Les année 50 en provence...Brigitte Bardot...
Nouveauté!
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Une association autrichienne de défense des animaux a réussi à faire libérer 38 malheureux chimpanzés qui ont passé au total 28 ans derrières des barreaux, sans sortir. Ces singes – dont le plus
âgé a 30 ans – ont été enfermés jusqu’en 2002 dans des laboratoires de recherche. La seule lumière qu’ils voyaient provenait des néons blafards qui éclairaient les locaux où on leur administrait
jour après jour des piqûres contenant les virus du sida et de l’hépatite pour étudier l’évolution de ces maladies.
Il y a 9 ans, ces cobayes vieillissants auraient dû être mis en liberté surveillée. Ils ont d’ailleurs été transférés dans ce but dans un safari club, mais ce parc a fait banqueroute peu après
leur arrivée. Les bêtes se sont alors retrouvées de nouveau prisonnières pour de nombreuses années dans des cages, avant que «Gut Aiderbichl», une ferme qui recueille des animaux sauvages
maltraités, soit autorisée à les adopter.
«J’attendais ce moment depuis si longtemps», a déclaré Renate Foidl, une militante de la cause animale, qui travaille dans cette ferme. Là, sur 100 hectares de pâturage, les animaux sauvés
reçoivent désormais un traitement de faveur. Les chimpanzés y ont débarqué l’année dernière déjà. Mais il a fallu les habituer pendant de long mois à se déplacer, ensemble, à l’intérieur,
rapporte le quotidien Bild. Au laboratoire, comme au safari club, ils étaient placés dans des cages individuelles où ils ne pouvaient pas se toucher. «Maintenant ils sont incroyablement heureux»,
a expliqué Renate Foidl à la chaîne allemande RTL qui a diffusé dimanche dernier un reportage sur eux.
Encouragements mutuels
Sur la vidéo, on peut voir des primates éberlués lorsque la porte qui mène à l’extérieur s’ouvre enfin. Certains tombent même dans les bras les uns des autres, comme pour s’encourager avant de
partir à la découverte de ce monde qui leur est inconnu. Lentement ils s’élancent sur l’herbe grasse. On a l’impression qu’ils hallucinent devant cette nature qui leur paraît trop belle pour être
vraie.
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La jeune Ke$ha est devenue ce mois-ci la première ambassadrice mondiale du "Humane Society International" (HIS), une grande institution internationale de protection des animaux.
"Je suis honorée d’être la première ambassadrice du HSI car ma musique est inspirée par la liberté et de la beauté primale des animaux sauvages. Je prends très au sérieux cette incroyable opportunité car nous sommes tous des animaux."
La première action de Ke$ha en tant qu’ambassadrice mondiale du HSI a été de demander à tous ses fans de signer la pétition pour l’arrêt de la cruauté envers les animaux en 2013.
Une belle initiative qui permet à Ke$ha de rejoindre les stars qui se sont engagées pour défendre la cause animale telle que Pamela Andreson avec la PETA ou encore Brigitte Bardot avec sa célèbre fondation pour la défense des animaux.
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Un homme ayant déposé lundi une femelle sharpeï et ses petits devant un refuge de Montgeron, dans l'Essonne, pourrait être poursuivi par le refuge pour "actes de cruauté", rapporte Le Parisien. En tout, il aurait eu, depuis décembre 2010, pas moins de 24 chiens et chiots qu'il a fini par délaisser. Jeudi dernier, il avait déjà été interpellé à Montgeron alors qu'il tentait de passer cinq chiens de race sharpeï par-dessus la grille du refuge.
Son explication : "on m'a vendu des chiens avec des problèmes aux yeux ou encore une patte tordue". La fondation Brigitte Bardot pourrait s'associer à la plainte du refuge.
