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ESPÈCES SAUVAGES MENACÉES : LA FBB ÉTAIT PRÉSENTE À LA COP19 DE LA CITES

Publié le par Ricard Bruno

ESPÈCES SAUVAGES MENACÉES : LA FBB ÉTAIT PRÉSENTE À LA COP19 DE LA CITES

Du 14 au 25 novembre se tenait à Panama City la 19ème Conférence des Parties de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES CoP19). L’occasion pour les 184 pays signataires de cette convention internationale, d’étudier, comme tous les 3 ans, le statut de conservation des espèces sauvages menacées et de définir les règles qui encadreront, pour les prochaines années, leur commerce dans le monde entier. Depuis 20 ans, la Fondation Brigitte Bardot assiste aux discussions et était donc, cette année encore, présente pour défendre activement une meilleure préservation des espèces sauvages aux côtés des autres organisations du réseau Species Survival Network (SSN) dont elle est membre.

Lors de l’ouverture de cette 19ème Conférence des Parties, tous les discours ont mentionné l’extrême urgence à réagir face au déclin dramatique de la biodiversité, et l’opportunité que représente la CITES pour lutter contre la disparition des espèces sauvages, par une limitation du commerce international lorsque les populations animales sont menacées d’extinction.

Pourtant, face au constat d’urgence et au déclin marqué des populations de certaines espèces fortement braconnées ou dont l’habitat naturel se dégrade de façon très préoccupante, certains pays ont privilégié leurs intérêts économiques… mettant scandaleusement la conservation des espèces au second plan !

Parmi les principaux enjeux de cette CoP, figurait la protection d’espèces emblématiques telles que les éléphants, les rhinocéros et les hippopotames, mais également de nombreuses espèces marines (requins, raies, poissons), d’oiseaux, de tortues, de grenouilles et de reptiles commercialisés en tant qu’animaux de compagnie dans le monde entier.

LES BONNES NOUVELLES DE CETTE COP19 :

  • L’interdiction du commerce de certaines espèces menacées d’extinction (inscription à l’annexe I de la CITES)
  •  
  • Le bulbul à tête jaune, oiseau chanteur originaire d’Asie, et le scinque à langue bleue, lézard australien pouvant être vendu jusqu’à 9000 euros sur le marché européen, sont désormais inscrites à l’annexe I. C’est également le cas de plusieurs espèces de tortues (Tortue molle de Leith, tortue boite à front jaune, la Kachuga à front rouge et 2 espèces de tortues boueuses). Sauf dans des conditions exceptionnelles, leur commerce est interdit, afin de préserver les dernières populations de ces espèces.
  • Le renforcement de la protection de certaines espèces (inscription à l’annexe II de la CITES) 
  • Sont concernées :

    Plusieurs espèces marines, menacées par la surexploitation pour le commerce, la pêche et la dégradation de leur habitat : l’ensemble des espèces de requins-requiem et des requins-marteau, les concombres de mer, les raies d’eau douce et les raies guitares.

    Plusieurs espèces de lézards et de reptiles : le Gecko d’Inde, le Gecko casqué, le Dragon d’eau vert, le lézard à cornes, le lézard à cornes de désert.

    Des espèces de grenouilles : grenouilles de verre, grenouille lémur arboricole et leo warty newt.

    De nombreuses espèces de tortues : les matamatas, les tortues alligator et serpentine, les tortues des bois néotropicales, les tortues géographiques, les tortues musquées, les tortues boueuses.

    Parmi les décisions importantes de cette CoP19, l’inscription de l’ensemble des 158 espèces de grenouilles  de verre à l’annexe II de la CITES est une excellente nouvelle ! Ces grenouilles, commercialisées en tant qu’animaux de compagnie et populaires en raison de leur transparence et de leurs grands yeux, sont en grande partie menacées d’extinction à cause de ce commerce, de la perte de leur habitat et des maladies infectieuses émergentes. Protégées dans les pays de l’aire de répartition (Amérique latine et du sud), les grenouilles de verre sont souvent capturées et exportées illégalement, principalement vers les Etats Unis et ce commerce ne fait que s’intensifier. Malgré une forte et incompréhensible opposition de l’Union européenne, cette décision de la #CITESCoP19 soumet le commerce international des grenouilles de verre à la délivrance de permis d’exportation, une formalité qui devrait freiner le trafic dont ces espèces sont malheureusement victimes !

