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justice pour les animaux

Tomi Tomek publie les photos choc d’un chien affamé

Publié le par Ricard Bruno

La fondatrice de «SOS Chats» ne lâche rien dans son combat pour les animaux de compagnie éliminés à Dubaï en prévision de l’Exposition universelle.

Tomi Tomek publie les photos choc d’un chien affamé
Tomi Tomek publie les photos choc d’un chien affamé
Tomi Tomek publie les photos choc d’un chien affamé
Tomi Tomek publie les photos choc d’un chien affamé
Tomi Tomek publie les photos choc d’un chien affamé

Dans son refuge de Noiraigue (NE), Tomi Tomek est partie en croisade pour sauver les chats et les chiens exterminés à Dubaï avant l’Exposition universelle programmée à partir du 1er octobre prochain. Son combat est mené à distance, main dans la main avec Brigitte Bardot et avec le soutien de Michel Drucker, animateur de «Vivement Dimanche» sur «France 2».

 

À Dubaï, selon les défenseurs des animaux, les chats sont assoiffés et affamés. «L’interdiction de nourrir les chats vivant en colonies et leur capture systématique, pour les abandonner dans le désert ou dans des zones inhospitalières, est scandaleuse», martèle Tomi Tomek. Depuis ce coup de gueule, plusieurs images accréditent cette thèse.

Auteurs menacés

Une pétition en ligne a récolté 74 000 signatures sous l’intitulé à «Arrêter d’abandonner et laisser mourir de soif et de faim les chats (chiens) de Dubaï dans le désert». Les signataires de la lettre qui sera adressée au directeur de la Municipalité de Dubaï Hashim Al Awadhi lui demandent de renoncer à son programme d’extermination des chats «abandonnés, libres et errants».

La pétition de «SOS Chats» est illustrée par des images prises sur place par des défenseurs des animaux souhaitant préserver leur anonymat. Tomi Tomek se porte garante de leur véracité, sans dévoiler leurs auteurs qu’elle sait menacés. Ainsi, les photos d’un chien squelettique ont-elles été dévoilées, puis celles de pièges posés par la Municipalité.

Un piège posé en toute discrétion.

…qui porte la signature de la Municipalité de Dubaï.

Un piège posé en toute discrétion.

«Nous avons reçu des photos comme preuve de l’implication de la Municipalité de Dubaï dans la pose de cages-pièges et l’abandon de chats et de chiens dans le désert», a fait savoir Tomi Tomek aux autorités fédérales.

«Jusqu’à maintenant. le directeur de la Municipalité de Dubaï et le Sheikh Maktoum ont refusé nos courriers inscrits et n’ont pas répondu à nos e-mails», indique Tomi Tomek. Ses informations ont par contre été transmises au Secrétariat d’État à l’ambassade de Suisse à Abu Dhabi.

L’ambassadeur a été prié d’aborder la question et de «souligner l’engagement de la Suisse en faveur du bien-être des animaux lors d’une prochaine réunion avec les autorités de l’Expo». Résultat: l’ambassade s’est engagée en faveur du bien-être animal aux Émirats arabes unis.

 
Grand hôpital

L’ambassadeur a visité l’Abu Dhabi Falcon Hospital, financée par les autorités. «En plus d’être un établissement spécialisé pour les faucons, il dispose également d’un grand hôpital bien équipé pour les petits animaux et d’un refuge pour animaux, où l’on trouve notamment une salle pour les chats», a-t-il rapporté.

 

Visiblement, l’ambassadeur a eu une «très bonne impression de l’installation». Il peut confirmer que «l’Émirat d’Abu Dhabi se préoccupe de manière crédible du bien-être des animaux abandonnés». Vu de Noiraigue, au refuge «SOS Chats», «il essaye au moins de prendre la protection animale européenne et suisse en exemple pour un changement positif en faveur des animaux».

Par contre, à Dubaï, la situation est «quelque peu différente»: «Bien que certaines organisations privées s’occupent du problème, il n’existe pas de centre de coordination». Raison pour laquelle l’ambassadeur suisse a plaidé pour que l’aide aux animaux abandonnés soit étendue à l’échelle nationale.

