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actualites fondation brigitte bardot

Cinq wallabys de Bennett accueillis au Refuge de l’Arche, à Château-Gontier-sur-Mayenne

Publié le par Ricard Bruno

Cinq wallabys de Bennett accueillis au Refuge de l’Arche, à Château-Gontier-sur-Mayenne

Mardi 13 mai 2025, cinq wallabys de Bennett ont rejoint le Refuge de l’Arche, à Château-Gontier-sur-Mayenne. Ils ont été récupérés chez des particuliers de Charente-Maritime par la Fondation Brigitte Bardot, avant d’arriver en Mayenne. Placés en quarantaine, ils rejoindront bientôt les deux autres wallabys présents sur le site.

Pris en charge par la Fondation Brigitte Bardot, cinq wallabys de Bennett ont rejoint le Refuge de l’Arche, à Château-Gontier-sur-Mayenne. Ils ont été accueillis le 13 mai 2025. Ces marsupiaux, deux femelles et trois mâles, vivaient jusqu’à récemment chez des particuliers en Charente-Maritime, indique le sanctuaire.

Des conditions de vie inadaptées à leurs besoins

« Le couple de wallabys né en 2020 avait été acquis auprès d’un élevage et s’est reproduit. La deuxième femelle, née en 2024, est arrivée gestante au sanctuaire. Les propriétaires ont été dépassés par la situation et ne pouvaient plus s’en occuper et offrir des conditions de vie adaptées aux besoins spécifiques de ces animaux. »

Avant leur transfert, les trois mâles ont été castrés. Actuellement placés en quarantaine, les wallabys profitent d’un espace beaucoup plus vaste et rejoindront prochainement les deux autres wallabys déjà présents sur le site.

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Aïd-el-Kébir : face aux abattages clandestins, la traque des bouchers de l’ombre

Publié le par Ricard Bruno

Des gendarmes et agents de la Fondation Brigitte Bardot en intervention sur un lieu d’élevage clandestin, le 6 juin 2025.

Des gendarmes et agents de la Fondation Brigitte Bardot en intervention sur un lieu d’élevage clandestin, le 6 juin 2025.

REPORTAGE - L’État lutte chaque année contre la détention et l’abattage illégaux de moutons en marge de la fête «du sacrifice». Le Figaro a pu assister en exclusivité à ces interventions discrètes, souvent sous tension.

Le véhicule de police patiente au milieu des vignes, gyrophares allumés. À l’arrivée de la bétaillère blanche, siglée de la Fondation Brigitte Bardot (FBB), les agents empruntent le sentier pour la guider jusqu’à l’enclos. «Un flagrant délit. Une soixantaine de moutons dont la moitié encore vivants», a simplement indiqué au téléphone la vétérinaire de la Direction départementale de la Protection des populations (DDPP). La remorque cahote jusqu’à un grand terrain vague. Dans ce coin de Provence, au milieu des détritus, entre une baignoire vautrée et de vieilles machines démembrées, de gros moutons blancs se pressent derrière un grillage sous le regard blasé d’un malinois enchaîné. Sous un arbre, deux agneaux à la laine épaisse bêlent à côté d’un adulte couché au sol, déshydraté. Un autre gît, inerte, au pied d’une potence.

Les agents de police municipale et de gendarmerie ont pris ce couple de Marocains en flagrant délit d’élevage clandestin, avec soupçon d’abattage illégal. Des infractions…

Suite et source de l'article : Cliquez ICI

 
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« Une tendance dangereuse » : le Ice Bucket Challenge version chien inquiète les associations

Publié le par Ricard Bruno

Une version du "Ice bucket challenge" version animaux a fait son apparition sur les réseaux sociaux. (Illustration) 

Une version du "Ice bucket challenge" version animaux a fait son apparition sur les réseaux sociaux. (Illustration) 

La fondation Brigitte Bardot dénonce la nouvelle trend TikTok consistant à asperger d’eau glacée son animal de compagnie.

