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Signez la pétition Pour un nouveau statut juridique de l'animal

Publié le par Ricard Bruno

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Une Suite "Brigitte Bardot" à l'Hôtel de Paris Saint-Tropez

Publié le par Ricard Bruno

Entièrement rénové l'an dernier, le mythique établissement de la cité balnéaire azuréenne lance sa saison 2014 avec trois nouveautés : une nouvelle suite rendant hommage à "BB", un spa Clarins ainsi qu'un restaurant sur le toit. Le lieu incontournable dans les années 60-70, fermé en 1992, mais rouvert en 2013 après deux années d'intenses travaux, a longtemps été fréquenté par des personnalités du monde du spectacle, comme Brigitte Bardot. C'est donc tout naturellement que l'actrice a accepté de rendre hommage à cet emblème tropézien en dédicaçant des photos inédites d'elle, exposées dans la nouvelle suite "Dolce Vita". Les hôtes pourront y lire des messages variées tels que "Amitié à vie" ou encore "Moi, je suis faite pour dormir", tous signés de l'actrice. En duplex, ce petit appartement présidentiel s'étend sur 130 m² et dispose d'une cave à vin personnelle. La terrasse privée de 70 m² donne sur le golfe de Saint-Tropez, avec jacuzzi privatif. Sur demande, les occupants peuvent réclamer un transfert en limousine ou en hélicoptère. Compter 5.000€ pour une nuit et jusqu'à 10.000€ en haute saison pour dormir dans cette luxueuse suite. La nouvelle saison de l'hôtel est également marquée par l'inauguration du tout nouveau spa by Clarins équipé de cinq cabines dont une proposant les soins exclusifs MyBlend, d'un hamam, d'un sauna ainsi que d'une fontaine à glace. Les vacanciers pourront également découvrir le restaurant japonais situé sur le toit, The Roof, proposant une cuisine mêlant les saveurs du Japon à celles de la Méditerranée, signée du duo Tsumoru Takano et Laurent Inoué.

Source : Cliquez ICI

Plus d'informations et réservations Cliquez ICI

Une Suite "Brigitte Bardot" à l'Hôtel de Paris Saint-Tropez

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Si l'animal n'est pas un meuble, quels sont ses droits ?

Publié le par Ricard Bruno

Merci à Josy Borselli pour m'avoir signalé cet article...

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Si l'animal n'est pas un meuble, quels sont ses droits ?

Par VIOLAINE DE MONTCLOS (Journal LE POINT)

