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nouvelles de la fondation

Abattage des animaux… la France va-t-elle abandonner l’étourdissement préalable ?

Publié le par Ricard Bruno


80% des moutons abattus en France le sont sans étourdissement préalable* dans l’ignorance du consommateur qui achète, sans le savoir, une viande issue d’animaux abattus en toute conscience et dans la souffrance.

En effet, dans les rites musulmans et israélites, une grande partie de l’animal ne peut être consommée car elle n’est ni « halal » ni « casher ». Après inspection par les sacrificateurs, des carcasses entières sont refusées et tous ces produits issus de l’abattage rituel (sans étourdissement préalable) se retrouvent dans le circuit classique sans aucune indication pour le consommateur.

La généralisation de l’abattage rituel est une tromperie du consommateur et un détournement de la réglementation.

L’exception prévue (dans les textes nationaux et européens) à l’obligation de l’étourdissement préalable des animaux ne peut être justifiée ici. En effet, peut-on parler d’abattage « rituel » (qui répond à des préceptes religieux) pour une viande destinée à l’ensemble des citoyens ? De toute évidence non.

Pour les bovins, la proportion d’animaux abattus en France sans étourdissement serait de 20%*... Une proportion insupportable quand on sait que ces animaux agonisent pendant de longues minutes et qu’ils sont, pour répondre aux cadences d’abattage toujours plus élevées, parfois suspendus encore conscients (ce que la réglementation interdit).

Le consommateur a-t-il le droit de savoir ?

Lors des rencontres « Animal et Société », la Fondation Brigitte Bardot a demandé la mise en place d’un étiquetage précisant les conditions d’abattage des animaux. La Fédération Nationale de l’Industrie et des Commerces en Gros des Viandes s’y est formellement opposée, non pas sur des critères religieux mais purement économiques. C’est pourtant l’une des mesures qui doit émerger de ces rencontres et nous y veillerons.

Pour la Fédération des Vétérinaires d’Europe, l’abattage des animaux sans étourdissement préalable est inacceptable en toute circonstance. Cette position est partagée par la Fondation Brigitte Bardot qui demande, avec le soutien de représentants du culte musulman, de rendre obligatoire l’étourdissement des animaux lors d’un abattage rituel.

« Les consommateurs doivent savoir qu’en France 80% des moutons sont égorgés en toute conscience. C’est inacceptable car « l’exception » devient la règle générale et s’étend à d’autres pays comme en Belgique où… 100% des ovins et caprins sont tués sans étourdissement préalable ! Les autorités le savent très bien mais elles préfèrent fermer les yeux plutôt qu’imposer un étiquetage précisant les conditions d’abattage. Le consommateur est trompé et la réglementation détournée, si le gouvernement français ne répond pas à notre demande, alors la Fondation Brigitte Bardot saisira la Commission européenne ».

* Rapport du COPERCI (comité permanent de coordination des inspections) « Enquête sur le champ du Halal ».

Source : http://www.lemague.net/dyn/spip.php?article4875

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Rencontres « Animal et Société »

Publié le par Ricard Bruno

Parmi les propositions qui devraient ressortir des travaux menés actuellement au sein des rencontres « Animal et Société » : le lancement d’une étude nationale visant à évaluer le « danger représenté par les spectacles taurins sur les mineurs ».

Pour la Fondation Brigitte Bardot, cette mesure est anecdotique :

« L’étude envisagée doit porter sur le traumatisme engendré par la corrida sur les jeunes. C’est stupide car le problème n’est pas là. La perversité des jeux taurins est de laisser penser qu’au nom de la tradition on peut, impunément, torturer à mort un animal. C’est absolument inacceptable et indéfendable sur le plan éthique. Le torero est présenté comme un héros, un modèle, alors qu’il ne fait que massacrer un animal dans les pires conditions qui soient ».

