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Tenu de n'en garder que neuf, le refuge de Condé place ses chiens

Publié le par Ricard Bruno

« Quand j'ai vu ça, ç'a été alerte rouge ! » Commerçante dans la rue Saint-Géry à Valenciennes, Anne Defrance s'est mobilisée sur-le-champ en faveur du refuge de Condé. Elle a placardé des affichettes sur sa vitrine et sa voiture. Sur son comptoir, le cahier de pétition est ouvert à la vue de tous. Pas une journée sans qu'un client n'y appose sa signature. Et les dons n'ont cessé d'affluer. Le commerce d'en face l'a rejointe dans son combat, et six cents euros ont ainsi été collectés en moins de deux semaines.

Symptomatique de l'élan de solidarité créé. Un élan qui, grâce à Internet, a vu s'élargir considérablement le champ des familles d'accueil. Longtemps rétive à laisser partir loin ses vieux chiens, Irène Maton a dû baisser la garde, sous la pression même des bénévoles qui l'entourent. On est venu en chercher de Beauvais (Oise). Une association de Meaux (Seine-et-Marne) en a pris quatre. « Nous avons eu des nouvelles et reçu des photos. Ils sont très bien », se félicite Jo. « L'objectif est bien d'arriver à euthanasie zéro », justifie cette bénévole.

Partis, les Jules, Mylord, Loulou, Valentin... dont certains pourtant affligés de handicaps qui paraissaient rédhibitoires. De sorte qu'ils ne sont plus aujourd'hui que quatorze, contre trente-sept lors du contrôle vétérinaire qui a tout déclenché. « Cette vague d'adoptions est d'autant plus remarquable que nous sommes en période estivale », observe-t-on à la Fondation Bardot. N'empêche : « Le refuge fait drôlement vide », lâche Irène Maton pour qui le départ contre son gré de vieilles bêtes reste un crève-coeur.

Quatorze... On n'est donc plus très loin du seuil requis de neuf. Suite à la menace de fermeture brutale contenue dans l'arrêté préfectoral, la Fondation Bardot, qui soutient le refuge de Condé depuis de nombreuses années, était prête à financer les aménagements exigés. Mais le débat s'est déplacé depuis lors. Les autorités ont clairement signifié leur refus de voir se pérenniser la structure. Ne rien entreprendre par conséquent qui aille en ce sens. En échange, le préfet - à qui Brigitte Bardot s'était adressée - s'est montré disposé à repousser le délai de régularisation jusqu'à septembre, le temps de placer les chiens encore excédentaires... Réaliste, la Fondation Bardot souscrit elle-même à cette démarche : « Une formidable chaîne de solidarité s'est créée, qui a permis d'éviter le pire. Nous-mêmes sommes prêts à prendre en charge certains animaux si nécessaire, expliquait hier Christophe Marie, directeur du bureau de protection animale à la Fondation. Mais les autorités devront se montrer vigilantes à l'avenir pour que n'arrivent pas de nouveaux chiens : c'est notre souhait. Tout n'est pas gagné, mais ça va dans le bon sens. Il fallait juste accorder un peu de temps : Mme Maton a subi ces dernières semaines un vrai traumatisme. » Elle n'en est pas quitte : convoquée hier au commissariat, Irène Maton, qui est dans sa 82e année, comparaîtra en novembre devant le tribunal de police pour répondre des contraventions dressées par les services vétérinaires

Source : http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Valenciennes/actualite/Valenciennes/2009/07/30/article_tenu-de-n-en-garder-que-neuf-le-refuge-d.shtml

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Viva Maria ce soir 26/07/2009 à 20H45 sur Arte

Publié le par Ricard Bruno

Durée : 115min.
Genre : Film - Comédie
Origine : Fra - Ita. 1965. Stéréo.
Réalisation : Louis Malle.
Scénario : Jean-Claude Carrière et Louis Malle
Distribution : Brigitte Bardot (Maria I), Jeanne Moreau (Maria II), George Hamilton (Flores), Gregor von Rezzori (Diogène).
Musique : Georges Delerue.

