Brigitte Bardot ne cesse d’inspirer et revient ponctuellement dans nos vestiaires l’été venu, que ce soit à travers une paire de ballerines, ou une petite robe Vichy. Pour célébrer cette icône
sixties, et son sens du style, une marque vient de se lancer, sobrement baptisée Brigitte Bardot. Un mode forcément B.B.
Sarah Ohana est une créatrice maligne et mutine qui signe pour 2012 la marque qui va cartonner, Brigitte Bardot. Interrogée par le Journal du Textile, elle ne tarit pas d’éloge sur sa source
d’inspiration: «Nous souhaitons respecter au plus près la volonté de Brigitte Bardot. Chaque modèle, chaque détail est pensé dans cet esprit, confie la créatrice.» Et son
vestiaire pour l’été nous donne une folle envie de battre le pavé sur la promenade de Saint-Trop'.
Nul doute que les inconditionnels de l’actrice époque Et Dieu créa la femme se rueront sur cette ligne désuète mais modernisée. On adore les combi-shorts couleur saumon au petit col
sage et bordures à vague, les bikinis en vichy rouge gansés de dentelles très B.B. Un vichy qui se décline sur des petites robes dans des tonalités jaunes, ou encore des versions
bustier de couleur bleue. Rien n’est oublié du vestiaire stylé de Brigitte Bardot -beauté indomptable du cinéma, aussi bien connue pour sa fougue que pour son implication dans la défense des
animaux- des tops en crochet aux pantalons à carreaux, sans oublier les volants ou encore les t-shirts imprimés, on essaye tout, sans modération.
«Nous visons en cœur de cible une clientèle de femme de 18 à 40 ans qui sont particulièrement nostalgiques de ces années heureuses, poursuit la designer. Mais nous sommes
convaincus que les très jeunes filles et les femmes plus matures vont aussi craquer pour certaines pièces emblématiques.» Une griffe à découvrir absolument pour l’été prochain, ou l’hiver 2012.
A une seule condition toutefois: pas de cuir ni de fourrure, pour respecter les idées - controversées- de Brigitte Bardot.
Rendez-vous sur le sitewww.brigitte-bardot.frpour découvrir toute la collection estivale!
Christophe Marie, directeur du Bureau protection animale de la Fondation Brigitte-Bardot vient d'envoyer un courrier au ministre de la Culture Frédéric Mitterrand. Sa lettre
dénonce le projet de corrida à Seissan et relance le ministre sur l'arrêté qu'il a signé le 12 janvier mais qui n'est toujours pas publié. «Ce dernier permettra de demander la révision de
l'inscription de la corrida à l'inventaire du patrimoine immatériel puisque cette inscription s'est faite de manière opaque et en contradiction avec les principes de la Convention pour la
sauvegarde du patrimoine culturel immatériel» indique la Fondation Brigitte-Bardot dans un communiqué .
Fédération des Luttes pour l'Abolition des Corridas
Représentant 250 000 adhérents fédérés
Après la liste falsifiée de politiques français en 2010, juste avant l'abolition de la corrida en Catalogne espagnole, l'ONCT
-Observatoire National des Cultures Taurines- récidive en dévoilant un collectif de soi-disant 150 psychiatres et neuropsychiatres vantant le « rôle éminemment formateur de la corrida auprès des
enfants ».
Après un long travail d'investigation, la FLAC a obtenu les réponses de 91 des médecins incriminés (sur 141). Ce collectif est
complètement mensonger. Voir lien ci-dessous:
La FLAC dénonce une fois de plus le monde taurin qui outrepasse scandaleusement les limites de la décence. Mettre en cause la
déontologie de médecins par cette liste fallacieuse et porter atteinte au bon développement de nos enfants est particulièrement choquant et immoral.
Une plainte déposée par certains médecins trompés est envisagée auprès du Conseil de l'Ordre de Paris et de
Toulouse.
Le 16 février 2012, « Envoyé Spécial » sur France 2 a créé l’évènement en diffusant une enquête sur la viande et les conditions d’abattage des animaux de boucherie.
Plus de 3 500 000 téléspectateurs étaient devant leur écran, ils ont été nombreux à être scandalisés d’apprendre que l’égorgement à vif des bêtes s’était généralisé en France au point
d’être majoritaire. Ainsi, 100% des abattoirs en Ile-de-France (excepté un abattoir de porcs) ne font plus que de l’abattage rituel.
Cet électrochoc rappelle, par son ampleur, celui d’il y a tout juste 50 ans lorsque Brigitte Bardot était intervenue sur le plateau de « 5 colonnes à la Une » pour dénoncer les
conditions de mise à mort des animaux dans les abattoirs. Cinquante ans après, et alors que les réglementations européennes et nationales imposent désormais l’étourdissement des bêtes avant leur
saignée, la situation semble être redevenue aussi dramatique pour les animaux.
