Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

brigitte bardot

Cirque Joseph Bouglione : les spectacles avec les animaux, c’est fini !

Publié le par Ricard Bruno

Cirque Joseph Bouglione : les spectacles avec les animaux, c’est fini !
Cirque Joseph Bouglione : les spectacles avec les animaux, c’est fini !

Publié le 19 mai 2017 à 13:24 Aujourd'hui | 676 vues

Bonne nouvelle pour les défenseurs de la cause animale. Le cirque Joseph Bouglione ne présente plus de numéros avec des animaux. 

Les numéros avec des tigres et autres animaux sauvages, c’est terminé ! André-Joseph Bouglione, l’un des petits-fils de Joseph Bouglione, et son épouse Sandrine Bouglione, ont fait le choix, depuis septembre 2016, de mettre un terme aux représentations utilisant des animaux. « Nos animaux commençaient à vieillir : soit nous reprenions des jeunes et l’on repartait pour 10 ou 20 ans. Soit nous trouvions une solution pour faire autre chose », explique André-Joseph Bouglione à la Fondation 30 Millions d’Amis.

Pour ces artistes, cette décision difficile a été prise « par amour des animaux » mais aussi « par respect du public ». « J’ai vu un sondage qui indiquait que 80 % des Français étaient sensibles à la cause animale. Notre métier, c’est de faire un spectacle pour la famille. Si une très large majorité des familles est sensible à la cause animale, on ne peut pas continuer à faire un spectacle qui les dérange. Je ne me voyais pas continuer à présenter des animaux à des gens qui ressentent une gêne morale en venant au cirque », explique-t-il.

« Je n’ai pas le droit à l’échec »

Les animaux ont été replacés dans des lieux d’accueil. « Ce sont des lieux de retraite en France. Nous n’avons gardé que les chevaux vieillissants. Nous avions des tigres, des chameaux, etc. en tout cela représentait une soixantaine de têtes », confie le petit-fils de Joseph Bouglione au site 78actu. Le couple a donc dû imaginer un tout nouveau spectacle. Présenté depuis quelques semaines au public, celui-ci plonge les spectateurs dans un univers fantastique « à la Tim Burton avec aussi un côté Monty Python ». Pour le cirque, le défi est grand. « Aujourd’hui, je suis condamné à ce que mon cirque sans animaux marche, pour la cause animale ! Les gens qui m’ont félicité m’ont fait remarquer que je n’ai pas le droit à l’échec. Il faut montrer que cela fonctionne ! »

André-Joseph Bouglione espère que d’autres cirques feront de même. « La plupart des cirques ne devraient pas avoir d’animaux car ils les traitent mal. C’est mon opinion. Je n’ai pas la prétention de dire aux autres cirques qu’ils doivent arrêter les animaux. Mais je pense que ma démarche peut forcer le cirque traditionnel à se remettre en question car il y a des problèmes depuis 20-30 ans. J’aimerais ne pas être tout seul à faire cela dans mon coin, à avoir cette prise de conscience citoyenne. »

Aujourd’hui, une quarantaine de villes ont interdit les cirques présentant des numéros avec des animaux. Une pétition demandant « l’interdiction progressive de l’exhibition des animaux sauvages dans les spectacles itinérants » a été lancée par la Fondation 30 Millions d’Amis.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot : Nouveauté !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : Nouveauté !
33t Brigitte Bardot best off...édition Mercury de mai 2017
 
Partager cet article
Repost0

8 idées rétro pour se la jouer comme Bardot sur la Croisette

Publié le par Ricard Bruno

8 idées rétro pour se la jouer comme Bardot sur la Croisette

Ses initiales B.B. et ses courbes affriolantes furent en leur temps les stars de la croisette. A peine âgée de 19 ans, la jeune actrice faisait ainsi sensation pour la première fois sur le tapis rouge cannois en 1953 aux côtés de Roger Vadim, ensorcelant les photographes de sa candeur et de ses yeux de biche soulignés d'eye-liner. Retour en 2017, 70ème édition du festival de Cannes : le style a changé mais la légende est intacte, Brigitte Bardot incarne toujours l'esprit de la quinzaine.