Bruno Ricard
Cédric MERCIER, Président de l'Association Terre sacrée, vient de recevoir cette lettre de deux pages du Chef de cabinet du Ministère de la culture, Frédéric SALLET, à propos de l'inscription de la corrida au patrimoine immatériel de la France. (Lettre du 24 août 2011. Ref : CC/25099/BBR) A lire avec attention et à transmettre d'urgence aux associations anti-corrida que vous connaissez et à B.B. bien sûr !
Monsieur le Président,
Vous avez bien voulu faire part à Monsieur Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication, des réactions que vous inspire l'inscription de la corrida à l'inventaire du
patrimoine culturel immatériel de la France.
Le ministre a pris bonne note des arguments que vous exposez et m'a chargé de vous apporter les éléments de réponse suivants.
La convention internationale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, adoptée dans le cadre de l'UNESCO en 2003, et approuvée par la France en 2006, fait obligation aux états parties à cette convention d'établir un recensement des éléments de patrimoine immatériel existant sur leur territoire. Il s'agit d'une démarche à visée scientifique, fondée sur la seule existence factuelle de ces éléments, et qui ne constitue en rien une forme de reconnaissance de la part de l'État, ni de promotion ou de mise en valeur particulière ; en soi, elle ne constitue aucune forme de protection juridique et reste sans influence sur les législations ou réglementations éventuellement applicables aux activités recensées.
En ce sens, elle est fondamentalement différente de l'inscription au patrimoine culturel immatériel de l'Humanité, également instituée par la même convention, laquelle emporte une reconnaissance de la valeur universelle de l'élément inscrit et peut entraîner des obligations de protection de la part des états concernés, s'il apparaît que l'existence de cet élément est menacée.
L'inscription de la tauromachie sur la liste du patrimoine immatériel français se situe strictement dans le cadre de ces principes juridiques et scientifiques. Elle ne vise qu'à constater, sur la base de critères ethnologiques, l'existence de pratiques tauromachiques, sur plusieurs parties du territoire français, et ne saurait en rien constituer, de la part de l'état, une forme particulière de reconnaissance de quelque forme que ce soit à l'égard de ces pratiques. Elle n'a aucun impact sur le régime juridique dérogatoire applicable à la corrida en France, tel qu'il résulte en particulier des articles R. 521-1, R.654-1 et R. 655-1 du code pénal, éclairés par la jurisprudence des juridictions compétentes. Elle n'ouvre droit à aucun concours financier de la part de l'État, notamment sous la forme d'une subvention. Enfin, elle ne constitue pas la première étape d'une procédure d'inscription au patrimoine culturel de l'Humanité, que le Gouvernement français n'entend pas soutenir auprès de l'UNESCO.
Pour l'ensemble de ces motifs, il n'est pas envisageable de revenir sur l'inscription telle qu'elle a été prononcée. Les débats que cette dernière a suscités mettent néanmoins en lumière la nécessité de mieux faire connaître les différentes procédures d'inscription, dont les éléments du patrimoine immatériel sont susceptibles de faire l'objet, et d'organiser de manière plus rigoureuse, sur le plan scientifique et juridique, leur mise en oeuvre sur le territoire français.
C'est la raison pour laquelle le ministre de la Culture et de la Communication s'apprête à signer un arrêté créant un Comité du patrimoine ethnologique et immatériel, qui le conseillera sur
l'ensemble des questions relatives à l'application sur le territoire national de la convention de 2003. Il sera composé en majorité de personnalités qualifiées choisies en raison de leurs
compétences dans le domaine du patrimoine ethnologique et immatériel et d'élus désignés par leurs associations représentatives. Les propositions d'inscription qu'il retiendra devront faire
l'objet d'une approbation expresse du ministre. Ainsi pourra se poursuivre, dans
des conditions optimisées, un travail essentiel à la connaissance de toutes les composantes du patrimoine.
Espérant que ces éléments vous permettront de mieux apprécier la position du
ministère sur ce dossier, je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes sentiments les meilleurs.
