Brigitte Bardot dans Gala...
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
J'accuse... !
LETTRE AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
(Inspiré très largement par EMILE ZOLA)
Par Bruno Ricard
LETTRE A M. François Hollande
Président de la République
Monsieur le Président,
Me permettez-vous, dans ma gratitude pour le bienveillant accueil que vous ne m'avez toujours pas fait, d'avoir le souci de votre juste gloire et de vous dire que votre étoile, si heureuse jusqu'ici, est menacée de la plus honteuse, de la plus ineffaçable des taches ?
Vous n’êtes toujours pas sorti sain et sauf des basses calomnies dont vous êtes victime, vous avez conquis les cœurs des Français...pas de tous loin de là, Vous apparaissez rayonnant dans l'apothéose de cette fête patriotique pour la France, et vous dans une logique absolument écoeurante de « j'menfoutisme» total pour la préservation de la vie... les animaux payent un très lourd tribu avec votre incompétence qui frise le ridicule.
Mais quelle tache de boue sur votre nom - j'allais dire sur votre règne!l'histoire écrira que c'est sous votre présidence qu'un tel crime contre le monde animal a vu le jour.
Puisqu'ils ont osé, j'oserai aussi, moi. La vérité, je la dirai, car j'ai promis de la dire, si la justice, régulièrement saisie, ne la faisait pas, pleine et entière. Mon devoir est de parler, je ne veux pas être complice. Mes nuits seraient hantées par le spectre de l'innocent qui expie là-bas, dans la plus affreuse des tortures, un crime qu'ils n'on pas commis...
Et c'est à vous, monsieur le Président, que je la crierai, cette vérité, de toute la force de ma révolte d'honnête homme. Pour votre honneur, je suis convaincu que vous l'ignorez. Et à qui donc dénoncerai-je la tourbe malfaisante des vrais coupables, si ce n'est à vous le premier magistrat du pays ?
Ici dans mon pays qu’est la France, on manifeste pacifiquement contre l’horreur qu’est la corrida, on dénonce cette pratique moyenâgeuse et, en retour on est gazé, matraqué, et roué de coups par vos sbires que vous envoyez...quel courage...c’est à pleurer...
Que dire également monsieur le président sur les agissements de ceux qui massacrent à tout va toutes forme de vie...c’est à vomir et vous que faites vous contre cela, je vais répondre à votre place...RIEN !
Vous êtes au summum de l’incompétence, c’est le moins que je puisse vous dire...
Un homme néfaste a tout mené, a tout fait, c'est vous. Je déclare simplement que vous n’êtes pas à votre place...
La nation est frappée de stupeur, on chuchote des faits terribles, de ces faits monstrueux qui indignent l'Histoire, et naturellement la nation s'incline. Il n'y a pas de châtiment assez sévère, elle applaudira à la dégradation publique, elle voudra que le coupable reste sur son rocher d'infamie, dévoré par le remords. Est-ce donc vrai, les choses indicibles, les choses dangereuses, capables de mettre l'Europe en flammes, qu'on a dû enterrer soigneusement derrière ce huis clos ? Non ! il n'y a eu, derrière, que les imaginations romanesques et démentes du chef suprême que vous êtes monsieur le président.
Voilà donc, monsieur le Président, des faits qui expliquent comment une nation entière se trouve sous le joug d’une dictature qui massacre à tout va nos semblables...les animaux.
Beaucoup de consciences restent troublées profondément, s'inquiètent, cherchent, finissent par se convaincre qu’on sombre inlassablement dans un vide absolu...
Le bon plaisir de quelques amateurs de corrida ou de massacres d’animaux mettant leurs bottes sur la nation, lui rentrant dans la gorge son cri de vérité et de justice, sous le prétexte menteur et sacrilège de la raison d'Etat !
Et c'est un crime encore que de s'être appuyé sur la presse immonde, que de s'être laissé défendre par toute la fripouille de Paris et d’ailleurs, de sorte que voilà la fripouille qui triomphe insolemment, dans la défaite du droit des animaux. C'est un crime d'avoir accusé de troubler la France ceux qui la veulent généreuse, à la tête des nations libres et justes, lorsqu'on ourdit soi-même l'impudent complot d'imposer l'erreur, devant le monde entier. C'est un crime d'égarer l'opinion, d'utiliser pour une besogne de mort cette opinion qu'on a pervertie jusqu'à la faire délirer. C'est un crime d'empoisonner les petits et les humbles, d'exaspérer les passions de réaction et d'intolérance, et c'est un crime, enfin, que, lorsque toute la science humaine est au travail pour l'oeuvre prochaine de vérité et de justice.
Cette vérité, cette justice, que nous avons si passionnément voulues, quelle détresse à les voir ainsi souffletées, plus méconnues et plus obscurcies !
J’ai cru que la vérité se suffisait à elle-même, surtout lorsqu'elle apparaissait éclatante comme le plein jour, ce n’est hélas pas le cas...
Je dis que cela est un crime de plus et que ce crime soulèvera la conscience universelle. Décidément, les tribunaux se font une singulière idée de la justice dans ce pays dès qu’il s’agit d’animaux...
Telle est donc la simple vérité, monsieur le Président, et elle est effroyable, elle restera pour votre présidence une souillure. Je me doute bien que vous n'avez aucun pouvoir en cette affaire, que vous êtes le prisonnier de la Constitution et de votre entourage, quoiqu’en réfléchissant un peu vous y êtes pour quelque chose....
