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Corrida...B A S T A !

Publié le par Ricard Bruno

Corrida...B A S T A  !
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Patricia ZARADNY, la grande oubliée de la cause anti corrida, s'est éteinte aujourd'hui suite à de graves complications rénales.

Publié le par Ricard Bruno

Patricia ZARADNY, la grande oubliée de la cause anti corrida, s'est éteinte aujourd'hui suite à de graves complications rénales.

Bonjour,

Patricia ZARADNY, la grande oubliée de la cause anticorrida, s'est éteinte aujourd'hui suite à de graves complications rénales.

Courageuse militante malgré sa frêle santé, elle avait, entre autres, réussi l'exploit spectaculaire d'obtenir de la part du conseil municipal de Montignac, qu'il déclare sa ville, "Villes anticorrida et amie des animaux". Il faut savoir que Montignac est une petite commune de Dordogne qui recèle les fameuses grottes de Lascaux. Et bien évidemment, les taurins, sous prétexte de grands taureaux présents parmi ses fresques, sans vergogne, en conclurent que Lascaux était le berceau de la corrida... Vous imaginez bien que ces mêmes taurins, apprenant cette décision de Montignac, accusèrent le coup... Merci Paris-Match ! https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Corrida-Lascaux-n-est-pas-une-arene-789280 Même Brigitte BARDOT avait salué cette victoire ! Voir la pièce jointe.

 

Au revoir, Patricia, les taureaux et les chevaux de corrida te doivent beaucoup...

 

Bien cordialement,

 

Thierry Hély

Président de la FLAC

www.flac-anticorrida.org

Patricia ZARADNY, la grande oubliée de la cause anti corrida, s'est éteinte aujourd'hui suite à de graves complications rénales.
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Deux maires se positionnent en faveur de la FLAC !

Publié le par Ricard Bruno

Deux maires se positionnent en faveur de la FLAC !

FLAC  : 

Fédération  de liaison anti corrida

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La FLAC dans le magazine Bio Contact (215.000 exemplaires)

Publié le par Ricard Bruno

La FLAC dans le magazine Bio Contact (215.000 exemplaires)

Quelles sont les principales missions et actions de la Flac ?

Avant tout, l’information, toujours et encore. Par tous les moyens : interventions dans les médias, manifestations à proximité des arènes avec des militants courageux, conférences en présence de personnalités et d’élus, et enfin, expositions anticorrida itinérantes dans des villes du sud de la France. Pour ces dernières, le rôle d’une association du Gard, No Corrida, membre de la Flac, est déterminant. Il faut savoir que la Flac est une fédération basée à Agde qui regroupe de grandes associations de protection animale. Le monde de la corrida, afin d’éluder la cruauté inouïe qui en émane, l’habille d’esthétisme et de mensonges dans tous ses aspects, en niant la souffrance infinie du taureau supplicié. Sans parler des pauvres chevaux. C’est pour toutes ces raisons que la Flac, inlassablement, tente de rétablir la triste réalité. La corrida est un cas unique au monde : seul cas où la lente agonie d’un animal est applaudie par 10 000 personnes dans les gradins, sans l’ombre d’une compassion. Comme à l’époque des jeux de Rome…

Cinq corridas et deux novilladas sont programmées pour cet été, fin juillet et début septembre. Pourtant, cette pratique est punie par le Code pénal de 30 000 € d’amende et deux ans de prison…

Les corridas sont interdites sur 90 % du territoire français sous peine de lourdes sanctions pénales. Les termes du jugement du tribunal de Béziers, le 5 mai dernier, ne souffrent d’aucune ambiguïté : « il est indéniable que les coups portés par les picadors causent d’importantes souffrances à l’animal. Il s’agit d’actes de cruauté. Le taureau ne peut que souffrir et son agonie peut être plus ou moins longue ». Ce n’est pas nous qui le disons, mais les juges… Seulement voilà, un alinéa du Code pénal, sous couvert d’exception culturelle, autorise cette barbarie dans certaines régions du sud de la France. Par conséquent, hélas, ces corridas et novilladas auront bien lieu malgré la crise sanitaire…

La corrida comme nous la connaissons aujourd’hui est née en Espagne au XVIIIe siècle, mais ses origines remonteraient à l’Empire romain. Que répondez-vous à l’argument du maintien de la tradition ?