Ou plutôt son souvenir au charme désuet, celui d'une époque où les choses paraissaient plus simples et où les starlettes passaient plus de temps au bord de la plage qu'à fouler le tapis rouge. Celui d'une insouciance festive et créative, dont Brigitte Bardot est la meilleure ambassadrice. Avec ses robes à imprimé vichy, son panier en osier et ses ballerines, la blonde ingénue s'y est érigée au rang d'icône d'un style féminin, rétro et sexy à souhait ; d'un style qui semble aussi plutôt spontané. Pour faire revivre le mythe aujourd'hui, ce n'est donc pas difficile : suivez le guide et ces 8 thèmes d'inspiration tout droit sortis du placard de B.B.

L'imprimé vichy

Imprimé 60's par excellence, et fétiche de l'actrice, le vichy donne un twist rétro à n'importe quelle tenue. 

Le crochet

Impérativement blanc, il magnifie un hâle d'été. On l'adore sur une petite robe courte qui se suffit à elle même, comme celle portée par Eléonore Toulin.

Le haut "bardot"

Ce haut à épaules dénudées fait tellement partie de la signature stylistique de Bardot qu'il lui a carrément emprunté son nom ! 

Le panier en osier

Une virée au marché du coin, l'été, les fruits et légumes gorgés de soleil... C'est tout ce à quoi appelle ce petit panier en osier, qui vient aussi parfaitement ensoleiller nos trottoirs urbains. 

Les ballerines

Bien injustement critiquée, la ballerine joue très bien le rôle d'atout féminin et chic, surtout associée à un jean 7/8. Pour les plus pointilleuses, le modèle popularisé par BB dans le film Et dieu créa la femme se retrouve chez Repetto sous le nom de Cendrillon.

Le tout petit bikini

Alerte à la bombe ! La blonde incandescente faisait sensation dans son tout petit bikini dans les années 60, et le mythique maillot n'a depuis pas pris une ride. 

Les lunettes papillon 

Le trait d'eye-liner n'était pas le seul secret de l'actrice pour des yeux de chat : les solaires "papillon" apportent elles aussi une élégance féline. 

La taille marquée et la jupe Corolle

Connue pour sa taille de guêpe, Brigitte Bardot a imprimé dans les mémoires cette silhouette ceinturée très féminine. 

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Festival de Cannes : 70 ans de légende !

Publié le par Ricard Bruno

Festival de Cannes : 70 ans de légende !

Dès ce mercredi, le plus prestigieux rendez-vous du cinéma mondial est en fête. Retour sur quelques-uns de ses plus beaux souvenirs.
 

Et Bardot créa le Festival
Que serait devenu le Festival de Cannes sans Brigitte Bardot ? Peut-être un événement majeur pour l’élite du cinéma, comme la Mostra et la Berlinale, mais sans le frémissement sensuel qu’on attend des apparitions de stars sur la Croisette. Ce petit truc en plus qui en a fait la première attraction culturelle au monde. Dès 1952, Bardot se prête au jeu des apprenties vedettes en bikini sur la plage, mais c’est en 1956, avec « Et Dieu créa… la femme », qu’elle enfièvre le Festival.




Des couples éternels… ou pas
Chaque année en mai, Hollywood envoie ses plus beaux bijoux au Festival, hors ou en compétition. Du glam éternel et un témoignage de la vie amoureuse des stars… souvent compliquée. De 2005 à 2011, de Jennifer Aniston à Angelina Jolie, Brad Pitt a Cannes à ses pieds.



La joie de Roberto Benigni
1998. Roberto Benigni reçoit le grand prix pour « La vie est belle » et étreint chaleureusement le président du jury, Martin Scorsese, avant de se prosterner à ses pieds, pour le remercier.



Une histoire belge

Depuis la Caméra d’or obtenue par Jaco Van Dormael en 1991 pour « Toto le héros » et le passage remarqué de « C’est arrivé près de chez vous » l’année suivante, le Festival de Cannes est le témoin privilégié de l’essor du cinéma belge francophone. En 1996, Daniel Auteuil partage le prix d’interprétation avec Pascal Duquenne pour « Le huitième jour », de Jaco Van Dormael. A quand la prochaine Palme d’or ?
Partager cet article
Repost0

Roger Vadim, prince déchu d’une époque bohème...

