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justice pour les animaux

Politiques et associations à l'unisson dans une vidéo contre les animaux dans les cirques

Publié le par Ricard Bruno

Politiques et associations à l'unisson dans une vidéo contre les animaux dans les cirques

Des parlementaires insoumis, marcheurs, écologistes et républicains ont participé à un clip dans lequel ils promeuvent un projet de loi visant à interdire la la présence d'animaux sauvages dans les cirques en France.

La cause animale à réussi à abolir les inimitiés politiques. François Ruffin, Eric Coquerel, députés La France insoumise (LFI), Cédric Villani ou Corinne Vignon, députés La République en marche (LREM), les sénateurs Esther Benbassa, d'Europe Ecologie les Verts (EELV) ou Hervé Bazin des Républicains, militent à l'unisson dans un clip inédit visant à promouvoir un projet de loi destiné à interdire la présence d'animaux sauvages dans les cirques en France, publié sur YouTube ce 29 juin.

Outre 15 députés, deux sénateurs et d'autres figures politiques, comme l'écrivain Aymeric Caron ou l'actrice Helène de Fougerolles et les 11 principales associations de la cause animale comme L214 ou la fondation Brigitte Bardot ont rejoint ce curieux attelage. Tous se mobilisent autour du hashtag : #jeveuxcetteloi.

«Il y a tout à fait la possibilité de faire du très beau cirque sans utilisation des animaux», lance l'insoumis François Ruffin. «Adressez-vous au ministre et demandez-lui d'interdire la présence des animaux dans les cirques», incite Régis Juanico, député socialiste.

En effet, un groupe de travail sur la question du bien-être animal a été créé au sein d'une commission sur les métiers de la fête foraine et du cirque. Le ministère de la Transition écologique devra statuer cet été sur un bannissement des bêtes dans ces spectacles. Les défenseurs des animaux se mobilisent donc et conseillent d'écrire à François de Rugy, le ministre concerné. Ils incitent à faire pression sur les comités d'entreprise pour qu'ils cessent d'acheter les places de ces  cirques ou encore à manifester devant les mairies.

La cause animale : un thème transpartisan

Un tel mariage de la carpe et du lapin, unissant des élus LFI et LR, EELV et PS, est rendu possible par un sujet aujourd'hui fédérateur et transpartisan : la cause animale. Elle bénéficie actuellement en France d'une conjoncture favorable. Le quasi-inconnu Parti animaliste a créé la surprise aux élections européennes, avec un score inattendu de 2,17%. La maltraitance animale est dénoncée en France sur les réseaux sociaux et dans les médias grâce au combat des associations.

Mais même si un récent sondage a révélé que 67% des Français étaient contre la présence des animaux dans les cirques, l'Hexagone n'a pas légiféré en la matière, contrairement à d'autres pays européens. Pas moins de 24 d'entre eux ont en effet interdit l'exploitation des bêtes sauvages dans les cirques. 361 communes en France leur ont emboîté le pas en prenant un arrêté ou une délibération dans ce sens. De grandes villes comme Lille, Strasbourg ou Grenoble se sont prononcées, même si parfois la décision a ensuite été annulée par la préfecture ou le tribunal administratif et si le bras de fer avec les cirques s'est engagé.

Paris n'est pas en reste, mais sa position reste ambiguë. En décembre 2017, une lutte des élus écologistes avait permis de faire voter un vœu au Conseil de Paris visant à refuser l'exploitation des animaux sauvages dans les cirques. Problème : aucune date n'avait été fixée. Ces spectacles continuent à se produire dans la capitale malgré l'opposition de certains élus comme la conseillère de Paris LFI Danielle Simonnet, qui apparaît dans la vidéo et plaide en faveur de ce projet de loi. Elle dénonce dans un tweet les atermoiements de Paris : «Exigeons une loi pour interdire les cirques avec animaux sauvages ! La place des animaux sauvages n’est pas d’être enfermés dans un cirque. La Mairie de Paris doit cesser son hypocrisie à ce sujet et interdire les cirques avec animaux sur son territoire.»

Du côté de la commission interministérielle Cirque et zoo, certains sont confiants. «On est vraiment à un tournant historique et on espère que le gouvernement va prendre la bonne décision d'interdire les cirques avec les animaux sauvages, comme les 24 autres pays de l’Union européenne», a déclaré Alexandra Morette de l'association Code animal, qui figure dans la vidéo.

