le web en parle
Un dauphin sauvé au large de Saint-Cyr-sur-Mer
Le sauvetage d'un dauphin accidentellement pris dans le corps-mort d'une bouée restera pour Nicolas une expérience inoubliable. (image d'illustration)
"Le sauvetage d'un dauphin accidentellement pris dans le corps-mort d'une bouée restera pour moi une expérience inoubliable." Nicolas a écrit ces quelques mots ce mercredi sur Facebook après une rencontre qui devrait le marquer un moment.
Hier soir alors que je naviguais seul en wingfoil dans la baie de Saint-Cyr, j'aperçois un aileron autour d'une bouée , je me rapproche et je vois deux dauphins. Le plus gros , sûrement la mère mesurait au moins 2 m, elle était sublime et son bébé tournait autour d'elle. N'ayant rien pour la décrocher et la nuit tombant , j'ai filé au bord et appelé mon ami, Jean-Cri, qui a un bateau au port. Nous les avons retrouvé 45mn plus tard au même endroit et avons pû la décrocher grâce à un couteau. C'était incroyable de les entendre communiquer et de voir le bébé rester là malgré notre présence pendant que nous la décrochions." Et l'homme de poursuivre : "La nature est belle et mérite notre considération au même titre que notre propre famille."
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Châteauneuf-les-Martigues : une vingtaine de chèvres sauvages déplacées
Quand les chèvres partent en voyage... Une vingtaine de chèvres sauvages du massif de la Nerthe ont été capturées et déplacées vers un autre site. Une action menée par l'association de Châteauneuf-les-Martigues Chèvres de notre colline et la Fondation Brigitte Bardot car la surpopulation des chèvres sauvages occasionne de plus en plus de nuisances, notamment sur l'autoroute A55
Un long cheminement sur les pistes poussiéreuses de la forêt communale « le Canton » permet d'arriver, sur les hauteurs de la chaîne de la Nerthe, à un enclos construit par l'association et servant à nourrir les chèvres sauvages. Grâce à un ingénieux système de porte commandée à distance via une webcam une vingtaine de chèvres et leurs petits chevreaux ont été capturés et guidées vers une remorque tractée.
Elles ont été emmenées dans une bergerie du département où elles feront l'objet d'un contrôle sanitaire avant d'être placées en pension chez des éleveurs où elles finiront leurs jours paisiblement sans aucune exploitation commerciales.
Avec un suivi sanitaire de ces animaux, des castrations de mâles et le déplacement, comme cette fois, de groupes de femelles; le but pour l'association Chèvres de notre colline et la Fondation Brigitte Bardot est de réguler la population de ces chèvres divagantes. L'idée étant d'atteindre un équilibre qui permette aux chèvres de rester dans ces espaces sauvages du massif de la Nerthe sans pour autant empiéter dans les zones où l'activité humaine est intense, comme l'autoroute A55, les carrières environnantes ou encore les exploitations agricoles. Et évitant ainsi la prise d'un arrêté préfectoral d'abattage des chèvres divagantes du massif de la Nerthe comme cela a déjà été le cas une fois.
En vidéo : le reportage sur le départ des chèvres avec Sylvie Vidal, la présidente de l'association Chèvres de notre colline et Christophe Marie, le porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot.
Source de l'article et interview de Christophe Marie : Cliquez ICI
Elle pose avec ses trophées de chasse pour « soutenir la protection des animaux »
Une pourriture de plus qui se cache derrière cette femme, derrière ce minois auquel on donnerais le Bon Dieu sans confession, elle est à VOMIR !
Bruno Ricard
Son profil sur Instagram, allez y de bon cœur les amis !
Depuis quelques semaines, une chasseuse s’est fait remarquer sur OnlyFans : elle y publie des photos sexys où elle prend la pose à côté de ses trophées de chasse. Virulemment critiquée sur les réseaux sociaux, elle se défend et assure qu’elle n’agit que pour la conservation des animaux.
Dans les plus beaux décors d’Afrique du Sud, Michaela Fialová prend la pose aux côté de lions, de zèbres, de girafes, de crocodiles, d’impalas, et… d’armes à feu. Ses photos partagées sur OnlyFans ont suscité l’indignation de nombreux internautes. Qualifiée de « meurtrière », Michaela s’en défend. Comme de nombreux chasseurs, elle justifie sa pratique en se qualifiant de défenseuse de la cause animale.