Publié le par Ricard Bruno

Clément Ghys retrace le parcours désinvolte et romanesque du cinéaste qui, tel un démiurge, fit naître le phénomène Bardot.

BB et Vadim sur le tournage du «Repos du guerrier» (1962)...

BB et Vadim sur le tournage du «Repos du guerrier» (1962)...

«Certains noms font sourire, écrit Clément Ghys. Ils paraissent décatis, enkystés dans une époque.» Que dit celui de Vadim aux plus jeunes de nos lecteurs ? Rien, sans doute. Et aux plus anciens ? On parierait qu’il fleure bon la douceur de vivre pré-68, starlettes et stations de ski, petits scandales et Ferrari. Ou, comme l’écrit l’auteur, ancien journaliste à Libération désormais à M le magazine du Monde, «la France des loisirs, catégorie supérieure».

Mais pourquoi diable est-ce sur cet homme-là que Clément Ghys a jeté son dévolu d’écrivain, ce Vadim dont il avoue avoir vu, en guise de premiers films, les publicités pour Slim Fast qu’il tourna avec sa dernière épouse, Marie-Christine Barrault ? Ce réalisateur dont il juge le cinéma «suranné, curieux, sans moelle» ? C’est que Vadim, remisé aux oubliettes des gazettes, reste un totem de son époque, le danseur d’un bal où l’auteur aurait aimé se rendre. Ce dernier a beau avoir le nez sur le contemporain, traquant «les signaux qui clignotent et disent quelque chose de notre temps», il ne peut oublier ceux d’hier. «Quand une nouveauté en chasse une autre, je n’arrive pas à oublier les rebuts, explique-t-il. J’y vois la légèreté et la beauté fossilisée.» De fait, malgré le destin romanesque en diable de Vadim, le livre vaut plus pour les obsessions de son auteur que de son personnage, cette manière de traquer une modernité depuis longtemps révolue, celle «des meubles en Formica, de l’argot daté», de se demander pourquoi et d’y répondre de manière calmement touchante.

Remariage. Mais Vadim, donc. Toute l’enfance est intéressante, car inconnue. Son père est diplomate, aristocrate né à Kiev et naturalisé français. Sa mère, née à Marseille, est divorcée lorsqu’elle le rencontre. Roger Vadim Plemiannikov (il se débarrassera de l’encombrant nom de famille en entrant en cinéma) naît à Paris en janvier 1928. Il grandit à Alexandrie, puis en Turquie, et a 9 ans lorsqu’une crise cardiaque terrasse son père, catapultant la famille «des "Mille et Une Nuits" à Emile Zola». C’est le retour en France, l’installation en Savoie, l’ouverture d’une auberge de jeunesse, le remariage de sa mère avec un résistant de quinze ans son cadet.

A la fin de la guerre, tout ce petit monde s’installe à Paris, où Vadim suit les cours de théâtre de Charles Dullin et traîne à Saint-Germain-des-Prés. Il est un «J3», du nom des tickets de rationnement de la guerre réservés aux jeunes. Et comme les autres, il ne songe qu’à s’amuser. Ce qui suit est la partie la plus entraînante du livre, une chronique de l’ascension du héros : l’amitié avec Christian Marquand, personnage totalement oublié dont quelques descriptions, notamment de son intimité avec Marlon Brando, donnent envie d’y aller voir de plus près ; le compagnonnage avec Marc Allégret, qui lui mettra le pied à l’étrier dans le milieu ; la fréquentation mondaine du salon des frères Mille, rue de Varenne. Et le plus important : l’amour naissant entre ce rejeton de la bohème pailletée et une jeune fille «comme il faut» du XVIe arrondissement nommée Brigitte Bardot. Rencontre, mariage, train-train très domestique rue Chardon-Lagache.

