brigitte bardot
Pétition Soutien total à Brigitte Bardot !
Nous sommes le 24 03 2019 il est 07h50 et la pétition atteint 13.835 signatures!
On ne lâche RIEN ! la mobilisation continue !
Le préfet, et l'État ferme les yeux, sur des actes barbares. BRIGITTE BARDOT est traînée en justice, soit disant pour propos racistes.
Brigitte Bardot, n'est pas du tout raciste. Ses dires, sont dictés par l'amour des animaux. Et le préfet et l'Etat ne font rien pour protéger les animaux !
Certains habitants des îles agissent avec cruauté sur les animaux... Des témoignages proches, affirment que les chiens errants, se faisaient renversés par les automobilistes qui le faisaient exprès.
De la chaux était versé sur les cadavres d'animaux pour les dissoudre. Donc si cela est normal pour une minorité de personnes. Pas pour les gens qui aiment, protègent les animaux.
L'île de la Réunion est entachée par la douleur et le sang des animaux !
SOUTIEN TOTAL À BRIGITTE BARDOT !
MERCI DE SIGNER ET PARTAGER CE SOUTIEN À BRIGITTE BARDOT
--
According to Brigitte Bardot's assertions, the animals on Reunion Island are abused and unprotected. The prefect, and the state turns a blind eye, to barbarous acts.
BRIGITTE BARDOT is being brought to justice, supposedly for racist remarks. Brigitte Bardot, is not at all racist. His words are dictated by the love of animals. And the prefect and the state do nothing to protect animals! Some inhabitants of the islands act cruelly on animals ...
Close testimonies, say that the stray dogs, were overthrown by the motorists who did it on purpose. Lime was poured over the corpses of animals to dissolve them. So if this is normal for a minority of people. Not for people who love, protect animals. The island of Reunion is tainted by the pain and blood of animals! TOTAL SUPPORT TO BRIGITTE BARDOT! PLEASE SIGN AND SHARE THIS SUPPORT TO BRIGITTE BARDOT
Maltraitance animale sur l’île de la Réunion : un fléau ignoré des pouvoirs publics
L’île de la Réunion, très prisée des touristes, est aussi le théâtre de maltraitances animales depuis de nombreuses années. Les chiens et chats errants se multiplient de manière incontrôlée dans les rues de l’île et les associations de protection animale ne savent plus où donner de la tête pour tenter d’enrayer le problème.
es maltraitances animalières courantes
Comme sur de nombreuses autres îles, le rapport à l’animal sur l’île de la Réunion ne fonctionne pas comme en France métropolitaine. Les « chiens sonnettes » passent leur vie attachés à une corde et ne servent qu’à alerter leur propriétaire de l’arrivée de quelqu’un à proximité de la maison. « Les chiens grandissent, mais la corde non. Ça leur coupe le cou » témoigne Angeline Teston, sur l’île depuis 13 ans, bénévole dans les neuf associations de protection animale de l’île et famille d’accueil. Selon elle, la raison de ce traitement est claire : « Le rapport à l’animal est resté le même depuis l’esclavage avec ce statut de maître/animal ».
Dans certains cas, il est même question de cruauté envers les animaux. Ainsi, Marie-Charline, originaire de la Métropole et habitante de l’île depuis deux ans explique que l’une des pratiques courantes consiste à enfermer des chiots dans des sacs agricoles jetés sur les voies rapides. « Le sport national c’est d’écraser un maximum de chien », s’insurge la jeune fille de 23 ans.
De son côté, Marina, bénévole à l’association Agir Pour Protéger les Animaux Réunionnais (APPAR ) est amenée à rencontrer toutes sorte de situation : « Il y a un mois et demi de ça, j’ai retrouvé un chat à qui ont avait brûlé les pattes au briquet. Deux mois auparavant, j’ai recueilli une chatte qui avait des croix faites au cutter partout sur le corps. Elle n’a pas survécu ».
Autre pratique, l’utilisation des animaux pour la pêche au requin fait grand bruit dans les médias de l’île depuis 1995 dont quelques échos nous sont timidement parvenus en métropole en 2007 et 2011. « Plusieurs cas d’animaux « préparés » pour servir d’appâts ont eu lieu sur l’île. En février dernier, un chat a été retrouvé, un hameçon lui traversant du palais à l’œil. Il est évident que cette pratique persiste. Nous restons vigilants sur ce point et pratiquons des opérations régulières de surveillance discrète. Le dernier cas de chats hameçonnés s’est avéré être le résultat d’un jeu cruel commis par des gens inconscients, immatures et certainement sous l’effet de l’alcool et/ou de stupéfiants », rapporte Jean-Pierre Lafitte, président d’SOS animaux.