Des vidéos qui se veulent « drôles », mais n’amusent pas tout le monde. Une nouvelle trend baptisée « Ice Bucket Challenge dog » a fait son apparition sur TikTok et Instagram. Le principe ? Déverser un seau d’eau glacée sur l’animal placé parfois sur une chaise et filmer sa réaction pour la publier sur les réseaux sociaux. Un défi loin de faire l’unanimité.

« J’hésite pour trouver un adjectif pour qualifier ceux qui sont assez….pour trouver ça drôle. Plutôt que filmer le chien filmez-vous aussi, on aimerait vous voir », a réagi l’animateur Julien Courbet après une vidéo du média Vakita sur le sujet. « On pensait avoir tout vu. Mais certains continuent de prouver qu’ils manquent cruellement de cerveau pour respecter la vie », commente pour sa part La Ligue des animaux.

Un impact physique et psychologique

La Fondation Brigitte Bardot dénonce « l’absurdité de cette mode » et « une pratique dangereuse ». « Les chiens, pris au dépourvu, risquent de glisser, de se blesser, et surtout de subir un choc thermique. Un choc qui peut impacter gravement leur système cardiovasculaire », écrit l’association sur X, soulignant que ces vidéos « relèvent en réalité d’une forme de maltraitance qui devient trop souvent banalisée ».

Interrogé par Actu.fr, un vétérinaire rappelle l’impact psychique de ce défi sur les animaux à quatre pattes. « Cela peut créer un gros stress et des problèmes sur le comportement des chiens et sa compréhension du monde qui l’entoure », explique-t-il, ajoutant que le lien de confiance entre un propriétaire et son animal peut être rompu. L’animal, surpris, pourrait aussi réagir de manière soudaine et inattendue, en mordant par exemple.

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Brigitte Bardot offre un beau cadeau aux parlementaires devenus sourds !

Publié le par Ricard Bruno

  Brigitte Bardot offre un beau cadeau aux parlementaires devenus sourds !

 

Brigitte Bardot offre un beau cadeau aux parlementaires devenus sourds ! Sourd aux appels de Brigitte Bardot pour l'abolition pure et simple de la chasse à courre, qui avec l'Irlande reste le dernier pays européen à pratiquer cette horreur !

​​​​​​​Bruno Ricard 

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La Fondation Brigitte Bardot enrage des partenariats entre chasseurs et gendarmes

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot enrage des partenariats entre chasseurs et gendarmes

Les chasseurs et les gendarmes de France sont de plus en plus nombreux à travailler ensemble pour faire avancer les enquêtes de terrain et réduire les incivilités en zone rurale. Ces partenariats départementaux ne sont pas vu d’un très bon œil par les anti-chasse, à l’image de la Fondation Brigitte Bardot qui s’insurge de cette avancée sur les réseaux sociaux.

Les partenariats entre gendarmeries et Fédérations de chasse se multiplient.

Plusieurs Fédérations de chasse ont signé des partenariats avec les gendarmeries locales afin de s’entraider sur des dossiers en zone rurale. Ces partenariats permettent aux gendarmes de bénéficier des observations des chasseurs qui sont sans cesse sur le terrain et agissent comme des sentinelles. Cela permet bien souvent d’avancer rapidement sur des enquêtes de terrain ou même de faire remonter des informations comme les dépôts sauvages ou l’occupation illicite de territoires par exemple.

A l’inverse, les chasseurs bénéficient d’un interlocuteur privilégié en gendarmerie pour les dossiers qui les concernent et peuvent communiquer avec des gens compétents, capables d’appréhender leurs problématiques.

Récemment, la Fondation Brigitte Bardot s’est insurgée de la mise en place de ces partenariats en visant précisément l’un des derniers en date en Seine-et-Marne.

 

La perspective que quelqu’un comprenne l’importance du travail réalisé par les chasseurs sur le terrain semble les placer dans un certain inconfort

Pour signaler son mécontentement et tenter d’influencer le débat, la Fondation a posté un message sur ses réseaux sociaux en indiquant qu’elle associait ces partenariats avec des « faits préoccupants ».