Au sujet de l’origine de la corrida, c’est l’un des mensonges les plus invraisemblables du monde taurin. Et bien avant l’Empire romain. À l’écouter, la corrida trouverait ses sources dans la grotte de Lascaux il y a 23 000 ans. Grâce à ses fameux taureaux… Certains prétendent même que Cro-Magnon serait le premier torero. On croit rêver ! Heureusement, de grands préhistoriens que nous avons contactés ont démenti ces propos délirants. En fait, les premiers gestes tauromachiques furent exercés par des tueurs dans les abattoirs de Séville à la grande joie d’un public hilare. Désolé pour eux, si cette version véridique est bien moins prestigieuse que celle de Lascaux… En France, la première corrida officielle de type espagnol eut lieu à Bayonne en… 1854. L’argument « tradition » ne tient pas quand elle est empreinte de cruauté et de mort juste pour le divertissement. Beaucoup ont disparu pour ces mêmes raisons. Mais pas la corrida. Une honte !

L’amendement visant à interdire l’accès des corridas aux enfants en attendant l’abolition définitive a été abandonné l’an dernier. Pourquoi ?

La raison officielle du retrait de cet amendement est la suivante : il serait jugé « hors sujet » par rapport à la protection animale. Mais ce n’est que partie remise dans le cadre de la protection de l’enfance. En effet, le collectif de psychiatres et de psychologues PROTEC (Protégeons les enfants des corridas) a recueilli un nombre significatif de témoignages d’adultes ayant été traumatisés, enfants, par des images sanglantes de corrida. Parmi ces témoignages, celui de Marina Ruiz-Picasso, petite-fille du célèbre peintre aficionado et membre du comité d’honneur de la Flac. Habituer les enfants à la torture animale est peut-être l’aspect le plus révoltant de la corrida. D’autant plus, comble de l’insupportable, qu’il existe en France des écoles taurines où l’on apprend à ces mêmes enfants à torturer à l’arme blanche de jeunes animaux pour se faire la main.

De plus en plus de personnalités signent le manifeste Flac pour l’abolition de la corrida. Les lignes bougent ?

Effectivement, ce manifeste, en cette période où la corrida connaît un véritable déclin, rencontre un vrai succès. Quelques exemples de signataires pour des raisons éthiques : Simone Veil, Nicolas Hulot, Élisabeth Badinter, Yannick Jadot, Samantha Cazebonne, Cédric Villani, Wendy Bouchard, Pierre Rabhi, Corine Pelluchon, Yolaine de la Bigne, Raphaël Glucksmann, Louis Schweitzer ou Barbara Pompilli. Et a contrario, les personnalités friandes de ce « spectacle » sanguinaire n’osent plus s’afficher dans les arènes afin de ne pas ternir leur image. Les lignes bougent, en effet, et les organisateurs de corrida commencent à s’inquiéter sérieusement. La loi finira par changer. D’autant plus que selon les derniers sondages, 74 % des Français sont pour l’abolition de la corrida. Je terminerai par cet aphorisme de Théodore Monod, président d’honneur de la Flac : « La corrida est le symbole cruel de l’asservissement de la nature par l’homme ».

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Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

 Sex-symbol des années 1960, Brigitte Bardot reste une actrice mythique du cinéma français et international. De sa carrière à sa vie privée en passant par ses prises de position polémiques, retour sur le parcours d'une star unique en son genre.
Son enfance
Brigitte Bardot est née le 28 septembre 1934, au sein d'une famille bourgeoise et catholique. Son père est propriétaire des Usines Bardot, sa mère est artiste. Durant son enfance, celle qui deviendra actrice souffre d'une amblyopie : elle ne voit pas bien de l'oeil gauche. Brigitte Bardot est éduquée selon la tradition catholique stricte, étudiant notamment à l'Institut de la Tour de Paris.  