Journée mondiale

Le consul général de Suisse à Dubaï prévoit un événement de sensibilisation avec la visite d’un refuge pour animaux à Dubaï, qui sera partagé sur les médias sociaux lors de la Journée mondiale des animaux, le 4 octobre. Cette action sera planifiée avec la fondation «SOS Chats» le 9 août prochain, Tomi Tomek ayant mis son réseau à disposition.

Il existe un guide détaillé pour les personnes qui souhaitent aider les chats de Dubaï. Selon les informations du Département fédéral des affaires étrangères, des chats adoptés à Dubaï sont envoyés en Suisse par avion «presque tous les jours». Conclusion de Tomi Tomek: «Même si le combat à Dubaï est celui de David contre Goliath, les choses commencent enfin à bouger».

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Une tribune contre la corrida signée par quatre députés des Bouches-du-Rhône et du Var

Publié le par Ricard Bruno

Une trentaine de députés et de sénateurs signent une tribune à charge contre la corrida dans le JDD, ce dimanche. Ils demandent l'interdiction de la tauromachie. Parmi les signataires, on retrouve quatre députés des Bouches-du-Rhône et du Var.

Une tribune contre la corrida signée par quatre députés des Bouches-du-Rhône et du Var

Députés et sénateurs s'allient contre la corrida. Ils sont 35 à signer une tribune publiée dans le JDD, ce dimanche. Beaucoup d'élus La République en Marche, MoDem, Les Républicains et Agir. On retrouve notamment les députés MoDem Mohamed Laqhila (Bouches-du-Rhône) et Philippe Michel-Kleisbauer (Var), la députée LREM Anne-Laurence Petel (Bouches-du-Rhône) et le député LR Eric Diard (Var).

Ce texte fait suite à la diffusion d'une vidéo par la Fondation Brigitte Bardot d’une corrida organisée le 14 juillet dans le Gard (voir ci-dessous). Elle montre la mise à mort de deux veaux et quatre taureaux. La fondation a également lancée une campagne d'affichage, notamment dans les Landes.

 

Ils demandent l'interdiction totale de la corrida

"La corrida est une pratique barbare et n’est pas digne du pays civilisé dont nous sommes les élus",  explique les élus dans leur tribune. Ils citent un sondage de 2019 qui montre que 82% des Français estimaient que "tout acte de cruauté commis envers un animal devait être condamné sur l’ensemble du territoire français, sans dérogation pour la corrida".

Les élus signataires demandent l'abrogation de l’alinéa 7 de l’article 521-1 du Code pénal. Ce texte exclut la corrida des actes de cruauté envers les animaux. Ces élus et sénateurs veulent donc tout simplement l'interdiction de la corrida et autres spectacles montrant des "tortures animales", sans exception.

Source de l'article : Cliquez ICI

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"SPECTACLE GARANTI AVEC SOUFFRANCE ANIMALE": LA FONDATION BARDOT EN CAMPAGNE CONTRE LA CORRIDA

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot et sa fondation vont déployer près d'un millier d'affiches pour dénoncer le régime dont bénéficient les organisateurs de corrida en France.
 

La Fondation Brigitte Bardot lance cette semaine une vaste campagne d'affichage pour dénoncer la pratique de la corrida, toujours autorisée dans plusieurs villes de France. 969 panneaux seront répartis du 26 juillet au 29 août dans les principales communes perpétuant cette tradition locale décriée. Une campagne menée en réaction à la diffusion d'images datant du 14 juillet d'une corrida près de Nîmes (Gard) au cours de laquelle plusieurs bovins ont été mis à mort.

"Cela fait presque 50 ans que je lutte contre toutes ces barbaries et les conséquences ridicules d'un spectacle de la mort et de la souffrance d'un animal qui ne devrait pas avoir lieu", explique auprès de BFMTV l'ancienne actrice Brigitte Bardot, créatrice de la fondation éponyme.

L'article L521-1 énonce que le fait de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende. Mais l'alinéa 7 de ce même article prévoit que ces dispositions "ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée".