 

🦌 Un partenariat entre chasseurs et gendarmes en Seine-et-Marne Il y a quelques jours, la Fédération départementale des chasseurs de Seine-et-Marne (77) a tenu son assemblée générale sous le regard bienveillant des élus et du préfet du même département. Fait préoccupant : Une convention vient d'être signée entre la Fédération de chasse, la préfecture et la Gendarmerie nationale. Une convention dont le contenu reste flou. En effet, la préfecture annonce : “lutter contre les attaques à l’environnement, lutter contre les atteintes aux biens dont peuvent être victimes les chasseurs et lutter contre les atteintes aux personnes pouvant avoir un attrait au monde cynégétique”, de quoi veulent se protéger les chasseurs ? Des lanceurs d’alertes ? De ceux qui documentent leurs actions et abus ? ❓ Cette alliance soulève des questions légitimes : Comment une activité responsable de nombreux accidents et le massacre de millier d’animaux chaque année peut-elle prétendre "lutter contre les atteintes à l'environnement" ? Pourquoi utiliser les forces de l'ordre pour protéger spécifiquement "les biens et personnes du monde cynégétique" ? ➡️ Rappelons que la chasse impacte gravement la faune sauvage et provoque chaque année des accidents mortels. En 2023-2024, l'Office français de la biodiversité a recensé 103 accidents de chasse dont 6 mortels. 👉 La Fondation Brigitte Bardot reste vigilante face à cette institutionnalisation de la chasse et continuera de défendre les droits des animaux sauvages face au lobby cynégétique.

La Fondation Brigitte Bardot enrage des partenariats entre chasseurs et gendarmes
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"C'est dégueulasse !" : nouveau rebondissement dans l'affaire des sangliers de La Ferté-Saint-Aubin

Publié le par Ricard Bruno

La cour d'appel d'Orléans vient à nouveau de donner tort à un couple de La Ferté-Saint-Aubin, condamné en première instance par le tribunal correctionnel pour avoir détenu illégalement deux sangliers. Il a annoncé former un pourvoi en cassation, mercredi 30 avril.

En mai 2023, les sangliers Mimi et Pumba étaient capturés dans leur enclos de La Ferté par les agents de l'Office français de la biodiversité. Et transférés dans un parc du Calvados.

En mai 2023, les sangliers Mimi et Pumba étaient capturés dans leur enclos de La Ferté par les agents de l'Office français de la biodiversité. Et transférés dans un parc du Calvados.

Rebondissement dans l'affaire des deux sangliers de La Ferté-Saint-Aubin, que l'on a bien cru tirés d'affaire, fin 2024, quand le couple qui les recueillait au printemps 2022 obtenait l'autorisation préfectorale de les héberger sur la propriété du château dont ils sont les gardiens.

 

Pour mémoire, le frère et la sœur marcassins, orphelins de surcroît, après que leur mère a été abattue en Sologne, avaient été adoptés par Cindy Pinon et Nicolas Braconnier (qui les découvrait en forêt). Ils leur construisaient alors un vaste enclos sur la propriété du château.

Un an plus tard, Mimi et Pumba leur avaient été retirés au cours d'une scène déchirante, Nicolas et Cindy n'ayant pas l'autorisation d'élever des animaux sauvages.

Condamnation...

Le tribunal allait de surcroît les condamner, en novembre 2023, à une amende, et acter le maintien des bêtes au parc animalier de Grimbosq, dans le Calvados, là où elles avaient été transférées par les agents de l'Office français de la biodiversité (OFB).

Autorisation préfectorale

Pas de quoi décourager le couple. Il n'avait pas renoncé à récupérer les deux animaux auxquels il s'était très vite attaché, ses "bébés", et obtenait alors l'autorisation d'élevage, fin 2024.