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Brigitte Bardot fait ses débuts d'actrice dès les années 1950. Il faudra toutefois attendre "Et Dieu... créa la femme" (1956) pour qu'elle accède au rang de star internationale. Grâce à sa sensualité et sa beauté, elle est rapidement érigée en sex-symbol de l'époque, une étiquette qui lui collera à la peau toute sa vie. Elle prêtera même ses traits à l'un des bustes de Marianne à la fin des années 1960.

Cette notoriété lui ouvre les portes des plateaux de cinéma : lorsqu'on examine la carrière de Brigitte Bardot, on retrouve des classiques tels "Le Mépris", "Viva Maria" ou encore "La Vérité". Son succès sera tel qu'elle devient en 1958 l'actrice la mieux payée du cinéma français.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Si elle est plus connue comme actrice, Brigitte Bardot a mené de front une carrière de chanteuse. Elle débute la musique en 1962. C'est à B.B. qu'on doit notamment "La Madrague", son plus grand succès. Composé par Gérard Bourgeois et écrit par Jean-Max Rivière, ce titre fait d'ailleurs référence à à la propriété de l'actrice à Saint-Tropez. Elle chante ce morceau pour la première fois en 1967, au cours de l'émission Le Palmarès des Chansons - spécial Dalida. Depuis, plusieurs artistes ont repris cette chanson : Laurent Voulzy, Camelia Jordana ou encore Angèle.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Parmi les films majeurs de Brigitte Bardot, on retrouve "La Vérité" d'Henri-Georges Clouzot, sorti en 1960. Le tournage a toutefois été particulièrement éprouvant pour l'actrice, puisque le réalisateur n'a pas manqué de la malmener pour les besoins du film. A tel point qu'après sa sortie, l'actrice enchaînera les films avec moins d'enthousiasme. Dans ses mémoires, Initiales B.B., la comédienne se souviendra que le cinéaste de La Vérité lui a fait avaler, pour le besoin d'une scène, deux somnifères, en prétendant que c'était de l'aspirine. L'actrice ne se réveillera que 48 heures après. Néanmoins, elle juge que la scène est excellente.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Après "La Vérité", Brigitte Bardot enchaîne les films, mais avec moins d'enthousiasme qu'à ses débuts. Elle refuse notamment d'incarner la James Bond Girl d'"Au service secret de Sa Majesté". L'actrice sera également indifférente aux succès de "Boulevard du Rhum" et "Les Pétroleuses", et joue à contrecœur dans "Don Juan 73", la suite de "Et Dieu...créa la femme". Après "L'histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise" en 1973, Brigitte Bardot décide de mettre fin à sa carrière de comédienne pour se consacrer au combat de sa vie : la lutte pour la défense de la cause animale. "En donnant ma vie aux animaux, ce sont eux qui m'ont sauvée, confiait-elle en 2019 à Voici. Ils ont donné un sens à mon existence, un sens tellement important qu'il n'a plus jamais été question par la suite de mettre fin à mes jours. Ils m'ont apporté la vérité, l'amour vrai."

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

La vie amoureuse de Brigitte Bardot a fasciné les médias. Elle a été mariée quatre fois : avec Roger Vadim en 1952, Jacques Charrier en 1959, Gunter Sachs en 1966 et enfin Bernard d'Ormale en 1992. On lui connaît également plusieurs liaisons avec d'autres personnalités : elle tombe amoureuse de Jean-Louis Trintignant sur le tournage de "Et Dieu... créa la femme", avant d'entamer une relation avec Gilbert Bécaud et Sacha Distel. Elle débute également une liaison avec Sami Frey sur le plateau de "La Vérité", avant de vivre une romance passionnée avec Serge Gainsbourg, alors qu'elle est mariée à Gunter Sachs. On lui prête également des relations avec Patrick Filles, Christian Kalt, Laurent Vergez et Allain Bougrain-Dubourg.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