RÉSUMÉ

Fille d'un terroriste irlandais, Maria Fitzgerald O'Malley manipule depuis sa plus tendre enfance des bombes, des grenades et autres explosifs. Après la mort tragique de son père, elle se retrouve livrée à elle-même dans une colonie anglaise d'Amérique latine. Elle fait la connaissance de plusieurs membres d'une troupe de music-hall ambulant, qui lui proposent une place de duettiste «parisienne». Sa partenaire porte le même prénom qu'elle. Sous son égide, Maria découvre les charmes de l'amour et invente le strip-tease en mettant à profit un accident vestimentaire. Les pérégrinations de la troupe la conduisent dans un Etat sujet aux révolutions...

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Brigitte Bardot part en guerre contre les hélicos!

Publié le par Ricard Bruno

Déjà harcelée dans sa propriété de la Madrague par « les bateaux promenant des touristes et qui hurlent ma vie en long et en large dans un micro en six langues et vingt fois par jour », et les autres « envahisseurs en bateau, à pied, ou en voiture » faisant le siège de sa maison, Brigitte Bardot adresse une lettre ouverte - et pas piquée des vers - au préfet, au maire de Saint-Tropez et « tutti quanti » pour se plaindre d'un autre ballet tout aussi nuisible.

« Depuis une semaine à la Garrigue, écrit B.B., nous avons la valse ininterrompue d'hélicoptères qui se posent à 50 mètres de ma maison, effrayant mes animaux et provoquant une nuisance inacceptable ». La star menace « si cela ne cesse pas immédiatement » d'en « référer à un très haut niveau ». Et d'ajouter : « Je n'ai pas quitté Paris définitivement pour me retrouver à Saint-Tropez dans une annexe de Roissy ou d'Orly. Si tous les milliardaires qui polluent notre tranquillité ne peuvent se déplacer qu'en hélicoptères, qu'ils aillent atterrir à La Môle, c'est étudié pour ». Fermez le ban !

Les hélicos indésirables

L'aérodrome de La Môle est situé à seulement 18 km de Saint-Tropez, mais la circulation automobile dans le golfe et dans la presqu'île, déjà compliquée toute l'année, vire au cauchemar en été, faute notamment d'une route de contournement promise depuis des lustres. Ceux qui peuvent se payer des moyens de transport onéreux ne s'en privent pas, au mépris des autres.

Pourtant, le nombre de rotations est limité cette saison, et les hélicoptères sont sous la surveillance de quatre gendarmes de la compagnie des transports aériens de Nice, détachés à cet effet. Ils doivent veiller au respect du nouvel arrêté préfectoral qui règle les mouvements d'hélico dans la presqu'île de Saint-Tropez.

L'association « Halte Hélico », qui avait menacé l'an dernier de bloquer la cité du Bailli, a saisi la justice pour les excès constatés l'an passé (9 000 rotations entre le 15 juin et le 15 septembre pour 200 mouvements autorisés). Avec une autre association de défense de riverains, elle a poursuivi les sociétés contrevenantes, réclamant 150 000 euros de dommages et intérêts. Les jugements ont été mis en délibéré au 15 septembre prochain.V. G.

Source : http://www.varmatin.com/ra/var/203116/var-brigitte-bardot-part-en-guerre-contre-les-helicos

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Brigitte Bardot : «Une admiration sans bornes pour ces astronautes»

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : «Une admiration sans bornes pour ces astronautes»

Je tournais en Normandie L'Ours et la Poupée avec Cassel. En regardant en direct ces premiers pas, j'ai eu une impression difficile à décrire, une émotion mêlée d'incrédulité. C'était comme un film de fiction. Pourtant je vivais bien un moment unique, extraordinaire. Je trouve que ces héros planétaires n'ont pas eu les hommages grandioses qui auraient dû leur être rendus ! On parle plus de la mort de Michael Jackson que de ces trois hommes uniques, fantastiques et courageux qui ont foulé pour la première fois au monde le sol lunaire. Moi, je leur voue une admiration sans bornes.

Source : http://xavier.blogspirit.com/archive/2009/07/19/21-juillet-1969-nuit-historique.html

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Brigitte Bardot et sa Fondation félicitent Carla Bruni pour sa position sans équivoque sur la fourrure !

Publié le par Ricard Bruno

Fourrure : Bardot Bruni, même combat ! (Brigitte+ Bruni= BB!)

Suite à une lettre de PETA adressée à Carla Bruni l’interrogeant sur le port de la fourrure, celle-ci a déclaré avoir effectivement porté de la vraie fourrure à une époque mais ne plus en porter à présent et cela depuis plusieurs années.