"Après avoir fait des dépenses faramineuses au niveau de notre parc", précise Cindy Pinon. Sur demande de la préfecture,
il s'agissait "de le rendre conforme à la législation" et à l'ouverture "d'un établissement d'élevage de type refuge sanctuaire pour sangliers".

Les sangliers menacés d'euthanasie ?

Le 5 mars 2025, le couple a été jugé en appel dans l'espoir de faire annuler la décision de première instance qui, donc, le condamnait à une amende et confirmait la confiscation de Mimi et Pumba. Une décision mise en délibéré  au mardi 29 avril.

La cour d'appel d'Orléans a finalement confirmé la confiscation des bêtes, maintenu l'amende originelle, auquel elle ajoute, nous apprend Cindy, "les frais de gardiennage des sangliers pendant deux ans et le coût de leur transfert dans le Calvados", en 2023, à l'époque de leur saisie.

Le couple a décidé de passer à l'étape supérieure, en contestant la décision rendue en appel. Il a formulé un pourvoi en cassation (la plus haute juridiction française), a annoncé le procureur général dans un communiqué, mercredi 30 avril. 

"À noter que la détention de cette espèce est strictement encadrée dès le premier spécimen, a-t-il précisé. Au-delà de la détention d’un spécimen, la réglementation impose d’être titulaire d’un certificat de capacité et d’une autorisation préfectorale."

"On a tout fait pour rentrer dans les cases"

"Combien ça va nous coûter, sûrement très cher ?" Cindy Pinon fait état d'une infinie tristesse : "C'est dégueulasse ! On a montré notre bonne foi, on a tout fait pour rentrer dans les cases." Et enfin récupérer Mimi et Pumba à La Ferté. Une décision de justice qui ouvre, selon Cindy, la voie "à l'euthanasie" du frère et de la sœur sangliers, "si c'est pas déjà fait..."

Cindy a eu, mardi 29 avril, la chargée de faune sauvage de Brigitte Bardot au téléphone : "Elle m'a dit que Brigitte Bardot (qui s'était déjà manifestée en 2023 dans l'affaire des sangliers de La Ferté) continuait de suivre l'affaire de près".

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La Fondation Brigitte Bardot appelle à la vidéosurveillance obligatoire suite au scandale de Charlieu

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot appelle à la vidéosurveillance obligatoire suite au scandale de Charlieu
La Fondation Brigitte Bardot appelle à la vidéosurveillance obligatoire suite au scandale de Charlieu
La Fondation Brigitte Bardot appelle à la vidéosurveillance obligatoire suite au scandale de Charlieu

La Fondation Brigitte Bardot est cosignataire -avec les cinq autres ONG membres du CNEAb (Comité national d’éthique des abattoirs) – d’une lettre ouverte envoyée aujourd’hui à la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard. La FBB réagit fermement aux nouvelles images choquantes documentant des maltraitances graves à l’abattoir de Charlieu (Loire).

« Une nouvelle fois, les animaux subissent d’insupportables souffrances en raison de mauvaises pratiques qui perdurent dans les abattoirs français » dénonce cette lettre ouverte. Ce constat alarmant intervient alors qu’en 2016, une inspection nationale révélait que 80% des abattoirs présentaient des non-conformités dans le traitement des animaux. Qu’a fait l’Etat depuis 2016 pour améliorer les pratiques ? Combien d’autres animaux devront subir ces cruautés parfaitement évitables ?
Il est plus que jamais urgent d’installer la vidéosurveillance obligatoire dans tous les abattoirs français. Cette mesure essentielle permettrait non seulement de prévenir les mauvais traitements, mais aussi d’assurer un contrôle transparent et permanent des conditions d’abattage, redonnant ainsi confiance aux consommateurs et aux éleveurs.

Ces images sont insupportables et de telles dérives intolérables.