100% des animaux abattus en Ile-de-France sont égorgés conscients
Le 21 février, alors que la polémique prend de l’ampleur, la Chambre d’Agriculture confirme que 100% de la viande abattue en Ile-de-France l'est selon les traditions musulmane et juive. Dans son
communiqué, la Chambre d’Agriculture précise que les opérateurs ont privilégié un procédé unique d’abattage rituel pour des raisons de simplification des process et poussés par la réduction des
coûts… avec le « consentement coupable des services de l’Etat ».
51% des animaux égorgés à vif en France
Dans un rapport de novembre 2011, le Conseil Général de l’Alimentation, de l’Agriculture et des Espaces Ruraux précise que 51% des abattages pratiqués en France sont des abattages rituels…
Rappelons que les consommateurs musulmans et juifs représentent 7% de l’ensemble des consommateurs, 44% des bêtes (on parle ici de plusieurs millions d’animaux) sont égorgées à vif en totale
infraction avec la réglementation puisqu’aucune nécessité cultuelle ne peut être invoquée (les viandes se retrouvant dans le circuit classique sans aucune indication pour le consommateur).
Le ministre de l’Intérieur ment ouvertement aux Français
Monsieur Claude Guéant, alors ministre de l’Intérieur chargé des Cultes, aurait mieux fait de se taire plutôt que déclarer comme il l’a fait, le 20 février au Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro :
« Les services vétérinaires veillent à ce que les abattoirs acheminent leur production halal vers le public qui souhaite consommer halal », laissant penser que les consommateurs ne
consomment pas, à leur insu, de viande issue de ce type d’abattage… Soit le ministre ne connaît pas ce sujet qui relève pourtant de ses compétences, et c’est grave, soit il trompe
délibérément les Français, et c’est inacceptable !
N’oublions pas qu’avant M. Guéant, Mme Alliot-Marie puis M. Hortefeux (bien aidés par M. Le Maire) ont exercé un lobby acharné pour mettre en échec la proposition d’étiquetage
européen sur les viandes issues d’un abattage rituel. En effet, en avril 2011, le Parlement européen a voté une réglementation visant à instaurer une traçabilité des viandes pour les
consommateurs en imposant notamment un étiquetage précisant les conditions d’abattage. Cet amendement adopté par le Parlement européen a été rejeté par le Conseil des ministres européens, sous la
pression particulière des ministres français.
Nicolas Sarkozy, le grand démagogue
Alors que la politique de la France, sous le gouvernement Fillon, a été de saborder toute possibilité de légiférer sur l’abattage rituel, que ce soit pour imposer l’étourdissement des bêtes ou, a
minima, l’étiquetage des viandes, le Président-candidat se dit soudainement favorable à l’étiquetage des viandes pour permettre aux consommateurs de choisir en toute connaissance de cause… Virage
à 90% que le candidat revendique mais que le Président, toujours en fonction, ne prend pas.
Promesses électorales
« Je veux, maintenant, que les abattoirs halal s’engagent, concrètement et rapidement, dans la voie d’une généralisation de l’étourdissement préalable », voilà ce qu’écrivait, le 22
décembre 2006, Nicolas Sarkozy à la Fondation Brigitte Bardot. Un quinquennat plus tard, ce n’est pas l’étourdissement préalable mais bien l’égorgement des bêtes en toute conscience qui s’est
généralisé, ce qui permet d’apprécier le grand écart qui sépare la parole du candidat et les actes du Président…
Jusqu’à 14 minutes d’agonie
Dans son rapport d’expertise scientifique sur les douleurs animales de décembre 2009, l’INRA (Institut National de Recherche Agronomique) indique que les bovins, après avoir eu la gorge tranchée,
peuvent mettre jusqu’à 14 minutes avant de perdre conscience…14 minutes d’agonie et de souffrance extrême !
Pour la Fédération des vétérinaires d’Europe : « l’abattage des animaux sans étourdissement préalable est inacceptable en toute circonstance », avis que les défenseurs des animaux
partagent bien évidemment.
Mais ce qui est d’autant plus incompréhensible, choquant, dans cette souffrance c’est qu’elle n’est pas imposée par la religion musulmane comme l’a confirmé, en février 2006 dans « Filières
Avicoles », le Dr Dalil Boubakeur, Recteur de la Grande Mosquée de Paris et alors Président du Conseil Français du Culte Musulman : « J’ai personnellement assuré à Brigitte Bardot,
lorsque je l’ai rencontrée, que l’Islam n’est pas hostile à l’étourdissement mais à condition qu’il ne soit pas irréversible ».