Léthargie. On se pince, mais c’est pourtant dans ce petit appartement bourgeois qu’éclora le phénomène Bardot, guidé par Vadim : «Quand elle tire la tronche, il lui assure qu’elle n’est jamais aussi belle qu’ainsi… Quand elle dit un gros mot, il l’encourage.» Suivra Et Dieu… créa la femme, film dont on peine à voir pourquoi il fit jadis tant de tintouin, et que Clément Ghys trouve «un peu long, l’histoire ne tient pas vraiment. Il n’y a pas de ces sous-couches qui font d’un film un sommet». Mais il lui reconnaît ceci, que Vadim a filmé «une jeune fille de son époque, comme elle est parfois, comme elle rêve d’être tout le temps».

En juillet 1957, dans les Cahiers du cinéma, Jean-Luc Godard écrira : «Inutile de féliciter Vadim d’être en avance, car il se trouve seulement que si tous les autres sont en retard, lui, en revanche, est à l’heure juste.» Bientôt, Vadim ne le sera plus vraiment, puis plus du tout. Il y aura les années Fonda («l’ère du vinyle, du plastique, du Plexiglas»), puis l’avènement conjugué du féminisme et du porno, qui achèvent de le ringardiser, et l’installation dans une agréable léthargie. Ce n’est pas une raison pour «oublier les fantômes», juge l’auteur. Il a raison. L’histoire peut être écrite pour les perdants magnifiques.

Source : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

La statue olé-olé de Brigitte Bardot crée le scandale à Saint-Tropez

Publié le par Ricard Bruno

1) Les puritains ont une réaction totalement ridicule. BB était et est superbe, alors pourquoi ne pas la représenter dans la beauté de sa nudité ? L'art est au-dessus de la pudibonderie. La Vénus de Praxitèle était bien nue. (écrits d'un commentaire en réponse à l'article sur Orange.fr)

2) il y aura toujours des "pisse froid" pour se scandaliser, si la principale intéressée est d'accord je ne vois pas ou est le problème, elle a été en son temps la plus belle actrice française.

3) Bravo , une reconnaissance pour BB. St- Tropez est devenue ce qu'elle est grâce à BB et le cinéma français a su profiter de ses rôles .

Bruno Ricard

La statue olé-olé de Brigitte Bardot crée le scandale à Saint-Tropez

Brigitte Bardot trônera bientôt à Saint-Tropez, sa ville d'adoption. Une statue de bronze représentant l'actrice dans le plus simple appareil y sera installée d'ici la fin de l'été, détaille La Parisien ce mardi.

Et c'est le dessinateur érotique Milo Manara qui a été choisi pour représenter la star époque "Et Dieu créa la femme" de Roger Vadim. Si la majorité municipale soutient le projet de l'illustrateur italien, ce n'est pas le cas de tous les élus, rapportait le quotidien Var Matin en avril dernier. Pour l'opposante Vérane Guérin, la représentation de Brigitte Bardot dans une conque, référence à la Vénus de Botticelli est ainsi d'un "kitsch absolu" tandis que d'autres vont jusqu'à dénoncer "un scandale". Et que pense la principale intéressée de sa future statue d'un montant de 250 000 euros ? BB fait savoir par la voix de son mari qu'elle est "d'accord même si elle n'aspire qu'à rien d'autre que défendre la cause animale".

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot et Roger Vadim ce soir à 22h40 sur France2 émission "Stupéfiant"...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot et Roger Vadim ce soir à 22h40 sur France2 émission "Stupéfiant"...

Au sommaire : *Les robots vont-ils remplacer les artistes ?* L'intelligence artificielle semble pouvoir envahir le marché de l'art et l'industrie culturelle. *Vadim : l'homme qui créa B.B.* Roger Vadim qui a révélé Brigitte Bardot dans «Et Dieu créa la femme» il y a 60 ans, était aussi un roi du marketing. *L'interview : Marion Cotillard* Héroïne du nouveau film d'Arnaud Desplechin, Marion Cotillard sera la star de la soirée d'ouverture du festival de Cannes. *«La Brigade du Stup» : Carlo Scarpa* le designer italien est notamment l'architecte des splendides magasins Olivetti de la place Saint-Marc, à Venise. *Château La Coste : l'art sans modération* Le Château la Coste est aujourd’hui un lieu incontournable des amateurs d'art. *Capsule-temps : Les Beatles* Retour sur une archive mythique : en 1968, Paul, John, Ringo et George débarquent en Inde.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Soirée chez Danièl Angeli, Photographie Caroline Cabat