~~Scène vécue au zoo du Jardin des Plantes (Paris), devant la cage des orangs-outans. Une femelle se déplace, debout, traînant derrière elle un long tissu blanchâtre à la manière dont nos bébés traînent souvent des morceaux d'étoffe, des "pinpins", des "doudous". Sourires dans le public. Puis la voilà qui escalade les parois de sa cage, introduit le tissu dans le grillage, fait un noeud, tire avec application pour en éprouver la solidité. Un noeud ! Le public s'est figé. Même opération avec l'autre extrémité du tissu, noué bien serré et un peu plus bas. Une surface d'étoffe souple est désormais attachée à la cage : un hamac, dans lequel le grand singe prend place avant de tourner son regard, lentement, vers les hommes qui l'observent. Plus personne, parmi les adultes, les enfants, ne sourit. Cet orang-outan vient de fabriquer un hamac et le rire anthropomorphique a cédé la place au vertige. Comment justifier la place de ce singe, et la nôtre, chacun de part et d'autre de cette paroi grillagée ? Il était si facile, il y a vingt ans à peine, de chasser ce vertige face au monde animal, ce sentiment fugace qui nous a tous saisis, un jour ou l'autre, devant le sommeil peuplé de rêves, les larmes, les pitreries ou le regard d'une bête : son asservissement est-il juste ? Seulement, il y a vingt ans, on croyait encore au "propre de l'homme", à tout ce qui, faisant défaut à l'animal, nous permettait d'occuper sans angoisse une place ontologique à part : au sommet du vivant, radicalement différents, objectivement supérieurs. Or, l'évolution spectaculaire de la science, en particulier - mais pas seulement - au contact des grands singes, met depuis peu ce dogme à rude épreuve, nous dépouillant petit à petit de tous ces attributs dont on croyait que l'espèce humaine avait l'exclusivité. Le rire, le langage, la conscience de soi et de sa finitude, le tabou de l'inceste, la honte, la réconciliation, le sens de la justice et de la réciprocité, mais aussi les luttes de pouvoir, l'intimidation et les règlements de comptes, tout cela fait partie, c'est désormais prouvé, de la vie animale - au moins du destin de nombre de mammifères. L'anthropocentrisme s'effondre, l'"animal-machine" de Descartes ne convainc plus personne, les digues du propre de l'homme ont sauté et nous laissent, devant la cage de ce zoo urbain, en proie à un vertige que plus rien ne dissipe. Qui est cet animal ? La cause animale sort du ridicule : Réponse, d'après notre Code civil : ce singe ne vaut pas plus, juridiquement, que le hamac qu'il vient de fabriquer. Ce singe est une chaise, une porte, une machine à laver, rangé comme ces objets, dans notre droit français, dans la catégorie des "biens". Pour extraire les animaux de cette catégorie juridique, préalable nécessaire, estiment-ils, à tout débat sur le droit animal, vingt-quatre intellectuels ont signé un manifeste publié, fin octobre, par la Fondation 30 Millions d'amis. Parmi eux, Élisabeth de Fontenay et Boris Cyrulnik, mais aussi Alain Finkielkraut, Michel Onfray, Edgar Morin, Luc Ferry, des juristes, des historiens, des philosophes que leur incontestable stature intellectuelle interdit de traiter avec la commisération réservée d'ordinaire, en France, aux défenseurs de la cause animale, jugés au mieux immatures, au pire politiquement suspects. Depuis dix ans, nos sciences sociales vivent un "tournant animaliste", sociologues et historiens osant s'intéresser à ce qui aurait à coup sûr jadis fait bondir leurs aînés : le point de vue animal. Le sujet n'est plus une marotte d'illuminés ou de misanthropes. Il s'intellectualise. Et le juriste Jean-Pierre Marguénaud, signataire de ce manifeste, de citer le philosophe John Stuart Mill : "Tout grand mouvement doit faire l'expérience de trois étapes : le ridicule, la discussion, l'adoption." "Je crois que la cause des animaux est en train de sortir du ridicule, dit Marguénaud . Il ne suffira plus à ses contempteurs de mettre les rieurs de leur côté. Maintenant, il va falloir entrer dans le raisonnement. Extraire les animaux de la catégorie des biens est un premier pas, et le débat sera long." Incohérence : Car nous sommes, vis-à-vis de ces êtres dont nous avons fait des biens monnayables, englués dans une inconfortable schizophrénie. Un lapin peut être chéri comme compagnon du cercle familial, dégusté en fricassée ou étendu sur une table de vivisection. Il est interdit de sodomiser un animal domestique, comme l'apprit à ses dépens un fonctionnaire français condamné pour sévices sexuels sur son poney en 2005 ; il est permis, pourtant, de le manger. Il est illégal de goûter la chair d'espèces en voie d'extinction. Mais aucune loi ne protège ces dernières d'éventuels assauts sexuels des humains. Que dire, enfin, de ces jugements de divorce qui attribuent sans ambages le chien, le chat ou l'oiseau domestique au membre du couple avec lequel le lien affectif est le plus fort, alors que ce chien, ce chat ou cet oiseau n'a pas plus de valeur, toujours d'après notre Code civil, qu'un écran plat ou qu'une poêle à frire ? Pour retrouver une cohérence, il faudrait donc réinventer, sinon démanteler, la frontière ontologique qui nous sépare d'eux. Premier obstacle de taille : si les droits de l'homme reposent sur la conviction qu'un homme, quel qu'il soit, en vaut exactement un autre, les droits de l'animal se heurtent à l'hétérogénéité évidente de l'animalité. "Le règne animal, cela n'existe pas, s'agace l'historien Damien Baldin. Il faudrait s'interdire d'employer ce terme, animal, qui ne recouvre aucune réalité biologique, sociale ou historique. Qu'ont en commun le plancton, le moustique, le cheval ?" Un "cauchemar anglo-saxon ?": Autre difficulté, majeure : trouver un consensus dans nos sociétés occidentales traversées, vis-à-vis des bêtes, d'options irréconciliables - la violence inouïe des débats sur l'abattage rituel, la corrida ou la chasse en témoigne. En bout de chaîne, le philosophe américain Tom Regan et le bioéthicien australien Peter Singer, chefs de file de l'antispécisme, ce mouvement radical qui assimile la différenciation des espèces à du racisme et enjoint de se préoccuper de la souffrance du poisson au même titre que de celle du bébé humain. Et, à l'autre extrémité, les défenseurs d'un humanisme sans remords, qui voient dans cet égalitarisme confus une trahison de notre socle culturel et, par ricochet, de nos traditions rurales et gastronomiques. "Le monde est en train de devenir un cauchemar anglo-saxon", écrivait dans Le Point l'écrivain Richard Millet, se revendiquant consommateur de viande de cheval. Pas de viande, s'il vous plaît. Car l'un des grands enjeux du débat est là. Si les animaux ne sont plus des biens, osera-t-on encore déguster leur chair ? Et si oui, jusqu'à quel point notre plaisir d'homme justifie-t-il leurs souffrances de bêtes ? Choqués par les scandales agroalimentaires, marqués par des confessions de végétariens moins austères que ne l'étaient leurs aînés - Faut-il manger les animaux ? (L'Olivier) de Jonathan Safran Foer, aux États-Unis, No steak (Fayard) d'Aymeric Caron, en France -, les Occidentaux se détournent, lentement mais de façon significative, de la chair animale : partout, dans le monde développé, la consommation de viande baisse. Loin des yeux : En diffusant un simple petit film sur les conditions de gavage imposées par une maison de foie gras fournissant les tables étoilées, l'association antispéciste L214 vient de convaincre Joël Robuchon et le chef britannique Gordon Ramsay de mettre fin à leurs commandes chez ce producteur. Les images, éprouvantes, montraient des volatiles sanguinolents, souffrant, cherchant l'air entre deux gavages mécaniques. "La difficulté est de donner à voir cette vérité, explique Brigitte Gothière, porte-parole de l'association. Les abattoirs, les élevages industriels sont impossibles à pénétrer. Ceux qui nous critiquent en appellent à nos traditions, au savoir-faire de nos fermiers, à un compagnonnage entre éleveurs et bêtes qui n'a rien à voir avec la réalité actuelle de l'industrie agroalimentaire." Dans son Histoire des animaux domestiques (Seuil), Damien Baldin démontre précisément combien l'amour des animaux, leur acceptation dans le cercle familial, le souci de leur protection sont allés, au XIXe et au XXe siècle, de pair avec l'essor, à la frontière des villes, des fourrières et des abattoirs. "Il y a les bêtes élues du cercle familial et celles, loin des yeux, dont nous ne voulons pas voir le sang, les souffrances", dit-il. Il y a, au zoo du Jardin des plantes, un grand singe enfermé qui de ses longs doigts fait des noeuds, comme vous, comme moi. A-t-il des droits ?

