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Ottawa ne veut pas renoncer à chasser les phoques!

Publié le par Ricard Bruno

En dépit des protestations internationales de plus en plus nombreuses, le Canada ne peut se résoudre à la mort d'une industrie déjà sur le déclin.
 
« CETTE pratique inhumaine n'est pas digne du peuple canadien. Il n'y a aucune bonne raison pour laisser cette boucherie absurde continuer », affirme le démocrate Tom Lantos. Président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants, il est à l'origine de la résolution américaine, approuvée lundi dernier et demandant à Ottawa de mettre fin à la chasse aux bébés phoques. Depuis, les médias et le gouvernement canadien ne parlent plus que de la « trahison » américaine.
 
« Le gouvernement du Canada luttera contre les interdictions de ce type sur tous les fronts. C'est le moyen de subsistance de nombreuses personnes qui est en jeu », tonne le ministre des Affaires étrangères, Peter McKay. Les premières campagnes contre l'extermination des bébés phoques ont commencé à la fin des années 1960. Depuis le milieu des années 1970, tant Greenpeace que Brigitte Bardot ou Paul McCartney ont multiplié les voyages dans les provinces maritimes du Canada pour dénoncer cette chasse.
 
La fourrure des blanchons
 
Les Canadiens sont conscients de l'ombre jetée par ces campagnes sur leur image à l'étranger, mais leur gouvernement affirme que l'interdiction de chasser les « blanchons », les bébés phoques, est respectée depuis une loi de 1987. Les organisations de défense des animaux clament le contraire et montrent des photos de bébés phoques agonisant sur la glace. Ottawa jure ses grands dieux que ces clichés ont été pris avant 1987. Les Canadiens jouent habilement sur les mots. Le ministère des Pêches et Océans ne mentionne pas que, passé l'âge de 12 jours et à partir du moment où il perd sa fourrure blanche, un phoque n'est plus considéré comme un bébé. Il peut dès lors être chassé, au même titre que le sont les 5,8 millions de phoques du Canada. L'Américain Tom Lantos assure, lui, que 95 % des 300 000 phoques abattus chaque année le sont avant l'âge de trois mois.
 
Récemment, la Belgique, les Pays-Bas et l'Italie ont interdit l'importation et la commercialisation des produits dérivés du phoque. Les autres pays de l'Union européenne étudient des mesures similaires. Le Mexique s'est joint au concert des protestations.
 
Si la chasse aux phoques a longtemps été une activité économique importante pour le Canada, en 2006, les exportations canadiennes de peaux de phoque n'ont été que de 16,4 millions de dollars. La résolution américaine pourrait donner le coup de grâce à une industrie sur le déclin, mais il y aura un dernier baroud d'honneur. En milieu de semaine, les Canadiens se sont tournés vers l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Ils demandent la tenue de consultations officielles dans le cadre du processus de règlement des différends commerciaux de l'OMC afin de trouver une solution. Les Canadiens n'en démordent pas : l'interdit belge relève de l'atteinte au commerce international.
 
Cette année, les autorités canadiennes ont autorisé la chasse de 270 000 phoques, soit 65 000 de moins que l'an dernier. Ottawa estime à 5,5 millions le troupeau de phoques du Groenland dans ses eaux et affirme que la chasse ne menace pas sa survie.

Source : http://www.lefigaro.fr/international/20070804.FIG000000889_ottawa_ne_veut_pas_renoncer_a_chasser_les_phoques.html

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Le Canada veut sauver la chasse au phoque

Publié le par Ricard Bruno

mac-cartney-sur-la-banquise-et-phoque.jpg
David Boily AFP ¦ Sur les glaces flottant à la surface du golfe du majestueux Saint-Laurent, l'ancien Beatle Paul McCartney et son épouse Heather ont réclamé jeudi la fin de la chasse "brutale" aux phoques, pratiquée au Canada depuis des siècles. 
" Mon commentaire : Comment peut on laisser perpétrer ce génocide animalier " En un mot comme en cent : boycott du Canada ! 
Bruno Ricard


Le Canada veut protéger… la chasse au phoque. De plus en plus de pays interdisent les produits issus de ce mammifère arctique, menaçant les débouchés d’une pratique contestée depuis le célèbre cri poussé sur la banquise en 1977 par Brigitte Bardot. Pour arrêter cette vague de boycott, Ottawa a décidé mardi d’attaquer la Belgique devant l’Organisation mondiale du commerce. En janvier dernier, le «Plat pays» avait pris la décision de cesser les importations de produits à base de phoque, suivi en juillet par les Pays-Bas.
 