Dans la réglementation française, les courses de taureaux (corridas) et combats de coqs relèvent des sévices graves tout en bénéficiant d’une exception lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Cette exception est condamnée par la Fondation Brigitte Bardot pour qui « tout acte de cruauté avéré, caractérisé, doit être sanctionné ».

« Il n’y a pas d’autre alternative que demander l’interdiction pure et simple de ces jeux du cirque car c’est un principe moral de l’homme que d’évoluer vers une société plus juste où la barbarie, qu’elle soit exercée sur l’homme ou l’animal, n’aura plus sa place ».

La Fondation Brigitte Bardot participe également aux rencontres « Animal et Société » sur les thèmes : abattage rituel, transport et élevage, animaux de cirque, régime juridique de l’animal, expérimentation animale


Source : http://www.lemague.net/dyn/spip.php?article4818
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Info journal de la fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

                                                Info journal de la fondation Brigitte Bardot
Parution de l'info journal n°64 et de l'info journal junior n°14 du 1er trimestre 2008
 













Nouvelle parution d'avril 2008 sur Paris Ouest de la revue "Temps Libre " avec en couverture Brigitte Bardot, article intérieur et article sur la fondation, vous pouvez vous le procurer à : http://cgi.ebay.fr/Rare-revue-Temps-Libre-Brigitte-Bardot-en-cover_W0QQitemZ320240787789QQihZ011QQcategoryZ87219QQssPageNameZWDVWQQrdZ1QQcmdZViewItem

Vous pouvez également allez chiner dans ma boutique des objets sur la divine Brigitte Bardot à : http://stores.ebay.fr/discorama-92_Brigitte-Bardot_W0QQcolZ4QQdirZ1QQfsubZ15491006QQftidZ2QQtZkm
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Une jument retrouvée dépecée ! une ignominie, une horreur!

Publié le par Ricard Bruno

Une jument retrouvée dépecée : en pleine campagne contre l’hippophagie la Fondation Brigitte Bardot s'insurge contre cette barbarie à ciel ouvert !

A Taissy (51), le propriétaire de la belle Quamille, une jument de 4 ans et demi, de race Haflinger, a fait une découverte macabre et traumatisante.

 

















Quamille à gauche sur l'image et Quannelle en juillet 2007.

 

Lorsque ce Meneur Accompagnateur en Tourisme Equestre, arrive à sa pâture comme chaque jour où ils retrouvent ses 4 chevaux, il ne voit pas Quamille... Il ouvre la porte grillagée... s'avance… distingue une forme à environ 30 mètres plus loin… prend peur…. Continue et découvre sa jument, allongée dans le chemin avec une trace de sang près de sa tête.

Quamille qui était douce, câline, gourmande, et faisait tant confiance à l'homme, est là, découpée sur place, dépecée, gisant dans la boue et le sang, les yeux encore ouverts.

Des fous sont venus la tuer dans la nuit de dimanche à lundi (nuit du 30 au 31 mars 2008), la découper en morceau et sont repartis avec la viande fraiche. Ces derniers ont semble t'il prémédité leur coup et la façon dont a été découpé la jument laisserait à penser que ces bourreaux sont expertes en découpage de viande et que ce n'est pas l'œuvre d'amateurs ! En effet tout ce qui est consommable a été emporté et les lignes de coupe sont nettes et précises.

D'après le rapport du vétérinaire, l'animal serait tombé sous le coup de feu mais n'en serait pas morte. Elle aurait alors été sonnée et serait tombée inconsciente. La mort serait survenue par hémorragie et c'est probablement pendant ce temps que ces bouchers (le terme est bien approprié) l'auraient tranquillement découpée.

Le propriétaire qui a porté plainte, pleure aujourd'hui sa jument et reste choqué (certainement à vie) par cette vision d'horreur. Quant à la Fondation Brigitte Bardot, elle s'est bien sur portée partie civile. En pleine campagne contre l'hippophagie nous nous insurgeons contre cette barbarie à ciel ouvert !


