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Flaviac soupçons de maltraitance, six chevaux confiés à la fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Photo illustration

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Depuis 2018, plusieurs habitants de Flaviac, dans le centre Ardèche, ont signalé le mauvais traitement de chevaux au sein d’une association de la commune. Ces derniers mois et suite à ces signalements, les services vétérinaires de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) se sont emparés du dossier. Vendredi 28 juin, vers 8 heures du matin, ils ont décidé d’intervenir. La DDCSPP s’est rendue dans les écuries soupçonnées de maltraitance et a placé six animaux sous protection. Les services de l’État ont précisément procédé au retrait administratif de deux poneys, trois chevaux et un poulain. Ils ont été confiés à la fondation Brigitte Bardot dans l’attente d’une décision judiciaire.

Les agents de la DDCSPP, relevant du ministère de l’Agriculture, sont chargés de faire appliquer la réglementation relative à la protection animale. Ils peuvent prendre la décision de retirer des animaux à leur détenteur et les confier à une association de protection animale reconnue d’utilité publique. Ce retrait administratif s’effectue principalement dans les cas d’absence ou d’insuffisance de soins, de nourriture ou d’abreuvement, ou dans les cas où les conditions de détention occasionnent des souffrances aux animaux.

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Pau le cirque Dubois-Muller continue de susciter la polémique

Publié le par Ricard Bruno

Les spectateurs font la queue devant les guichets du cirque Dubois-Muller.

Les spectateurs font la queue devant les guichets du cirque Dubois-Muller.

Le cirque, qui continue ses représentations sur la plaine de jeux de la Pépinière, s’est engagé à partir le 23 juin au lieu du 30 juin.

Malgré une installation illégale et une interdiction de se produire, le cirque Dubois-Muller continue ses représentations sur la plaine de jeux de la Pépinière. Outre l’hostilité de la Ville, les circassiens se sont attirés les foudres de de la Fondation Brigitte Bardot qui devaient manifester ce vendredi après-midi devant le chapiteau.Par crainte de heurts, l’opération de « sensibilisation du public » a finalement été annulée. 

À 17h30, les spectateurs ont pu retirer leurs tickets pour la représentation de 18h, sans anicroche. De son côté, la Ville a indiqué avoir mené des négociations avec le cirque. « Nous n’avons plus à payer les pénalités pour occupation non-autorisée du domaine public (ndlr : s’élevant à 38 000 € par jour », affirme Frank Muller, le responsable du cirque.

 

Une information que confirme la municipalité. En effet, à l’issue des discussions, la Ville a pris un arrêté legalisant la présence du cirque avenue Dufau. Ce nouvel arrêté fixe une occupation du domaine public à 158€ par jour. Les pénalités sont donc effacées.

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INTERPOL TRAQUE DES FUGITIFS POURSUIVIS POUR CRIMES CONTRE L’ENVIRONNEMENT

Publié le par Ricard Bruno

 INTERPOL TRAQUE DES FUGITIFS POURSUIVIS POUR CRIMES CONTRE L’ENVIRONNEMENT

C'est une procédure rarissime que vient de mettre en place Interpol. L’Organisation internationale de police criminelle lance un appel à témoins pour tenter de retrouver sept fugitifs activement recherchés pour crime contre l’environnement.

C’est une traque mondiale qui a débuté le mardi 4 juin 2019 pour Interpol. L’Organisation internationale de police criminelle a en effet diffusé un appel à témoins planétaire dans le but de retrouver sept fugitifs poursuivis judiciairement pour crimes contre l’environnement. Trafic illégal de trophées de chasse, commerce d’espèces protégées, exploitation forestière illégale et trafic d’ivoire : les chefs d’accusation contre ces hommes ne manquent pas, mais eux, restent introuvables. Des avis de recherche ont donc été lancés par leurs pays d’origine, la Chine, la Grèce, le Kenya et le Royaume d’Eswatini (ex Swaziland). Une démarche très rare pour Interpol, qui a plus l’habitude de lancer des appels à témoins pour pédophilie, meurtres ou trafics de drogue.

"Interpol en appelle à la communauté mondiale : ces individus doivent habiter quelque part, ils doivent voyager, se déplacer, socialiser. Quelqu’un sait où ils se trouvent et nous demandons au public de nous aider à les traduire en justice", a déclaré le directeur exécutif et numéro deux d’Interpol, Tim Morris. L’organisation policière rappelle d’ailleurs que toutes personnes détenant des informations sur ces individus sont appelées à les lui communiquer très rapidement. Une adresse mail a ainsi été créée : fugitive@interpol.int.

 INTERPOL TRAQUE DES FUGITIFS POURSUIVIS POUR CRIMES CONTRE L’ENVIRONNEMENT

Aujourd’hui, Interpol estime que les crimes contre l’environnement, aussi appelés crimes d’écocide, génèrent entre 100 et 250 milliards d’euros de bénéfices illégaux par an. "Il faut savoir que la criminalité environnementale est toujours connectée avec d’autres formes de criminalité, et en premier lieu, le terrorisme. Devant le trafic humain et de drogues, c’est la criminalité environnementale qui finance le terrorisme. Lutter contre les crimes d’écocide est un moyen d’affaiblir le terrorisme", explique Sébastien Mabile, avocat et spécialiste du droit de l’environnement, au journal Le Monde.

