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actualites fondation brigitte bardot

Castillon-la-Bataille : 40 chats libres identifiés par la Ville

Publié le par Ricard Bruno

Anne Grillard présente le bilan de la première année de l’opération Chats libres.

Anne Grillard présente le bilan de la première année de l’opération Chats libres.

Quarante chats trappés sur la période de mars à décembre 2023. Le bilan de la première opération Chats libres, présenté ce mardi 16 janvier à la mairie de Castillon-la-Bataille, est prometteur. Aujourd’hui, 40 chats numérotés sont libres, identifiés et stérilisés. « Ce sont les chiffres de terrain sur six mois effectifs. Ce n’est pas en une année que nous réglerons le problème des chats errants sur le territoire, c’est un travail de plusieurs années pour juguler », précise Anne Grillard. La salariée de Castilab, entreprise à but d’emploi, a été missionnée pour cette action nationale, suivie en mairie, en lien avec les associations de protection animale, notamment la fondation Brigitte-Bardot qui aide aux financements.

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Oise. Un bouc et une chèvre retrouvés morts malgré des signalements de riverains pour maltraitance

Publié le par Ricard Bruno

À Saint-Rémy-en-l’Eau (Oise), une chèvre et un bouc ont été retrouvés morts fin décembre 2023, suscitant l’indignation du voisinage. Selon des riverains, leur mort est liée aux conditions de vie déplorables dans lesquelles ils étaient détenus par un particulier, malgré plusieurs interventions de la gendarmerie et l’alerte de différentes associations. Le mis en cause pourrait faire prochainement l’objet de poursuites.

Image d'illustration...

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Un habitant de Saint-Rémy-en-L’eau (Oise) est soupçonné par ses voisins d’actes de maltraitance animale. Fin décembre 2023, un bouc et une chèvre lui appartenant ont été retrouvés morts dans leurs enclos. Pour l’heure, aucune enquête policière ni action en justice n’a été décidée à son encontre mais il pourrait faire prochainement l’objet de poursuites, rapporte Le Parisien , dimanche 21 janvier 2024.

 

Un habitant de Saint-Rémy-en-L’eau (Oise) est soupçonné par ses voisins d’actes de maltraitance animale. Fin décembre 2023, un bouc et une chèvre lui appartenant ont été retrouvés morts dans leurs enclos. Pour l’heure, aucune enquête policière ni action en justice n’a été décidée à son encontre mais il pourrait faire prochainement l’objet de poursuites, rapporte Le Parisien , dimanche 21 janvier 2024.

 

« Les choses pourraient se décanter dans les jours à venir , a notamment précisé le parquet de Beauvais à nos confrères. Dans la commune de près de 400 habitants, deux riverains ont déjà sollicité l’association 30 millions d’amis et la Fondation Brigitte-Bardot. Cette dernière a fait savoir qu’elle se porterait partie civile si nécessaire.

 

Manque de nourriture, fuites…

 

À l’été 2022, soit plus d’un an avant la mort des animaux, des voisins avaient déjà alerté les autorités sur leurs conditions de vie. Une première inspection de la gendarmerie avait alors eu lieu. Un an plus tard, les militaires se sont une nouvelle fois rendus sur place après de nouveaux signalements de riverains, explique le journal francilien. Ils avaient notamment secouru la chèvre qui s’était retrouvée coincée dans une palette en tentant de sortir de son enclos.

Interrogés par Le Parisien, les voisins du mis en cause ont fait état d’un manque de nourriture, d’eau « croupie », de bêtes qui avaient l’habitude de hurler et de fuir ainsi que d’un propriétaire souvent absent. L’homme posséderait également des poules décharnées et un chien, qui serait également coutumier des fugues. Selon les riverains, l’homme n’aurait jamais répondu à ses convocations devant la gendarmerie.