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Une jument euthanasiée suite à des mauvais traitements

Publié le par Ricard Bruno






C'est une honte, un scandal,que fait la justice !
Bruno Ricard







A la suite de mauvais traitements, une jument euthanasiée près de Livarot
Les services vétérinaires du Calvados ont dû euthanasier une jument victime de mauvais traitements, à Lisores, près de Livarot (Calvados). La décision a été prise devant la misère physiologique de l'animal. Le propriétaire, un agriculteur de 72 ans, avait déjà été condamné pour les mêmes faits. Selon la fondation "Assistance aux animaux" et la fondation "Brigitte Bardot" qui avaient été alertés par des voisins, "un autre cheval appartenant à ce propriétaire a été découvert la semaine dernière, mort dans un ruisseau. Il était resté huit jours dans l'eau."

Source : http://www.ouest-france.fr/A-la-suite-de-mauvais-traitements-une-jument-euthanasiee-pres-de-Livarot/re/ofdernmin/_-609360--BKN----_actu.html
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Bien-être animal - Lancement de la consultation sur la protection des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Un travail de réflexion sur la question de la protection animale, qui doit déboucher sur des propositions concrètes en juin prochain, a été lancé vendredi par le ministre de l'Agriculture Michel Barnier.

Cette réflexion, dans le droit fil d'une demande du chef de l'Etat Nicolas Sarkozy à M. Barnier le mois dernier, fait suite à un entretien entre M. Sarkozy et l'ex-actrice et porte-parole de la cause des animaux Brigitte Bardot, ainsi qu'avec d'autres défenseurs de cette cause. M. Barnier a présenté à la presse trois groupes de travail qui vont rédiger un rapport sur le sujet. Il sera remis au président de la République avant le 30 juin.

Ces groupes de travail, dont la composition sera annoncée mardi, comprendront des parlementaires et des élus locaux, des représentants des secteurs professionnels, notamment les organisations et le syndicalisme agricole, des organisations non gouvernementales concernées, des scientifiques et des représentants des ministère.

« Faire des propositions législatives et réglementaires »

Un premier groupe de travail "abordera notamment les questions juridiques et scientifiques concernant le respect de l'animal vivant et sa protection contre la maltraitance". Un second examinera les questions tournant autour des animaux de compagnie et leur commercialisation. Il devra également formuler des orientations pour une meilleure gestion des chiens et chats errants, des chats libres, des animaux présentant un risque, et des pigeons des villes. Un troisième groupe "analysera les questions portant sur l'utilisation de l'animal dans les activités économiques, de l'évelage d'animaux de rente aux spectacles faisant intervenir des animaux". M. Barnier a notamment évoqué à propos de ce troisième groupe les zoos, les cirques ainsi que les corridas.

"Nous allons écouter et nous entourer d'avis d'experts pour faire des propositions législatives et réglementaires et être le plus immédiatement opérationnels comme l'a demandé le président de la République", a indiqué M. Barnier. "Il n'est pas question de tabous. Le point de vue de Mme Bardot sera écouté mais ce n'est pas seul point de vue. Nous tiendrons compte de tous les points de vue", a-t-il dit.


Source : http://www.web-agri.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article-protection-animale-michel-barnier-1145-46658.html
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Refuge de la Mare Auzou

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot, victime malgré elle de la multiplication des abandons

Créé en 1992 pour faire face à la recrudescence des abandons d’animaux de compagnie, le refuge de la Mare Auzou (situé dans l’Eure) fait depuis peu l’objet d’attaques de quelques riverains, qui se plaignent d’aboiements des chiens. La Fondation Brigitte Bardot tient à apporter des précisions sur le rôle capital de son « arche de Noé » normand.

