brigitte bardot
Musée de la gendarmerie et du cinéma de Saint-Tropez...Exposition Brigitte Bardot
Merci à Claude Maniscalco (directeur de l'office de tourisme de Saint-Tropez) pour cette information)
Le musée ferme ses portes du 16 au 31 janvier 2017 afin de réaliser le montage de sa prochaine exposition temporaire intitulée Brigitte Bardot mythe à Saint-Tropez que vous pourrez découvrir à partir du 1er février.
Interview Brigitte Bardot du 1 juillet 1961 (rare document sonore)
Interview de l'actrice française Brigitte Bardot qui est à Genève pour le tournage du film Vie Privée de Louis Malle
Brigitte Bardot attaquée dans l'émission TPMP
L'émission TPMP attaque en règle Brigitte Bardot le 19 01 2017...une attaque avec des propos scandaleux à l'encontre de madame Brigitte Bardot, l'animateur Cyril Hanouna en mal de sensation se lâche ainsi que tout ses chroniqueurs à l'exception Isabelle Morini bosc...
Brigitte Bardot a été mise plus bas que terre...une honte, un scandale...
Bruno Ricard
Brigitte Bardot «Cyril Hanouna est la lie de la télé»...Interview...
INTERVIEW TV MAGAZINE - France 3 consacre un documentaire exceptionnel à la star le vendredi 27 janvier à 20h55. Entretien avec un mythe qui ne mâche pas ses mots.
Elle a choisi de s’éloigner de La Madrague, où la vie «est devenue un enfer avec tous ces gens qui cherchent à [la] voir» et s’est réfugiée dans un havre de paix situé sur les hauteurs de Saint-Tropez. Brigitte Bardot nous a ouvert les portes de sa ferme, avec une vue imprenable sur le golfe, où, entourée de ses animaux, elle passe ses journées à travailler pour sa fondation. Et répondre aux lettres, «venues du monde entier», de ses admirateurs, sous l’œil amusé de son compagnon, Bernard d’Ormale, qui partage sa vie depuis 1992. Entretien avec un mythe qui ne mâche pas ses mots.
Brigitte Bardot, France 3 vous consacre une soirée en diffusant notamment Bardot amoureuse. Cela vous touche?Je ne me penche pas souvent sur ma vie passée, mais, quand je la vois, je suis étonnée de ne pas être plus fatiguée de l’avoir vécue! Ça me fait un drôle d’effet du haut de mes 82 ans, surtout dans un monde qui n’est plus du tout le même.
Ce portrait est-il fidèle?
Oui. Au point que j’ai l’impression que l’on fouille dans mon intimité, même si aucune des images n’est volée. J’ai été très émue en découvrant celles de mon père… Je n’avais jamais vues certaines d’entre elles. C’est très émouvant.
La passion vous guidait et vous avez eu beaucoup d’amants…
Elle guide toujours ma vie. Quant à mes amants, on m’en a collé deux ou trois de plus! (Rires.) Ce n’est pas si grave: un de plus ou un de moins, au point où on en est…
Si vous deviez n’en garder qu’un?
Le dernier, Bernard [d’Ormale, ndlr]!
Regrettez-vous cette époque?
Le passé, c’est le passé. Je ne le renie pas, mais je ne m’y complais pas.
C’était pourtant une période faste...
Elle ne l’a pas toujours été… Elle a été difficile, dure à vivre. C’est une période de folie, de déséquilibre… de flottement. J’étais livrée à moi-même dans un monde extrêmement périlleux qui aurait pu me détruire.
C’est-à-dire?
J’aurais pu sombrer dans la drogue, dans des histoires sexuelles, mettre fin à mes jours… Je suis passé à travers tous ces dangers!
À qui le devez-vous?
À moi! Je suis forte, très forte, et j’ai le sens du respect de soi.
C’est pour cette raison que vous mettez fin à votre carrière en 1973?
Je me suis libérée de quelque chose qui ne me convenait pas pour quelque chose de très important dans ma vie: les animaux.
Vous leur consacrez tout votre temps...
Je n’arrête pas, entre mon travail pour ma fondation, les interviews, les courriers aux différents gouvernements, aux papes, aux présidents de la République...
Vous évoquez le pape alors que le Vatican a vu en vous la réincarnation du diable...
