Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956
Filmographie Brigitte Bardot : Les Week-ends de Néron (Mio figlio Nerone) de 1956

Synopsis

Nous sommes dans la Rome antique sous le règne décadent de Néron. Celui-ci, à demi fou, a choisi son palais du bord de mer pour préparer un grand spectacle dont il sera la vedette. Il est accompagné par son épouse Poppée, son conseiller Sénèque et sa suite au grand complet. Mais sa mère Agrippine vient contrarier son séjour en le rappelant à son devoir d’empereur : la préparation de l’offensive contre Albion. De plus en plus énervé par ses obligations et les dissensions qui règnent dans son entourage alors qu’il est obnubilé par son spectacle, Néron va péter les plombs et beaucoup de têtes vont tomber pour que nul ne l’empêche de donner ses représentations.

Fiche technique

Distribution

Autour du film

Brigitte Bardot : « Comme dans tous les films italiens, qui sont postsynchronisés, le son n’a aucune importance. Chacun dit ce qu’il veut, et chacun dans sa langue. Je parlais français, Sordi et De Sica en italien, Swanson en américain. On tournait dans un charivari infernal, les machinistes clouaient le décor d’à côté pendant que le metteur en scène se faisait faire la barbe et injuriait le barbier qui lui faisait une estafilade. Au milieu de tout ce tintamarre, nous débitions nos âneries, conscients de notre talent, et indifférents à la stupidité de ceux qui ne savaient pas le reconnaître dans un silence déférent et respectueux. Moi qui sortais juste de mon service militaire américain, j’étais jetée tout de go dans le style débraillé des orgies romaines à la petite semaine… »

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