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A quand un Noël pour les animaux? Communication de L214

Publié le par Ricard Bruno

Lettre d'information L214
À quand un Noël pour les animaux ?

« Merci de m'avoir ouvert les yeux. Issue d'une famille où le foie gras est consommé au même titre que le vin, j'en avais vraiment besoin. Je ne regrette qu'une chose : n'avoir pas eu connaissance de l'envers de cette ignoble industrie plus tôt. Plus jamais je ne mangerai ni ne cautionnerai l'achat de foie gras. » Eiko Littman, Paris, signataire sur stopgavage.com

En découvrant ces images, Eiko a réalisé que des milliers d'animaux souffrent loin de nos regards. En réveillonnant sans foie gras, elle sauve désormais des canards et des oies de la torture du gavage.

Pour les fêtes de fin d'année, des milliers d'animaux, dindes, chapons, cailles, canards, oies... ont souffert leur vie durant. Une vie d’entassement et de privations qui s’achèvera loin des yeux. Des élevages et abattoirs, L214 a rapporté les images crues d'animaux en souffrance qui, bientôt, garniront les tables de fête.

Nous venons vers vous avec une demande. Pouvez-vous nous aider à poursuivre notre action par un don ?

Grâce aux enquêtes, la misère de ces animaux est exposée sans détour. Bien souvent cette misère saisit, émeut ou révolte. Chaque fois que l'émotion évolue en conscience, les vies de nombreux animaux peuvent être épargnées.

Face à l’invisibilité de leur condition, la diffusion de nos enquêtes constitue pour ces animaux un espoir. Mais sans votre soutien financier, L214 ne peut continuer son action. Si vous nous aidez maintenant, vous pourrez bénéficier de la déduction fiscale pour vos prochains impôts*.

Faire un don
  • Par un don de 40 euros, vous permettez de couvrir les coûts d'une heure d'enquête dans un élevage industriel, une salle de gavage ou un abattoir.
  • Par un don de 20 euros, vous financez les tracts pour sensibiliser 1000 personnes à la souffrance des oiseaux gavés.

Vous pouvez aussi soutenir L214 par prélèvement automatique : avec votre soutien régulier, nous pouvons inscrire nos actions pour les animaux dans la durée.

Pour la fin de cette année...

Pour ce mois de décembre, nous nous sommes fixé le défi de sensibiliser 50 000 personnes aux réalités du gavage des canards et des oies en distribuant autant de tracts dans la rue. Nous vous remercions mille fois pour votre soutien.

Antoine Comiti
Président de L214

*66% de vos dons sont déductibles de vos impôts

(dans la limite de 20% de votre revenu).

Après déduction fiscale :

  • un don de 100 € ne revient qu'à 34 € ;
  • un don de 20 € revient à 6,8 €.
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Un cheval, des poneys et des chiens en danger de mort

Publié le par Ricard Bruno

Un cheval, des poneys et des chiens en danger de mort

Dans la rue de l'Épinette à Lestrem, les animaux seraient restés sans soins pendant des mois.

Dans la rue de l'Épinette à Lestrem, les animaux seraient restés sans soins pendant des mois.

 

Il y a quelques semaines, deux chevaux se sont échappés de leur box dans une fermette de la rue de l'Épinette, à Lestrem. C'est à cette époque que l'affaire a éclaté au grand jour.