« Je ne porte, n'achète, ni ne possède de fourrure... Tous les designers qui me prêtent gracieusement des vêtements pour mes apparitions publiques pourront vous confirmer que je n'accepte pas la moindre pièce de fourrure sur mes tenues. » a déclaré Carla Bruni-Sarkozy.

Compte tenu de l’écho qu’une telle prise de position peut avoir en France et dans le monde entier, la Fondation Brigitte Bardot tient à remercier sincèrement Carla Bruni et la féliciter ! D’autant que ce genre de déclaration de la part d’une grande figure de la mode et, qui plus est, personnage politique impliqué est assez rare pour être souligné !

En effet, dans le monde de la mode, peu de mannequins résistent comme Carla Bruni à l’appel des sirènes et acceptent de porter de la fourrure véritable de grands couturiers. Pire encore, certains mannequins qui se sont affichés contre la fourrure à une époque ou c’était plutôt tendance d’être contre la fourrure, semblent avoir perdu la mémoire, et ont retourné leur veste pour de nouveau porter de vraies peaux d’animaux faisant fi de la souffrance animale.

Brigitte Bardot a tenu également à adresser personnellement ses félicitations à Carla Bruni-Sarkozy. Connaissant la position de Nicolas Sarkozy sur la Corrida, Brigitte Bardot en a profité pour lui demander d’intervenir auprès de son mari afin de lui ouvrir les yeux quant à l’abomination que peut représenter ce genre de spectacle qui fait honte à la France.


Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40195

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En 1969, Gainsbourg va et vient entre ses reins...

Publié le par Ricard Bruno

Cette année-là, l’homme à tête de chou fait scandale avec «Je t’aime... moi non plus».



Serge et Jane. C’est sur le tournage de «Slogan» que débute la love story entre le vieux bougon et la poupée anglaise.

Le tube de l’année 1969 a été écrit en… 1967! Le temps, pour Serge Gainsbourg, de glisser des bras de Brigitte ­Bardot dans ceux de Jane ­Birkin.

C’est en effet pour BB, alors au sommet de sa gloire, que l’homme à la tête de chou a composé «la plus belle chanson d’amour qu’il puisse imaginer», comme lui avait réclamé sa muse. Pour le titre, il se serait inspiré d’un trait d’esprit de Salvador Dali: «Picasso est espagnol, moi aussi. Picasso est un génie, moi aussi. Picasso est communiste, moi non plus.»

Dans une interview accordée à Denise Glaser en 1971, Serge Gainsbourg fournit une explication un peu différente: «Pourquoi Je t’aime... moi non plus? Parce que je suis trop pudique pour dire moi aussi.»

Interdit d’antenne

Pudique, sans doute, mais pas autant que Brigitte Bardot. Alors mariée à l’ombrageux milliardaire allemand Gunther Sachs, elle prie son amant de ne pas publier l’enregistrement. Gainsbourg obtempère et range la chanson dans sa culotte en se jurant de «ne jamais la réenregistrer» (la version originale sortira toutefois en 1986).

On le sait, il ne faut jamais dire jamais. Un an après son idylle avec Bardot, le compositeur croise les longues jambes de Jane Birkin sur le tournage de Slogan. Elle a 22 ans, il en a 40. Elle le trouve drôle, il la trouve charmante. Pour la séduire, il lui propose un album, qui comprend évidemment Je t’aime... moi non plus.

Dans un premier temps, la chanson choque la jeune Anglaise. A cause des paroles? «Je vais et je viens/Entre tes reins/Et je me retiens.» Non, Jane ne capte pour ainsi dire pas un mot de français à l’époque. «Ce qui m’a choqué, c’était les respirations», expliquera-t-elle plus tard. «Parce que je ne comprenais pas les paroles. Alors, j’ai rougi complètement et je comprends les gens qui ont été choqués.»

C’est peu dire. Hors les murs des clubs, le scandale est énorme. «La maison de disques a décidé de changer de label tellement ils avaient honte!» se souviendra Serge Gainsbourg trois ans plus tard. Sur les radios françaises, le titre est proscrit avant 23 heures. En Espagne, en Suède et en Italie – sur ordre du Vatican –, il est carrément interdit. Pareil à la BBC en Angleterre, où Je t’aime... moi non plus va pourtant devenir la première chanson française à grimper en tête du hit-parade. Dans toute l’Europe, on s’échange le disque dissimulé sous une pochette de… Maria Callas!

