pour sensibiliser l’acheteur à une meilleure connaissance sur les viandes bovine, ovine, chevaline, porcine... Sept logos identificateurs, gages de qualité... (Label rouge, A / B (bio)  A.O.C, etc...) mais aucun ne précisant par quel moyen nos entrecôtes parviennent jusqu’à nos assiettes ! Pour nous, consommateurs, tous ces repères apportent des preuves évidentes d’engagements de qualité gustative et de professionnalisme reconnu !!! Cependant, l’absence regrettable d’un signe d’éthique envers les animaux nous interpelle puisque il ne s’insère pas dans le cadre de cette stratégie de communication.

L’absence de cette CERTIFICATION, essentielle, représente un manquement regrettable de premier ordre. Alors, à quand, à l’échelon européen, l’apposition d’un logo sur tous les emballages attestant que nos viandes proviennent d’animaux abattus APRES un étourdissement préalable ? Nous invitons nos élus, et nos amis, responsables religieux, à se pencher au plus vite, sur cette réflexion !

12-halal-2

Pour mieux comprendre  l’abattage rituel

Il s’agit du Sacrifice réalisé par Abraham à la demande de Dieu. Les trois religions diffèrent quant aux protagonistes de cet épisode ainsi que sur sa conclusion. Mais le sacrifice d'Abraham, reste évènement majeur chez chacune des trois grandes religions monothéistes. Pour la majorité des musulmans, la bête doit être consciente au moment de l'abattage. Cependant certains mouvements acceptent l'étourdissement. La bête doit être placée en direction de La Mecque. Au moment de l'égorgement, le sacrificateur, (musulman) , doit prononcer "bismillah", "Au nom de Dieu". On laisse ensuite l’animal se vider de son sang jusqu'à sa mort.

 

Marine Le Pen réagit aussi face à la souffrance animale, les professionnels répondent :

Le ministère de l'Alimentation a assuré dimanche 19 février que la viande distribuée en Ile-de-France n'était en aucun cas exclusivement halal comme l'affirme Marine Le Pen. «La viande qui est distribuée en Ile-de-France ne provient pas exclusivement d'abattoirs d'Ile-de-France, parce qu'il y en a très peu et que ce sont de tout petits abattoirs, a expliqué un porte-parole. Elle provient essentiellement du marché de Rungis, où arrivent des viandes qui proviennent d'un peu partout en France.» Le président de l'Association nationale interprofessionnelle du bétail et des viandes (Interbev), Dominique Langlois, a, lui aussi, réfuté cette idée. «Dire que toute la viande commercialisée à Paris ou en région parisienne est d'origine halal, c'est absolument faux. C'est une déclaration qui se veut à mon avis strictement politique, qui ne correspond absolument pas à la réalité des choses», a déclaré Dominique Langlois, interrogé sur France Inter. «Par contre, il peut se trouver que des pièces ou des morceaux de viande soient issus de carcasses abattues selon ce rite, mais ça ne change en rien la qualité de la viande et cela ne modifie pas du tout les qualités du produit», a-t-il ajouté.

Vidéo insoutenable des pratique de la viande Halal ! ATTENTION IMAGES CHOQUANTES !!!


O.A.B.A.: 
Œuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs
10, place Léon Blum - 75011 Paris
Téléphone : 01 43 79 46 46 - oaba.frc

O.A.B.A.:

 

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Brigitte Bardot : Exclusif le courrier de BB!

Publié le par Ricard Bruno

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Des singes cobayes à Fukushima...une honte de plus pour les Japonais!

Publié le par Ricard Bruno

 

 

Equipés de dosimètres et de GPS, des primates vont être envoyés dans les zones contaminées de la région de la centrale. Le but : évaluer les dégâts là où l’homme ne peut plus aller.

 

Après avoir lutté pendant des mois pour stabiliser les réacteurs en perdition de la centrale de Fukushima, les autorités nippones s’attellent désormais à un chantier colossal : assainir les terres, contaminées à des kilomètres à la ronde. Afin de dresser une carte détaillée des zones irradiées, l’université de Fukushima a décidé d’équiper de GPS, de dosimètres et de compteurs Geiger… des singes et des sangliers.

« Le fait d’utiliser ces animaux sauvages nous permettra d’établir une carte précise des niveaux de radiation au cœur des forêts qui couvrent 71% de la préfecture de Fukushima et sont parfois difficilement accessibles », nous explique le vice-président de l’université, Takayuki Takahashi.

Equipés de leurs bracelets électroniques, des primates ont déjà été envoyés en octobre dernier à proximité de la zone d’exclusion dans les forêts qui jouxtent la ville de Minamisoma mais le matériel de mesures n’a pas pu être récupéré ni les données analysées. Le professeur de robotique veut donc renouveler l’expérience en mars. L’utilisation de ces « cobayes » permettra de compléter les mesures de radioactivité effectuées en hélicoptère et en avion au-dessus des zones contaminées, devenues des no man’s land.

Envoyer des primates en zone irradiée les expose évidemment à être contaminés mais permettra de mieux connaître l’étendue des dégâts là où l’homme ne peut plus aller. Les scientifiques espèrent ainsi connaître le niveau d’exposition des animaux et l’impact des radiations sur la faune qui vit à proximité de la centrale. Mais ils souhaitent surtout déterminer « le mouvement de la radioactivité » dans les forêts dont ils craignent qu’elles soient « hautement contaminées ».

 La contamination des forêts aura de lourdes conséquences

« A Fukushima, les zones forestières sont les sources principales de bois, d’eau, de nourriture, souligne Takayuki Takahashi. La contamination au césium des forêts menace donc d’affecter à terme l’agriculture, la pêche et même les zones résidentielles situées à proximité. »

D’après l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (Acro), plus de 2200 échantillons ont été prélevés dans une zone de 80 km autour de la centrale pour déterminer le niveau de contamination. Mais ces mesures ne concernent que des zones de plaine ou des secteurs bitumés « accessibles à l’homme », souligne le professeur japonais.

« Traiter les forêts est prioritaire car les pluies, en faisant ruisseler la radioactivité, recontaminent à chaque fois les zones habitées dans les vallées », explique le président de l’Acro, David Boilley. « Portés par le vent, les rejets massifs de radionucléides dans l’atmosphère ont duré dix jours au lendemain de la catastrophe, rappelle David Boilley. Il est clair que, dans certaines zones très contaminées, la radioactivité ne s’effacera pas avant des siècles. »

 

Publié dans le web en parle

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