«Le gouvernement croit que l'interdiction par la Belgique de l'importation et de la commercialisation de produits dérivés du phoque contrevient aux obligations de la Belgique en matière de commerce international dans le cadre de l'OMC», a déclaré mardi le ministre canadien du commerce international, David Emerson. Le gouvernement veut empêcher de la sorte que d’autres pays, comme la France ou l’Allemagne, se lancent eux aussi dans ce type d’embargo.

Le Canada se voit aussi attaquer par le Congrès américain qui lui a demandé, lundi, de cesser la chasse au phoque. «Cette activité a été vérifiée par des vétérinaires indépendants. Le Canada n’a rien à cacher», a répondu le ministère du Commerce international canadien qui juge cette décision «mal informée».

270.000 phoques chassés

Cette année, les autorités canadiennes ont autorisé la chasse de 270.000 phoques, un chiffre en baisse de 65.000 par rapport à 2006. Elles estiment la population totale à 5,5 millions d’individus et affirment que la chasse ne menace pas la survie de l’espèce. Selon le quotidien canadien «La Presse», il y aurait environ 300 chasseurs actifs au Canada. La chasse aux phoques alimente la production de peau, de fourrure, de viande et d’huile riche en Oméga-3.

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Chasse au phoque Washington s'en mêle!

Publié le par Ricard Bruno

Chasse au phoque

Washington s'en mêle

phoques-carcasse-chasseur

Les membres de la Chambre des représentants des États-Unis ont adopté une résolution qui presse le Canada de mettre un terme à la chasse commerciale au phoque.

L'instigateur du projet de loi, le démocrate Tom Lantos, a estimé lundi que cette « pratique est en-dessous de la dignité du peuple du Canada ». Selon lui, 95 % des phoques tués depuis trois ans étaient âgés de moins de 12 semaines.

Le texte souligne que les lois canadiennes permettent de chasser les bébés phoques dès que la couleur de leur duvet n'est plus tout à fait blanche, soit dès qu'ils atteignent 12 jours. Les représentants s'inquiètent également de l'augmentation du nombre de phoques tués depuis 30 ans.

Le Sénat américain se penche lui aussi sur une résolution similaire, déposée en mars dernier.

Brigitte Bardot

Brigitte Bardot, en 2006, lors de son passage à Ottawa

Au printemps 2006, Brigitte Bardot et Paul McCartney, entre autres, avaient réitéré leurs demandes au gouvernement canadien de mettre un terme à la chasse au phoque.

Des sénateurs canadiens s'étaient alors outrés de l'intensification de la campagne internationale à cet égard. La libérale Céline Hervieux-Payette avait entre autres invité une citoyenne américaine à dénoncer les mauvais traitements que le président George W. Bush réservait aux civils irakiens avant de s'inquiéter du sort des phoques au Canada.

En mars 2006, le gouvernement Harper a publié un plan quinquennal (2006 à 2010) à propos de la chasse au phoque. L'année dernière, il a autorisé la capture de 325 000 bêtes. Ce nombre sera réévalué à chaque année, en fonction de l'équilibre entre la conservation de l'espèce et les besoins de l'industrie.

Il y a 30 ans, les quotas de chasse étaient d'environ 125 000 phoques par année. La chasse aux blanchons est toutefois interdite au Canada depuis 1987.