Si l'animal n'est pas un meuble, quels sont ses droits ?

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Brigitte Bardot dans le "Trou Normand"...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot dans le "Trou Normand"...
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Assemblée: les animaux ne sont plus "des biens meubles" mais "être vivants doués de sensibilité"

Publié le par Ricard Bruno

La commission des Lois de l'Assemblée nationale a reconnu ce mardi aux animaux la qualité "d'être vivants doués de sensibilité", alors que jusqu'à maintenant le Code civil les considère comme "des biens meubles", selon une source parlementaire. Cette modification législative fait l'objet d'une pétition lancée il y a près de deux ans par la fondation de protection animale 30 Millions d'amis, et qui a reçu le soutien de plusieurs intellectuels. La commission a adopté un amendement socialiste en ce sens, dans le cadre d'un projet de loi de modernisation et de simplification du droit, qui sera soumis au vote dans l'hémicycle, ce mardi soir et mercredi. Actuellement, le code rural et le code pénal "reconnaissent, explicitement ou implicitement, les animaux comme +des êtres vivants et sensibles+" mais pas le Code civil, explique les auteurs de l'amendement, au premier chef le député PS des Hautes-Pyrénées Jean Glavany. L'amendement doit permettre, selon eux, de "concilier la qualification juridique et la valeur affective" de l'animal. "Pour parvenir à un régime juridique de l'animal cohérent, dans un souci d'harmonisation de nos différents codes et de modernisation du droit, l'amendement donne une définition juridique de l'animal, être vivant et doué de sensibilité, et soumet expressément les animaux au régime juridique des biens corporels en mettant l'accent sur les lois spéciales qui les protègent". 89% des Français sont favorables à une telle modification du Code civil, selon un sondage Ifop réalisé fin octobre pour 30 millions d'amis. A la même période, une vingtaine d'intellectuels, philosophes, écrivains, historiens et scientifiques français se sont également prononcé en ce sens. Il s'agit notamment des philosophes Michel Onfray et Luc Ferry, de l'écrivain Erik Orsenna, de l'Académie française, de l'astrophysicien Hubert Reeves, président de Humanité et Biodiversité, et de Matthieu Ricard, moine bouddhiste et docteur en génétique cellulaire.