"Sur le thème de la corrida, rien ne bouge"

Béziers, Perpignan, Arles, Bayonne... Des villes où la pratique de la tauromachie est ancestrale bénéficient donc de cette exception culturelle et la perpétuent année après année.

"Notre rapport à l'animal évolue énormément, l'attente sociétale est forte, les politiques commencent à s'en rendre compte, mais sur le thème de la corrida rien ne bouge parce qu'on ne veut pas contrarier une tradition locale qui est implantée et défendue par quelques élus", avance Christophe Marie, directeur du pôle de protection animale pour la Fondation Bardot. "On ne peut pas fermer les yeux sur une pratique cruelle simplement parce qu'elle est justifiée par la tradition."

Selon un sondage réalisé par l'institut Ifop pour la Fondation Brigitte Bardot et publié en octobre 2019, 82% des personnes interrogées estimaient que tout acte de cruauté commis envers un animal devait être condamné sur l’ensemble du territoire français, sans dérogation pour la corrida.

Source de l'article : Cliquez ICI

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L’éleveur de bovins de Harcigny lourdement condamné

Publié le par Ricard Bruno

L’éleveur de Harcigny a été condamné pour détention de cadavres et mauvais traitements de ses animaux.

 

Selon la décision du tribunal, Christophe Péry peut continuer à élever des ovins mais pas de bovins et ce, pendant un an.

Selon la décision du tribunal, Christophe Péry peut continuer à élever des ovins mais pas de bovins et ce, pendant un an.

L’homme était habitué aux récompenses, celles qu’il recevait notamment au salon de l’Agriculture pour la qualité de son élevage de moutons. Cette fois, c’est une sanction qu’il reçoit et pas des moindres puisqu’elle va mettre un pan de sa vie professionnelle entre parenthèses pendant un certain temps.

Installé à Harcigny, l’éleveur était poursuivi pour détention de dizaines de cadavres d’ovins et de bovins, des faits constatés à plusieurs reprises par les services vétérinaires entre le mois de novembre 2020 et le mois de mars dernier. Ils étaient en état de décomposition plus ou moins avancée dans des pâtures, des bâtiments, d’autres étaient recouverts de lisier dans leur box. Pour expliquer cette situation, lors de l’audience qui s’est tenue il y a quelques semaines devant le tribunal correctionnel de Laon, le prévenu avait mis en avant un conflit avec l’administration, confiant qu’il était « le plus malheureux dans cette histoire ». Il était également mis en cause pour mauvais traitements et abandon de ses animaux, des faits qu’il contestait vigoureusement.

Le tribunal, qui avait mis son jugement en délibéré en raison de la complexité du dossier, a rendu sa décision ce mercredi.

 

Le Thiérachien a été reconnu coupable de l’ensemble des faits qui lui étaient reprochés. En conséquence, il est condamné à une amende de 3 000 euros dont 1 000 euros avec sursis pour la détention de cadavres et leur non-remise au service d’équarrissage ainsi qu’à six mois d’emprisonnement avec sursis pour l’abandon et les mauvais traitements envers ses animaux.

 

Il a également l’interdiction d’exercer l’activité professionnelle d’éleveur de bovins, de gérer une exploitation de bovins destinés à l’abattage ou une exploitation laitière et de détenir un animal de race bovine pendant un an. Le tribunal a également ordonné la confiscation des animaux saisis par les services vétérinaires lors de leur dernière visite sur l’exploitation : ils seront remis de manière définitive à la fondation Brigitte-Bardot à qui il devra également verser la somme de 8 850 euros correspondant aux frais de garde de ces bovins depuis leur saisie.

Enfin, à la même fondation, l’éleveur est condamné à verser la somme de 1 000 euros en réparation du préjudice subi, tenant à la protection des animaux.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Évreux : le procès du berger de Ménilles reporté

Publié le par Ricard Bruno

Le procès du berger de Ménilles poursuivi pour mauvais traitements envers un animal et abattage illicite a été renvoyé, le prévenu expliquant n’avoir pas eu le temps de préparer sa défense.