Sopurce : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2007/07/30/002-congres-vs-chasse-phoque.shtml

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BB dans 50mn Inside >> samedi 30 juin TF1

Publié le par Ricard Bruno

50mm-inside-aliagas-et-quetier.jpgCette semaine encore, le magazine « 50mn Inside », présenté par Sandrine Quétier et Nikos Aliagas, va décrypter la vie des célébrités françaises et étrangères. Six nouvelles enquêtes et reportages sont au sommaire du numéro diffusé samedi 30 juin à 18h55 sur TF1 :


Brigitte Bardot a-t-elle eu raison d'abandonner le septième art ?
« Et Dieu créa la femme »
le film de Roger Vadim l'avait sacrée « sex symbol international » à 22 ans. Elle a choisi de renoncer au cinéma et de mettre, très jeune, un terme à sa carrière d'actrice. Comment s'est construit le mythe Bardot ? A Saint-Tropez, ses proches témoignent.

Source : http://www.coulisses-tv.fr/modules.php?name=News&file=article&sid=3380

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Brigitte Bardot sur France 3 à 23h20

Publié le par Ricard Bruno

mireille-dumas-et-brigitte-bardot.jpg
Le mardi 26 06 2007 A 23h20
Vie privée, vie publique Brigitte Bardot sur France 3

Presentateur : Mireille Dumas

Argent, famille : un sujet qui fâche ?

Mireille Dumas propose de découvrir les images de sa rencontre en exclusivité avec Brigitte Bardot, qui a accepté de la recevoir à la Madrague. Mais auparavant, l'animatrice ouvre le débat sur le thème de l'argent et des conflits qu'il peut susciter dans le couple, comme dans la famille. Charlotte de Turckheim, qui a réalisé le film «Les Aristos», descendante d'une famille originale, qui a toujours vécu bien au-dessus de ses moyens, évoque les déboires de ses proches. La comédienne Nathalie Corré dénonce, quant à elle, la facilité de certains hommes à se laisser entretenir. L'écrivain Alain Soral, lui, soutient que l'argent est une façon pour les femmes de prendre le pouvoir. Enfin, la baronne Florence de Bouillé, lassée d'être harcelée par les banquiers, a fini par vendre son château de famille, véritable gouffre financier.

Source : http://www.programme-tv.net/2007-06-26/1/5/1482182/hertzien/vie-privee--vie-publique.html

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Le combat de Brigitte Bardot enfin récompensé

Publié le par Ricard Bruno

photo-couleur-de-BB--207--copie-1.jpgL'ex-comédienne est ravie depuis l'interdiction du commerce de fourrures de chiens et chats décidée en Europe.

Brigitte Bardot voit enfin son combat avancer. L'ancienne comédienne est aux anges depuis l'interdiction décidée par le Parlement européen d'interdire la commercialisation de fourrures de chiens et chats. La militante pour la défense des droits des animaux se battait depuis des années déjà pour dénoncer le massacre de millions de chats et de chiens en Asie afin de revendre leur fourrure. Cette interdiction en Europe constitue une première victoire pour B.B. dans sa difficile et longue lutte contre l'industrie de la fourrure.

Cette interdiction de commercialisation de fourrures de chiens et chats devrait être adoptée par le Conseil des ministres européen au mois de septembre. La mise en application ne sera effective qu'à partir du 31 décembre 2008.

Source : http://www.showbizactu.com/actualite-people/75058/le-combat-de-brigitte-bardot-enfin-recompense/

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Copacabana Palace, mythe sur mer

Publié le par Ricard Bruno

BRESIL. Il arrive que l'histoire d'une ville se tricote avec celle d'un de ses hôtels. C'est le cas à Rio, où le Copacabana Palace vit passer Marlene, Marilyn, Brigitte, Romy ou Gina. Histoires.
 
   
 
 
 
   
 
Rio de Janeiro est une ville dont la plage tient lieu de centre-ville. C'est son charme: le sable côtoie le bitume et le monde des employés de bureau en costume-cravate télescope l'univers des gens en slip et bikini. Plus qu'un simple front de mer, la plage est, pour les Brésiliens, le prolongement de l'espace privé. Une sorte de living-room en plein air où l'on se donne rendez-vous pour y tenir salon, assis dans des fauteuils pliants, un verre d'alcool à la main. C'est également un immense terrain de jeu où footballeurs, volleyeurs, joggeurs viennent sculpter leur corps et entretenir leur condition physique. Enfin, la plage est un institut de beauté où l'on vient parfaire son bronzage, dormir au soleil, hydrater sa peau avec force crèmes, huiles et onguents. Bref, la plage, ou plutôt «les» plages (la ville en compte une bonne quinzaine) sont des institutions dont la plus célèbre se nomme bien évidemment Copacabana.