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Eure : un incroyable élan de solidarité a permis de sauver un chien errant du froid

Publié le par Ricard Bruno

Eure : un incroyable élan de solidarité a permis de sauver un chien errant du froid

Plus tôt ce mois-ci, un élan de solidarité a permis de sauver un chien errant du froid dans l’Eure. Aujourd’hui, le toutou se repose au chaud dans un refuge, où il attend d’être adopté.

C’est la belle histoire du jour. Il y a une semaine, une femme a sauvé un chien errant du froid grâce à un bel élan de solidarité, racontent nos confrères de Paris-Normandie. L’animal a pu être pris en charge par une association.

Alors qu’elle se promenait avec son conjoint près de Pont-Audemer (Eure), Marine Goupil a aperçu un chien errant sur la route. Face à cette situation, cette habitante de Brestot, âgée de 35 ans, a tenté de l’attraper, sans succès.

«Nous avons essayé longtemps mais c’était impossible. Je suis repartie en pleurs. Ça me faisait mal de laisser ce chien-là. Nous y sommes alors retournés pour lui donner à manger et il était encore là», explique la jeune femme au site d’information.

De retour chez elle, Marine Goupil s’empresse de contacter les refuges et les associations de protection des animaux. Mais ce n’est pas tout ! Cette bénévole au grand cœur a également lancé des appels sur les réseaux sociaux avant de contacter la mairie de Rougemontier, qui «a l’obligation de faire quelque chose pour les animaux errants».

 

Un vague de solidarité pour sauver le chien

 

Par chance, son appel à l’aide a rapidement porté ses fruits. En effet, la Fondation Brigitte Bardot - qui a eu vent de cette histoire - a décidé de se rendre sur place le lendemain pour venir en aide au pauvre toutou.

«Une vague de solidarité s’est mise en place. Le lundi, une trentaine de personnes s’est relayée pour surveiller le chien et lui donner à manger. J’étais au travail mais je suivais ce qu’il se passait sur place», a confié Marine Goupil.

Avant d’ajouter : «Un agriculteur m’a dit qu’il l’avait vu depuis trois semaines. Il dormait dans l’abri de ses moutons».

Les personnes présentes sur les lieux ont finalement réussi à attraper le chien errant. La boule de poils, qui est en réalité une chienne, a été transportée à la clinique vétérinaire pour passer des examens.

 

Tout est bien qui finit bien

 

Depuis son sauvetage, la chienne se repose au chaud dans un refuge, où elle attend d’être adoptée : «J’ai déjà reçu plusieurs sollicitations. Je ne peux pas le garder sinon, je n’aurais pas hésité». À noter que le quadrupède a été prénommé Happy («heureux» en anglais). par son ange gardien.

«J’étais très contente du dénouement car la chienne était vraiment très affaiblie. La personne de la Fondation m’a dit qu’elle n’aurait pas survécu avec les températures».https://www.demotivateur.fr/animaux/eure-un-incroyable-elan-de-solidarite-a-permis-de-sauver-un-chien-errant-du-froid-37620

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90 chiens maltraités saisis dans l’Orne : l’éleveuse « dépassée » condamnée

Publié le par Ricard Bruno

Lors d’un contrôle de la gendarmerie et des services vétérinaires en janvier 2023 dans deux chenils ornais, appartenant au même élevage, 90 chiens avaient été découverts, détenus dans des conditions exécrables. L’éleveuse a été condamnée ce mardi 16 janvier 2024, par le tribunal judiciaire d’Argentan (Orne).

90 chiens maltraités saisis dans l’Orne : l’éleveuse « dépassée » condamnée

 

Une femme de 50 ans qui dirigeait un élevage canin à Caligny et Montilly-sur-Noireau a comparu devant le tribunal judiciaire d’Argentan (Orne), début décembre 2023. En début d’année, les 90 chiens qu’elle élevait avaient été saisis pour maltraitance et remis à la SPA. Ce mardi 16 janvier 2024, la prévenue a été condamnée à une amende.