Quelles sont les règles de la CITES ?

La CITES contient 3 annexes, dont les 2 principales définissent des règles de commerce international plus ou moins strictes selon le degré de protection dont les espèces ont besoin.

L’Annexe I comprend toutes les espèces menacées d’extinction. Le commerce de leurs spécimens est par principe interdit, sauf dans des conditions exceptionnelles.

L’Annexe II comprend toutes les espèces en danger, dont le commerce doit donc être réglementé pour éviter une exploitation incompatible avec leur survie. Leur commerce international est autorisé mais encadré et suivi. 

UN MANQUE D’AMBITION PRÉJUDICIABLE À LA SURVIE D’AUTRES ESPÈCES :

Bien que 10 pays africains de l’aire de répartition de l’hippopotame demandaient l’inscription de cette espèce à l’annexe II avec un quota d’exportation zéro afin d’interdire le commerce international (en vif ou de ses parties, telles que les dents/défenses, peaux, viande…), de nombreux pays, dont l’Union européenne, ont fait barrage à cette mesure qui aurait pourtant permis la préservation de cette espèce fortement braconnée et victime de trafic international. Le rejet de cette proposition est une occasion manquée de prendre des mesures raisonnables afin de freiner le déclin alarmant des populations d’hippopotames, dont la reproduction est lente et l’habitat se dégrade de façon préoccupante !

La protection des éléphants, discutée une nouvelle fois lors de cette 19ème CoP de la CITES, n’a pas permis de remettre en question le commerce international irrationnel qui pèse sur cette espèce en danger, fortement menacée par le braconnage et le trafic. Quatre pays d’Afrique (Namibie, Botswana, Zimbabwe et Afrique du Sud) conservent donc la possibilité de commercialiser et d’exporter leurs éléphants et leurs parties. Bonne nouvelle cependant, l’exportation d’éléphants vivants est suspendue jusqu’à la prochaine CoP, soit pendant 3 ans, le temps de définir dans quelles conditions de telles exportations peuvent être réalisées.

Tout au long des débats et lors des votes, l’Union européenne s’est illustrée par son manque de transparence, de cohérence dans ses positions, et de solidarité envers les autres Parties à la CITES qui ont malheureusement fait pencher la balance en défaveur de la conservation des animaux (notamment pour le poisson ornemental pléco-zèbre du Brésil et l’hippopotame).

LA FBB A RÉAGI DANS LES MÉDIAS :

« Même si la 19ème CoP de la CITES a permis de renforcer la protection de certaines espèces, la FBB ne peut pas se réjouir de ce marchandage des espèces sauvages alors que la biodiversité subit une crise mondiale sans précédent, et reconnue par tous ! Ne soyons pas dupes, cette grand-messe a encore une fois démontré que la CITES n’est pas destinée à protéger les animaux sauvages mais à orchestrer leur commerce international en tentant de réparer, avec quelques pansements, le désastre écologique qu’il cause… Certaines décisions n’arrivent que trop tard, comme pour le scinque à langue bleue, un lézard rare d’Australie vendu jusqu’à 9000 euros en Europe, alors que l’espèce est reconnue comme en danger depuis 2017 !

Comble de l’inconscience face au déclin alarmant de la biodiversité, l’Union européenne s’est illustrée, tout au long de cette CoP, par son attitude obstructive et condescendante, faisant barrage à la protection demandée par de nombreux pays pour leurs espèces endémiques, hippopotames et grenouilles de verre par exemple… Un boycott incompréhensible, certainement dicté par des intérêts économiques au détriment de la conservation et de la diplomatie internationale, que la FBB dénonce fermement ! »

Enfin, rappelons que le chiffre d’affaires annuel du commerce international légal d’espèces sauvages est estimé à plus de 15 milliards d’euros, et le commerce illégal à un montant équivalent, voire supérieur. Bien que les enjeux économiques soient considérables, il est plus qu’urgent de réglementer de façon stricte le commerce international des espèces sauvages et de cesser de marchander la vie d’êtres sensibles essentiels à la préservation de notre planète !