L’homme est poursuivi pour mauvais traitements et abattage illégal d’animal

L’homme est poursuivi pour mauvais traitements et abattage illégal d’animal

Berger à Ménilles, le prévenu était poursuivi par le tribunal d’Évreux pour un abattage illicite d’animal le 20 décembre 2020 et pour mauvais traitements envers un animal commis sur la période du 28 avril 2021 au 6 juin 2021. Sur le banc des victimes jeudi, la Fondation Brigitte Bardot et le maire de Ménilles. Ce dernier a signalé avoir déposé plainte mardi pour un nouvel incident impliquant un mouton du quadragénaire.

 Le procès aura lieu en fin d’année

Face à la cour, le prévenu a signalé qu’il n’avait pu louer les services de son avocat habituel. Seul, il a alors argué d’un manque de temps pour préparer sa défense (45 jours), et a demandé le renvoi de son procès. Une demande acceptée par le tribunal. La nouvelle audience aura lieu le 9 décembre.

L’homme n’est pas inconnu de la justice. En début d’année, il avait été condamné à un an de prison dont six mois ferme pour des faits de violence sur ses six enfants.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Marseille : Le gérant d'un abattoir clandestin de moutons interpellé

Publié le par Ricard Bruno

Un mouton. (Illustration)

Un mouton. (Illustration)

Ce jeudi, vers 13 heures, les policiers ont procédé à la saisie de 101 moutons dans un abattoir ​clandestin situé aux portes de Marseille, a appris 20 Minutes auprès de la préfecture de police des Bouches-du-Rhône. Le site situé à proximité de la zone commerciale de Plan de Campagne, sur la commune des Pennes-Mirabeau, « était déjà sous surveillance depuis quelque temps », précise cette même source.

Cette saisie intervient à quelques jours de l’Aïd-el-Kébir, importante fête musulmane. Le gérant de cet abattoir a été interpellé. « Il ne respectait pas du tout les règles d’abattage, indique la préfecture de police. Seuls certains centres sont autorisés à le faire dans le département. » Les moutons ont été confiés à la fondation Brigitte Bardot, connue pour ses actions envers la protection des animaux.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Brigitte Bardot : Requiem pour les animaux !

Publié le par Ricard Bruno

Que te dire Brigitte, que tu as entièrement raison, tes colères et ton indignation sont pures et nobles, les politiques se foutent éperdument des animaux et de ceux qui les défendent, mais sache une chose que tu n'es pas seule dans ce combat que beaucoup méprise, mais les amis des animaux sont tous avec toi et ta fondation.

Bruno Ricard  

Brigitte Bardot : Requiem pour les animaux !
Brigitte Bardot : Requiem pour les animaux !
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Le Conseil d'État interdit le piégeage du putois, une espèce menacée

Publié le par Ricard Bruno

Le Conseil d'État interdit le piégeage du putois, une espèce menacée

Victoire partielle pour France Nature Environnement et Humanité et Biodiversité : le Conseil d’État vient de rendre sa décision sur l’arrêté de classement des espèces « susceptibles d’occasionner des dégâts », contre lequel les deux associations avaient déposé un recours commun. L’arrêté, considéré comme abusif, est ainsi annulé pour le putois, un mammifère menacé qui est encore détruit par piégeage. La décision du Conseil d’État devrait inciter le ministère de la transition écologique à prendre enfin des mesures fortes de protection pour cette espèce en déclin.

Cet arrêté, pris en 2019 par le ministre de la transition écologique, concerne une dizaine d’espèces (mammifères et oiseaux) et autorise leur destruction par piégeage ou par tir dans certains départements. Le Conseil d’État a jugé que ce classement n’était pas toujours justifié et il a annulé l’arrêté en ce qui concerne le putois dans le Pas-de-Calais et la Loire-Atlantique, la martre dans l’Ain, la Moselle et les Hautes-Pyrénées, la pie dans le Loiret et le Val-d’Oise, l’étourneau dans le Val-de-Marne et le renard dans les Yvelines, l’Essonne, les Vosges et le Val d’Oise.

La décision du Conseil d’État est applicable dès sa publication : ces espèces ne peuvent donc plus être piégées ni détruites dans ces départements, sans nécessiter de modification de l’arrêté ministériel.