90 chiens saisis et remis à la SPA

Début janvier 2023, les gendarmes et les services vétérinaires sont intervenus dans deux chenils à Caligny et Montilly-sur-Noireau, appartenant au même élevage.

Ils ont constaté que 90 chiens étaient détenus dans des cages bien trop petites, piétinant dans leur urine et leurs excréments « au milieu d’une odeur difficilement soutenable ». Les animaux étaient sales, manquaient de soins vétérinaires, certains présentaient des troubles du comportement ou étaient maigres. Les bergers de Laponie ont été saisis et remis à la SPA.

Deux associations parties civiles

Devant le tribunal, début décembre 2023, l’éleveuse avait mis en avant ses problèmes de santé pour tenter d’expliquer comment elle en était arrivée là, tout en admettant ses torts sur le fond. La femme de 50 ans avait alors murmuré « être dépassée ».

Lire aussi : Orne. Un chien amaigri reste sur un balcon, son maître est condamné par la justice

Deux associations (la SPA et la fondation Brigitte Bardot) s’étaient portées parties civiles : « le bien-être animal doit être une priorité, même dans le cadre d’une activité commerciale », avait noté l’avocat de la fondation Brigitte Bardot.

Condamnée à une amende

L’éleveuse de 50 ans a été condamnée à 3 000 € d’amende dont 2 000 € avec sursis. Elle a l’interdiction de continuer son métier d’éleveuse pendant 5 ans. Elle a également été condamnée à 225 € d’amende. Les 90 chiens saisis sont remis à la SPA.

La prévenue devra indemniser les deux parties civiles, à hauteur de 1 000 € pour la fondation Brigitte Bardot. 1 500 € pour la SPA. Elle devra également régler les 15 716 € de frais de garde des chiens à la SPA.

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Le centre de soin pour la faune sauvage de Savoie et de Haute-Savoie lance un appel aux dons

Publié le par Ricard Bruno

Photo d'illustration...

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L’hiver ce sont les hérissons, les rapaces, les chauves-souris qui trouvent refuge au centre. Le Tétras Libre, le centre de sauvegarde de la faune sauvage des Pays de Savoie a besoin d’argent pour payer les 4 salariés et le matériel. Il lance un financement participatif sur internet.

Le Tétras Libre reçoit des milliers d'animaux sauvages, biches, renards, chouettes, cygnes depuis son ouverture en 2020. Il avait alors été élu meilleur projet du budget citoyen du département et avait bénéficié d’une importante subvention. Le centre emploie 4 salariés dont 3 soigneuses. Il a besoin de 200.000 euros pour fonctionner tous les ans et on est loin du compte !

Plus d'animaux accueillis mais pas assez de moyens

Selon l’association, "les accueils d’animaux sauvages augmentent drastiquement mais pas nos moyens financiers. Le fonctionnement quotidien du centre de soins nécessite beaucoup de moyens en terme de matériel, nourriture, médicaments, fourniture d’énergie, mais aussi pour financer notre renfort saisonnier qui nous aide à gérer les centaines d’animaux qui arrivent en quelques mois avec tous les jeunes de l’année". Le centre est ouvert tous les jours de l’année. Il accueille uniquement les animaux de la faune sauvage. Les animaux domestiques sont dirigés vers d’autres structures "nous prenons en charge gratuitement tous les animaux sauvages en difficulté que l’on peut nous apporter".

La fondation Brigitte Bardot ou l'association 30 millions d'amis soutiennent aussi le Tétras Libre, elles participent notamment à l'achat de nourriture ou de médicaments.

Une cagnotte en ligne

Depuis le début du mois de décembre et jusqu'à fin janvier, un financement participatif est lancé via internet. Le message est clair : "notre centre de soins pour la faune sauvage risque de fermer ses portes fin 2024. Votre soutien financier nous aidera à garder le cap !". Idéalement le centre aurait besoin de subventions des collectivités pour le fonctionnement, pour payer les salaires notamment, le matériel et les médicaments alors que pour l'instant, les départements de la Savoie et de la Haute Savoie ou la Région donnent des aides essentiellement pour les investissements (les aménagements des salles de soin, des travaux, les agrandissements). Les responsables du centre espèrent que les collectivités viendront compléter la générosité des donneurs en ligne avec des subventions publiques pérennes.