Originaire de République tchèque, la jeune femme s’est mise à la chasse à 13 ans. «Au fil du temps, j’ai commencé à m’intéresser à la conservation des animaux par la chasse. Et c’est ce que j’ai étudié à l’université », explique-t-elle au Metro UK. À 24 ans, elle part s’installer en Afrique du Sud pour « vivre sa passion ». « On veut éviter la surpopulation car cela peut entraîner des luttes pour les ressources naturelles. C’est pourquoi je fais ce que je fais ».
« On tue ceux qui doivent être tués »
« Une journée typique commence par étudier l’espèce que nous voulons gérer », détaille-t-elle. « Ensuite nous traquons les troupeaux pour en identifier les membres les plus faibles » qui seront abattus. « Les membres qui ont une génétique solide sont ensuite pris en charge pour assurer une croissance démographique durable. »
Elle assure par ailleurs que son entrainement lui permet de tuer les animaux « sans qu’ils aient à souffrir ». « Nous tuons les animaux qui doivent être tués et nous sauvons ceux qui doivent être sauvés », résume-t-elle.
Des photos sexys pour « protéger les animaux »
Quant à la publication de ses photos avec ses trophées de chasse, Michaela se justifie en expliquant qu’elle ne les partage que dans le but de gagner de l’argent pour soutenir la réserve dans laquelle elle travaille, privée de dons à cause de la pandémie et du faible taux de touristes depuis un an. En une semaine, elle gagne près de 3.000€ sur OnlyFans. « Mon plan est de partager le plus de contenus possible afin de pouvoir financer les soins vétérinaires pour les animaux dans le besoin, car c’est la raison pour laquelle j’ai commencé mon voyage en premier lieu : aider et protéger les animaux.»
Les critiques et commentaires insultants sur les réseaux sociaux ne l’atteignent plus. « Au début ça m’a fait mal. Mais au fil du temps, j’ai réalisé que ces gens ne savent rien de ce que je fais. Et que s’ils faisaient leurs recherches, ils se rendraient compte que ne pas chasser nuirait encore plus à la faune », argue la chasseuse.
Chasse...Brigitte Bardot " Une honte de monnayer la vie des derniers géants des savanes"
Une honte de monnayer la vie des derniers géants des savanes": l'ancienne icône du cinéma français Brigitte Bardot, aujourd'hui ardente défenseur de la vie animale, a fustigé vendredi le Botswana, où s'est ouvert la controversée chasse à l'éléphant.
Les autorités du petit pays enclavé d'Afrique australe, qui abrite la plus importante population mondiale d'éléphants, environ 130.000 animaux, a délivré cette semaine des permis pour tuer 287 pachydermes d'ici fin septembre.
"Une vie contre quelques milliers de dollars!", réprouve Mme Bardot, à la tête d'une fondation pour la défense des animaux, dans une cinglante lettre ouverte au président Mokgweetsi Masisi. Les riches chasseurs de trophées déboursent volontiers des fortunes pour la tête d'un animal sauvage.
L'an dernier, la pandémie de Covid-19 et l'interdiction des arrivées de voyageurs provenant de pays à risques tels que la Grande-Bretagne, l'Italie et les Etats-Unis avait eu raison de la saison de la chasse.
"Protégez précieusement ces éléphants, vous en êtes responsable aux yeux de l'humanité", rappelle Mme Bardot au président botswanais, suggérant que les touristes peuvent remplir les caisses de l'Etat pour voir ces animaux sans les tuer.
En 2019, le Bostwana a levé une interdiction totale de la chasse, instaurée cinq ans auparavant pour inverser le déclin des populations d'éléphants et d'autres espèces. Cette levée avait suscité la colère des défenseurs de l'environnement.
Selon les partisans de la chasse, l'argent déboursé par les chasseurs bénéficie aux communautés locales.
Le Botswana, la Namibie, la Zambie et le Zimbabwe voisins ont par ailleurs appelé à une levée de l'interdiction mondiale du commerce de l'ivoire, en raison de la croissance de la population d'éléphants dans certaines régions.
Des décennies de braconnage et la destruction de leur habitant ont décimé les populations d'éléphants d'Afrique, a alerté en mars, l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui classe l'éléphant de savane "en danger" et considère son cousin plus petit, l'éléphant de forêt en "danger critique d'extinction".
Le piégeur et tueur de chats de Béceleuf a plaidé coupable : 4 mois de prison avec sursis
Me Isabelle Gharbi-Terrin, ici au palais de justice de Niort pendant un autre procès en 2019, a été choisie par cinq victimes.
En 2019 et 2020 à Béceleuf, il avait fait disparaître jusqu’à dix chats, ceux de ses voisins : ce quinquagénaire a écopé, le mercredi 7 avril 2021 en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité à Niort, d'une peine de prison avec sursis.