Depuis, un enquêteur de la fondation Brigitte Bardot se bat pour sauver les animaux en péril.
Suite à une plainte, le 24 novembre, les sapeurs-pompiers et la gendarmerie se rendent sur place pour constater l'état des lieux, et surtout l'état de santé des animaux. Ils sont en présence des propriétaires, qui louent la fermette à un couple. Ces mêmes propriétaires sont restés à l'écart durant la procédure. C'est un spectacle horrible qui s'offre à leurs yeux. Un cheval est pratiquement aveugle. Il n'a presque plus de poils. Son ventre est gonflé par les vers. Deux poneys sont également dans un piètre état. Dix-sept chiens sont recensés mais, depuis, cinq seraient morts. Dans un entrepôt à part, on peut voir par la porte ouverte de la volaille. Apparemment, les animaux ne seraient pas nourris, ni soignés. Des couches d'excréments de plusieurs centimètres jonchent le sol.
À l'arrière de l'habitation toutes les portes et fenêtres sont fermées. Mais on peut entendre les chiens aboyer. Des voisins, qui ont pitié des animaux, se faufilent parfois pour leur donner à manger par une petite lucarne. C'est tout ce qu'ils peuvent faire.
Une enquête est en cours. Le couple qui loue la fermette n'apparaîtrait que rarement sur les lieux. « Souvent, ils viennent la nuit ou de bonne heure le matin », précise un voisin. « Tout le voisinage est au courant, mais on ne sait pas quoi faire. Surtout qu'il n'a pas l'air commode ! Je l'ai vu frapper un enfant à coups de poing... » Et d'ajouter : « On le voit peu. Souvent, le couple débarque dans des grosses cylindrées  ».
Selon nos sources, le couple ferait la navette entre la Belgique et Lestrem. Des annonces auraient été repérées pour la vente d'animaux sur le site internet le bon coin. Mais, à ce stade de l'enquête, il est encore très difficile de vérifier ces informations. La Fondation explique son impuissance face à ce genre de situation : « Nous avons les mains liées, car tout dépend des services vétérinaires. Dans ce type de procédure, le parquet attend l'intervention de la Direction départementale de la protection de la population (DDPP). Les responsables sont au courant depuis six mois. Il aurait fallu envisager une saisie provisoire des animaux afin de les placer... Nous avions proposé de prendre en charge les animaux. Nous venons d'apprendre que le propriétaire serait parti ce matin (mercredi 7 décembre, ndlr), en emportant les chevaux dans un van. Un American staff aurait également été emmené... On ne connaît pas leur destination. C'est inquiétant ».
Contactée par téléphone la DDPP évoque une visite des services vétérinaires en août dernier. Elle n'a pas eu l'autorisation d'entrer dans la propriété.
La DDPP a été relancée il y a une quinzaine de jours.
Ce jeudi 8 décembre, une nouvelle visite est prévue, dans la journée.

Source : Cliquez ici

« Nous avions proposé de prendre en charge
les animaux »

 

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Brigitte Bardot se livre à François Forestier

Publié le par Ricard Bruno

Ses trois films préférés: “La Vérité”, “Et Dieu créa la femme”, “le Mépris”.