C’est le passé (rires). Jean-Paul II est celui que je considère comme le plus courageux et j’ai certaine tendresse pour Benoît XVI. Quant à François, je ne le trouve pas très sympathique: accompagné de chefs d’États, il aurait pu aller porter la bonne parole aux chrétiens d’Irak qui sont massacrés.
Quel est votre regard sur le temps qui passe?
Il passe... On ne peut pas aller contre: j’accepte ma vieillesse, j’accepte mon âge - je ne l’ai jamais caché -, j’accepte mes rides et le changement de mon physique. Je fais simplement attention à ne pas être trop décatie.
«Ardisson devient d’une vulgarité épouvantable»
Quel regard portez-vous sur la société actuelle?
C’est lamentable! Nous vivons dans une période où tout est vulgaire, ordinaire et médiocre. La France n’a plus le rayonnement, la majesté qu’elle avait. Aujourd’hui, le pays est à l’image de deux qui les dirigent. Depuis Chirac et ses successeurs, les choses ne se sont pas améliorées. Pour redonner de l’éclat au pays, il faut nous redonner des libertés, retrouver un climat serein sans avoir peur des attentats. Il faudrait mettre en place un régime autoritaire.
On vous dit proche du Front national. C’est vrai?
Je suis très patriote. J’ai été élevée par un père et un grand-père qui se sont battus pour la France et qui m’ont inculqué l’amour de la patrie. Je ne suis pas fière de ce qu’est la France aujourd’hui. Je suis contre le vivre ensemble, mais je ne suis pas facho, pas plus que Marine Le Pen.
Êtes-vous en phase avec ses idées?
Pour la plupart. Marine Le Pen a la volonté de reprendre la France en main, de remettre des frontières et de redonner la priorité aux Français.
Vous êtes le symbole de la libération de la femme. Que pensez-vous du débat autour du port du voile?
Je suis contre le voile et celles qui le portent. Le communautarisme prend trop d’importance. C’est l’aboutissement de trente ans de laxisme.
Que regardez-vous à la télévision?
C’est très difficile de trouver un programme intéressant, mais je me régale avec Money Drop! Je m’amuse avec Chasseurs d’appart’ et je regarde encore Drucker parce qu’il n’y a rien d’autre. Ardisson devient d’une vulgarité épouvantable. Quant à Ruquier, je trouve que ses invités n’ont plus d’intérêt et que la blonde qui a une tête de mort et l’autre fou furieux [Vanessa Burggraf et Yann Moix, ndlr] sont des procureurs.
Regardez-vous Cyril Hanouna?
Au secours! C’est d’une vulgarité, d’une bassesse! C’est la lie de la télé celui-là. Je ne regarde pas non plus Nagui parce que c’est minable. Il manque des émissions comme Les Dossiers de l’écran, La Tête et les jambes, des émissions de qualité et intéressantes qui n’étaient pas au ras des pâquerettes et en dessous de la braguette.
Plutôt séries?
Non, à part Downton Abbey, que j’ai adoré. J’aime aussi les informations et j’apprécie C dans l’air.
RARE document ! Brigitte Bardot et Gunther Sachs le 5 mars 1967 aéroport de Cointrin (Suisse)
Instants volés, à l'aéroport de Cointrin, avant le départ de Brigitte Bardot et de son troisième mari, Gunther Sachs. Le couple semble fuir les cameramen et Brigitte Bardot est manifestement agacée par leur présence. Il est vrai que la «Bardomanie» agit sur la vie de la comédienne comme un véritable poison.
Le son de ce document est manquant, le commentaire ayant certainement été fait en direct lors de son passage à l'antenne, ou la bande son est irrémédiablement endommagée.
Cadavres et maltraitance : scène d’horreur dans une écurie du Haut-Doubs...
Le tribunal de Besançon a condamné un homme qui avait délaissé ses sept chevaux. Deux ont été retrouvés morts, dont un partiellement découpé à la tronçonneuse.
Squelettiques, les cinq chevaux survivants ont été recueillis par la fondation Brigitte Bardot. Photo d’illustration
C’est sa propre fille qui a découvert le sinistre tableau et, choquée, a aussitôt prévenu les gendarmes. Un homme de 50 ans comparaissait devant le tribunal de Besançon pour maltraitance et détention de cadavre animal non autorisée.
Écroué le 28 avril 2015 pour des faits sans lien avec cette affaire, il avait, dès le lendemain, appelé sa fille pour qu’elle aille jeter un œil à son écurie située à Longemaison, dans le Haut-Doubs.