Pour aider financièrement l'association : c'est ici

À l'intérieur les animaux sont isolés le temps de se refaire une santé

À l'intérieur les animaux sont isolés le temps de se refaire une santé

Cet hérisson là va retourner en quarantaine

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LA FBB APPORTE SON SOUTIEN À L’ORGANISATION WFFT DANS LA RÉALISATION D’UNE MISSION DE SAUVETAGE HISTORIQUE DE 35 GRANDS FÉLINS.

Publié le par Ricard Bruno

LA FBB APPORTE SON SOUTIEN À L’ORGANISATION WFFT DANS LA RÉALISATION D’UNE MISSION DE SAUVETAGE HISTORIQUE DE 35 GRANDS FÉLINS.

La Fondation Brigitte Bardot a récemment appuyé l’organisation Wildlife Friends Foundation Thailand dans une opération de sauvetage sans précédent, visant à secourir 35 grands félins en détresse.

Le 16 décembre, une première intervention a permis le sauvetage de 12 tigres et 3 léopards des conditions déplorables d’une ferme intensive en Thaïlande. Ce groupe initial, choisi pour son état critique, a nécessité des soins urgents. Parmi eux, un tigre nommé Salamas, particulièrement faible, a dû être déplacé avec précaution sans sédation.

Les animaux ont été déplacés vers le sanctuaire de WFFT où ils bénéficieront de soins médicaux et d’un habitat naturel, marquant pour beaucoup leur première expérience de la liberté après une vie en captivité, nombre d’entre eux ayant passé plus de vingt ans dans une cage de béton.

Malheureusement, ces tigres et léopards ne pourront jamais être relâchés dans la nature, mais le refuge leur offre un environnement où ils pourront explorer, se socialiser et se rétablir.

La mission continue…

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Cochons sauvages à Marignane : la Fondation Brigitte Bardot dénonce une vaste opération "d'abattage"

Publié le par Ricard Bruno

La population de cochons de la zone industrielle de la Palun, à Marignane, le 12 janvier 2022.

La population de cochons de la zone industrielle de la Palun, à Marignane, le 12 janvier 2022.

L’association assure que des dizaines de cochons qui prolifèrent a Marignane ont été abattus mardi 19 décembre autour de la zone industrielle de La Palun.

"C'est une trahison, une rupture unilatérale dans la collaboration établie entre notre Fondation et les services vétérinaires du département" : la Fondation Brigitte Bardot dénonce une opération "d'abattage" de cochons sauvages de la zone industrielle de la Palun, à Marignane.

Un rendez-vous d'urgence avec la DDPP

La Fondation ne connaît "pas encore le protocole qui a été suivi (...) ni la méthode utilisée", mais elle a demandé un rendez-vous "d'urgence" avec la Direction départementale de la protection de la population (DDPP) afin de demander la prise en charge des "cochons survivants."

Depuis quelques années, les cochons prolifèrent dans la commune. Début 2022, France bleu Provence rapportait une estimation d'environ 250 cochons autour de cette zone, alors qu'ils n'étaient que "quelques individus" moins de cinq ans auparavant. 

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La régulation des ragondins avec du tir à l’arc provoque la colère de la Fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

« C’est une méthode moyenâgeuse et cruelle. » La décision des élus de la communauté de communes de la Côte d’Emeraude de réguler la présence de ragondins à Lancieux (Côtes-d’Armor) avec du tir à l’arc a provoqué la colère de la Fondation Brigitte Bardot.

Animal semi-aquatique originaire d’Amérique du Sud, le ragondin peut causer des dégâts sur l’écosystème.