La réversibilité de l’étourdissement des animaux d’abattoir a été établie, en décembre 2006, par l’Académie vétérinaire de France qui a remis un rapport au ministère de l’Agriculture dans lequel
on peut lire : « L’étourdissement électrique des animaux de boucherie, et notamment des ovins, est réversible s’il est correctement appliqué ; l’animal soumis à cette forme
d’étourdissement reste vivant, mais dans un état d’inconscience et d’insensibilité à la douleur »
Discrimination
Aujourd’hui, les consommateurs n’ont pas le même droit à l’information. Si les juifs peuvent acheter casher et les musulmans halal, en toute connaissance de cause, les autres consommateurs sont
sciemment maintenus dans l’ignorance. Il leur est en effet impossible de connaître le mode d’abattage des animaux vendus en boucherie, en grandes surfaces, dans les restaurants, les cantines,
etc. Pourquoi ce refus de transparence, cette volonté de maintenir le consommateur lambda dans l’ignorance ?
Le combat mené par la Fondation Brigitte Bardot, depuis plus de 20 ans, contre l’égorgement des bêtes vient de trouver une nouvelle dimension après la polémique soulevée par « Envoyé
Spécial ». La levée de l’omerta qui entourait jusqu’à présent les conditions d’abattage et la distribution des viandes pourrait entraîner des réformes, du moins, si le soufflet ne retombe
pas aussi vite qu’il est monté… Quoi qu’il en soit, pour éviter d’inutiles souffrances aux animaux, le meilleur moyen et le plus facile aussi est encore de ne plus en
consommer !
Alors que la Fashion Week de Paris touche à sa fin, Relaxnews a voulu en savoir plus sur l’univers de la créatrice Agnès b., qui présentait sa collection automne-hiver 2012 le mardi 6
mars. Interview.
Relaxnews : Quel est, à vos yeux, l'accessoire indispensable ? Agnès b. : Le lipstick, parce qu'un baiser sans moustaches... (!)
R. : Quelle pièce ne fera jamais partie de votre garde-robe ? A.b. : Absolument rien de tout autre créateur, parce que je n'en ai ni l'envie, ni le temps, et j'adore les miens.
R. : Quelle personnalité, vivante ou morte, ou quel personnage de fiction, rêvez-vous secrètement de faire défiler ?
A.b. :Brigitte Bardot à 20 ans
dans "Et Dieu... créa la femme" de Roger Vadim ou dans "Le Mépris" de Jean-Luc Godard.
R. : Quel métier auriez-vous exercé si vous n'étiez pas devenu créatrice ?
A.b. : A 15 ans, je voulais être conservateur de musée... La vie en a décidé autrement.
R. : Quelle chanson associez-vous à la collection présentée lors des défilés parisiens Automne-Hiver 2012-2013 ?
A.b. : L'album de Georges-Henri Guedj et le Stabat Mater de Vivaldi, interprété par David Daniels.
R. : Souvenez-vous... Quelles sont les toutes premières émotions que vous avez ressenties à Paris ? A.b. : J'habitais Versailles et je me souviens des toilettes aux murs recouverts de graffitis aux Invalides lorsque je prenais le train à 11 ans pour aller à Paris.
C’est comme rédactrice de mode qu’Agnès Troublé fait ses premiers pas dans le monde de la mode, avant d’être embauchée comme attachée de presse par la marque Dorothée Bis. A cette époque, elle
travaille également en tant que créatrice free-lance pour Pierre Alby, V de V et Eversbin.
En 1973, elle lance avec son ex-mari Christian Bourgeois sa propre griffe : Agnès b. et ouvre deux ans plus tard sa première boutique parisienne. Le succès de ses créations
simples, élégantes et sobres permettent l’ouverture d’autres points de vente dans la capitale, en province mais aussi à l’étranger.
La petite Frenchie conquiert l’Amérique en installant un magasin à New York en 1980, puis Tokyo quelques années plus tard. Comme si cela ne lui suffisait pas, Agnès Troublé se lance aussi dans le
milieu de la cosmétique, avec des collaborations notamment avec "Le Club des Créateurs de beauté".
Passionnée par l’art contemporain, la créatrice a également ouvert une galerie à Paris dans les années 1980. Cette touche-à-tout reste aujourd’hui une référence dans le monde de la mode.
La Fondation Brigitte Bardot pour la protection des animaux dénonce un éventuel projet de corrida... alors que le maire de la commune dément l'existence d'un tel projet.
La Fondation Brigitte Bardot
vient d’écrire au ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, pour dénoncer un projet d’une éventuelle corrida à Seissan, à 25 km d’Auch.
François Rivière, le maire de Seissan, réfute totalement le projet de corrida dans sa ville. « Nous organisons un encierro tous les premiers week-end de septembre depuis les années 1970.
