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Israël interdit le commerce de toute fourrure animale pour la mode !

Publié le par Ricard Bruno

L’État hébreu est devenu mercredi le premier pays à bannir totalement la vente et l’achat de fourrure, à l’exception de raisons religieuses ou scientifiques.

 

«Israël est le premier pays au monde à fermer ses portes à cette cruelle industrie», a écrit Jane Halevy-Moreno, directrice de la Coalition internationale anti-fourrure (IAFC).

«Israël est le premier pays au monde à fermer ses portes à cette cruelle industrie», a écrit Jane Halevy-Moreno, directrice de la Coalition internationale anti-fourrure (IAFC).

Israël a interdit mercredi par décret ministériel le commerce de fourrure animale pour la mode, devenant le premier pays à adopter une législation aussi stricte, a annoncé le Ministère de l’environnement.

«Souffrances inimaginables»

«Le commerce de fourrure animale, import et export, sera interdit sauf pour les besoins de la recherche, de l’enseignement et de certaines traditions religieuses», affirme le ministère dans un communiqué, précisant que l’interdiction entrera en vigueur dans six mois.

L’utilisation de la fourrure, rituellement utilisée pour les «Schtreimel», ce chapeau de véritable fourrure que portent certains juifs ultra-orthodoxes, reste donc autorisée.

«L’industrie du commerce de la fourrure provoque des souffrances inimaginables aux animaux et ce décret va transformer le marché de la mode israélienne le rendant meilleur sur le plan du respect des normes environnementales», a déclaré dans le communiqué Gila Gamliel, la ministre de l’Environnement.

Le ministère a également publié une lettre envoyée par Jane Halevy-Moreno, directrice de la Coalition internationale anti-fourrure (IAFC), saluant ce décret qualifié de «geste historique».

Élevage interdit depuis 1976

«Israël est le premier pays au monde à fermer ses portes à cette cruelle industrie», écrit Mme Halevy-Moreno.

Israël avait déjà interdit en 1976 l’élevage d’animaux pour leur fourrure.

Plusieurs pays à travers le monde ont instauré des interdictions partielles de commerce de la fourrure, notamment pour des espèces particulièrement menacées, comme le phoque.

L’interdiction totale du commerce de fourrure n’est en vigueur que dans certaines villes, comme São Paulo au Brésil ou encore dans l’État de Californie. L’Inde a déjà passé une réglementation similaire à l’échelle du pays, mais seulement pour les peaux de vison, de renard et de chinchilla.

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Brigitte Bardot en photos...Rares et/ou inédites !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en photos...Rares et/ou inédites !
Brigitte Bardot en photos...Rares et/ou inédites !
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L’ÉDITORIAL DE BRIGITTE BARDOT

Publié le par Ricard Bruno

L’ÉDITORIAL DE BRIGITTE BARDOT

« L'homme a peu de chances de cesser d'être un tortionnaire pour l'homme, tant qu'il continuera à apprendre sur l’animal son métier de bourreau. »

Marguerite Yourcenar
 

C’est un grand chamboulement mortel qui nous avertit de nos multiples erreurs, de nos ravages, de notre suprématie si fragile face à un minuscule virus contre lequel aucune des armes les plus sophistiquées et destructrices, qui faisaient notre abominable force, ne pourront nous protéger. La démographie affolante de l’homme n’avait qu’un seul prédateur, l’homme. Ce sont donc les hommes qui se détruiront massivement, ce qui redonnera à la planète la chaîne écologique qu’ils n’auraient jamais dû déséquilibrer.

Pour tenter de vaincre ce qui parait invincible, les savants, les biologistes, les chercheurs du monde entier expérimentent leurs trouvailles chimiques sur tous les animaux du monde, c’est la course au vainqueur, au futur Nobel qui aura trouvé le Graal, sauveur laissant derrière lui des milliers de cadavres qui auront souffert, agonisé, hurlé de leurs souffrances sous l’œil froid et attentif du vainqueur. Ces animaux, pauvres cobayes dont on prend la vie pour sauver celle des hommes qui les martyrisent, les chassent, les mangent, les dépouillent, les exposent et les font travailler durement. C’est injuste !

Tant de choses sont injustes dans notre société où seule la réussite financière a de la valeur. Voilà ce qui nous mène : « la course au pognon, au pouvoir d’achat, à la réussite coûte que coûte, robotise l’être qui était humain. Cette déshumanisation bétonnée, suralimentée et superficialisée nous désensibilise de l’essentiel ».

Les religions qui devraient élever nos âmes, nous guider vers l’empathie, la sensibilité, la générosité, la pitié, la méditation, sont les premières à nous inculquer le goût du sacrifice animal. Les rituels Halal et Casher chez les musulmans et les juifs et l’agneau Pascal chez les catholiques. Je suis catholique et choquée par cette tradition cruelle qui m’éloigne de ces simagrées traditionnelles inventées par les hommes pour s’en foutre plein la panse le jour de Pâques.