Jusque dans les années 1920, «Copa» n'était qu'une lointaine plage sauvage, à l'écart du centre-ville. Mais avec l'inauguration, en 1923, de l'imposant Copacabana Palace, construit dans le style du Negresco et du Carlton de la Côte d'Azur, tout change. «Copa» devient un endroit à la mode. Les promoteurs immobiliers jettent leur dévolu sur ce site époustouflant qui s'étire sur 5 kilomètres, depuis le Pain de Sucre jusqu'à la pointe d'Arproador. La construction de résidences principales ou secondaires va bon train. Et «Copa» devient un quartier à part entière, une ville dans la ville, autonome, avec son propre rythme, ses règles de convenance bien à elle et son style fondé sur un mélange d'élégance et de décontraction. «C'est le seul quartier de Rio où la cravate et la veste ne soient pas exigées à l'entrée des cinémas et des autobus», explique, en 1935, le Guide Bleu Hachette. Pendant plusieurs décennies, Copacabana lance les modes et sert de point de référence à Rio de Janeiro tandis que son immense palace, navire amiral de l'hôtellerie carioca, amarré au 1702 de l'Avenida Atlântica, voit défiler la totalité de la jet-set internationale. De Marlene Dietrich à Fred Astaire en passant par Marilyn Monroe, Walt Disney, Ava Gardner, Orson Welles, Humphrey Bogart ou Rita Hayworth, tous les grands noms de la planète Hollywood descendent au Copacabana Palace. Ce casting de rêve comprend aussi des vedettes européennes (Yves Montand, Brigitte Bardot, Romy Schneider...) ainsi que d'innombrables princes, princesses, rois et reines - dont Elisabeth II d'Angleterre, Hussein de Jordanie ou Silvia de Suède.

Fondé par Octávio Guinle, l'un des hommes les plus riches du Brésil dont l'immense empire économique va de l'hôtellerie à l'immobilier en passant par les transports, la banque et l'assurance, le Copacabana Palace reste à tout jamais associé à l'image de Jorge Guinle, petit-neveu d'Eduardo. Séducteur patenté, amateur de jazz et de jolies femmes, Jorge Guinle n'occupe aucune fonction officielle au Copacabana Palace. Mais à l'aide de son fabuleux carnet d'adresses, ce gentleman mondain qui vit la moitié de l'année aux Etats-Unis va devenir le représentant exclusif de l'établissement familial auprès des célébrités du Tout-Hollywood. La technique marketing de cet attaché de presse haut de gamme est infaillible. Il cible les stars féminines du grand écran, leur donne un avant-goût de Rio dans sa chambre à coucher, puis les emmène découvrir les délices de la cité merveilleuse. Le tableau de chasse de ce play-boy international, impressionnant, s'apparente à une liste de nominées aux Oscars, dans la catégorie «meilleur rôle féminin»: Veronika Lake, Lana Turner, Hedy Lamarr, Jayne Mansfield, Rita Hayworth, Kim Novak, Janet Leigh, Anita Ekberg, Marilyn Monroe, Romy Schneider, Gina Lollobrigida. Entre autres...

Né en 1916 avec une cuiller en argent dans la bouche et plusieurs Rolls-Royce au garage, «Jorginho» («Petit Jorge») ainsi surnommé en raison de sa petite taille qui l'oblige à mettre des talonnettes pour se hisser à la hauteur d'Ava Gardner, est une personnalité en vue dans le Hollywood des années 1940 à 1970. Là, le Brésilien séduit le monde par son charme naturel, ses manières élégantes, son esprit enjôleur. Fréquentant les soirées mondaines, il rencontre les actrices les plus célèbres de son temps. «L'important n'est pas d'avoir beaucoup d'argent mais de connaître les bons endroits, les bonnes personnes et les bonnes manières», confiera plus tard Petit Jorge, qui devient aussi l'ami de Rockefeller, de Jack Warner (Warner Bros.), de Louis Mayer (MGM) et de Darryl Zanuck (le fondateur de la 20th Century Fox).