Un livre qui paraît cet automne s’intitule “Bardot l’indomptable”. C’est un qualificatif dans lequel vous vous reconnaissez ? – Oui, ça me paraît pas mal ! Cela me ressemble…
Quand vous regardez les photos de la petite Brigitte enfant, que vous inspire-t-elle, cette fillette adorable ? – Une grande émotion, une tendresse, des souvenirs flous et fous !
Comme spectatrice, dans votre enfance, y a-t-il un film qui a compté pour vous ? – J’ai été très impressionnée par “Blanche-neige”, de Walt Disney. C’est ensuite inconsciemment que s’est ancré en moi cet amour des animaux, cette envie de vivre de manière magique avec eux.
Auriez-vous la gentillesse de me décrire vos premiers pas devant la caméra, ce coeur qui bat, ce trac, l’émotion ? – Oh, mon Dieu, ce que j’ai pu être terrorisée, affolée et puis, au moment d’y aller, j’y allais. Ce trac ne m’a jamais lâchée de toute ma vie. Avant de commencer un nouveau film, même lorsque j’étais célèbre, j’avais une telle angoisse que parfois cette nervosité me donnait un herpès, toujours sur la joue droite, et il fallait reculer le début du tournage de quelques jours.
Vous avez joué au théâtre une seule pièce en 1953. Pourquoi ne pas avoir poursuivi ? -Parce que répéter tous les soirs la même chose, j’en avais marre ! Et puis ce foutu trac qui a fait qu’un soir, j’ai eu un terrible trou de mémoire, je me suis mise à jouer… l’acte suivant. Le comédien qui était en face de moi, épouvanté, s’est sauvé dans les coulisses en appelant d’urgence le partenaire adéquat. Ce fut un branle-bas de combat inimaginable. La pièce fut ainsi écourtée d’une demi-heure et le public n’y a rien compris !
Vous avez connu Paris au moment le plus merveilleux : Cocteau, Gréco, Gélin… De toutes ces personnes, qui vous a marquée le plus fort ? – Tous ces gens célèbres, je les côtoyais accompagnée par Roger Vadim. Ils m’impressionnaient mais je me sentais étrangère, en retrait, un peu sauvage déjà !
Pourriez-vous me parler de Christian Marquand… et de Marlon Brando (si vous l’avez rencontré alors), qui était son ami à Paris ? – Christian, c’était un frère pour Vadim. On le voyait tout le temps ainsi que toute sa famille : Lilou, Nadine, Serge et leurs parents. Ils m’ont intimidée pendant longtemps car ils se fichaient un peu de moi, et puis, plus tard, c’est moi qui parfois me fichais d’eux gentiment. Quant à Marlon, j’en ai un souvenir spécial et pas très aguichant. Il habitait chez des amis dans l’île Saint-Louis à Paris. Un jour, vers 3 heures de l’après-midi, la maîtresse de maison m’a demandé d’aller porter à Marlon son petit déjeuner… J’entre dans sa chambre, ça sent le renfermé, je pose le plateau sur le lit et je vois une sorte de furie m’insulter, prendre les oeufs coque et les jeter contre le mur en me traitant, en anglais, de tous les noms d’oiseaux. Ah, quel tue l’amour !
Quelle impression vous a fait Gérard Philipe ? – Gérard Philipe, je l’adorais, je l’adore, je l’adorerai toute ma vie. Quelle merveille ! J’ai toujours été secrètement amoureuse de lui.
A quel moment avez-vous senti que la célébrité était un “poison”? – Quand elle a commencé à empoisonner ma vie !
Hollywood vous a fait les yeux doux. Pourquoi ne pas avoir fait une carrière américaine ? – Parce que je suis foncièrement française, que tout ce qui ne m’est pas familier me fait peur, que j’ai besoin de mes racines, de mon entourage, et que cette industrie hollywoodienne est à des années-lumière de ma manière de vivre.
On dit qu’Alberto Sordi était un partenaire difficile. Est-ce vrai ? Avez-vous eu des partenaires “difficiles”? – Non, je n’en ai pas le souvenir… Mais j’ai peut-être été une partenaire difficile pour certains.
Votre pouvoir de séduction a souvent dissimulé votre talent d’actrice. Or, en revoyant vos films, celui-ci est évident. Qu’en pensez-vous ? Estimez-vous avoir été une bonne comédienne ? – Je ne sais pas si j’ai été une bonne comédienne, mais ce que je sais, c’est que je vivais intensément mes rôles au point de les intégrer dans ma vraie vie… Par exemple, en tombant amoureuse de mes partenaires et en voulant mettre fin à mes jours comme dans “la Vérité”.
Avez-vous revu récemment “Et Dieu créa la femme” ? Qu’en pensez-vous maintenant avec les années qui ont passé ? – A part la chanson “cucul la praline” complètement démodée, tout le reste du film, et surtout la dernière partie avec ce mambo, cette danse folle, me semble être encore superbe ! En comparaison avec certaines nullités actuelles… En plus, c’est mon film culte, celui qui m’a rendue célèbre. Je l’aime ! Et si Dieu créa la femme, il ne doit pas avoir honte de ce que je suis !
Parlez-nous du tournage avec Godard, avec cet enfer des paparazzis… – Ah, Godard ! C’était pas le grand amour entre nous, mais nous avons néanmoins fait un très beau film, comme quoi l’adversité peut être créatrice ! Oui, les paparazzis ont empoisonné le tournage, c’était la guerre, ils s’infiltraient partout, ils me rendaient folle. J’en ai beaucoup souffert. Mais ma grande amitié avec Michel Piccoli, avec qui on s’entendait comme “larrons en foire”, a un peu atténué cette douloureuse période.
Avez-vous, dans votre carrière, un film préféré ? – J’en ai quelques-uns: “la Vérité”, “Et Dieu créa la femme”, “le Mépris”, “l’Ours et la Poupée”, “En cas de malheur” et “Vie privée”.
Vous avez abandonné le cinéma d’un seul coup, comme Garbo. N’avez-vous jamais eu envie d’y revenir ? De jouer un rôle, un ultime, dont vous rêviez ? – Lorsque j’abandonne, je ne reviens jamais en arrière, que ce soit pour le cinéma, pour mes amours et pour mes emmerdes !