Lulu Gainsbourg, le fils de Serge Gainsbourg, va sortir le 14 novembre un album hommage de reprise des tubes de son père. Intitulé From Gainsbourg to Lulu, l’album comprend notamment une reprise de Bonnie and Clyde, en duo avec Scarlett Johansson –qui chante en anglais la partie de Brigitte Bardot. Pour le clip, le chanteur et la comédienne ont repris des images du making of de la pub qu’elle a tourné pour la marque de champagne Moët et Chandon, dont elle est l’égérie. Scarlett Johansson en B.B. des temps modernes, du Gainsbarre, des petites bulles... la chanson a tout le glamour qu’il faut pour fonctionner!
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Comédien, journaliste, chanteur ou politique, chacun se rappelle où il était et ce qu'il faisait le 11 septembre 2001. Voici quelques témoignages.
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Témoignages. Racontez-nous votre 11-Septembre
11-Septembre. Dix ans après, l'identification des victimes se poursuit
THIERRY ARDISSON,
producteur-animateur : "J'étais dans mon bureau, à ma société de production. Je préparais des questions pour mes prochains invités, dont Jamel Debbouze. J'ai décidé d'en ajouter une, à
savoir s'il pensait que cette tragédie risquait de changer les choses pour les musulmans".
BRIGITTE
BARDOT, actrice et dirigeante d'une fondation de défense des animaux : "J'étais chez moi. C'est ma fondation qui m'a
contactée pour que j'allume la télé. J'étais bouleversée et ne croyais pas ce qui se déroulait sous mes yeux : des images de fin du monde, d'apocalypse ! J'ai eu une pensée particulière pour les
pompiers morts dans les tours, des hommes d'un courage exceptionnel, qui, une fois de plus, avaient sacrifié leur vie pour sauver celle des autres".
LAURENT BOYER, animateur de
France 3 : "J'étais en direct sur RTL, avec le chanteur Yves Simon. On avait les images du premier accident sans le son sur une télé. On a pensé : "C'est un petit avion, c'est un
accident". Ensuite, le deuxième avion, ça a été la stupéfaction. C'était tétanisant. On s'est dit : "C'est un attentat ou une guerre". Ensuite, j'ai tenu l'antenne pendant six heures en faisant
le relais pour les journalistes".
CLAUDIA
CARDINALE, comédienne : "Je regardais une émission chez moi lorsqu'il y a eu un flash spécial. Un avion venait de percuter la première tour. C'était irréel ! Et là, en
direct, je vois le deuxième avion. J'ai cru qu'il s'agissait d'un "replay"... La journaliste criait. Le plus terrible, c'était de voir ça en direct (...). Sur le moment, on ne comprend rien, on
ne pense pas au terrorisme, on pense aux gens qui sont dans les tours, dans les avions. J'étais complètement hypnotisée. J'ai regardé cette horreur en appelant ma fille toutes les cinq minutes.
Puis, la première tour s'est effondrée et j'ai fondu en larmes".
ANTOINE DE
CAUNES, réalisateur, comédien : "On était en tournage dans les Cévennes, dans une zone sans aucun signal. Quand on est arrivé à l'hôtel, le personnel nous a raconté et
on a cru à un canular. On était complètement décalé : on sortait de notre comédie en costumes du XVIIe siècle ! Ma deuxième réaction fut de penser que c'était un scénario génial, hallucinant.
Mais très vite, j'ai été saisi de colère et de peur. En plus, New York est une ville chère à mon coeur, j'y ai plein d'amis que je n'arrivais pas à joindre".
ARIELLE DOMBASLE, chanteuse,
comédienne : "Je sortais de chez le fleuriste avec des lys blancs dans les mains. Les premières images que j'ai vues, ce sont celles de gens couverts de cendres blanches qui marchaient,
hagards, accrochés parfois à leur sac ou leur sacoche et qui s'entraidaient. J'ai fondu en larmes sans bien comprendre tellement ces scènes dépassaient les films de science-fiction. Depuis,
chaque fois que je vois des lys, j'y repense".