En 1967, Brigitte Bardot débute une collaboration musicale avec Serge Gainsbourg. Ils enregistrent plusieurs titres ensemble : "Je t'aime...moi non plus", "Comic strip" ou encore "Bonnie and Clyde". Au départ, c'est une complicité artistique qui les rapproche. Au fur et à mesure, une idylle naît entre eux : Brigitte Bardot, alors mariée avec Gunter Sachs, devient la muse de L'homme à tête de chou. Le couple se sépare alors que Brigitte Bardot part en Espagne pour tourner "Shalako" en 1968. Dans une interview à Nice Matin en 2011, l'actrice se souvient de cette romance passionnée : "Après notre séparation, il m'écrivit dans la détresse un vibrant hommage : "Initials B.B.", qui reste la plus belle déclaration d'amour qu'un homme m'ait jamais faite".

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

En 1992, Brigitte Bardot rencontre celui qui partage sa vie depuis bientôt 30 ans, Bernard d'Ormale. Dans ses mémoires, l'actrice se confiera sur son histoire d'amour avec cet industriel, rencontré lors d'un dîner organisée par la seconde épouse de Jean-Marie Le Pen : "Un coup de foudre mutuel, se souvient-elle. Il sera mon mari pour le reste de ma vie".

Le couple se dit oui quelques mois après leur rencontre, le 16 août 1992. Ils vivent encore aujourd'hui toujours ensemble.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Brigitte Bardot a donné naissance à son unique enfant, Nicolas-Jacques Charrier, le 11 janvier 1960. Mais l'actrice ne l'a jamais cachée, elle ne voulait pas être mère. Elle avait auparavant avorté deux fois. Mais la seconde IVG lui provoque une hémorragie et un arrêt cardiaque. Traumatisée par cet incident, elle décide quelques années plus tard de garder l'enfant de Jacques Charrier. Dans son autobiographie publiée en 1996, elle aura des propos sur sa grossesse qui feront scandale à l'époque : "C'était comme une tumeur qui s'était nourrie de moi, que j'avais portée dans ma chair tuméfiée, n'attendant que le moment béni où l'on m'en débarrasserait enfin. Le cauchemar arrivé à son paroxysme, il fallait que j'assume à vie l'objet de mon malheur". Suite à ces propos, Nicolas Charrier intente un procès contre sa mère pour "atteinte à l'intimité intra-utérine" : B.B. doit lui verser 100 000 francs.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Brigitte Bardot a combattu un cancer du sein en 1984. Toutefois, l'ex-comédienne alors âgée de 49 ans refuse de se faire soigner dans un premier temps, avant de se laisser convaincre par son amie, Marina Vlady. "J'étais toute seule et j'avais décidé de faire uniquement de la radiothérapie, et pas cette épouvantable chimio, pour ne pas perdre mes cheveux, se souvient-elle en 2018, dans une interview à Paris Match. Elle détruit le mal mais aussi le bien et on en sort anéanti. Je vois des gens qui, après cette épreuve, sont des loques. Jamais je ne voudrais passer par là. Cette maladie m'a obligée à me retrouver face à moi-même. Et maintenant, si j'aime bien parfois la solitude, je ne peux néanmoins vivre seule". Après ce traitement, Brigitte Bardot sera totalement guérie.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Brigitte Bardot a fait plusieurs tentatives de suicide au cours de sa vie et ne l'a jamais caché. La première a lieu alors qu'elle n'a pas encore 18 ans, lorsque ses parents refusent qu'elle épouse Roger Vadim. Après ce geste désespéré, son père finira par accepter, à condition qu'elle attende d'être majeure. La seconde a lieu le 28 septembre 1960, à l'occasion de son 26e anniversaire : l'actrice ingère beaucoup d'alcool et de comprimés, avant de s'ouvrir les veines dans une bergerie. Elle sera retrouvée par un enfant qui passait par là. Quarante-huit heures plus tard, elle se réveille à l'hôpital et sera suivie par des psychiatres. En octobre 2019, dans les colonnes de Vogue, B.B. reviendra d'ailleurs succinctement sur ses moments de dépression : "Quand je faisais du cinéma, ma vie ne correspondait pas à l'absolu que je recherchais".