Vous avez dit : “Mon âme ne m’appartient plus.” Le cinéma vous a donc atteinte si profondément ? Vous appartient-elle, aujourd’hui, votre âme ? – Mon âme appartient uniquement aux animaux, ainsi que ma vie désormais.
Sous l’image de la star, je sens une grande gentillesse, une grande douceur. Je vois juste ? – J’ai toujours caché ma vulnérabilité, ma fragilité sous des dehors impertinents, insolents, ce manque de confiance en moi m’a poursuivie toute ma vie. Je me suis fait une carapace extérieure mais au plus profond de moi, je suis extrêmement sensible à tout ce qui m’atteint, à tout ce qui atteint les animaux, à tout ce qui atteint les gens qui m’écrivent comme si j’étais la Sainte Vierge. Ils se confient à moi pour résoudre certains problèmes si effrayants. Je pleure souvent et je suis triste de ne pouvoir changer ce monde pourri et le mettre à mon image. J’essaie de soulager un peu la misère à mon niveau, avec mes possibilités. C’est dur, tout ça, et cela a entamé beaucoup de moi-même.
Parlons maintenant du second livre, “Brigitte Bardot vue par Léonard de Raemy”. Pourquoi avez-vous autorisé immédiatement la parution de cet ouvrage ? Quels liens vous unissaient à Léonard de Raemy ? – Léonard de Raemy a été un photographe et un ami. C’était un homme adorable, plein de talent, très érudit, très patient, très fidèle, auquel j’ai donné toute ma confiance et mon amitié. Contrairement à mes “dérapages” en amour, j’ai toujours été extrêmement fidèle en amitié. Sa discrétion ne l’a pas fait connaître de son vivant, alors il est juste de ma part de lui rendre l’hommage qui lui est dû après sa mort, en 2010, qui m’a extrêmement bouleversée.
Actuellement, votre seule raison de vivre semble être votre Fondation… Parlez-nous de vos espoirs pour les animaux… De vos victoires, de vos craintes, de vos doutes… – Ma Fondation est ma plus grande réussite. C’est le but de ma vie et je ne vis, depuis que je l’ai créée en 1986, que pour elle. J’ai une équipe formidable dirigée par Mme Calmels. Nous obtenons beaucoup d’améliorations dans le monde, sauf en France, ce qui me scandalise après les promesses devant témoins faites par Nicolas Sarkozy et auxquelles j’ai cru dur comme fer ! Cette déception m’a beaucoup éprouvée, surtout avec toutes les lettres de rappel que je lui ai envoyées et auxquelles il n’a jamais répondu. En cinq années de pouvoir de Sarkozy, je n’ai obtenu aucune amélioration pour les animaux mais une régression certaine. Je suis profondément triste. Quand le président de la France promet, il doit tenir ses promesses ou alors il n’est qu’un courant d’air, du vent, un guignol de pacotille. Une évolution est nécessaire dans la manière dont on traite les animaux en France, certaines lois datant encore de Napoléon Ier. Il est inadmissible, par exemple, qu’on continue à égorger les animaux d’abattoir comme au Moyen Age sans appliquer l’étourdissement préalable pourtant exigé par les lois françaises et européennes notamment pour la viande halal. Aussi nous allons demander à tous les candidats à la présidentielle de 2012 ce qu’ils prévoient pour les animaux et nous soumettrons leurs réponses à nos 70 000 donateurs afin qu’ils puissent voter en fonction des améliorations ou du désintérêt.