 

TOUT ÇA N’EST PAS BIEN JOLI

A ce propos, je tiens à dire à ceux qui se sont désabonnés de notre journal, le trouvant trop dur, choquant, insupportable, que nous sommes aussi choqués, épuisés, horrifiés par ce que nous vivons quotidiennement, par ce que nous voyons pour de vrai, par toutes ces abominations que l’être humain fait subir aux animaux que nous devons dénoncer pour que le monde soit averti de ce qu’il ignore.

A bientôt,

Brigitte Bardot
Présidente

Cet éditorial a été publié dans l'Info-Journal numéro 113 (2ème trimestre 2020).

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LETTRE OUVERTE : L’EXTENSION D’UN ÉLEVAGE PORCIN PROVOQUE LA COLÈRE DE BRIGITTE BARDOT !

Publié le par Ricard Bruno

LETTRE OUVERTE : L’EXTENSION D’UN ÉLEVAGE PORCIN PROVOQUE LA COLÈRE DE BRIGITTE BARDOT !
L’extension d’un élevage porcin provoque la colère de Brigitte Bardot qui interpelle le Préfet du Pas-de-Calais « ces élevages nous plongent dans la honte, on ne peut accepter de faire subir cette infamie à des êtres sensibles, plus intelligents que nombre d’humains dépourvus… d’humanité et de compassion » :

Paris, le 8 juin 2021

Monsieur le Préfet,


L’extension d’un élevage de porcs à Robecq, multipliant par trois le nombre d’animaux détenus en bâtiment sur caillebotis, soulève le cœur, l’indignation et la colère des défenseurs des animaux, de l’environnement et des habitants de cette commune rurale.
Comment peut-on trouver normal d’enfermer des milliers de cochons dans des bâtiments industriels où ils ne peuvent exprimer leur comportement naturel ? Animaux mutilés, castrés à vif, confinés dans un environnement hostile et carcéral.
Ces élevages nous plongent dans la honte, on ne peut accepter de faire subir cette infamie à des êtres sensibles, plus intelligents que nombre d’humains dépourvus… d’humanité et de compassion.
Monsieur le Préfet, ne prenez pas exemple sur les élevages intensifs de Bretagne dont les conséquences sur la nature sont désastreuses, en plus de l’être sur la condition animale. Cette «ferme-usine» scandalise, vous devez entendre les arguments du collectif« Respire», que je soutiens, et agir en conséquence.
Je compte sur vous pour stopper cette escalade vers le toujours plus intensif, le toujours plus polluant, le toujours plus de souffrances et détresses animales.
Monsieur le Préfet, donnez un exemple d’humanité dans ce monde déshumanisé, je place mon espoir en vous.

 

Brigitte Bardot
                                                                                       
 Présidente 

ENSEMBLE, EXIGEONS LA FIN DE LA MALTRAITANCE ANIMALE !

Pétition officielle 100% sécurisée, lancée par la Fondation Brigitte Bardot 

Source : Fondation Brigitte Bardot

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Pendant 4 jours, un petit chien a attendu son propriétaire qui s’est suicidé en sautant d’un pont

Publié le par Ricard Bruno

Pendant 4 jours, un petit chien a attendu son propriétaire qui s’est suicidé en sautant d’un pont

La vidéo et les photos du chien ont ému les gens sur les réseaux sociaux, qui ne pensaient pas qu’un animal puisse autant aimer son maître.

Dès que les images ont été postées sur les réseaux sociaux, des milliers de personnes ont eu beaucoup de compassion pour le jeune chien, qui attendait sur le pont le moment où son propriétaire réapparaîtrait.

 

Il y a encore des gens qui n’y croient pas, mais les animaux sont tout autant capables d’aimer que les humains. Leur affection, leur dévotion et leur loyauté sont grandes.

Quand certains animaux aiment, ils sont capables de donner le meilleur d’eux-mêmes, c’est l’amour qui les anime, ainsi que le désir d’être près de la personne qu’ils aiment. Les chiens n’aiment pas par intérêt, ni pour l’apparence d’une personne, ils sont capables de voir avec le cœur, de comprendre les sentiments de leur propriétaire .

Selon un article du Daily Mail, un chien fidèle a passé quatre jours à attendre le retour de son propriétaire sur un pont.

Les récits de personnes qui ont suivi l’affaire en Chine montrent que le maître de l’animal s’est suicidé en sautant de ce pont, et le pauvre chien a été témoin de la scène, mais est resté près de la barrière pendant quatre longues journées.