LOUIS GALLOIS, président
exécutif d'EADS : "Je participais au conseil d'administration d'EADS. J'étais assis en face de Jean-Luc Lagardère quand l'un de ses assistants est arrivé et lui a glissé quelques mots à
l'oreille. Lagardère a pali et nous a expliqué qu'un avion avait percuté l'une des tours du World Trade Center (...). Quelques minutes plus tard, le même assistant revient. La télévision a
été allumée; nous avons assisté médusés à la rediffusion des attaques, prenant conscience brutalement qu'il s'agissait du plus grand attentat de l'histoire. Jean-Luc Lagardère a, bien entendu,
ajourné la séance. Nous avions l'esprit ailleurs".
MAXIME LE FORESTIER, chanteur
: "J'ai appris l'événement à la radio. Je venais de déposer mon fils à l'école à Montmartre. Pour la première tour, je me suis dit "C'est un accident", mais pour la deuxième, j'ai
compris que c'était un attentat et que quelque chose avait basculé. C'est la première fois que l'Amérique était atteinte sur son sol avec une telle violence et ça allait forcément changer le
rapport des Américains avec le reste du monde".
MARINE LE PEN, présidente du Front
national : "J'étais au Paquebot (le siège du FN à l'époque, ndlr). J'en garde un souvenir ahuri, comme l'immense majorité de ceux qui ont vécu l'événement en direct.
J'ai vu le deuxième avion percuter la deuxième tour. Pendant un certain nombre de minutes, chacun a cru qu'il s'agissait d'un accident exceptionnellement choquant".
JULIEN LEPERS, animateur de
France 3 : "J'étais dans un studio d'enregistrement avec un producteur de disques. On m'a dit qu'il se passait quelque chose, j'ai regardé la télé, je n'en suis pas revenu. J'ai tout de
suite pris la voiture pour rentrer chez moi le plus vite possible. J'ai allumé la télé comme tout le monde. J'ai été choqué, c'est le moins que l'on puisse dire. Pour la télé, il y a eu un avant
et un après 11-Septembre".
MIREILLE MATHIEU, chanteuse :
"J'étais chez moi. La télé était allumée et je téléphonais en même temps à un ami. Tout d'un coup, j'ai vu sur l'écran un avion entrer dans une tour ! J'ai cru que c'était un film et que ce
n'était pas vrai. La personne au bout du fil a vu la même chose. "Est-ce que tu vois ce que je vois ?", m'a-t-elle dit. On a compris que c'était une tragédie qui se déroulait en direct. C'était
irréel, impensable. L'année suivante, en 2002, à l'invitation de Bernadette Chirac et du président du Sénat, j'ai chanté "La Marseillaise" dans les jardins du Luxembourg, en présence d'une
délégation de pompiers et policiers de New York. J'étais très émue".
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"Ça prend deux ans pour apprendre à parler mais toute une vie pour apprendre à la fermer"
Certains prennent un malin plaisir à attaquer Brigitte pour un oui ou, pour un non sans aucun fondement et sans raison, vous allez me dire « ce n’est pas nouveau » certes depuis que « Brigitte est Bardot » cela n’a jamais cessé, mais là sur Face book on atteint le paroxysme de la connerie humaine, sur cette page un sombre abruti ayant comme QI, le QI d’une huître (excusez moi les huîtres) , il faut absolument dénoncer cette page auprès de Face Book pour vous faire une idée sur cet odieux personnage et signaler cette horreur cliquez sur : http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=273165832694325&id=1446540294#!/pages/Anti-Brigitte-Bardot/111956222198072
Page de soutient à Brigitte : http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=273165832694325&id=1446540294
Je compte sur vous !
Merci mille fois pour votre mobilisation
Bruno Ricard
Web Master