Animaux errants et immobilisme des autorités
Une des raisons expliquant la maltraitance animalière sur l’île de la Réunion est que les animaux errants s’y multiplient. Sont mis en cause les abandons, nombreux, et l’absence quasi totale de stérilisation. La population croissante de ces sans-colliers est alors soumise aux agissements d’Hommes plus ou moins bienveillants.
Dans ce contexte, la fourrière, le service d’équarrissage et les associations sont débordés. « Les pouvoirs locaux préfèrent traiter les conséquences plutôt que les causes. Des solutions comme la stérilisation gratuite pour tous ceux qui ne payent pas d’impôts existent, mais sont méconnues » se désole Marie-Charline.
Marie David, présidente de l’association Arbre de vie Universal renchérie : « Ces campagnes sont souvent programmées aux mauvaises périodes de l’année où les chattes sont déjà en gestation. Souvent, les dossiers déposés par les familles à faibles revenues traînent » Jean-Pierre Lafitte ajoute : « Ici, les préjugés ont la peau dure. Beaucoup de gens pensent que les chiennes et les chattes doivent vivre une portée avant la stérilisation ».
Pour tenter d’enrayer le problème, le recours à l’euthanasie est une pratique courante. « Il y a entre 11 000 et 13 000 euthanasies par an, sans parler de l’empoisonnement » précise Angeline.
« Nous sommes intervenus dans les écoles pour faire de la sensibilisation, mais cela ne sert à rien, les mentalités régressent. » dénonce Angeline. Les pouvoirs publics, pourtant sollicités par les associations comme celle de Jean-Pierre Lafitte, font la sourde oreille. « Nous ne nous sentons absolument pas entendus par les pouvoirs publics. Nous tentons régulièrement d’obtenir des rendez-vous avec les élus locaux et les administrations de tutelle, en vain »
Selon le président d’SOS Animaux, la clé serait la stérilisation encadrée des chats et chiens. « Il faudrait des campagnes de stérilisation massives par mono-injection à l’image de celles qui ont été mises en œuvre au Mexique » Marie-David d’Arbre de vie Universal fait elle aussi son diagnostic. « Les autorités devraient lutter contre les annonces d’adoption illégale et ne les confier qu’à des professionnels, mais surtout, les tortionnaires qui maltraitent les animaux devraient écoper de réelles sanctions».
Pour Marina, « Le président du conseil régional qui dépense des sommes folles dans le tourisme devrait investir dans la cause animale, car les touristes ne sont pas aveugles et voient bien ce qui s’y passe ». Un avis partagé par le président d’SOS animaux. « Les collectivités locales devraient créer et entretenir des refuges suffisamment dimensionnés pour répondre aux besoins spécifiques de notre île. Nous projetons de créer des structures de type « Dispensaire vétérinaire gratuit », mais ces projets devraient être pilotés par les institutions publiques plutôt que par les associations »
Aujourd’hui c’est un chien pour trois habitants que dénombre l’île soit plus de 150 000 animaux errants.
Maltraitance animale à La Réunion: Brigitte Bardot n'aurait-elle pas un peu raison?
FLEAU Lysiane Uny, présidente d'une association de protection des animaux à La Réunion, condamne elle aussi les propos de Brigitte Bardot. Mais insiste sur le fait que l'errance animale est un vrai fléau dans le département
La lettre que Brigitte Bardot a adressée mardi au préfet de La Réunion au sujet de l’errance animale dans ce département d’outre-mer a provoqué un tollé chez nombre de Réunionnais et de politiques ultramarins et métropolitains. Depuis, les plaintes contre la militante de la cause animale se multiplient comme des petits pains, tant ses propos sont virulents à l’égard de la population locale, qu’elle accuse d’être « dégénérée » ou encore « barbare ».
Des propos que condamne elle aussi Revez (pour « Rényon viv ensamb ek zanimo »), une association de protection animale qui œuvre depuis 2013 dans l’île. « Choquée » par cette diatribe « discriminatoire, raciste et de généralisation envers les Réunionnais », sa présidente, Lysiane Uni, ne compte pour autant pas porter plainte. Car, si, dans la forme, « BB » a totalement craqué, dans le fond, n’aurait-elle pas un peu raison ?