Me Isabelle Gharbi-Terrin, avocate marseillaise spécialisée dans la défense de la cause animale, le voit comme un « serial killer de chats » : le mercredi 7 avril 2021 en début d'après-midi, un natif de Parthenay âgé de 55 ans a été jugé au tribunal judiciaire de Niort lors d’une audience de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, le plaider-coupable autrement dit. Le quinquagénaire était poursuivi pour « sévices graves ou acte de cruauté envers un animal domestique, apprivoisé ou captif ». Jusqu’à dix félidés capturés et/ou tués : au moins deux avaient été découverts éventrés.
Cet habitant de Béceleuf avait sévi entre les mois de mars 2019 et d’avril 2020 : ses voisins avaient vu leur(s) chat(s) disparaître, quatre pour une seule des victimes. Sept à huit parties civiles sont connues, dont l’Association de secours et de protection des animaux de compagnie ou Aspac, et la Fondation Brigitte Bardot.
« Vous faites effectivement votre loi »Le quinquagénaire, las de voir les animaux venir saccager, à l’écouter, son jardin, sa grande passion, les attrapait : après avoir tenté d’éloigner les chats avec « du répulsif », il s’était mis à les appâter dans une cage, les abandonnant ensuite à quelques kilomètres de là, du côté de Cours ou de Germond-Rouvre. Il ira jusqu’à installer des collets en acier, au moins trois chats étant pris au piège, cinq à sept autres ayant disparu au final : ils s’appelaient Choupette, Pirouette ou Opium…
« Vous faites effectivement votre loi », constate la juge, Natacha Lefebvre, qui relève que le mis en cause « aime les chiens, par contre » : il en a un comme il a eu, par le passé, un chat. Les chats, justement, « ils dégradaient mon terrain, il y avait des excréments partout sur la pelouse, sur le tas de bois… Ça sentait fort ».
C'est extrême comme solution, c'est quelqu'un de très inquiétant dans son mode opératoire
« C’est assez extrême comme solution, c’est quelqu’un de très inquiétant dans son mode opératoire », estime Me Daniel Ithurbisque, au nom des deux groupements susnommés et des particuliers : pour ces derniers, l’avocat niortais substituait Me Isabelle Gharbi-Terrin, qui ne pouvait pas se déplacer jusqu’en Deux-Sèvres le mercredi 7 avril 2021.
« Il n’a pas beaucoup de compassion, relève-t-il encore. Il s’agissait de chats domestiques, et il le savait. » Non, lui répondra, en défense, Me Pauline Joubert.
« Ça fait de la peine »Une fois, ce sont deux adolescents qui ont retrouvé leur félidé piégé par un collet, « le seul qui a survécu, détaille Me Daniel Ithurbisque. C’est inacceptable, insupportable ce genre d’agonie ». Une autre fois, un garçon d’à peine 10 ans était venu chez lui pour y chercher son animal de compagnie qui s’était volatilisé : le quinquagénaire tuera le chat deux à trois jours après… « Ça fait de la peine, et c’est à partir de là que j’ai décidé d’arrêter », avait-il déclaré aux gendarmes.
Pour Me Pauline Joubert, c’est en raison de son « extrême timidité » que son client avait « peur » d’aller au-devant de ses voisins pour régler le problème en amont : « Ce n’est pas de la pure cruauté. C’est un accident de parcours, si on peut dire. » Qui lui vaut quatre mois d’emprisonnement avec sursis pour sa toute première condamnation.
Les parties civiles réclament 17.580 € au condamné
L’audience sur intérêts civils a été renvoyée au vendredi 10 septembre 2021, toujours au tribunal judiciaire de Niort : la justice étudiera alors les demandes pécuniaires des parties civiles, notamment explicitées par Me Isabelle Gharbi-Terrin dans ses conclusions. Ses clients, au nombre de cinq répartis en quatre foyers, réclament au quinquagénaire condamné hier des sommes allant de 580 € à 4.000 € : elles sont censées réparer la perte d’un voire de plusieurs chats, l’un d’eux ayant été d’ailleurs retrouvé suspendu à un grillage, d’autres éventrés, rembourser les frais vétérinaires avancés pour les soins ou couvrir un préjudice moral. En outre, chaque foyer sollicite le remboursement de ses frais de justice à hauteur de 500 €. L’Aspac et la Fondation Brigitte Bardot exigent, quant à elles et chacune, 1.000 € de dommages et intérêts, plus 500 € de frais de justice. Soit, au total, un montant atteignant 17.580 €.https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/commune/beceleuf/le-piegeur-et-tueur-de-chats-de-beceleuf-a-plaide-coupable-quatre-mois-avec-sursis
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