Animal semi-aquatique originaire d’Amérique du Sud, le ragondin peut causer des dégâts sur l’écosystème.

Du côté de Lancieux (Côtes-d’Armor), des ragondins ont causé des dégâts sur une digue. En conséquence, les élus de la communauté de communes de la Côte d’Emeraude ont décidé d’agir.

Une régulation au tir à l’arc

Jusqu’ici, rien d’extraordinaire. Depuis plusieurs années, de nombreuses communes sont confrontées à la prolifération des ragondins, un petit mammifère originaire d’Amérique du Sud. Plusieurs moyens existent pour « réguler » sa présence.

Lire aussi :...

Source et suite de l'article : Cliquez ICI

 

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LA COMMISSION EUROPÉENNE VEUT OFFICIELLEMENT FACILITER L’ABATTAGE DES LOUPS EN EUROPE

Publié le par Ricard Bruno

LA COMMISSION EUROPÉENNE VEUT OFFICIELLEMENT FACILITER L’ABATTAGE DES LOUPS EN EUROPE

Attendue depuis le mois de septembre, la décision de la Commission européenne concernant le statut de protection du loup vient de tomber comme un couperet : l’Union européenne va proposer que la protection du loup soit révisée et affaiblie dans le cadre de la Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l’Europe, dite Convention de Berne.

L’objectif de la Commission européenne : Faire passer le loup de l’Annexe II (espèces de faune strictement protégées dont la capture, la détention et l’abattage sont interdits) à l’Annexe III (espèces de faune protégées dont la gestion est réglementée) de la Convention de Berne, ce qui en faciliterait donc l’abattage en Europe.

Le 4 septembre dernier, la Commission européenne annonçait l’ouverture d’une consultation publique afin d’éventuellement proposer la révision du statut du loup au sein de l’Union européenne, consultation à laquelle la Fondation Brigitte Bardot avait contribué. Ce projet faisait suite aux pressions exercées par certains Etats membres (dont la France) ainsi que par des syndicats agricoles qui, face au retour encourageant de cette espèce menacée, demandaient de faciliter et renforcer le recours à l’abattage des loups plutôt que de mieux protéger les troupeaux d’éventuels actes de prédation.

Dans un sondage réalisé en novembre 2023 dans 10 Etats membres de l’Union européenne interrogeant les populations rurales sur leur rapport aux grands carnivores et aux pratiques de chasse, celles-ci se prononçaient majoritairement en faveur du maintien de la protection stricte des loups, rejetant l’argument selon lequel leur présence cause un sentiment d’insécurité, contrairement aux activités de chasse qu’elles considèrent davantage comme une source d’insécurité et d’inconfort.

Malgré une opinion publique défavorable, l’annonce de la Commission sonne certainement le glas de la protection stricte de cette espèce menacée, qui a peiné à se refaire une place dans les forêts européennes après avoir été traquée et éradiquée dans de nombreux pays. En effet, alors que l’Union européenne refusait jusqu’à présent de réviser le statut du loup et avait ainsi réussi à faire barrage à son déclassement en 2022, l’annonce de la Commission européenne vient rebattre les cartes. Si l’UE maintient le projet d’en proposer le déclassement, les jours sont comptés pour les loups jusqu’à la prochaine réunion du Comité permanent de la Convention de Berne qui se tiendra en décembre 2024…

« Sensible aux pressions politiques, particulièrement en cette période pré-électorale, la présidente de la Commission européenne démontre une nouvelle fois que son intérêt passe avant la protection de la biodiversité et des animaux. Après avoir détricoté la stratégie de la Ferme à la Table en proposant une révision décevante de la réglementation sur le transport des animaux, la Commission européenne met un nouveau coup de canif dans l’ambitieux Pacte vert (Green deal) annoncé en 2020, désavouant par là-même la position de la Commission en défaveur de l’affaiblissement du statut de protection du loup, clairement exprimée jusqu’en 2022 » déplore Christophe Marie, directeur adjoint et porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot.

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