 

Chaque fois que des personnes tentaient de le secourir, il s’enfuyait et retournait à l’endroit exact où il se trouvait, près de la barrière. Le fidèle animal de compagnie était assis sur le trottoir du pont Yangtze à Wuhan, d’où son propriétaire se serait jeté. La vidéo et les photos du chien ont ému les gens sur les réseaux sociaux, qui n’en revenaient pas de voir à quel point il aimait son maître.

Cette personne a voulu l’emmener chez lui, mais dès qu’il a tenté de l’attraper, il s’est enfui, montrant une fois de plus qu’il refusait de partir sans son propriétaire.

Le directeur de l’Association de protection des animaux de Wuhan, Du Fan, est tombé sur la publication de Xu sur les réseaux sociaux et a décidé de commencer à chercher l’animal, avec des bénévoles locaux.

Les agents de pont ont été invités à vérifier ce qui s’était exactement passé le soir du suicide, car il faisait très sombre et les images prises par les caméras de sécurité ne révélaient presque rien.

 

Ils ont simplement vu que le propriétaire du chien avait sauté. M. Du et des bénévoles sont partis à la recherche de l’animal, qui n’a plus été vu à cet endroit. Les bénévoles espèrent le retrouver pour lui trouver une nouvelle famille

 

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Brigitte Bardot en photos...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en photos...
Brigitte Bardot en photos...
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Insolite : une Sarthoise retrouve son chat en Haute-Savoie... onze ans après sa disparition

Publié le par Ricard Bruno

En février 2010, Alicia Desmons avait perdu son chat, Angie, lorsqu'elle habitait à Desingy en Haute-Savoie. La boule de poils, très affaiblie, a été retrouvée et identifiée dimanche 30 mai. Sa maîtresse n'a pas hésité à faire 18h de route pour la ramener chez elle, en Sarthe.

Alicia a finalement ramené Angie en Sarthe, onze ans après leur séparation en Haute-Savoie - Alicia Desmons

Alicia a finalement ramené Angie en Sarthe, onze ans après leur séparation en Haute-Savoie - Alicia Desmons

C'est un cadeau de fête des mères pour le moins inattendu, publié sur les réseaux sociaux et repéré par Le Dauphiné Libéré. Dimanche 30 mai, alors qu'elle est à la plage en famille, Alicia Desmons reçoit un coup de fil qui la ramène onze ans en arrière. "Un vétérinaire de Seyssel, en Haute-Savoie, près de là où j'habitais il y a quelques années, me dit qu'il a une petite minette de 14 ans avec lui. J'ai immédiatement pensé à Angie", raconte la mère de famille désormais installée à Tresson près du Grand Lucé. Angie, c'est sa chatte, perdue en février 2010. "J'ai pleuré, j'étais sidéré, j'avais les mains qui tremblaient en écoutant le vétérinaire".

 

Au bout du fil, Cyril Armand, vétérinaire à la Clinique vétérinaire du Mont des Princes. "J'ai été contacté par un couple qui a trouvé _un chat très affaibli, qui pesait moins de trois kilos_, souffrant d'une inflammation à la bouche. Grâce à l'identification électronique, j'ai finalement pu trouver les coordonnées d'Alicia", explique-t-il, avant d'ajouter "je lui ai proposé de la soigner quelques temps pour qu'elle puisse s'organiser pour venir jusqu'à la clinique. Je ne pensais pas qu'elle serait là si vite...". 

Dix-huit heures de route pour les retrouvailles

Effectivement, Alicia ne perd pas de temps. Après des discussions avec son mari, elle prend la route depuis la Sarthe "à trois heures du matin. Après m'être un petit peu perdue, je n'ai pu arriver devant la clinique qu'à 14h30". Après onze ans, les retrouvailles sont remplies d'émotion : "_les gens devant la clinique connaissaient l'histoire, ils m'ont laissée passer devant. Dès que j'ai ouvert la cage, elle s'est mise à ronronner très fort, elle s'est levée alors qu'elle était très faible. J'ai tremblé, j'ai pleuré tout ce que je pouvais_". 

L'émotion est aussi largement partagée par l'équipe vétérinaire. "On est plutôt habitué à annoncer de mauvaises nouvelles alors la voir retrouver sa petite minette, c'était très émouvant pour nous", reconnaît Cyril Armand, d'autant que désormais "un lien s'est créé, Alicia nous envoie des photos d'Angie dans sa nouvelle maison". 

L'état de santé d'Angie toujours surveillé par les vétérinaires

Angie n'a d'ailleurs pas eu besoin de beaucoup de temps pour s'acclimater. "C'est fou, à l'époque elle avait l'habitude de s'installer au pied du lit, ce qu'elle fait encore maintenant", s'amuse Alicia, "_elle n'a pas peur des enfants alors qu'elle ne les connaît pas_. J'avais un bébé en 2010 quand elle était avec moi, aujourd'hui j'en ai six et le fameux bébé il a douze ans..."