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Nouveauté Très belle pièce pour mes collections sur Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Nouveauté Très belle pièce pour mes collections sur Brigitte Bardot
Nouveauté Très belle pièce pour mes collections sur Brigitte Bardot
Nouveauté Très belle pièce pour mes collections sur Brigitte Bardot

Jupe portée par Brigitte Bardot de marque Jacques Fath Université collection, dans la revue Marie-Claire n°1 de 1954 tissu Colcombet en ottoman de couleur bleu outremer

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RETRAIT DE LA PROPOSITION DE LOI AVANT LE DÉBAT...

Publié le par Ricard Bruno

RETRAIT DE LA PROPOSITION DE LOI AVANT LE DÉBAT...

Contre toute attente, le député Nupes Aymeric Caron a retiré sa proposition de loi visant l'abolition de la corrida en France, le 24 novembre, à 17 h  30...

« En retirant ce texte, LFI a privé les parlementaires de la possibilité de débattre et les Français de pouvoir les écouter, ce qui est particulièrement frustrant 
» a  indiqué Claire Starozinski, présidente de l’Alliance Anticorrida. En ajoutant : « Si je peux comprendre la colère de M. Caron, le débat ou même la lecture des amendements aurait permis de mettre en lumière les demandes indignes de parlementaires qui se sont livrés à une obstruction en règle » .

Certains, comme Yoan Gillet (RN) ont proposé de remplacer « Abolir la corrida : un petit pas pour l’animal, un grand pas pour l’Humanité » par « Gommer les traditions taurines, effacer la passion du peuple du Sud » ou encore « Imposer l’idéologie d’un homme aux villes taurines » !

Patrick Vignal, (Renaissance) a demandé de  remplacer dans le titre de la loi « l’Humanité » par « moustique » ou de renommer le titre par « Restreindre la liberté individuelle des Français en matière de loisirs »…

Les taurins hurlent « Victoire ! » alors qu'il s'agit, au mieux, d'un sursis...

Source Alliance anti corrida Cliquez ICI

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Orne : les 8 chèvres en divagation de Saint-Brice sauvées de l'abattoir par la fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Le troupeau de 8 chèvres qui a perturbé la tranquillité de Saint-Brice pendant 2 ans, vient d'être sauvé par la Fondation Brigitte Bardot.

Le troupeau de chèvres a été gardé dans une ferme de Saint-Brice jusqu’à son départ samedi 19 novembre 2022. ©DR

Le troupeau de chèvres a été gardé dans une ferme de Saint-Brice jusqu’à son départ samedi 19 novembre 2022. ©DR

Samedi 19 novembre 2022, deux représentants de la Fondation Brigitte Bardot sont venus chercher le troupeau de chèvres qui a erré pendant plusieurs mois dans la commune de Saint-Brice et l’a transporté dans un autre département.

 

Nous offrons une retraite à vie à tous les animaux que nous sauvons. Ils ont été transportés dans un autre département, sur un site tenu par des professionnels qui vont les nourrir et assurer le suivi sanitaire. Les mâles seront castrés 

Romy Turpin, directrice juridique à la Fondation Brigitte Bardot

Ce problème de divagation de chèvres est apparu en 2020. Le troupeau de huit caprins avait provoqué des dégâts dans les cultures et présentait un danger pour les automobilistes qui circulait sur la RD 962, entre Domfront en Poiraie et Ceaucé.