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Après avoir mis fin à sa carrière au cinéma,Brigitte bardot se dédie corps et âme à la cause animale. Elle commence son combat en 1964, en se révoltant contre le martelage au burin, ce qui mènera à la création du pistolet de Brigitte Bardot. Celui-ci permet la mort de l'animal sans qu'il ne ressente de douleur. En 1976, elle lance une campagne internationale contre la chasse aux phoques : le 15 mars 1977, le président Valery Giscard d'Estaing interdit l'import des peaux de phoques en France. En 1986, elle crée la Fondation Brigitte Bardot, qui lutte contre la maltraitance animale. Pour qu'elle soit reconnue d'intérêt publique, la comédienne vendra tous ses effets personnels, ses bijoux, robes, photos, affiches dédicacées de l'époque où elle était une star mondiale.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

En février 2019, Brigitte Bardot publie une lettre écrite au Président de la République Emmanuel Macron. L'ancienne actrice lui reproche notamment son "inaction" en matière du droit des animaux : "Je vous demande de vous mettre En Marche pour les animaux". Elle se dit "plus que déçue par [son] immobilisme", faisant référence aux images choquantes tournées dans un abattoir de Rodez, où des bovins sont mis à mort sans étourdissement. "Monsieur le Président, il n'est plus temps de tergiverser sur la question, de se renvoyer la balle indéfiniment, regardez les images que nous dévoilons aujourd'hui, elles sont scandaleuses, choquantes, indignes et inacceptables d'un pays comme la France qui se prétend civilisé".

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Politiquement, Brigitte Bardot se définit comme "conservatrice", précisant être "une française de souche lointaine et fière de l'être". Elle n'a pas caché son affiliation pour le Front National, disant en 1999 "partager certaines idées du FN, notamment contre la forte immigration en France." Elle a également soutenu Marine Le Pen lors de l'élection présidentielle de 2012. L'ancienne icône des années soixante a précisé ses opinions dans Le Monde (janvier 2018), précisant qu'elle "juge les politiques à l'aune de ce qu'ils proposent pour la cause animale". Elle explique avoir "eu un espoir insensé quand le Front national a fait des propositions concrètes pour réduire la souffrance animale [...] Si demain un communiste reprend les propositions de ma fondation, j'applaudis et je vote. Mais je n'accorderai plus mon soutien à personne".

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Depuis la fin de sa carrière, et malgré son combat pour la cause animale, l'image de Brigitte Bardot est controversée en raison de plusieurs prises de positions polémiques. Ses propos, sur l'islam en France, le métissage, l'immigration, l'abattage rituel des animaux ou encore l'homosexualité, ont été largement critiqués. Elle a d'ailleurs été plusieurs fois condamnée pour incitation à la haine raciale, notamment suite à la publication de son ouvrage Un cri dans le silence (2003). Ses positions sur les femmes, la télé-réalité, les transgenres, les hommes politiques et la restauration rapide ont également été sujet à controverse à la sortie de ce livre.

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

En 2019, Brigitte Bardot fait partie des personnalités qui ont apporté publiquement leur soutien au mouvement des Gilets Jaunes. Le 17 février, elle s'est d'ailleurs rendu à un débat organisé par ces manifestants dans un motel à Fréjus. Elle les a notamment invités à "ne rien lâcher". "Ils ont beaucoup de courage", estime l'octogénaire au micro de L'Obs. Elle s'était également affichée sur les réseaux sociaux le 28 novembre 2018 en portant un gilet jaune, un cliché accompagné de la légende : "Avec vous".

