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Saint-Germain-sur-L’Arbres : La fondation Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Saint-Germain-sur-L’Arbresle La fondation Brigitte Bardot pointe du doigt des tests du laboratoire Ricerca.

« Nous sommes totalement en règle sur notre activité », affirme Stéphane Bulle, le directeur du laboratoire Ricerca Biosciences. Implanté à Saint-Germain-sur-l’Arbresle, au domaine des Oncins, cet institut, spécialisé dans l’évaluation de la sécurité des médicaments, travaille dans la discrétion la plus totale.

Sauf qu’aujourd’hui, il fait parler de lui. La Fondation Brigitte-Bardot, fermement opposée à l’expérimentation animale, vient en effet d’alerter le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche au sujet du lancement d’une étude toxicologique qui doit être menée au laboratoire sur 32 macaques. Une expérimentation jugée « contraire aux réglementations européennes et nationales puisqu’elle vise un médicament déjà mis sur le marché depuis plusieurs années », indique Christophe Marie, le porte-parole de la Fondation qui ajoute : « Il existe des méthodes qui peuvent parfaitement se substituer à l’animal, plus fiables et plus performantes. Il est donc invraisemblable que de nouveaux tests soient autorisés sur des primates pour un médicament qui bénéficie déjà d’une autorisation de mise sur le marché. »

Selon nos informations, le laboratoire travaillerait sous contrat pour un commanditaire basé aux États-Unis en vue d’une mise sur le marché américain de ce médicament. Il s’agirait d’adapter le produit pour en modifier le goût.

« Cela nous semble choquant, car les laboratoires ont déjà du recul sur ce médicament avec des tests pratiqués sur des patients qui l’utilisent », expose encore Christophe Marie qui demande à Geneviève Fioraso, la ministre de la Recherche, nouvellement nommée, d’intervenir pour empêcher ces tests « inutiles et cruels » tant que le laboratoire ne pourra apporter la preuve que les tests programmés ne peuvent être remplacés par des tests alternatifs.

Des tests qui n’auraient pas encore commencé mais qui, selon les informations de la Fondation Bardot, consisteraient à « gaver les macaques de ce médicament durant deux semaines à des doses toxiques, puis à les tuer afin d’étudier leurs organes ».

D’après Christophe Marie, cette étude diviserait même « au sein des équipes de recherche du laboratoire », puisque la « fuite » viendrait de l’intérieur.

Contacté par nos soins, le directeur de Ricerca Biosciences ne souhaite pas, pour des raisons de confidentialité, s’étendre sur le sujet. Il dit seulement : « Nous avons transmis au ministère tous les éléments du dossier. Ce que je peux dire, c’est que ce que nous faisons est autorisé. Nous sommes accrédités dans toutes nos activités et sommes inspectés régulièrement. » L’homme s’en remet donc à l’arbitrage du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Ministère qui devrait se positionner, d’ici à quelques jours, après avoir vérifié certains points du protocole de cette étude toxicologique.

La Fondation Brigitte- Bardot, qui a reçu, en deux jours seulement, le soutien de 2 000 internautes, se dit prête à prendre en charge la totalité des macaques afin de les sauver et de leur offrir une vie compatible avec leurs besoins naturels.

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De la prison avec sursis pour avoir laissé mourir son chien!

Publié le par Ricard Bruno

Mon commenaire : c'est bien peu face aux sévices fait sur ce pauvre chien, quellehonte, c'est scandaleux !

 

Montauban. De la prison avec sursis pour avoir laissé mourir son chien...

 

« Ce n'est pas grave, ce n'est qu'un chien »…C'est l'argument qu'une Verdunoise âgée de 35 ans employait pour empêcher ses enfants (âgés de 11 et 14 ans) de donner à manger et à boire à Zoé, femelle Bichon, enfermée sans aucun soin dans le garage familial durant près de trois mois. C'est cette triste affaire que le tribunal correctionnel eut à examiner hier en présence des parties civiles constituées pour l'occasion : celle de la SPA de Tarn-et-Garonne représentée par Me Laure Berges-Kuntz et celle de la Fondation Brigitte Bardot représentée par Me François-Xavier Kelidjian.

Ces faits qualifiés d'actes de cruauté envers un animal domestique (délit réprimé par l'article 521-1 du code de procédure pénale), désolants et effrayants, sont le corollaire d'un divorce mal assumé. Zoé aura payé les frustrations de sa « maîtresse » récemment séparée de son époux.

Ce dernier, avait alors laissé le bichon à la garde de son ex-femme et de leurs enfants attachés à l'animal. Lors d'une visite à ses filles mi-janvier, le père constate que l'animal est fermé au garage dans un état de grande faiblesse. Ses enfants lui confient que Zoé est ainsi recluse depuis le début de l'année.

Les enfants empêchés de prendre soin de Zoé

En mars suivant, le père constate que la chienne est dans un triste état, ne tenant plus debout, à moitié aveugle et couverte de ses excréments. Il menace son ex-épouse de déposer plainte pour sévices graves. Celle-ci lui annoncera peu après la mort de l'animal, « renversé par une voiture », soutiendra-t-elle à son mari puis devant les gendarmes. Des assertions contredites par les enfants racontant aux enquêteurs qu'ils avaient l'interdiction formelle de s'approcher du bichon qui ne pesait plus qu'un kilo. Un véritable crève-cœur pour ces enfants expliquant encore que Zoé était devenue « toute raplapla » et que ses aboiements étaient devenus de plus en plus inaudibles.

« Une condamnation exemplaire »

Face à ces faits caractérisés, le représentant du parquet a requis 200 € d'amende et l'interdiction définitive de détenir un animal. Au terme d'une vibrante plaidoirie, Laure Berges-Kuntz, infatigable défenseur des animaux, soutenue par son collègue de la Fondation Bardot, demandait à son tour une « condamnation exemplaire » contre celle qui a provoqué l'impitoyable agonie de Zoé.

Le tribunal présidé par Alain Birgy ira finalement au-delà des réquisitions du ministère public, infligeant 1 mois de prison avec sursis à la prévenue, peine assortie d'une interdiction définitive de détenir un animal, du versement de 2 500 €de dommages et intérêts aux parties civiles (le père, ses deux enfants, la SPA et la fondation Bardot) et de 1 500 € au titre de l'article 475-1 du CPP.

Source : Cliquez ici

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Ukraine : Bardot et Delon demandent l'arrêt de l'extermination des chians errants

Publié le par Ricard Bruno

 

Brigitte Bardot et Alain Delon ont demandé vendredi au maire de Kharkiv, dans l'est de l'Ukraine, l'arrêt de l'extermination des chiens errants en vue de l'Euro-2012.

"Je vous prie impérativement de cesser immédiatement cette tuerie immonde afin de laisser à l'Ukraine l'image d'un pays civilisé et humain qu'elle est en train de perdre par votre faute et votre responsabilité", ont cosigné les deux acteurs dans une lettre adresse à Genadiy Kernes, rendue publique par la Fondation Brigitte Bardot.

"N'avez-vous pas honte ? Une honte qui fait le tour du monde ! La honte d'exterminer et d'empoisonner en toute illégalité les chiens errants dans des douleurs atroces pour cause ridicule de coupe Euro de Football", ont écrit les deux amis dans "leur requête urgente".

 

Source : Cliquez ici

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