Des agriculteurs et des habitants s’étaient plaints. Le maire a multiplié les démarches auprès du propriétaire pour régler ce problème. Sans succès. Il a alerté les services vétérinaires de la préfecture de l’Orne. Le 20 octobre 2022, la situation s’était débloquée. Une dizaine de conseillers municipaux et bénévoles ont capturé les animaux qui ont été placés dans une ferme de la commune, lieu de dépôt désigné par arrêté municipal.

Ce problème de divagation de chèvres est apparu en 2020. Le troupeau de huit caprins avait provoqué des dégâts dans les cultures et présentait un danger pour les automobilistes qui circulait sur la RD 962, entre Domfront en Poiraie et Ceaucé.

Des agriculteurs et des habitants s’étaient plaints. Le maire a multiplié les démarches auprès du propriétaire pour régler ce problème. Sans succès. Il a alerté les services vétérinaires de la préfecture de l’Orne. Le 20 octobre 2022, la situation s’était débloquée. Une dizaine de conseillers municipaux et bénévoles ont capturé les animaux qui ont été placés dans une ferme de la commune, lieu de dépôt désigné par arrêté municipal.

Les chèvres sont parties à bord d’un véhicule de la Fondation Brigitte Bardot. ©DR

Les chèvres sont parties à bord d’un véhicule de la Fondation Brigitte Bardot. ©DR

« Une affaire qui se termine bien pour ces animaux »

Après le départ des animaux, le maire, Serge Costard exprimait son soulagement. « Je remercie vivement la Fondation Brigitte Bardot et les gens charmants que j’ai pu avoir au téléphone et sur le terrain pour cette affaire qui se termine bien pour ces animaux, ainsi que la Direction des services vétérinaires de la préfecture ».

Sans l’apport de la fondation Brigitte Bardot, les animaux auraient finis à l’abattoir (euthanasie).

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Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot en 2 modèles réduit par rapport à celle de Saint-Tropez, hier soir au 96 rue de la Tour dans un endroit atypique que j'ai découvert avec beaucoup de curiosité, chez un encadreur, un endroit hors du temps qui passe, j'ai vraiment adoré...

Bruno Ricard

Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
Soirée de lancement de la Statue Brigitte Bardot...
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Bagllerina : et Dieu… créa la ballerine

Publié le par Ricard Bruno

Qui ? Bagllerina

Quoi ? Une ballerine pliable, déclinable, indémodable et de qualité supérieure. Chic intemporel.

 

Initiales BB. L’acronyme aux majuscules doublées, un signe de chance, désigne évidemment la grande Brigitte Bardot. Mais il pourrait tout aussi bien convenir à Bagllerina et à son objet phare, la ballerine. Cette chaussure, véritable essentiel féminin, incarne un charme assez classique, symbole d’élégance naturelle. Aux origines : le monde de la danse et même de l’opéra  – elles sont alors d’un rose timide. Dans la vie d’une femme d’aujourd’hui, elles se parent le plus souvent de noir. Chez Bardot, dans Et Dieu… créa la femme, elles arborent un rouge vif, flambant. L’objet du scandale ? La ballerine, décidément, n’est pas qu’une chaussure pour jeunes filles rangées.

Chez Bagllerina, au cœur du XIVe arrondissement de Paris, on célèbre la ballerine et on l’exporte jusqu’aux plus lointaines contrées, de la Hongrie au Japon. Christine Natkin, fondatrice de cette entreprise à taille humaine et pourtant internationale, s’emploie depuis 2011 à faire vivre sa marque, aux côtés de son mari qui lui apporte un précieux soutien.

Plus qu’une simple paire de chaussures, ces ballerines deviennent un allié pour leur aimable détentrice. C’est tout l’intérêt de la ballerine, chaussure que l’on peut enfiler et retirer à l’envie, au gré des circonstances et des besoins. Toutes les femmes le savent bien. Cette chaussure plate et pourtant charmante est une fameuse alternative aux terribles talons hauts (rarement pratiques pour flâner dans la rue, descendre à la plage ou courir entre deux rendez-vous). Les porter, c’est aussi une manière de se faire du bien !

Du fait main, gage d’une exceptionnelle qualité

Bagllerina conjugue la prestance des beaux cuirs italiens, espagnols ou marocains, avec l’argument de la praticité.