Je le répète avec une certitude plus véhémente : la vérité est en marche et rien ne l'arrêtera. C'est aujourd'hui seulement que l'affaire commence, puisque aujourd'hui seulement les positions sont nettes : d'une part, les coupables qui ne veulent pas que la lumière se fasse ; de l'autre, les justiciers qui donneront leur vie pour qu'elle soit faite. Quand on enferme la vérité sous terre, elle s'y amasse, elle y prend une force telle d'explosion que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle. On verra bien si l'on ne vient pas de préparer, pour plus tard, le plus retentissant des désastres.
J'accuse votre justice, la justice de mon pays de ne pas prendre la souffrance des animaux en considération quand elle rend ses jugements, j'accuse votre gouvernement d'atteinte à la dignité de l'être vivant et du non respect du droit des animaux, d’avoir recours à l'esclavage, d'autoriser la torture et de la reconnaître dans votre patrimoine! France tu insultes la vie ! France j'ai honte de toi !
Mais cette lettre est longue, monsieur le Président, il fallait que je la fasse et, il est temps de conclure.
Je n'ai qu'une passion, celle des animaux, au nom de ceux ci qui on tant souffert et qui on droit à notre protection. Ma protestation enflammée n'est que le cri de mon âme.
J'attends.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'assurance de mon profond respect.
BRUNO RICARD
Une créature qui souffre et qui n'a aucun moyen de nous faire entendre comment et pourquoi elle souffre, n'est-ce pas affreux, n'est-ce pas angoissant ?
Emile Zola
Rodilhan 2013, suite de mes plaintes pour violence policière, reçu ce jour la réponse du cabinet du ministre de l'intérieur, Monsieur Valls qui n'a pas cru bon de répondre lui même à mon courrier, ce qui prouve une chose c'est qu'il doit y avoir beaucoup de violence de la part de ses services vis à vis de manifestants pacifiques...et, qu'il ne peut répondre à tout le monde, qu'il sache une chose puisque la DCRI surveille mon mur Facebook que je ne lâche R I E N ! je lui prépare un autre courrier en réponse...il ne va pas être déçu du voyage comme on dit...ce courrier reçu est un courrier "type" à peu de chose près...
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Bruno Ricard...I LOVE BB !
L'Organisation mondiale du commerce doit rendre une décision fort attendue lundi sur l'interdiction de l'Union européenne d'importer tous produits du phoque.
Selon les chasseurs des Maritimes et ceux des communautés inuites, un tel embargo constitue une discrimination injustifiée à l'endroit des produits du phoque du Canada.
L'interdiction profite toutefois du soutien de personnalités publiques bien connues telles Brigitte Bardot, Jude Law et Pamela Anderson, entre autres.
La décision de l'OMC devrait déterminer si le bien-être des animaux est bel et bien un enjeu moral pour le public et si cela justifie ou non des restrictions commerciales.
Le Canada et la Norvège contestent l'interdiction de l'Union européenne — imposée en 2010 —, sur l'importation et la vente de fourrure et de viande, entre autres produits du phoque.
Le différend oppose les chasseurs commerciaux, qui affirment qu'il s'agit d'une façon humaine et durable de faire des profits tout en contrôlant la population de phoques à ceux qui soutiennent qu'il s'agit d'une «boucherie» cruelle et non nécessaire.
L'embargo de l'UE ne vise toutefois pas les produits du phoque issus de la chasse inuite ou d'autres communautés autochtones, pas plus que celles qui sont effectuées dans l'unique but de contrôler les populations de phoques et protéger les bancs de poissons.
Mais au dire du président d'Unuit Tapiriit Kanatami, Terry Audla, l'approche européenne est «orwellienne» et s'oriente dans la mauvaise direction.
«Ils se basent sur la moralité publique et quand vous faites ça, vous vous exposez au risque que toutes les autres industries soient elles aussi bannies. Qui peut dire ce qui est plus cruel? L'agriculture industrielle? L'industrie du porc, du boeuf, de la volaille? Qui détermine les limites?», a lancé M. Audla, dont l'organisation représente 55 000 Inuits.
Selon des données d'un rapport intérimaire confidentiel de l'OMC ayant coulé en octobre, la décision du comité risque d'être partagée.
Le groupe Seals and Sealing Network, une organisation canadienne, affirme que les conclusions préliminaires de ce rapport indiquent que l'embargo de l'UE viole les règlements de l'OMC en discriminant injustement les produits du phoque du Canada et de la Norvège et ceux de l'Europe et d'autres pays.
Or, le rapport conclut également que l'interdiction pourrait être justifiée en vertu d'une exception visant à protéger la «moralité publique».
La porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Claude Rochon, a rappelé la position du Canada, soit que l'embargo de l'UE viole les obligations de l'OMC du bloc européen.
Quelque 900 000 phoques sont chassés chaque année à travers le monde, selon la Commission européenne. Outre le Canada, la Norvège, le Groenland et la Namibie pratiquent eux aussi la chasse commerciale du phoque.
La saison de la chasse qui avait démarré à Terre-Neuve au printemps dernier a mené à la capture d'environ 91 000 phoques, un nombre qui s'affiche en hausse par rapport aux 69 000 chassés l'an dernier mais bien en-deçà du quota fédéral, établi à 400 000 prises.
Parmi les pays interdisant l'importation de produits du phoque, on compte notamment les États-Unis, le Mexique, la Russie et Taïwan.
Les deux parties auront 60 jours pour faire appel de la décision du groupe spécial de l'OMC chargé d'examiner ce différend.
Lettre ouverte de Brigitte Bardot, envoyée au nom de la FBB à Philippe Martin, Ministre de l'Ecologie.
(qualifié dans la lettre de "Ministre de l'Ecologie meurtrière")