Le putois, un petit mammifère menacé qui mérite le statut d’espèce protégée

En raison de la forte diminution de ses populations, le putois est classé sur la Liste Rouge française des mammifères menacés. Malgré cela, le ministère de la transition écologique s’obstinait à autoriser sa destruction par tir et par piégeage dans deux départements, causant ainsi la mort de plusieurs milliers de ces animaux. Le Conseil d’Etat vient de mettre fin à cette situation en rappelant à l’État ses devoirs de préservation des espèces en danger.

France Nature Environnement et Humanité et Biodiversité se félicitent de cette décision et appellent la ministre à prendre rapidement des mesures de protection pour cette espèce. En effet, le putois est aussi menacé par la disparition de son habitat (les zones humides), par les collisions routières et par la chasse. Il est urgent de donner au putois le statut d’espèce protégée, comme dans les pays voisins, et de reconnaître son rôle positif, en tant que régulateur des petits rongeurs, dans les écosystèmes naturels.

Consulter la campagne visant à protéger légalement le putois sur www.sauvonslesputois.fr

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« Allez vous faire voir ! " : Brigitte Bardot mitraille le gouvernement

Publié le par Ricard Bruno

Tant d'années de lutte pour la cause animale, tant de personnes rencontrées, tant de politiques qui n'en foutent pas une, Brigitte a bien raison d'envoyer balader ce gouvernement de "Branque" elle est dépitée devant l'inaction de ce gouvernement et de ceux précédent également, il ne se passe rien, un constat "hallucinant et monstrueux", a estimé Brigitte dans une tribune publiée sur Twitter, le mercredi 7 juillet.

Bruno Ricard 

"J'en ai marre, j'en ai ma claque !" Dans une tribune publiée sur Twitter, ce mercredi 7 juillet, Brigitte Bardot n'y est pas allée pas par quatre chemins. Pour l'ex-actrice de 86 ans, le gouvernement n'œuvre pas suffisamment pour défendre le bien-être animal. Depuis l'arrêt de sa carrière au cinéma, "BB" s'est engagée pour la défense du monde animal, une mission qui lui a valu plusieurs procès pour injure publique. Après 48 ans de militantisme, la coupe est pleine. "Allez vous faire voir !", a lancé la présidente de la Fondation Brigitte Bardot, excédée par ce constat "hallucinant et monstrueux".

A travers un long texte intitulé Requiem pour les animaux, Brigitte Bardot s'en est prise aux actions du gouvernement sur ce sujet. "Je veux obtenir à n'importe quel prix une prise de conscience des atrocités, des cruautés, de tortures et des souffrances que les animaux subissent chaque jour en France dans une indifférence générale", a tancé la défenseuse des animaux. Des propos au vitriol dans lesquels elle évoque "les sacrifices rituels imposés par l'Islam". A plusieurs reprises, la principale intéressée s'est vivement opposée à la religion musulmane, notamment à "l'immonde" fête de l'Aïd el-Kébir, qui donne lieu à des sacrifices de moutons. "La France n’est pas une banlieue de Bab El-Oued et nous sommes en opposition totale avec la souffrance atroce que cette tradition barbare impose à nos moutons", avait-elle ajouté à l'occasion d'une lettre également publiée sur Twitter, en juillet 2020.

 « Allez vous faire voir ! " : Brigitte Bardot mitraille le gouvernement
 « Allez vous faire voir ! " : Brigitte Bardot mitraille le gouvernement

Une lourde condamnation pour injure publique

Parmi les cibles de Brigitte Bardot, on retrouve la fédération nationale des chasseurs. A commencer par son patron, Willy Schraen : ce dernier a porté plainte contre la passionaria des animaux pour injure publique, après des propos virulents publiés en 2019 sur le site de sa fondation. "Sous-hommes", "tronches d'ivrognes", "ce prédateur au gros visage plein de suffisance" figuraient parmi les insultes proférées dans son édito. Fin juin dernier, la star de Et Dieu… créa la femme a été condamnée à une amende de 5 000 euros et 1 000 euros de dommages et intérêts à verser au plaignant.

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