Mariages, santé, carrière... L'incroyable vie de Brigitte Bardot

Brigitte Bardot a déjà évoqué publiquement ses états d'âmes concernant sa mort. En 2018, dans les colonnes du Monde, l'actrice a révélé qu'elle souhaitait reposer dans le jardin de sa propriété La Madrague, dans le Var. "J'ai choisi un petit coin, proche de la mer, qui a été entériné par les autorités". Elle explique ne pas souhaiter reposer dans le cimetière de Saint-Tropez, "où une foule de connards risquerait d'abîmer la tombe de mes parents et mes grands-parents. Je veux qu'on leur foute la paix". Sa propriété sera également transformée en musée pour permettre aux fans de se recueillir, mais aussi pour apporter des revenus à la Fondation Brigitte Bardot. Elle ne souhaite également que son nom, son prénom, ses dates de naissances et de mort, ainsi qu'une croix sur sa tombe. "Rien d'autre", tranche-t-elle en 2020 au magazine Point de vue.

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Message de la FLAC

Publié le par Ricard Bruno

Message de la FLAC

Bonjour à toutes et à tous,

Grâce à la newsletter de No Corrida, membre de la FLAC,vous découvrirez, entre autres, les dernières personnalités quiviennent de se positionner contre la présence des moins de 16 ansdans les arènes lors de corridas. Parmi celles-ci :  AuroreBergé (Députée), Cédric Villani (Député), ElisabethBadinter (philosophe), Benjamin Griveaux (Député), David Beillard (Conseiller de Paris). http://nocorrida.com/2019/12/01/linc-35/

Le COLBAC, membre de la FLAC, organise le 15décembre prochain à Béziers, un débat qui aura pour thème : "Corrida, politique et élections municipales". https://www.lindecapant.fr/articles/19187/beziers-colbac-corrida-politique-et-elections-municipales

Dans le cadre de son son exposition itinérante "L'autreréalité de la corrida...", la FLAC  s'installeradu 5 février au 10 février dans le Gard à Villeneuve-lèsAvignon. A 30 km de Nîmes...

 

À bientôt.

Bien cordialement,

 

Thierry Hély

Président de la FLAC

www.flac-anticorrida.org

>> retrouvez laFLAC sur Facebook

http://www.flac-anticorrida.org/agir/adherer/

https://twitter.com/FLACinfos

06 23 94 84 83

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Boycott Gérard Jugnot : PRO CORRIDA !

Publié le par Ricard Bruno

Boycott Gérard Jugnot : PRO CORRIDA !

Demain sur C8 à 21h15 Boycotter

cette pièce de théâtre " 

La raison d'Aymé" avec Gérard Jugnot "PRO CORRIDA" !

Idem pour la pièce de théâtre

ON NE LÂCHE RIEN ! CORRIDA BASTA !

Bruno Ricard 

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Le film de la FLAC est sélectionné à Deauville

Publié le par Ricard Bruno

http://deauvillegreenawards.opsismedia.com/admin/player_export.php?token=nvwXf4KygRFq

 

Le 16/05/2019 à 18:37, Contact - Deauville Green Awards a écrit :

Cher Thierry Hély,

 Le Jury international des Deauville Green Awards 2019 a finalement délibéré pour établir la liste des finalistes parmi plus de 410 films du monde entier. 

 Nous sommes ravis de vous annoncer que votre film "Renvoyons la corrida à l'ère des dinosaures " est finaliste des Deauville Green Awards 2019 et vous êtes donc assurés de recevoir un prix sur scène à Deauville en présence de la profession et de la presse ! 

Félicitations !
 
Votre travail sera donc projeté durant le Festival à Deauville les 12 et 13 juin et l'opportunité vous est offerte d'intervenir accompagnés de vos clients et/ou équipes pour défendre votre travail avant sa projection devant le jury et le public pour tenter de remporter le Green Awards d'Or dans votre catégorie et compétition voire même le Grand Prix de votre compétition ! 

 Sécurisez votre venue dès maintenant, réservez votre pass pour 2 journées exceptionnelles les 12 et 13 juin prochains.

 Encore toutes nos félicitations et à bientôt à Deauville.

 Bien à vous,

 L'équipe du festival

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RT @HenryJeanServat: Soutien amical à...

Publié le par aniamux1

Publié dans JPGarrigues

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