Aujourd’hui, la Mare Auzou héberge environ 200 chiens, 250 chats, mais aussi 160 grands animaux : chevaux, poneys, ânes, vaches, moutons, chèvres. Or, depuis l’année dernière, quelques habitants d’un village situé à 3 kilomètres se plaignent des aboiements des chiens. Il ne s’agit en réalité que de légères nuisances sonores, dont la portée dépend du vent, et limitées à certaines heures précises de la journée, ou lors du jour d’ouverture au public (1 jour par mois). La Fondation Brigitte Bardot, soucieuse de préserver au mieux la quiétude de ce village de 177 habitants, fait régulièrement planter des haies, afin d’éviter toute propagation de bruits gênants. La Fondation demande depuis maintenant plusieurs années une autorisation préfectorale pour augmenter légalement cette capacité d’accueil. Option tout à fait réalisable étant donné la surface du refuge (8 hectares) et les infrastructures existantes, permettant des conditions optimales de sécurité et d’accueil aux normes de la DSV*.

 

La Mare Auzou, un refuge d’intérêt public

La Fondation Brigitte Bardot assume pleinement sa mission d’utilité publique, puisqu’elle recueille, à la demande de la DSV, de la gendarmerie, des services sociaux ou des municipalités, les animaux abandonnés ou maltraités. Mission indispensable permettant ainsi

Source : Fondation Brigitte Bardot : http://www.protection-des-animaux.org/actualites/archives-1074.html

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ACTUALITES

Publié le par Ricard Bruno

Les Rencontres « Animal et Société » lancées officiellement aujourd’hui à 15h30 : La Fondation Brigitte Bardot, à l’initiative du projet, se félicite de la concrétisation de ses propositions.

Cet après midi au Ministère de l’Agriculture et de la Pêche, Michel Barnier a lancé officiellement, lors d’une conférence de presse, les Rencontres « Animal et Société ». Initiées en partenariat avec la Fondation Brigitte Bardot, la création des groupes de travail est le fruit de plusieurs entretiens avec le Président de la République et le Ministre de l’Agriculture. Celui-ci s’est dit « très heureux que Nicolas Sarkozy [lui] ait confié ce travail important qui [lui] tient à cœur ».

Des groupes de travail thématiques,
animés par des experts

Pour préparer la première phase, consacrée au dialogue et à l’élaboration des propositions d’action, trois groupes de travail seront constitués autour de grandes thématiques :

  • « Les statuts de l’animal »
  • « L’animal dans la ville »
  • « Animal, Economie et Territoires »

 

Michel Barnier a notamment cité dans ses priorités, l’application stricte des réglementations déjà en vigueur, l’étude des lois de nos pays voisins en matière de protection animale, l’évolution du statut de l’animal, et la condamnation des trafics d’animaux, qu’il a qualifiés de « moralement inacceptables ».


De gauche à droite :
Claude Milhaud, Vice Préident du groupe 3, Jérome Bignon, Président du Groupe 3, Michel Barnier Ministre de l'Agriculture et de la Pêche, Jacques Pradel, Président du groupe 2

Parce que l’homme doit reconsidérer son rapport à l’animal
Les Rencontres « Animal et Société » devraient aboutir d’ici fin juin 2008 à un plan d’actions de mesures concrètes. La défense du bien-être animal constitue un enjeu important dans notre société. Elle est surtout, selon Michel Barnier, « devenue essentielle à la mise en œuvre d’une agriculture durable » et ce notamment en matière de préservation des espèces et de la biodiversité, et de choix des pratiques agricoles.
Ainsi, en parallèle de ces groupes de réflexion, a été lancé cette semaine un site web participatif où tout le monde peut déposer sa contribution à ces différents thèmes : www.animal-societe.com.