Grâce à une semelle innovante, coupée au niveau de la voûte plantaire, on peut aisément la plier en deux dans un élégant petit sac (d’où le nom de la marque : Bag…llerina). Il n’y a plus qu’à les laisser à disposition dans la boîte à gants, ou tout simplement au bout du bras, à la manière d’une pochette. Elles vous accompagnent partout. Un savoir-faire qui fait l’objet d’un dépôt à l’international.

Un considérable travail a été réalisé pour améliorer la souplesse et l’agilité de la chaussure. Une aisance qui n’est pas au détriment du raffinement. Les deux valeurs sont conjuguées. Christine Natkin a su concevoir des dizaines de modèles et de coloris, variés à la manière d’un camaïeu. De la très classique ballerine vernie de noir à de très originales déclinaisons parées de bijoux indiens, c’est du fait main. Il existe même des ballerines surmontées de légers talons, pour les clientes qui désirent ne pas trop perdre en altitude.

Brigitte Bardot adore

Dernière novation : un partenariat de prestige avec Brigitte Bardot, éternelle ambassadrice de l’art de vivre à la française. Une collection spéciale a ainsi été conçue en partenariat avec le sex-symbol des années 1960. Cause animale oblige, nul cuir, mais du raphia. De quoi donner une superbe touche estivale, authentique et bohème… La ballerine « Madrague » évoque la tranquillité de la maison du pêcheur. Ambiance coquillage & crustacés. La sandale « Flamenco » rappelle la passion de « BB » pour la musique et la danse gitane. Un pompon, original et amusant, parsème la chaussure.

Christine Natkin tient, depuis le lancement de sa marque, à souligner l’aspect voyage, synonyme d’évasion, d’une chaussure qui est partout chez elle. De l’été à l’hiver, des plages de Syracuse aux restaurants de Courchevel, la ballerine se décline. Au Normandy, à Deauville, le grand hôtel propose les chaussures à ses clientes. Un étendard du luxe. Quelle belle idée aussi, en cette saison froide, que ces ballerines rembourrées d’une douce fourrure, élégante manière d’accueillir les invités avec confort et maintien.

Christine Natkin,  le choix de l’élégance

Après une carrière dans la communication, en lien avec les nouvelles technologies (Philips, notamment) Christine Natkin fait, à l’orée des années 2010, le choix d’une reconversion dans le monde de la chaussure. Avec pour seul bagage, alors, son concept de ballerine chic et choc. Au salon Who’s Next, c’est la folie ! Les ballerines, présentées pour la première fois au public, font carton plein. Un succès qui depuis va crescendo, jusqu’à impressionner certains grands noms de la chaussure transalpine. En moyenne, on déboursera, pour chaque paire, autour de 130 euros. Un prix compétitif au regard de la qualité du produit et surtout de sa longévité. Elles sont tout bonnement inusables. Belle idée cadeau à déposer sous le sapin. Mesdemoiselles et mesdames : à vos ballerines !

Source de l'article : Cliquez ICI

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Landes. Campagne de pub anti-chasse : verdict du tribunal le 13 décembre

Publié le par Ricard Bruno

Mardi 22 novembre, la fondation Brigitte Bardot et la fédération de chasse des Landes se retrouvaient devant le tribunal de Mont-de-Marsan, cette dernière s'estimant diffamée.

Landes. Campagne de pub anti-chasse : verdict du tribunal le 13 décembre

« Chasseurs, sauvez des vies, restez chez vous« , vous avez certainement pu apercevoir cette phrase au printemps 2021 sur de larges panneaux d’affichage en bord des routes de l’hexagone et notamment dans les Landes.

 

Des affiches diffamatoires d’un coté, liberté d’expression de l’autre

Une campagne de pub menée par la fondation Brigitte Bardot, dans son combat pour la protection des animaux. Déjà relaxée trois fois devant des tribunaux, la fondation créée par l’ancienne actrice de cinéma avait cette fois rendez-vous devant le tribunal du Mont-de-Marsan, ce mardi 22 novembre. Une plainte y avait été déposée il y a deux ans par la fédération de chasse des Landes, estimant que ces affiches diffamées l’ensemble des acteurs cynégétiques du département.