Source : Cliquez ICI

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Brigitte Bardot en photos...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en photos...Brigitte Bardot en photos...Brigitte Bardot en photos...
Brigitte Bardot en photos...Brigitte Bardot en photos...
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Publié le par Ricard Bruno

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Zoom sur la collection B.B Printemps/Eté 2014...

Publié le par Ricard Bruno

Sugar Town

Bonjour tout le monde!
Il y a des marques qui sont profondément faites pour vous. C'est comme ça, ça ne s'explique pas vraiment, mais voilà, c'est comme si chacun des vêtements avaient été dessinés, pensés, pour vous faire plaisir.
C'est le cas de la marque Brigitte Bardot.
Je suis déjà une grande fane de l'icône, de la femme, de l'actrice, la maman de la femme moderne, l'égérie intemporelle de nos gardes-robes. C'est donc tout naturellement que je craque, à chaque saison, pour ce que nous propose la marque Brigitte Bardot. Il y en a pour tous les goûts, tous les styles, on passe par toutes les périodes: BB femme-enfant, BB femme fatale, BB années 50, BB années 60 et même BB années 70.
C'est une caverne d'Ali Baba qui regorge de jolies choses, de belles coupes, de beaux tissus et qui nous émerveille à chaque fois un peu plus.
En septembre dernier, je me suis rendue au salon Paris Première Classe, qui avait lieu aux Tuileries, et la marque avait un stand.
J'ai shooté toute la collection SS14 comme une névrosée, et j'ai gardé bien au chaud ces précieuses photos pour le jour J.
Voilà les petites merveilles que vous pourrez découvrir bientôt en boutique et sur l'e-shop de la marque. J'ai déjà mes favoris, mes coups de cœur, et je sais déjà ce sur quoi je vais me jeter!
Je vous laisse découvrir la collection, à bientôt! ;)
***
There are brands that are deeply for you. It's like that, it does not really explained, but it is as if each clothing had been designed, designed to make you happy .
This is the case of the mark Brigitte Bardot .I'm already a big fane of the icon, the woman , the actress , the mother of the modern woman , the timeless face of our wardrobes . It is therefore natural that I fall , each season, for what we offer the brand Brigitte Bardot. There's something for everyone , all styles , it goes through all the periods : BB woman - child , BB femme fatale BB 50', 60' and even 70's .
This is an Ali Baba cavern full of pretty things , beautiful cuts, beautiful fabrics and amazes us each time a little more.
Last September, I went to Paris Première Classe , which took place at the Tuileries, and the brand had a booth.I shot the entire SS14 collection as a neurotic , and I kept warm for those precious photos on D-DayThere are the little wonders that you can be discovered soon on the shop and the e -shop brand . I have my favorite and I already know what I 'm going to jump !
I let you discover the collection! ;)

L'article entier

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Brigitte Bardot...nouveau livre..."MAI 67" de "Colombe Schneck"...

Publié le par Ricard Bruno

Il s'agit ici d'un roman, une histoire totalement imaginée par "Colombe Schneck"...