Publié le par Ricard Bruno

Il y a quelques semaine de cela une très belle soirée s'est déroulée chez Daniel Angeli, je fût invité à cette occasion. Bien sur mon intérêt était de redécouvrir les sublimes portraits de la néanmoins magnifique Brigitte Bardot

Soirée chez Danièl Angeli, Photographie Caroline Cabat
Soirée chez Danièl Angeli, Photographie Caroline Cabat
Soirée chez Danièl Angeli, Photographie Caroline Cabat
Soirée chez Danièl Angeli, Photographie Caroline Cabat
Soirée chez Danièl Angeli, Photographie Caroline Cabat
Soirée chez Danièl Angeli, Photographie Caroline Cabat
Soirée chez Danièl Angeli, Photographie Caroline Cabat
Partager cet article
Repost0

Paparazzi : le court-métrage de Rozier à Cannes Classics...

Publié le par Ricard Bruno

Il existe aussi en marge du film le Mépris et du documentaire Paparazzi, quelques minutes totalement inédites d'images tournées à Capri, ce petit passage inédit sur Brigitte Bardot est inclus dans un autre documentaire "Tentazioni proibite" dont je suis de part le monde un des rares à le posséder....

Bruno Ricard

Paparazzi : le court-métrage de Rozier à Cannes Classics...
Paparazzi : le court-métrage de Rozier à Cannes Classics...

Réalisateur : Jacques Rozier

Voix : Michel Piccoli, Jean Lescot, David Tonelli

Le Festival de Cannes va projeter ce court métrage sur l’intrusion de photographes peu scrupuleux lors du tournage à Capri du Mépris de Godard, avec Brigitte Bardot.

L'argument : En mai 1963, Brigitte Bardot tournait en Italie "Le Mépris", sous la direction de Jean-Luc Godard, d’après le roman d’Alberto Moravia. Parallèlement au "Mépris", un autre film fut tourné, qui raconte la guerre froide que se livraient à Capri, Brigitte Bardot et trois Paparazzi.

Notre avis : Federico Fellini avait immortalisé ce corps de métier dans La Dolce vita. Jacques Rozier, figure emblématique de la Nouvelle Vague (Adieu Philippine), enfonce le clou en piégeant les piégeurs sur le tournage du condisciple Godard, celui d’À bout de souffle et de Pierrot le Fou, alors à l’apogée de son inspiration créatrice. Icône médiatique et sociétale, Brigitte Bardot qui avait quelques années auparavant fauché à Martine Carol sa couronne de sex-symbol du cinéma français, et par ailleurs actrice inspirée (La Vérité de Clouzot), est ici filmée comme la déesse de Capri, faisant la moue entre deux prises de vue, et dont le corps livré à la meute des photographes, officiels ou clandestins, est l’objet de toutes les convoitises et transactions.

 

Paparazzi : le court-métrage de Rozier à Cannes Classics...

Un montage au vitriol révèle que la star la plus photographiée du monde dans les années 60 n’en demeure pas moins une femme piégée et manipulée. Plus que par sa leçon de morale dénonçant les limites de procédés de journalisme dignes de comportements de charognards, le court-métrage séduit par son ton sixties, son humour décalé, son découpage subtil, et son aptitude à saisir l’air du temps. Il suscite surtout l’envie de (re)découvrir la liberté de filmer du futur auteur de Du côté d’Orouët et Maine Océan. Notons que Cannes Classics propose une restauration de ce court-métrage l’année où est projeté en sélection officielle Le Redoutable de Michel Hazanavicius, d’après le roman d’Anne Wiazemsky, et qui relate les années Mao de Godard…

Source de l'article : Cliquez ICI

Il existe aussi en marge du film le Mépris et du documentaire Paparazzi, quelques minutes totalement inédites d'images tournées à Capri, ce petit passage inédit sur Brigitte Bardot est inclus dans un autre documentaire "Tentazioni proibite" dont je suis de part le monde un des rares à le posséder....

 

Bruno Ricard

Partager cet article
Repost0