 

Voici la lettre : 

Madame la Ministre,

La diffusion d’une nouvelle vidéo, mettant en cause l’abattoir de Charlieu (Loire) pour d’importantes non-conformités dans le process d’abattage des animaux, suscite l’incompréhension et la légitime colère de nos concitoyens et de nos organisations.
Une nouvelle fois, les services de la Préfecture déclarent mener les investigations nécessaires. Une nouvelle fois, les autorités judiciaires ouvrent une enquête préliminaire pour maltraitances animales et sévices sur animaux. Une nouvelle fois, le ministère de l’Agriculture mandatera ses services spécialisés (Force d’inspection nationale des abattoirs (FINA), Référents nationaux en abattoirs (RNA), Brigade nationale d’enquête vétérinaire).
Une nouvelle fois… jusqu’à la prochaine vidéo ?
Ce scénario se répète invariablement depuis plusieurs années et les animaux subissent d’insupportables souffrances en raison de mauvaises pratiques qui perdurent dans les abattoirs français.
Nos organisations, membres du Comité national d’éthique des abattoirs depuis sa création, n’ont de cesse de solliciter les services de la Direction Générale de l’Alimentation (DGAl) afin que des inspections « protection animale » renforcées soient menées dans l’ensemble des établissements d’abattage français.
Une telle inspection nationale avait d’ailleurs été ordonnée par l’un de vos prédécesseurs en 2016 et avait conclu que 80 % des abattoirs révélaient des non-conformités dans le traitement des animaux.
Il nous paraît indispensable, Madame la ministre, de renouveler une inspection généralisée « protection animale » des abattoirs, afin d’identifier les causes des non-conformités, de mettre en place les actions correctives et de prendre les sanctions qui s’imposent.
Cette démarche permettra également de redonner confiance aux consommateurs et aux éleveurs, régulièrement choqués par ces révélations de mauvais traitements en abattoirs. A l’heure de la Souveraineté alimentaire et de la nécessaire défense de nos filières, tout doit être mis en œuvre pour que le label « viandes de France » ne puisse être assimilé à un label de souffrances.

Vous remerciant de votre bienveillante attention et des actions fortes que vous ne manquerez pas d’initier, nous vous prions d’agréer, Madame la ministre, l’expression de notre haute considération.

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Abandon des animaux : ce que prévoit le Plan national 2025 pour mieux protéger chiens et chats

Publié le par Ricard Bruno

Abandon des animaux : ce que prévoit le Plan national 2025 pour mieux protéger chiens et chats
Un constat alarmant à l'origine d'une réaction gouvernementale

Plus de 100 000 animaux de compagnie seraient abandonnés chaque année en France, selon les chiffres de la Fondation Brigitte Bardot. Parmi eux, 60 % le sont pendant la période estivale, entre juin et août. Un chiffre qui fait de la France un des tristes champions européens en la matière.

Face à cette réalité, le gouvernement, sous l'impulsion du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, a mis en place un plan structuré autour de plusieurs axes : prévention, responsabilisation et soutien aux structures d’accueil. Ce plan a été élaboré en collaboration avec les vétérinaires, les associations de protection animale, les maires ruraux et les acteurs du monde agricole.

Des mesures concrètes pour prévenir les abandons

Le Plan national 2025 ne se contente pas de communication. Il comprend plusieurs dispositifs concrets, dont certains sont déjà en vigueur, d'autres en cours de déploiement :

L’objectif principal est de réduire de 30 % le nombre d’abandons d’ici 2027. Pour y parvenir, le gouvernement souhaite aussi renforcer le rôle des collectivités locales, en leur confiant plus de moyens pour agir sur le terrain : stérilisation des chats errants, soutien aux associations, et meilleure traçabilité des propriétaires via l’I-CAD.

La responsabilisation au cœur du dispositif

Le gouvernement mise également sur une responsabilisation plus poussée des futurs propriétaires. Désormais, toute adoption via un refuge ou un élevage doit être précédée d’un certificat d’engagement et de connaissance, signé au moins 7 jours avant l’adoption.

