justice pour les animaux
Brigitte Bardot : son engagement sans faille pour la cause animale !
Boulogne Billancourt,
Le 28 10 2025
Cher tous…
Je me permets de vous écrire aujourd'hui pour vous parler d'une cause qui me tient particulièrement à cœur : la protection des animaux. La Fondation Brigitte Bardot, fondée par l'illustre actrice et militante, a été un pilier dans cette lutte essentielle.
Brigitte Bardot a consacré sa vie à défendre les droits des animaux, n'hésitant pas à utiliser sa renommée pour éveiller les consciences. Elle a beaucoup donné pour cette cause, allant jusqu'à se battre avec passion contre la cruauté et l'indifférence. Grâce à ses efforts, la Fondation mène des actions concrètes pour sauver des animaux en détresse, sensibiliser le public et influencer les politiques publiques.
Chaque campagne, chaque intervention sur le terrain, chaque action législative est le fruit de cet engagement sans faille. Brigitte Bardot incarne véritablement la voix des sans-voix, et son dévouement est une source d'inspiration pour nous tous.
Aujourd'hui, je vous invite à rejoindre ce mouvement en devenant membre de la Fondation. En adhérant, vous soutenez non seulement ces actions vitales, mais vous devenez également un acteur du changement. Votre contribution aidera à financer des projets essentiels pour la protection des animaux et à faire entendre leur voix.
Ensemble, nous pouvons lutter contre l'indifférence et promouvoir un monde où les animaux sont respectés et protégés. Pour adhérer, il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous :
https://www.fondationbrigittebardot.fr/
Je vous remercie de votre attention et de votre engagement pour cette noble cause. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions ou si vous souhaitez en savoir plus.
Avec mes salutations les plus respectueuses,
Bruno Ricard
Élevage de primates pour les laboratoires à Rousset : mobilisons-nous contre le projet !
|
Bonjour,
POUR SIGNER LA PETITION : CLIQUEZ ICI
|
Maltraitance animale en Ille-et-Vilaine : l’exploitant « dépassé par les événements »
Les images faisaient mal au cœur. Le 30 janvier 2024, l’association L214 avait diffusé des photos chocs d’un élevage de soixante bovins, situé à Meillac entre Rennes et Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
Ensevelis dans la boue
Les vaches et veaux s’enfonçaient dans une mare de lisier « pour accéder au peu de nourriture à leur disposition », décrivait l’association de défense des animaux. « Ils sont abreuvés avec une eau croupie. Certains n’ont pas survécu et sont ensevelis dans la boue », dénonçait à l’époque L214.
Détention de cadavre
Ce mercredi 8 octobre 2025, le propriétaire des animaux a été convoqué au tribunal judiciaire de Saint-Malo en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité pour « détention de cadavre ou partie de cadavre d’animal. » Quatre bovins se trouvaient dans « un état miséreux », précise la présidente du tribunal.
Une peine de prison avec sursis proposée
L’association L214, la fondation Brigitte Bardot et l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs avaient déposé plainte et se sont constituées partie civile.
Ce jeudi 8 octobre, Fabrice Trémel, le procureur de la République, a proposé une peine de six mois de prison avec un sursis probatoire, 500 euros d’amende, interdiction définitive de détenir des animaux, confiscation des animaux et interdiction définitive d’exercer une activité dans une ferme.
« Ce n’est pas un mauvais monsieur »
Ces peines n’ont pas été acceptées. Le prévenu sera ainsi convoqué en correctionnelle le 12 mai 2026. Ce qui lui permettra de préparer sa défense. Tout laisse penser qu’il s’agit d’un homme en burn-out qui n’arrivait plus à gérer son affaire.
« Ce n’est pas un mauvais monsieur, il a été complètement dépassé par les événements. Il rencontrait des problèmes économiques. Seul, il n’avait pas du tout d’aide. Il aimait ces bêtes et ne voulait pas leur faire du mal », a indiqué son avocat Pierre Stichelbault.
Depuis des années
Cette maltraitance animale perdurait depuis plusieurs années selon L214 qui « pointe l’insuffisance des actions entreprises par l’État dans le suivi et l’accompagnement des exploitations. »
Droit de l’Animal 🐾 La Ville de Paris proclame la DEDA
Source de l'article : Fondation Brigitte Bardot
"Ils ne se gênent pas pour venir chez moi": l'inquiétude monte en zone rurale alors que la chasse démarre
Qui dit début de l'automne dit retour de la chasse. De quoi craindre comme chaque année des incidents entre chasseurs et promeneurs. Pour éviter des frayeurs, des blessés et parfois des morts, des associations comme la fondation Brigitte Bardot ou l'association One Voice, demandent l'interdiction de la chasse le week-end, alors que la saison a officiellement démarré le 14 septembre dans de nombreux départements.
Une position que partagent de nombreux Français: 81% se disent pour une interdiction pendant les vacances scolaires, 73% le week-end et 73% veulent voir ces deux interdictions se cumuler, selon un sondage pour la Fondation Brigitte Bardot, One Voice et 30 millions d'amis.
"On ne tire que sur un gibier clairement identifié, pas sur une forme et il ne faut pas tirer un gibier en direction des habitations et des routes", rappelle la Fédération nationale de la chasse.