« La dignité des chasseurs »

Au terme de l’audience où chaque partie a pu avancer ses arguments, « liberté d’expression » pour la fondation Brigitte Bardot et « défense de l’honneur et la dignité des chasseurs landais » pour la fédération locale, le jugement en délibéré a été mis au 13 décembre prochain.

Dans un communiqué paru quelques heures après l’audience, la Fédération de chasse des Landes s’estime dans son droit :

Si la liberté d'expression est une liberté fondamentale dans notre pays, les notions du "vivre ensemble" en sont tout autant importantes, valeurs de tolérance bien loin des buzzs médiatiques dont les ressorts sont connus. Effectivement, peu importe le résultat, la FDC40 a défendu l'honneur et la dignité des chasseurs landais.

La fédération de chasse des Landes

Rappelons qu’en mai 2021, la Fédération nationale des chasseurs (FNC) avait été débouté par le tribunal de Cambrai dans cette même affaire avant de faire appel. Quelques mois plus tard, le 21 octobre 2021, la Cour d’appel de Douai avait de nouveau donné raison à la fondation Brigitte Bardot, condamnant la FNC à verser 2000€ à la fondation.

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A Paris, des militants parodient une corrida pour demander son abolition

Publié le par Ricard Bruno

A Paris, des militants parodient une corrida pour demander son abolition
A Paris, des militants parodient une corrida pour demander son abolition
A Paris, des militants parodient une corrida pour demander son abolition
A Paris, des militants parodient une corrida pour demander son abolition
A Paris, des militants parodient une corrida pour demander son abolition

Près de 200 militants issus d'une dizaine d'associations et partis animalistes ont parodié symboliquement une corrida avec des humains à Paris samedi, pour demander l'abolition de cette pratique en France et soutenir une proposition de loi en ce sens attendue le 24 novembre.

Au cri de "corrida basta" les manifestants réunis en arc de cercle symbolisant une arène, sur la place du Châtelet, dans le centre de la capitale, ont demandé de "reléguer les arènes taurines aux oubliettes de l'histoire".

Quatre militants porteurs de cornes, accroupis tête baissée encadraient une jeune femme déguisée en torero et porteuse de vraies banderilles, utilisées pour affaiblir les taureaux avant leur mise à mort.

Critiquant les enjeux culturels ou écologiques mis en avant par les défenseurs de cette activité, permise par dérogation dans trois régions du sud de pays, les manifestants criaient "la mort n'est pas une tradition, on veut l'abolition".

"Les lois devraient être les mêmes sur tout le territoire, ce n'est pas une minorité qui doit imposer son avis a la majorité" a dit Marie-Anne Leneveu, du Comité radical anti-corrida (CRAC).

Pour Amandine Sanvisens, de l'association Paris Animaux Zoopolis, les amateurs de corridas sont "des lâches et des sadiques qui créent une confusion entre l'amour et la violence".

Les manifestants soutiennent la proposition de loi déposée par le député écologiste Aymeric Caron, affilié à la France Insoumise (gauche radicale).

Des manifestations identiques ont lieu samedi dans 40 autres villes, a rappelé M. Caron.

En parallèle, des manifestations pour dire "oui à la corrida" ont rassemblé plusieurs centaines de personnes dans plusieurs villes du sud de la France.

"Ce n'est pas la corrida qui est attaquée, c'est l'ensemble de la diversité, de la richesse culturelle de nos régions (...), c'est pourquoi il ne faut rien lâcher", a commenté le maire de Mont-de-Marsan (Landes), Charles Dayot, lors d'une manifestation qui a réuni environ 300 personnes.

"Les attaques ciblées sur la tauromachie portent aussi sur la chasse, le gavage et demain peut-être l'alcool", a fustigé de son côté Michel Baylac, président de l'Association des maires de France dans le Gers.