Ce qu’elle a découvert, imitée ensuite par les gendarmes, le vétérinaire et le maire, était difficilement soutenable… Dans leurs boxes, cinq équidés squelettiques pataugeaient dans un mètre de crottin. Deux cadavres gisaient non loin de là. L’un était mort depuis suffisamment longtemps pour être en état de décomposition avec, détaille la présidente du tribunal « des asticots de deux centimètres de long » dans ses chairs. L’autre cheval avait été partiellement découpé par une tronçonneuse, déposée à côté, encore ensanglantée.
Le prévenu ne nie pas les faits, mais avance des circonstances atténuantes, notamment ses difficultés financières qui l’ont contraint, dit-il, à se passer des coûteux services de l’équarrisseur. Ces chevaux lui avaient été confiés par un ami, qui devait les récupérer dans plusieurs mois, selon lui.
La fondation Brigitte Bardot, qui a pris en charge les bêtes survivantes, s’est constitué partie civile, demandant notamment 26.000 € pour les frais engagés. Cette requête a été rejetée par la juge.
Le prévenu a en revanche été condamné pour les faits. Il devra payer une amende cumulée de 1.700 €, à laquelle s’ajoutent 1.000 € de préjudice et 450 € de frais d’avocat.
D'Aristote à Bardot, ils ont pris le parti des animaux....
La lutte pour la défense des bêtes retient aujourd'hui toute notre attention après des siècles de désintérêt. Pourtant, les premiers jalons remontent à l'Antiquité. Les philosophes grecs Aristote et Pythagore ont défendu le végétarisme en dénonçant la nourriture carnée et les sacrifices rituels. À la même époque, la civilisation de la vallée de l'Indus théorise la réincarnation des morts humains en animaux. Au siècle des Lumières, Jean-Jacques Rousseau redonne de l'élan à la cause animale dans son Discours sur l'inégalité (1754). Puis la considération pour les animaux progresse à l'ère industrielle. En 1822, le Royaume-Uni adopte la toute première loi de protection animale : le Martin's Act qui interdit les actes de cruauté à l'encontre du bétail. Deux ans après, est crée la première association de protection : la Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals. Elle éveille les consciences dans le monde : en France, la Société protectrice des animaux (SPA) voit le jour en 1845. Mais il faudra attendre 1976 pour voir une loi sur la protection animale.
Ces dernières décennies dans l'Hexagone, les figures de proue de la cause animale se nomment Allain Bougrain-Dubourg et Brigitte Bardot. Président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), le premier médiatise son combat grâce à des documentaires télévisés à succès ou des émissions radio en compagnie de la philosophe Élisabeth de Fontenay qui étudie les rapports entre les hommes et les animaux dans l'histoire. Selon elle, l'humanité du XXIe siècle doit passer un nouveau contrat avec l'animal domestique et réduire sa consommation de viande. Elle cosigne aussi un ouvrage avec le neuropsychiatre Boris Cyrulnik : Les Animaux aussi ont des droits.
Quant à BB, elle met sa notoriété d'actrice au service de la lutte contre la souffrance animale. Ses coups de gueule contre le massacre des phoques, l'extermination des éléphants, l'utilisation de fourrures pour les vêtements sont restés dans les annales. Avant que d'autres stars ne s'engagent tels Brad Pitt ou Pamela Anderson... En novembre dernier, l'humoriste héraultais Rémi Gaillard a fait le buzz sur internet en s'enfermant dans une cage de la SPA de Montpellier pour sensibiliser sur l'abandon.
Fondée en 2008, l'association L214 s'est fait une réputation en révélant les scandales de maltraitance dans les abattoirs (voir p. 3). Militant à l'origine pour l'abolition du foie gras, elle se consacre désormais à la défense des animaux à viande. Sa renommée s'est établie parallèlement au développement du mouvement « vegan » (ndlr : refus absolu de toute forme d'exploitation animale et donc de toute consommation de produits d'origine animale) qui a pris un essor considérable ces derniers temps. Les stars Joaquin Phœnix, James Cameron, Natalie Portmann, Paul McCartney, Mike Tyson, ou feu Prince affichent leur adhésion à ce mode de vie. La thématique s'est même invitée dans la campagne présidentielle via Jean-Luc Mélenchon. «Sortir de la domination des protéines carnées dans la consommation est aussi nécessaire que sortir des énergies carbonées», a déclaré le fondateur du Parti de gauche en dévoilant sa recette de quinoa.