«Je comptais en vendre 25 000, et j’ai dû en vendre 3,5 à 4 millions», dira encore l’artiste. «Après, je suis passé à la caisse. Cette chanson a fait ma fortune. Ce n’était pas provoqué.» Pour son auteur, ce n’est pas le scandale qui a assuré le triomphe du titre. C’est Jane. «Nous avons gardé la tonalité du do majeur et elle a pris l’octave au-dessus. C’est ça qui a lancé le disque. Je ne suis pas sûr que l’original aurait connu une carrière internationale.»

Depuis, nombre d’artistes ont repris Je t’aime... moi non plus. Preuve de sa notoriété: l’expression est devenue d’usage courant, notamment dans les articles politiques.


Source : http://www.tdg.ch/actu/divers/1969-gainsbourg-va-vient-reins-2009-07-12

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Saint-Tropez...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot racontée...



Brigitte Bardot.. Un destin exceptionnel raconté ce soir par le journaliste écrivain Henry-Jean Servat...

Journaliste, écrivain, Henry-Jean Servat consacre, depuis mardi, une série de conférences sur les femmes mythiques. Ces rendez-vous entre amis, mis en lumière avec finesse au Mas de Chastelas, ont permis au public de découvrir les vies mouvementées de Greta Garbo, Marlène Dietrich, puis tout récemment de Maria Callas, héroïne dans les années 1960 d'un véritable soap opéra médiatique.

Ce soir, à 20 h, Henry-Jean Servat convie son public à une autre soirée passionnante et particulière. Il parlera avec sensibilité et justesse de son amie Brigitte Bardot. "BB", dont le nom est intimement lié à Saint-Tropez. « Elle a passé toute son enfance dans ce village. Ses parents avaient une maison rue de la Miséricorde. Lorsqu'elle était en vacances, la famille descendait par le train bleu. Arrivés à Saint-Tropez après une nuit de voyage, ils allaient tout d'abord se reposer à l'hôtel de la Ponche, chez Simone Duckstein ».

De son enfance dans la presqu'île, le journaliste romancier évoquera les années d'adolescence de Brigitte, puis ses débuts au cinéma avec « Et Dieu créa la femme ».

Sans oublier La Madrague.

Engagement en faveur de la cause animale

« C'est sa mère qui a découvert la Madrague, confie Henry-Jean. En 1958, en plein tournage du film « La femme et le pantin », Brigitte est arrivée un dimanche à Saint-Tropez pour l'acheter. Le notaire avait gardé son étude ouverte pour lui faire signer l'acte de vente ».

Bardot à Saint-Tropez c'est l'image du paradis, de la fête, du bonheur, de la grâce absolue. C'est aussi l'image de l'engagement en faveur de la cause animale.

« Eblouissement de beauté et de compassion...»

« A 24 ans, avec courage, Brigitte Bardot a participé à l'émission à " Cinq colonnes à la une ", et s'est engagée en faveur de la protection des animaux. Éblouissement de beauté et de compassion, Brigitte a épuisé toutes les beautés de la terre. C'est une personne délicate, qui vit désormais pour ses animaux et pour sa fondation internationale. J'ai aussi une admiration pour la trajectoire qu'elle a donnée à sa vie », souligne le journaliste romancier.

Commissaire d'une grande exposition inédite sur Brigitte Bardot, qui sera inaugurée fin septembre à Boulogne-Billancourt, Henry-Jean Servat a, ce soir, convié de nombreuses personnes.

Il ouvre donc avec plaisir les portes du Mas de Chastelas pour recevoir tous les amis de Brigitte Bardot qui souhaitent participer à cette conférence exceptionnelle.

Il y risque d'y avoir beaucoup de monde !

Source : http://www.varmatin.com/ra/culture/200308/saint-tropez-henry-jean-servat-raconte-bardot

Publié dans le web en parle

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Brigitte Bardot dans Philosophie magazine de cet été !

Publié le par Ricard Bruno

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Emission : un jour, un destin le 04 07 2009 sur France2

Publié le par Ricard Bruno

Pour tout ceux qui n'on jamais vu cette émission de 2006 une redifusion à lieu ce samedi sur France2 à 13h25.

Pour ceux qui partent en vacances RDV en septembre pour l'exposition Brigitte Bardot "Les années insouciance", soyez prudent sur les routes, bonnes vacances à tous!


Bruno Ricard
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