La proposition de loi d'Aymeric Caron, rejetée en commission parlementaire, viendra quand même le 24 novembre devant un hémicycle où le sujet divise tous les bords politiques.

Le gouvernement sera représenté aux débats par la secrétaire d'Etat en charge de la Ruralité, Dominique Faure, plutôt que le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti, passionné de corrida et donc plus clivant.

La proposition de loi a reçu le soutien de l'ancienne actrice Brigitte Bardot avec sa fondation pour la cause animale.

Source de l'article : Cliquez ici

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Brigitte Bardot : "Si la peine capitale est prononcée", la star met son grain de sel... jusqu'au Canada !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : "Si la peine capitale est prononcée", la star met son grain de sel... jusqu'au Canada !

La cause animale n'a pas de frontière pour Brigitte Bardot. Sur tous les fronts, l'actrice de 88 ans s'adresse dans une lettre ouverte à la maire d'une ville du Québec afin de dénoncer le "massacre" des cerfs.

Le 15 novembre dernier, le site de la Fondation Brigitte Bardot publiait une lettre ouverte dans laquelle l'actrice et activiste, qui a dédié sa vie à la cause animale, s'adresse sans mâcher ses mots à Catherine Fournier, Maire de Longueuil, ville de la banlieue sud de Montréal. A l'origine de cette missive ? Le projet d'abattage à l'arbalète de cerfs de Virginie présents dans le parc Michel-Chartrand, à Longueuil, qui sera voté le 25 novembre prochain par la cour d'appel. "Si la peine capitale est prononcée pour ces pauvres animaux, des équipes de chasseurs armées de leurs effroyables arbalètes investiront un lieu habituellement paisible, apprécié des familles et des touristes, et sèmeront la mort en plein cœur de votre ville", s'inquiète B.B.

 

Cette décision qui soulève la colère et l'indignation de Brigitte Bardot

Face à un problème de surpopulation de cervidés qui dure depuis plusieurs années, la ville de Longueuil a en effet souhaité autoriser la chasse à l'arbalète dans le parc Michel-Chartrand, avec l'objectif de tuer une centaine de chevreuils. Un abattage à l'arbalète qui soulève la colère et l'indignation de Brigitte Bardot. Totalement interdite en France et dans de nombreux pays, la chasse à l'arbalète est considérée comme une pratique particulièrement cruelle car elle ne garantit pas que l'animal soit tué sur le coup. "Ainsi, la quasi-totalité des ruminants, soit plus de 100 cervidés, y compris leurs petits nés au printemps, sera massacrée en plein cœur d'un magnifique environnement qui ne doit pas devenir un champ de bataille", écrit l'ex-star du Mépris.

Car selon la défenseuse des animaux, différentes solutions existent pour relocaliser et stériliser les cerfs. "Je me joins au souhait de nombreux citoyens et des associations de protection animale, comme Sauvetage Animal Rescue et la SPCA de Montréal, de laisser la vie sauve à ces animaux en apportant une solution éthique et durable au problème", ajoute la présidente de la Fondation Brigitte Bardot avant de conclure : "À l'heure où la biodiversité est plus que jamais en danger, comprenez la colère et l'indignation que soulève votre décision."

 

Brigitte Bardot a-t-elle une dent contre la Canada ?

"Ne laissez pas l'image du Canada, symbole de mon 1er combat contre la chasse aux phoques, entachée du sang de ces pauvres cervidés qui ne demandent qu'à vivre !", écrit Brigitte Bardot qui n'en n'est pas à son premier combat au Canada. Il y a 45 ans tout juste, l'icône du cinéma français âgée de 88 ans plaquait tout pour défendre la cause des bébés phoques massacrés sur la banquise pour leur fourrure par les chasseurs canadiens. 

Un combat qui restera associé dans la mémoire collective à cette fameuse photo de Brigitte Bardot, enlaçant un blanchon sur la banquise, prise par le photographe Leonard de Raemy.

Source de l'article : Cliquez ICI

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