Définit comme "un crime impliquant ou entraînant des ravages écologiques, l’exploitation illicite de ressources naturelles ou l’expropriation illicite de terrains", le crime d’écocide a été reconnu en 2016 par la Cour pénale internationale (CPI) comme crime contre l’humanité. En revanche, en France, il n’est toujours pas inscrit dans le code pénal et ce malgré une première tentative de loi, rejetée par le Sénat en mai 2019. Depuis, l’Hexagone attend une nouvelle proposition. 

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Condamné à quatre mois de prison ferme pour maltraitance sur un chiot

Publié le par Ricard Bruno

Le mauvais maître a été jugé aujourd'hui à Agen.

Le mauvais maître a été jugé aujourd'hui à Agen.

La fondation Brigitte Bardot, la SPA et la Fondation Assistance aux animaux ont obtenu du tribunal correctionnel d'Agen la condamnation d'un trentenaire poursuivi pour abandon d'animal domestique. Le chien a été accueilli dans un refuge, il s'y trouve toujours.

La fondation Brigitte Bardot, la SPA et la Fondation Assistance aux animaux ont obtenu du tribunal correctionnel d'Agen la condamnation d'un trentenaire poursuivi pour abandon d'animal domestique. En 2017, vivant dans un  appartement, cet Agenais avait fait l'acquisition d'un chiot de trois mois. C'est mignon à cet âge là mais c'est aussi exigeant. Le maître n'affichait pas le même degré d'exigence sur ses obligations de bipède ayant en charge un quadrupède domestique.

Pendant une petite semaine, six jours exactement, le chiot a été laissé seul alors que l'humain ou censé l'être était chez sa copine à trois kilomètres de son logement. Une chance : les voisins entendant aboyer l'animal ont appelé la police. Après avoir enfoncé la porte, l'équipe du commissariat a découvert le chiot, qui vivait là dans des conditions limites. Le maître a été placé en garde à vue.

Et près de deux ans plus tard, il a été condamné à 4 mois de prison ferme, plus de 2000€ de dommages et intérêts à verser aux associations. Il est interdit à vie de posséder tout animal domestique. Il s'en sort pas mal puisque le ministère public représenté par la magistrate du parquet qui avait demandé que la porte soit enfoncée, avait requis un an de prison. "Cette pauvre bête a été otage de sa cruauté à lui" pestait la procureure de la République.

Les avocates de la partie civile n'ont pas été plus tendres. "Abandon total et inadmissible" selon Me Bellandi pour la Fondation Brigitte Bardot.  "Un animal est un être vivant, il faut qu'il le comprenne" souhaite Me Sophie Grolleau pour la SPA. Me Sophie Lagarde pour Assistance aux animaux n'en rajoutait pas estimant comme ses consoeurs que la situation sociale du maître ne justifiait en rien son comportement. C'était l'axe Magalie Tissier pour la défense. Le chien a été accueilli dans un refuge, il s'y trouve toujours.

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Les parties civiles reviendront

Publié le par Ricard Bruno

Les membres de l'association Dame, hier au tribunal

Les membres de l'association Dame, hier au tribunal

«Bien sûr que nous sommes satisfaites».

Hier, juste avant midi, à l'issue d'une longue matinée de patience, Violeta Macarro, présidente de l'association Dame (Défense des animaux de Montech et ses environs) était évidemment satisfaite : «ce petit animal a subi des actes de cruauté terribles, avait-elle précisé quelques minutes avant, sur les marches du Palais de Justice. Il n'avait aucune chance de s'en sortir ! On voit de plus en plus des actes de ce type et nous serons toujours là pour condamner leurs auteurs. Il ne faut pas laisser croire qu'on peut se débarrasser d'un petit chien comme d'une peluche, comme on veut quand on veut. Il ne faut plus avoir d'indulgence».

Défenseure de la cause animale depuis belle lurette, Me Laure Bergès a appuyé la démonstration, en défendant notamment les intérêts de la SPA, de la fondation Brigitte Bardot ou de 30 millions d'amis : «Cette affaire scandaleuse provoque notre courroux. Il n'y a aucun débat contradictoire et il faut une audience publique qui corresponde à la gravité des faits», a réclamé l'avocate montalbanaise, tout comme sa consœur Me Marine Carni : «Ils ont laissé mourir le chien dans des conditions sordides et atroces».

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Canada La captivité et l'élevage de cétacés bientôt interdits

Publié le par Ricard Bruno

ANIMAUX La loi ne sera pas rétroactive et les cétacés actuellement en captivité le resteront donc

Le Canada va interdire la captivité et l'élevage des dauphins (illustration).