Des chasseurs qui travaillent la semaine
Et les chasseurs ne sont pas des professionnels. Cédric, chauffeur de bus assure que toutes les strates de la société sont représentées: "Comment fait-on si on ne peut pas chasser le week-end?", interroge-t-il ce lundi sur le plateau d'Estelle Midi.
Pour encadrer la pratique de la chasse qui a fait 11 morts la saison dernière, le port du gilet fluorescent est obligatoire depuis 2019 et la chasse en cours doit être annoncée avec des panneaux de prévention à proximité des voies publiques: "C'est horrible mais par rapport à 12 millions de tirs environ, ce n'est rien", défend Cédric.
Reste que malgré ces règles, les incidents entre habitants et chasseurs sont légion. Clément en fait les frais chaque année: "J'ai 3 hectares de terrain, les chasseurs ne se gênent pas pour venir, ils ne demandent pas l'autorisation, beaucoup font ça", raconte-t-il sur RMC et RMC Story.
"Les chasseurs considèrent qu'ils peuvent aller partout"
"Mon voisin qui a un hectare de terrain avait installé un salon de jardin, un jour il avait disparu. Il trouve un chasseur lui demande et celui-ci lui dit qu'il l'avait enlevé parce que cela faisait peur aux palombes", poursuit Clément.
"Pour eux, c'est un du. Ils paient leur droit de chasse à la société locale donc ils considèrent qu'ils peuvent aller partout", assure-t-il.
"Clément est tombé sur des goujats mais dans mon village ça se passe très bien et l'Etat contrôle beaucoup la chasse", défend de son côté Fred Hermel. "Si on traquait autant la fraude fiscale que les chasseurs, il n'y aurait plus de déficit en France", conclut-il.
On veut leur reprendre leur chien maltraité !
C’est un dossier qui fait frémir toutes celles et ceux qui défendent la cause animale. Le 5 septembre prochain, au tribunal de grande instance de Toulouse, une dizaine de familles d’accueil retiennent leur souffle : les chiens qu’elles ont sauvés de la maltraitance pourraient être rendus à leurs anciens propriétaires.
Le spectre d’un retour en enfer
Il y a quelques années, l’affaire avait fait grand bruit : un squat transformé en véritable charnier entre Tournefeuille et Lanta. À l’époque, l’action conjointe du refuge « Agir pour les Animaux » et de la Fondation Brigitte Bardot avait permis de saisir un cheval déshydraté et cachectique, ainsi que plusieurs chiens en détresse. Des cadavres de chats, lapins et furets avaient également été retrouvés. Les images des chiots entassés dans des chariots de supermarché ou dans des piscines pour enfants avaient choqué l’opinion. Depuis, ces animaux rescapés ont trouvé refuge et amour dans des familles d’accueil. Mais aujourd’hui, un jugement pourrait les renvoyer à leurs anciens bourreaux. Pour cela, la prévenue utilise une technique déjà bien rodée : elle fait témoigner sa grand-mère, une figure rassurante et bienveillante, présentée comme propriétaire ou éleveuse, pour amadouer et attendrir l’auditoire.
« Ce serait une catastrophe »
À Villaudric, une famille d’accueil témoigne, bouleversée : « Nous avons très peur. Si notre chienne est rendue à son bourreau, ce serait une catastrophe. Elle est passée d’une vie de souffrance à une vie normale, et l’idée d’un retour est inimaginable. » La chienne, autrefois appelée Cannelle, avait été retrouvée battue et attachée à une baignoire, utilisée uniquement pour la reproduction. Sauvée lors d’une saisie judiciaire, elle s’épanouit désormais sous le nom de Calee : « Elle a appris à courir, à jouer, à faire confiance. Mais il a fallu des mois pour qu’elle accepte qu’un homme l’approche sans trembler. »
Une question de société
Au moins dix chiens sont concernés par ce jugement. Derrière ce combat, une question plus large se pose : la justice reconnaîtra-t-elle que les animaux sont réellement des êtres vivants doués de sensibilité comme le dit la loi ? Pour les familles, la réponse est évidente. Pour la justice, le verdict est attendu le 5 septembre.
/image%2F0952527%2F20251112%2Fob_a784bb_header-egypt.jpg)

/image%2F0952527%2F20251028%2Fob_27fabf_telechargement.jpg)
/image%2F0952527%2F20251020%2Fob_5b252c_telechargement.jpeg)
/image%2F0952527%2F20251013%2Fob_efd413_n-134-du-3eme-trimestre-2025.jpg)
/image%2F0952527%2F20251013%2Fob_d9f3d6_n-84-du-3eme-trimestre-2025.jpg)
/image%2F0952527%2F20251009%2Fob_06834c_dddad57a16e86f1ead57a16e8d5eadv-960x64.jpg)
/image%2F0952527%2F20251007%2Fob_098135_557741830-1235058645318721-71463099252.jpg)
/image%2F0952527%2F20250917%2Fob_3be635_des-chiens-de-chasse-lors-d-une-battue.jpg)
/image%2F0952527%2F20250827%2Fob_fdb9ce_dc7f87ef0570a940bb5bc131ed7530df-xl.jpg)
/image%2F0952527%2F20250819%2Fob_ec5a80_chasseur-gibier-eau.jpeg)