 

Contactée par téléphone, Brigitte Bardot a déclaré "Cette réflexion est nécessaire, urgente, particulièrement en France où l'animal est toujours considéré par le "code Napoléon" comme un simple meuble... une honte ! Nier le caractère sensible de l'animal amène aux pires sévices, dans les élevages, les abattoirs ou les laboratoires de recherche. J'ai été reçue par des dizaines de ministres qui m'ont tous fait des courbettes sans jamais faire quoi que ce soit pour les animaux. Aujourd'hui, les choses semblent évoluer et je tiens à remercier le Président Nicolas Sarkozy qui a accepté de porter ce projet que nous lui avions présenté en septembre dernier lors de l'entretien qu'il a accordé à ma Fondation. Mes collaborateurs participeront aux groupes de travail et je veillerai à ce qu'ils débouchent non pas sur de simples belles paroles, mais sur des actes concrets en faveur des animaux. A quelques semaines de l'ouverture des Jeux Olympiques, j'ai le sentiment que le temps est venu, pour moi qui porte la flamme de la protection animale depuis plus de 30 ans, de passer le flambeau. Je place mon espoir en ces rencontres et demande au gouvernement de la France, pays des Droits de l'homme, de ne pas oublier qu'avant d'avoir des droits, l'homme a des devoirs, en particulier celui de combattre toutes les formes de cruauté".

Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40151

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Procès du chasseur de l’ourse Cannelle

Publié le par Ricard Bruno

CHASSE
Procès du chasseur de l’ourse Cannelle : la Fondation Brigitte Bardot, qui s’est portée partie civile, espère une condamnation exemplaire.
Le chasseur responsable de la mort de l'ourse Cannelle, dernière ourse des Pyrénées, comparaît devant le Tribunal Correctionnel de Pau les 12, 13 et 14 mars 2008. Mis en examen en décembre 2004, René Marquèze avait bénéficié d'un non lieu début 2007.

Décision jugée inacceptable pour les associations de protection de l'environnement qui ont fait appel. La Fondation Brigitte Bardot, représentée par son avocat Maître Kelidjian qui assistera à ces 3 jours de procès, attend une juste condamnation de Mr Marquèze.

Destruction d'une espèce protégée
Le 1er novembre 2004, six chasseurs se retrouvent pour une battue aux sangliers du côté d'Urdos, petit village des Pyrénées Atlantiques. Lorsqu'ils aperçoivent l'ourse Cannelle et son ourson, ils tirent 2 coups de fusil pour la faire fuir. René Marquèze, quant à lui, tire sur l'ourse à bout portant. Elle mourra quelques heures plus tard, dans la consternation générale. Mis en examen pour " destruction d'espèce protégée ", René Marquèze a affirmé n'avoir agi qu'en dernier recours. Le 6 avril 2007, la Cours d'Appel de Pau décide de renvoyer l'affaire devant le Tribunal Correctionnel, seule juridiction pouvant juger " l'état de nécessité ".

Une première en termes de condamnation ?
Pour Maître Kelidjian, avocat de la Fondation Brigitte Bardot, " il s'agit là d'une réelle victoire dans cette affaire, car enfin la mort de Cannelle va pouvoir être jugée. Au delà de la mort d'un ours, on parle tout de même là du premier procès de l'histoire jugeant un homme ayant fait disparaître une espèce. Dans un contexte de préoccupations environnementales croissant, il aurait été choquant que la mort du dernier spécimen d'ours des Pyrénées ne soit pas jugée comme il se doit. " Le chasseur encoure désormais une peine de six mois de prison ferme et 9000 € d'amende.

Mercredi 12 mars 14h
Selon notre avocat sur place à Pau.
Ce mercredi 12 mars le procès du chasseur de l'ours Cannelle s'est ouvert pour 3 jours. 19 associations écologistes et de protection animale se sont portées partie civile.

Ce matin avait lieu le rappel des faits et l'interrogatoire de Mr Marquèze qui a confirmé ses déclarations.

Sont entendus :
- les autres chasseurs qui accompagnaient Mr Marqueze

- le FIEP (Fond International eco-pastoral) qui attend que la responsabilité des chasseurs soit reconnue.

- Jean-Jacques Camarra du Réseau ours brun de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, spécialsite de l'ours.

La Fondation Brigitte Bardot, quant à elle, sera entendue demain.

Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu_test.php?id=40150

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