Le Canada va interdire la captivité et l'élevage des dauphins (illustration).

La décision a été saluée par les militants des droits des animaux. Ce lundi, les parlementaires canadiens ont validé un projet de loi interdisant la captivité et l’élevage de cétacés comme les baleines ou les dauphins.

Déposé en 2015, le projet, qui nécessite encore l’approbation royale symbolique, apporte des modifications au Code pénal pour interdire au Canada, entre autres, la possession en captivité et la reproduction forcée de ces mammifères marins.

« La dernière génération à en souffrir »

Toutefois, la loi ne sera pas rétroactive. Les animaux actuellement en captivité le resteront donc, et certaines exceptions s’appliqueront notamment dans le cas d’animaux nécessitant une réhabilitation à la suite d’une blessure ou dans le cas d’une autorisation fournie par les autorités.

« C’est une loi très importante dans le sens où elle interdit la reproduction et assure donc que les baleines et les dauphins actuellement gardés dans de minuscules réservoirs au Canada soient la dernière génération à en souffrir », a réagi dans un communiqué Melissa Matlow, directrice de campagne de l’ONG World Animal Protection Canada. Seuls deux parcs – Marineland à Niagara Falls et l’aquarium de Vancouver – possèdent encore des cétacés en captivité au Canada.

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Le père Noël est vraiment une ordure !

Publié le par Ricard Bruno

Le père Noël est vraiment une ordure !

Gérard Jugnot se pavane lors de Corridas à Nîmes...il est à gerber !

Boycotter ce type , n’oubliez pas non plus qu’il est une grosse tête sur RTL !

CORRIDA BASTA !

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Brigitte Bardot réagit au commerce de viande de cheval entre la Creuse et le Japon

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot n'a pas apprécié l'annonce de l'ouverture d'un marché entre la France et le Japon pour l'export de viande de cheval

Brigitte Bardot n'a pas apprécié l'annonce de l'ouverture d'un marché entre la France et le Japon pour l'export de viande de cheval

Dans une lettre ouverte adressée au ministre de l'Agriculture du Japon, monsieur Takamori Yoshikawa, Brigitte Bardot a réagi avec virulence à notre article annonçant les prochaines relations commerciales entre la France et le pays du Soleil-Levant sur le marché de la viande de cheval.

« Les Français ne mangent plus de cheval, les marchands de misère aimeraient donc faire du Japon l'immense poubelle d'une viande qui suscite, en Europe, dégoût et suspicion ». Brigitte Bardot tape fort, et là où ça fait mal, dans une lettre adressée directement au ministre japonais de l'Agriculture.

Une réaction à l'export de viande de cheval française au Japon

La créatrice de la fondation Brigitte-Bardot n'a pas apprécié l'annonce de l'ouverture d'un marché entre la France et le Japon pour l'export de viande de cheval. Comme nous l'annoncions dans un article paru précédemment, la société Equid'export, filiale de la Société française des équidés de travail, souhaite mettre en place un partenariat entre la France et le Japon pour exporter la viande de cheval au pays du Soleil-Levant. 

Pour cela, Equid'export nous dévoilait devoir investir dans un abattoir spécial pour respecter les règles d'hygiène japonaises, et répondre de manière privilégiée aux besoins du Japon. Un pays dans lequel la population raffole de la viande de cheval, considérée comme un produit de luxe. À tel point que, d'après la directrice d'Equid'export, la filière élevage aurait presque disparu là-bas. 

Suspicion sur fond de « scandale sanitaire »

Et de tacler, pour Brigitte Bardot, la directrice d'Equid'export, qui a reconnu « ne pas respecter actuellement les standards d'hygiène japonais pour l'abattage » actuellement. La présidente de la fondation Brigitte-Bardot s'agace du fait « que les chevaux de trait (qu’aimerait vous vendre Equid’export) ont tendance à être plus touchés par l’infection, que la France est une zone enzootique pour l’infection par Babesia caballi et Theileria equi alors que le Japon en est indemne », citant la thèse de d'Alix Garnier parue en 2018, doctorante et maître de conférences à l'université Lille 3.

Brigitte Bardot va jusqu'à affirmer que « les abattoirs équins et les boucheries chevalines ferment les uns après les autres en France, cette viande est celle du passé » (une affirmation que nous n'avons pas pu vérifier, même si une simple recherche sur internet "boucherie chevaline" permet de constater que nos confrères ont récemment plus parlé de fermetures d'établissements de ce type que d'ouvertures N.D.L.R.) , avant de conclure : « Le Japon est un pays d’innovations et de progrès, alors ne soyez pas complice de cette barbarie ! ».

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