“Bardot l’indomptable”, d’Alain Wodrascka et François Bagnaud (éditions Hugo & Cie, 2011), et “Brigitte Bardot vue par Léonard de Raemy”, de Brigitte Bardot et Marc de Raemy avec François Bagnaud (Didier Carpentier 2011).

 

Source : Cliquez ici

Publié dans le web en parle

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Guadeloupe la fourrière de la HONTE!

Publié le par Ricard Bruno

Cela se passe de commentaires!

 

 

Signez et faites suivre cette pétition http://10673.lapetition.be/
 Bruno Ricard
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Communication de la FLAC : Bonne nouvelle !

Publié le par Ricard Bruno

 

Chers amis,


Très bonne nouvelle !



Comme vous le constaterez, un nouveau député rejoint la centaine de parlementaires abolitionnistes à l'Assemblée nationale. Gauche/droite confondues. Il s'agit du député UMP de la Loire en Rhône Alpes Yves Nicolin. Grâce au trésorier de la FLAC Sylvain Perret.


Il faut savoir que cette année, après Hervé Gaymard et Daniel Vaillant, c'est le troisième député que Sylvain Perret ajoute à son palmarès. Nous vous suggérons de vous inspirer de ses méthodes:

-Se concentrer sur deux députés  maximum
-Se présenter au nom de notre Fédération
-Relancer et toujours relancer avec des arguments adaptés à la personne
-Toucher là où cela a une chance d'aboutir

Il y a huit ans, il n'y avait aucun député abolitionniste au sein de l'Hémicycle. Que de chemin parcouru !

Vous pouvez bien entendu remercier ce parlementaire grâce à l'e-mail suivant: ppyn@orange.fr

Comme quoi, aller à la rencontre de nos députés est essentiel !

LE COMBAT CONTINUE !

Amitiés dans la lutte.

Thierry Hély
Chargé de communication de la FLAC
www.flac-anticorrida.org

 

 

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Brigitte Bardot touchée par l'engagement de la nouvelle Miss France

Publié le par Ricard Bruno

 

 

Tout juste couronnée Miss France 2012 samedi soir à Brest, Delphine Wespiser peut d'ores et déjà ajouter un nom à sa liste d'amis: Brigitte Bardot. Séduite par l'engagement manifesté par la jeune reine de beauté, notamment pour la cause animale, l'ancienne actrice s'est dite lundi "très touchée" et certaine qu'elle et Miss France accompliront ensemble "des miracles".

"J'ai suivi samedi soir le concours Miss France et je suis particulièrement ravie de l'élection de Delphine", écrit Brigitte Bardot dans un communiqué publié lundi depuis La Madrague.

La star du "Mépris" écrit aussi être très touchée par l'engagement de Miss France, âgée de 19 ans, auprès des personnes âgées. Un engagement que B.B. dit partager, avant de souligner, "bien sûr, l'amour qu'elle (Miss France) porte aux animaux".

Au cours des nombreux entretiens qu'elle a accordé depuis son sacre, Delphine Wespiser a maintes fois souligné le soutien qu'elle manifestait aux campagnes de sensibilisation contre l'abandon des animaux de compagnie en période estivale, une cause dont la Fondation Brigitte Bardot et la SPA sont les principaux relais en France.