Dans notre théâtre de verdure, on peut, en effet, accueillir une corrida mais, pour le moment, il n’existe aucun projet de corrida. Le seul spectacle taurin que nous avons c’est une
becerrada, sans mise à mort. »
Brigitte Bardot en 2003 à l'Assemblée pour une conférence sur le transport des animaux de boucherie
Dans une lettre, BB accuse Nicolas Sarkozy d'être responsable de "l'égorgement à vif généralisé". Celle-ci a-t-elle égaré un administrateur de la page Facebook de Marine Le Pen ? Il a été
"remercié" pour avoir annoncé que l'ex-star voterait FN.
Dans une lettre ouverte virulente publiée lundi 5 mars sur le site de sa Fondation, Brigitte Bardot s'en prend à Nicolas Sarkozy après "ces derniers propos sur l''étiquetage des viandes".
Samedi à Bordeaux, le chef de l'Etat, candidat à sa réélection, avait déclaré qu'il voulait "l’étiquetage des viandes selon la méthode d’abattage", à la suite de la polémique créée par Marine Le Pen sur la viande halal, selon elle, non
identifiée en circulation en Ile-de-France.
"Vos derniers propos sur l’étiquetage des viandes provenant d’animaux égorgés à vif, dans des conditions ignobles, me donnent la nausée car ils témoignent de toute votre malhonnêteté !", écrit
l'ex-star de cinéma.
"C'est par votre faute que l'égorgement à vif s'est généralisé en France"
"En avril dernier, poursuit-elle, le Parlement européen a voté une réglementation dans ce sens mais ce sont vos ministres, suivant vos consignes, qui ont exercé un lobby dévastateur pour
mettre en échec ce texte européen. C'est par vous et par votre faute que l'égorgement à vif s'est généralisé en France, par votre faute que les consommateurs français sont trompés".
"Cet abattage cruel, qui peut entraîner l’agonie des bovins pendant 14 minutes après avoir eu la gorge tranchée, cette barbarie immonde représente aujourd’hui 51% des abattages en France alors
que vous m’aviez fait la promesse, lors des entretiens que vous m’avez accordés, que vous mettriez un terme à cette barbarie", poursuit BB.
Et de conclure : "Vous voulez imposer un étiquetage des viandes ? Eh bien allez-y, vous êtes Président, il me semble donc inutile de vous cacher derrière votre étiquette de candidat pour faire
des promesses que vous ne tiendrez pas !"
Un administrateur de la page Facebook de Marine Le Pen "remercié"
Cette lettre a-t-elle été traduite en termes de ralliement au Front National par un des administrateurs de la page Facebook de Marine Le Pen ? Le FN a publié lundi soir le bref communiqué
suivant :
"Un administrateur de la page Facebook de Marine Le Pen a cru pouvoir indiquer que Brigitte Bardot voterait pour la candidate. Cette information est erronée et l'administrateur a été
immédiatement remercié."
Les 34 brebis qu’Alain Issartel a recueillies depuis le 14 février ne seront pas euthanasiées.
Il a été décidé, cet après-midi, lors d’une réunion à la mairie des Estables qu’après un séjour de deux mois en quarantaine chez un éleveur de Haute-Loire, elles seront recueillies par l’un des
centres de la Fondation Brigitte-Bardot.
Traçabilité oblige, ces bêtes n’ayant jamais été identifiées, il était impossible pour Alain Issartel de continuer à les élever pour qu’elles réintégrent ensuite la chaîne alimentaire.
L’euthanasie, un temps envisagée, était la solution suscitant le plus d’opposition, notamment celle du maire des Estables, Paul Michel.
Restait alors à déterminer qui pouvait les accueillir et en prendre soin. Et seule la Fondation Bardot a semblé être en mesure de le faire. Les bêtes seront ainsi identifiées, vaccinées, et ils
pourront finir leur vie dans les verts pâturages des Yvelines ou de Normandie.
« Les grands gagnants de l’histoire, ce sont les moutons. C’est une belle république. Aux frais de la princesse, ils ne seront jamais tués », sourit Alain Issartel.
L’éleveur est certes déçu de ne pas pouvoir les garder. Mais il se dit aussi satisfait de les avoir sauvés deux fois : la première en les recueillant, la seconde en les préservant de
l’euthanasie, ayant alerté de son histoire les médias locaux.
Maintenant, il faut bien l’avouer, il les a assez vus. Il souhaite les voir quitter son exploitation « dès que possible », certainement en début de semaine prochaine.
La commune des Estables, sur laquelle ont été trouvées les bêtes, s’est engagée à le dédommager du fourrage qu’il a donné aux moutons. Alain Issartel ne demande rien d’autre.
Une enquête de la gendarmerie est en cours pour trouver le propriétaire de ces animaux et pour déterminer les raisons pour lesquelles ils n’étaient pas identifiés, comme la loi l’y oblige.