Jorginho appartient au club très fermé des séducteurs millionnaires qui consacrent leur vie à l'art du «rien faire». «Dans les années 1940, ce n'était pas très difficile de séduire une femme. Il suffisait de l'inviter à dîner, de danser joue contre joue et de s'assurer que sa coupe de champagne était toujours bien remplie», avouera un jour celui qui a grandement contribué à façonner l'image glamour de Copacabana.

Dans les années 1950, le flamboyant play-boy fait le serment de dilapider tout son argent avant la fin de sa vie. Un objectif largement atteint puisque le dandy flambeur finit ses jours ruiné et content de l'être: «J'ai mal calculé mon coup car jamais je n'imaginais vivre aussi longtemps», confia-t-il, tout sourire, peu avant son décès en 2004.

Dans les années 1970, le quartier de Copacabana, concurrencé par celui d'Ipanema, entre dans une phase de déclin. Et le Copacabana Palace connaît des difficultés. La concurrence des chaînes hôtelières internationales qui poussent comme des champignons le long de l'Avenida Atlântica est rude. Cependant la famille Guinle évite le naufrage et revend le bâtiment à la chaîne anglaise Sherwood qui lui redonne, peu avant l'an 2000, son lustre d'antan au prix de considérables investissements. La page «hollywoodienne» est définitivement tournée, mais l'hôtel est toujours auréolé de sa gloire passée. Dans le hall du premier étage de l'hôtel sont accrochés les portraits de toutes les stars américaines ayant séjourné dans le plus beau palace de Rio de Janeiro. Une bonne partie d'entre elles appartiennent également au tableau de chasse du «Petit Jorge»...
Source : http://www.letemps.ch/template/societe.asp?page=8&article=209908

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Les icônes : Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

bardot.jpgS’il est une femme que l’on se doit bien de faire figurer dans notre série d’articles consacrés aux icônes sexy du grenier, c’est sans aucun doute Brigitte Bardot, l’illustre blonde, icône sexy de toute une époque qui a fait fantasmer plusieurs générations d’hommes. Que ceux qui ont la mémoire courte fassent un effort pour se rappeler de l’image de la très sexy Brigitte Bardot d’il y a quelques années, lorsque les poses lascives et sulfureuses devant l’objectif semblaient l’intéresser davantage que le sauvetage des bébés phoques. La célèbre et légendaire BB a ainsi été une égérie sexy qui a inspiré et servi de modèles a de nombreuses célébrités féminines qui ont tenté de s’inspirer de son personnage glamour et sexy pour lui ressembler au mieux. On a ainsi complimenté Vanessa Paradis puis le mannequin Laëtitia Casta, pour ne citer qu’elles, de cultiver leur ressemblance avec la blonde mythique comme si Bardot restait une référence immuable pour nos babes actuelles. (pour ma part oh que oui! RB)

Source : http://www.carbelle.com/Les-icones-sexy-du-grenier-Brigitte-Bardot-954

Bruno Ricard

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BUCAREST

Publié le par Ricard Bruno


basescu.jpgBasescu récidive.

Justice - 3 ans de prison pour mauvais traitement aux animaux.-

Les chiens errants des rues de Bucarest, moins nombreux qu'avant mais toujours là, subiraient souvent de mauvais traitements. Pour le vice-président du Parti démocrate (PD) Ioan Oltean, "ceux qui appliquent un traitement non approprié aux animaux et les font souffrir encourent une peine de prison, la période de détention pouvant aller jusqu’à 3 ans". Les modifications de la loi actuelle concernant les chiens battus seront discutées et votées au Parlement dans les prochains jours. En 2002, Traian Basescu, alors maire de Bucarest, avait lancé un programme visant à éradiquer de Bucarest les chiens abandonnés, s’attirant les foudres de la Fondation Brigitte Bardot.

Source : http://www.lepetitjournal.com/content/view/15969/1231/

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