Résumé : Le 29 mai 67, tu as noué dans tes cheveux un foulard à motif jaune et bleu et une mèche de tes cheveux s'est échappée de ce chignon retenu par un foulard. Le sais-tu, toi, que ce jour-là une mèche blonde a glissé de ce tissu serré jaune et bleu ? Je découvre et j'admire tout, ce foulard jaune et bleu, un grain de beauté plat et clair sur ta joue gauche, cette manière que tu as de te tenir debout dans un léger déhanchement, l'odeur mentholée de la lotion que tu appliques sur tes jambes après les avoir exposées au soleil. Ces mots "dégoûtant', "rigolo' qui étaient si nouveaux et qui ne le sont plus, la première télévision couleur, les premiers cinémas d'art et d'essai, les premières pilules contraceptives, tes jupes beaucoup trop courtes, la chanson "Summer of Love' que l'on écoutait à la radio, tout cela est toujours présent. Tu me conduis, ce printemps-là, vers la modernité. "

Broché: 257 pages

Editeur : ROBERT LAFFONT

Sortie 3 avril 2014

Collection : ROMAN

Langue : Français

ISBN-10: 2221114426

ISBN-13: 978-2221114421

Pour le commander c'est ICI

Qui est Colombe Schneck

~~Colombe Schneck née à Paris2 en 1966. Elle est diplômée de l'Institut d'études politiques de Paris3 et titulaire d'une maîtrise de Droit public de l'université Paris 2. Elle a été journaliste à Arrêt sur images de 1995 à 1999[réf. souhaitée]4, l'émission de décryptage des médias de Daniel Schneidermann, avant de rejoindre en 2000[réf. souhaitée] le groupe Canal+ (NPA Midi et Soir, L'Appartement5, etc.) et plus particulièrement i>Télé, la chaîne d'information en continu du groupe. De septembre 2006 à juin 2009, elle produit et présente également J'ai mes sources, une émission quotidienne consacrée aux médias diffusée sur France Inter du lundi au vendredi de 9 h 35 à 10 h. De septembre 2009 à juin 2012, elle produit et présente l'émission littéraire Les liaisons heureuses le samedi après-midi sur France Inter en partenariat avec Le Monde des Livres, après avoir été chroniqueuse dans l'émission Le Fou du roi sur cette même radio6. Depuis septembre 2012, elle écrit une chronique littéraire quotidienne diffusée sur France Inter. Dans son roman, La Réparation (2012), elle restitue une partie de l'histoire de sa famille disparue à Auschwitz2,7. Ce livre est traduit en italien et en polonais, il est en cours de traduction en allemand, hollandais et chinois. En 2013, elle obtient une résidence d'écriture à la Villa Médicis et une bourse de la mission Stendhal décernée par l'Institut Français. Bibliographie L'Increvable Monsieur Schneck, Paris, éditions Stock, coll. « La Bleue »,‎ 8 mars 2006, 123 p. (ISBN 978-2-234-05904-7, présentation en ligne) décerné par le GREC, groupe de recherche de l'extrême contemporain de l'Université de Bari (Italie) Sa petite chérie, Paris, éditions Stock, coll. « La Bleue »,‎ 25 janvier 2007, poche, 121 p. (ISBN 978-2-234-05974-0, présentation en ligne) Finaliste du prix Roger-Nimier 2007. Val de Grâce, Paris, éditions Stock, coll. « La Bleue »,‎ 20 août 2008, 144 p. (ISBN 978-2-234-06159-0, présentation en ligne) Grand Prix de l'Héroïne Madame Figaro 20098. Sélectionné pour les prix Renaudot, Interallié et des Deux Magots 2008. Une femme célèbre, Paris, éditions Stock, coll. « La Bleue »,‎ 18 août 2010, 156 p. (ISBN 978-2-234-06246-7, présentation en ligne) (consacré à Denise Glaser) Prix Anna de Noailles de l'Académie française 2011. Sélectionné pour les Prix Interallié et du Flore 2010. La Réparation, Paris, éditions Grasset & Fasquelle, coll. « Jaune »,‎ 22 août 2012, 224 p. (ISBN 978-2-246-78894-2)9 prix Thyde Monnier de la Société des Gens de Lettres. Sélectionné pour les prix Femina, Interallié, Grand prix des lectrices du magazine "Elle". Mon petit Calder, illustrations d'Iris de Moüy, édition Helium Filmographie Nucléaire, un si long silence, Riff production, diffusion la Cinquième, janvier 1999 Quand je suis tombé dans la télévision, Riff productions, diffusion La Cinquième juin 1999 Femmes Suspectes, Elzevir productions, diffusion Arte, tournage en 2013.

(source Wikipédia)

Brigitte Bardot...nouveau livre..."MAI 67" de "Colombe Schneck"...

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