 

Source : Internet

 

Bruno Ricard

Publié dans le web en parle

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Miss Alsace est devenue Miss France et appelle à soutenir la fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

 

A une des questions posées par un journaliste Miss France a répondu :

 

 Q : Qu'allez-vous faire de votre titre?
 R : J'ai d'abord l'intention d'aller plus loin dans le monde associatif. Je suis déjà marraine d'une association en faveur du don de sang et d'une association de portage à domicile. Mon objectif personnel, une fois que toute la promotion sera passée, est de me lancer dans la cause animale, la maltraitance animale. Pourquoi  ne pas parrainer l'association de Brigitte Bardot? C'est très important pour moi, je suis végétarienne depuis l'âge de trois ans et demi, j'espère donner un peu plus d'influence à la cause animale.

Bruno Ricard

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Publié dans le web en parle

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Regarder c'est tout...mettez le son...c'est magnifique!

Publié le par Ricard Bruno

Bruno Ricard

Publié dans le web en parle

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Mode et droit à l'image : BB s'en va-t-en guerre

Publié le par Ricard Bruno

Les premiers modèles de cette marque Brigitte Bardot ont été présentés en septembre dernier au salon « Who’s next » à Paris.

 

Brigitte Bardot devient une marque de prêt-à-porter. Une licence mondiale qui doit mettre un coup d’arrêt aux pratiques de nombreuses marques qui exploitent l’icône sans autorisation.

 

«C'est invraisemblable cette exploitation de Brigitte !» La star retirée à La Madrague a bien d'autres chats à cajoler, mais pour ce qui est de fouetter - du moins verbalement -, elle peut compter sur son mari, Bernard d'Ormale.

Son grognard en chef veille pour monter la garde, protéger ses intérêts et tonner à la moindre alerte.

Ce qui s'est à nouveau produit récemment. Une pin-up blonde à l'allure singulièrement Et Dieu… créa la femme pose en tenue Vichy face à un photographe engagé par une marque italienne. Un tee-shirt avec photo noir et blanc de la star pare le mannequin qui minaude.

Pas moins de deux cents pièces

Le shooting photo se déroule en plein cœur de Saint-Tropez. On ne s'y prendrait pas mieux si l'on voulait narguer l'occupante de La Madrague !

Apparaît même un sac où l'on peut lire le petit mot « De tout cœur », signé « BB ». La maison Lancel, qui, moyennant un contrat "béton" de six ans, a fait du sac BB son best-seller, appréciera… Mais cela ne semble pas le souci de l'équipe, qui s'active pour mettre en boîte les clichés mode sous le soleil tropézien.

Le ciel est plus couvert dans les bureaux parisiens de Ralph Ohana. Avec un groupe d'investisseurs, le p.-d. g. de la société Ternay a mis sur la table une belle somme pour - grande première - exploiter dans le monde entier une gamme de prêt-à-porter et accessoires griffée « Brigitte Bardot » ou « BB ».

« Ça m'aide à sauver des animaux »

« La licence a été signée en mars 2011 avec l'accord de l'intéressée. Une collection de 200 pièces de prêt-à-porter a été confectionnée pour le marché européen. Nous essayons de mettre de l'ordre via des courriers d'avocat, puis des saisies, pour stopper toutes les exploitations illicites. Dernièrement encore, une marque américaine déposait la marque "Brigitte Bardot St-Tropez"...», révèle-t-il.

« Moi, ce qui m'intéresse, c'est que ça m'aide à sauver des animaux !», commente simplement Brigitte depuis La Madrague. Car non, admirer les vêtements qu'elle a inspirés - que ce soit les ensembles Vichy, maillots de bain, jupes ou chemisier portant sa signature, son portrait, voire sa petite fleur fétiche - ne la captive pas vraiment.

La ligne printemps-été 2012 atterrira en début d'année prochaine en boutiques multimarques et corners de grands magasins style Printemps. Les étiquettes des modèles, positionnés milieu de gamme, valseront entre 80 et 120 euros. Pour l'heure, à Paris, on reste discret sur le montant des royalties reversées à Mademoiselle Bardot, mais l'on compte bien conquérir très vite le monde avec une silhouette et un nom qui égalent Marilyn en valeur ajoutée glamour et lucrative.

 

Source : Var Matin

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