Ce document rappelle les besoins physiologiques, comportementaux et médicaux de l’animal, ainsi que la durée de vie moyenne de l’espèce concernée. Une mesure saluée par les professionnels du secteur, comme les vétérinaires, qui y voient un outil de pédagogie mais aussi de dissuasion pour les adoptions irréfléchies.

Une vigilance sur l’efficacité réelle à long terme

Si ces mesures sont globalement bien accueillies, certaines associations pointent un manque de fermeté sur les sanctions. En effet, l’abandon d’un animal reste un délit puni de 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende, mais ces peines sont rarement appliquées dans leur totalité.

Par ailleurs, la vente entre particuliers, bien que plus encadrée, demeure une faille difficile à contrôler. De nombreux animaux continuent de changer de main sans suivi sanitaire ni traçabilité. Les plateformes en ligne doivent renforcer leurs systèmes de vérification, mais les contrôles restent encore trop faibles.

Une dynamique à encourager, mais à surveiller de près

Ce Plan national 2025 est un signal fort de l'État pour mieux protéger les animaux de compagnie. Il est encore trop tôt pour juger de son efficacité réelle, mais il marque un tournant dans la manière de traiter le sujet de l’abandon.

La réussite de ce plan dépendra aussi de l’engagement collectif : des citoyens, des vétérinaires, des associations, des collectivités… et surtout d’une volonté politique durable.

Car protéger les animaux, c’est aussi faire société autrement : avec plus de respect, de prévoyance et de responsabilité.

Source de l'article : Cliquez ICI

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LIBÉRONS LAKSHMI : AGISSEZ MAINTENANT POUR METTRE FIN À SON CALVAIRE !

Publié le par Ricard Bruno

LIBÉRONS LAKSHMI : AGISSEZ MAINTENANT POUR METTRE FIN À SON CALVAIRE !

En 2023, une enquête bouleversante menée par Vakita révélait au grand public le sort de Lakshmi, une éléphante maintenue captive dans un temple affilié à la célèbre guide spirituelle Amma, en Inde.

Une lueur d’espoir...

Enchaînée, isolée, privée de toute interaction sociale, Lakshmi présente des signes clairs de détresse : balancements répétitifs, comportements stéréotypés, symptômes évidents d’une profonde souffrance psychologique.
Les éléphants sont des animaux extrêmement intelligents, sociaux et sensibles.
Dans la nature, ils parcourent plusieurs kilomètres par jour, vivent en groupes familiaux soudés, communiquent constamment entre eux et passent leurs journées à explorer, interagir, se baigner, se nourrir…

Or, Lakshmi est enchaînée, incapable de se déplacer librement, isolée, sans interaction sociale, privée de stimulation, dans un environnement stérile. Elle est soumise à une captivité prolongée, totalement incompatible avec ses besoins physiques et psychiques.

Une lueur d’espoir...

Quelques semaines après la diffusion de l’enquête, la Fondation Brigitte Bardot, en collaboration avec Vakita, annonçait une avancée majeure : une place avait été trouvée pour Lakshmi dans un sanctuaire partenaire en Inde.
Un lieu où elle pourrait enfin vivre dans un environnement adapté et respectueux de ses besoins.
Tous les moyens logistiques étaient prêts. Il ne manquait qu’une chose : le feu vert des détenteurs de Lakshmi.

Puis, le silence.

Malgré de nombreuses démarches officielles auprès de l’organisation d’Amma, ETW (Embracing the World), aucune réponse ne nous a été adressée.
Aujourd’hui encore, des visiteurs du centre nous signalent que Lakshmi est toujours là, dans les mêmes conditions. Des vidéos récentes en témoignent 

Son calvaire continue. Le silence persiste.

Il est temps d’agir. Pour Lakshmi, chaque jour compte.

Comment agir ?

Lakshmi mérite mieux qu’une vie de chaînes.
Aucune croyance ou tradition ne peut justifier l’enfermement et la souffrance d’un être vivant.

Signez la pétition : Cliquez ICI

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