Angie n'a pas pu rester très longtemps en compagnie de son ancienne (et nouvelle) famille. Très amaigrie, elle reprend désormais des forces à la clinique vétérinaire de Thorigné-sur-Dué, à qui la clinique haut-savoyarde a transmis le dossier. 

 

Source de l'article : Cliquez ICI

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Livre "Vérité BB" Interview de Pascal Louvrier à Sud Radio...

Publié le par Ricard Bruno

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Un chasseur à courre de l’Oise condamné pour l’agression d’un promeneur en forêt de Chantilly

Publié le par Ricard Bruno

L’altercation a eu lieu lors d’une chasse, en 2019. Jean-Baptiste A. a été condamné jeudi pour s’en être pris physiquement à un homme qu’il avait dans un premier temps désigné comme son agresseur.

Les faits remontent à 2019. Les chasseurs avaient dans un premier temps désigné l'homme comme l'agresseur. L'enquête lui a finalement reconnu le statut de victime.

Les faits remontent à 2019. Les chasseurs avaient dans un premier temps désigné l'homme comme l'agresseur. L'enquête lui a finalement reconnu le statut de victime.

L’audience n’a pas encore véritablement commencé que la présidente du tribunal correctionnel de Senlis prévient l’assemblée. « J’entends que les débats se déroulent dans le calme, ce n’est pas le procès de la chasse à courre qui va se dérouler aujourd’hui. » C’est dans un contexte forcément explosif que s’est tenu, ce jeudi, le jugement d’un ancien membre d’un équipage de vénerie accusé d’avoir violenté un promeneur en 2019.

Il s’agit de l’un des nombreux épisodes de tensions qui ont animé le département ces dernières années, entre partisans de la chasse et leurs détracteurs. Des membres de l’association Abolissons la Vénerie (AVA) était d’ailleurs présents à l’audience, qui s’est déroulée dans le calme. Le prévenu, Jean-Baptiste A., un homme d’une quarantaine d’années habitant le Sud Oise, a été condamné à verser 1000 euros à sa victime.

Roué de coups ou simplement maintenu au sol ?

Ce mardi 10 décembre 2019, Adrien* se promène dans la forêt de Chantilly quand il entend arriver un équipage de chasse à courre. Selon lui, il se met alors au milieu du chemin, bras écarté, avec le bâton qu’il tenait en main jusque-là, pour qu’ils s’arrêtent. Son bâton heurte alors plusieurs chevaux, dont l’un qui s’emballe, projetant violemment son cavalier au sol avant de sauver. Il est retrouvé plus tard, à Lamorlaye.

Alors qu’il regagne sa voiture, Adrien est rattrapé par Jean-Baptiste A. et de là, deux versions s’opposent. Pour le premier, il est plaqué au sol et roué de coups. Il lui sera d’ailleurs diagnostiqué de multiples ecchymoses ainsi qu’une côte fêlée. Le second, qui nie les violences, assure avoir simplement voulu le retenir, sur ordre d’un membre de l’équipage Rallye Trois Forêts, avant l’arrivée des gendarmes.

Car pour les veneurs, Adrien s’est bel et bien acharné sur les chevaux. Lui qui travaille dans le monde hippique l’assure, il n’avait aucune intention de faire du mal aux animaux. Néanmoins, lorsque la gendarmerie arrive, il est menotté et placé en garde à vue. Mais durant l’enquête, les militaires sont intrigués.

« Qui êtes-vous pour vous permettre d’immobiliser quelqu’un de la sorte ? »

« Devant l’absence d’éléments à charge dans la procédure, le mis en cause ressortait d’avantage comme une victime, a assuré la procureure, qui n’a pas manqué de sermonner le prévenu. Qui êtes-vous pour vous permettre d’immobiliser quelqu’un de la sorte ? N’aviez-vous pas d’autres solutions ? » La question se posait en constatant l’allure frêle de la victime face aux 95 kg de son agresseur.

Pour l’avocat qui intervenait en défense de Jean-Baptiste A., il y a deux poids, deux mesures. « Le cavalier qui a chuté a eu 45 jours d’ITT mais ce n’est pas cette affaire qu’a décidé de juger le parquet de Senlis, s’est-il époumoné. Les anti-chasses multiplient les agressions, les signalements sont nombreux et pourtant, ils ne donnent jamais rien. »

Forcément, le point de vue d’Ava n’est pas le même. « La justice reconnaît enfin au promeneur le statut de victime, d’une agression mais aussi d’une machination éhontée de la part des chasseurs à courre dont aucune des accusations mensongères n’ont finalement été retenues par l’enquête », se réjouit le collectif, dans un communiqué.

Source de l'article : Cliquez ICI

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