Il n’a pas été facile de contacter une association de protection des animaux pour la faire réagir sur la polémique. Pourquoi avoir accepté de répondre ?
Parce que nous craignions que le grand public ne s’intéresse qu’à la polémique, et pas au problème de fond. Nous ne commenterons pas les amalgames grossiers concernant les pratiques religieuses diversifiées dans l’île, l’utilisation supposée des chiens appâts et la problématique des attaques de requins. Mais, bien sûr qu’il y a de la maltraitance animale à La Réunion, il serait fou de le nier. Il y a des cas terribles de chiens battus et retrouvés avec des oreilles tranchées ou des pattes sectionnées… Mais ils sont la conséquence de l’errance animale, dont les conséquences sont réelles et multiples.
Soutien total à Brigitte Bardot
Mon courrier à la ministre, je me suis inspiré grandement d’une publication faites sur le site de la pétition, cela reflète complètement ce que je pense…
MON SOUTIEN à Madame Brigitte Bardot est total !
Si ses propos sont véhéments, c'est que, malheureusement, les faits lui donnent complètement raison !
Je suis aux antipodes du style " le toutou à son pépère ", . Mais ceux qui s'insurgent quant à la lettre de B.B., qu'ils aillent sur le NET voir le nombre effrayant d'animaux maltraités, battus, mutilés, brûlés à l'acide , martyrisés à coups de machette, pattes broyées, corps tailladés…TOUT EST BON POUR DÉVERSER LA HAINE SUR DE MALHEUREUX ANIMAUX TOTALEMENT INNOCENTS
Le malheur est que le gouvernement de notre pays, comme pour ses départements lointains, ne fait absolument RIEN concernant la protection des animaux dont elle n'a que faire ( les engagements du candidat MACRON sur ce sujet se sont envolés, une malencontreuse habitude politique, mimétisme tiré, sans doute, de la trop proche fréquentation d'un certain F. HOLLANDE
Tout n'est qu'indifférence voire mépris ! OR, IL Y A DE PLUS EN PLUS DE DÉFENSEURS DE LA CAUSE ANIMALE ET …EUX ONT LE DROIT DE VOTE !
E. MACRON ne s'est servi de son chien que dans un but assez pitoyable de « COM »n'en déplaise à ses aficionados !
Alors attendons les motifs circonstanciés reprochés à Madame Brigitte BARDOT …Mais je suis convaincue, par le climat actuel qui règne en FRANCE, que LA JUSTICE SERAIT MAL INSPIRÉE DE DÉCLENCHER L'IRE PLUS QUE BRÛLANTE DES DÉFENSEURS DE LA CAUSE ANIMALE !!! NOUS NE MANQUERONS PAS DE SUIVRE DE TRÈS TRÈS PRÈS LA SUITE DE CETTE AFFAIRE !
Brigitte Bardot et Isabelle Adjani les plus belles actrices du monde à St-Tropez
« Un jour, une photo », la nouvelle web-série de Paris Match en partenariat avec Harmonie Mutuelle. Brigitte Bardot et Isabelle Adjani, deux icones du cinéma, face à face à St-Tropez.
Un bel été, pas de vent, ce mistral qui parfois gagne l’intérieur en caressant la citadelle de Saint-Tropez. Ce 12 août 2004, deux icônes du cinéma dînent ensemble dans la pinède de la Bastide rouge. C’est la première fois que Brigitte Bardot et Isabelle Adjani peuvent prendre le temps de faire connaissance, de se parler, d’échanger sur le cinéma bien sûr mais pas seulement. Elles se regardent et s’estiment sous l’œil de la photographe Kasia Wandycz. Brigitte Bardot sourit, Isabelle Adjani écoute les cigales du soir et la voix de Brigitte, ce timbre si particulier, reconnaissable si facilement. Cette rencontre à la tombée de la nuit, rythmée par quelques recettes de légumes de Provence, est informelle. Avant de se quitter, Brigitte entraîne Isabelle dans une conversation qui reste amicale sur les sujets dans l’air du temps. Mais Isabelle en philosophe, semble prendre du recul.
Salon du livre de Paris
Venez me rencontrer aujourdhui de 10h00 à 12h00 et demain de 16h00 à 18h00 au salon du livre de Paris au stand de mon éditeur AKFG, stand M43
Si le temps me le permet je serais également au Salon grand public, Halles du parc Georges Brassens à Paris ce samedi après-midi et le dimanche matin de 11h00 à 15h00.
Bruno Ricard