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Cet été, on se la joue BB...

Publié le par Ricard Bruno

Cet été, on se la joue BB...Brigitte Bardot, c’est l'icône mode par excellence.

Que se soit pour le blond angélique, le khôl pour les yeux, les cuissardes, ou encore la célèbre petite ballerine Repetto, c’est Brigitte Bardot qu’on a copié.  

Cet été encore, les créateurs les plus en vogue comme Christopher Kane (voir photo), se sont inspirés de notre BB nationale, en remettant au goût du jour le célèbre imprimé vichy.  

Décliné en couleur pastel, il saura rafraîchir et "glamouriser" notre été…

Source : http://www.fashionroad.fr/article-1798-cet-ete-on-se-la-joue-bb.html

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Alyssa Milano et Brigitte Bardot même amour des animaux

Publié le par Ricard Bruno

 Alyssa Milano joue les marraines pour un chien handicapé...Alyssa Milano joue les marraines pour un chien handicapé...

En France on a Brigitte Bardot, aux Etats-Unis ils ont Alyssa Milano ! Très sensible à la cause de nos amis les animaux, l’actrice s'est récemment prise d'affection pour un chien né sans pattes de devant...

Chez Fuzzy Rescue, un centre d’accueil pour animaux handicapés ou abandonnés de Los Angeles, on est habitué à voir débarquer l 'ex gamine de la série Madame est servie , Alyssa Milano. L'actrice que l'on a retrouvée plus tard en jolie sorcière dans Charmed n'hésite pas à s'investir et à donner de sa personne pour venir en aide aux chiens, chats et autres animaux de compagnie recueillis par l'association.

Récemment, c'est le petit Scooby Roo, un chien né avec une malformation, qui a reçu toute son attention. Dépourvu de pattes avant, l'animal avait jusque-là bien des difficultés à se mouvoir... Mais heureusement, sa marraine Alyssa lui est venu en aide ! L'actrice a en effet payé de sa poche un équipement spécial constitué de petites roues, qui permet à Scooby Roo de se déplacer avec moins d'efforts.

Il y a quelques jours, après une visite à son filleul, l'actrice postait quelques photos sur son profil Twitter et commentait : "Je suis dingue de Scooby Roo. Je l’ai aidé à avoir de petites roues. Comment aurais-je pu faire autrement ? Je ne suis pas sa mère, mais je suis sa marraine. Désormais il a ses roues, et il suit une thérapie de réeducation."

Décidément, Alyssa a un cœur gros comme ça...

Source : http://people.premiere.fr/News-People/Alyssa-Milano-joue-les-marraines-pour-un-chien-handicape/(gid)/2183774

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Aidez-nous à protester contre une fiesta cruelle au Mexique! : Mobilisation..

Publié le par Ricard Bruno

Tous les ans le 1er février six taureaux ou plus sont martyrisés et tués de façon abominable pendant la 'Fiesta de la Virgen de la Candelaria' dans la ville mexicaine de Tlacotalpan (Veracruz). Tout d’abord ils font ingurgiter de force aux taureaux des boissons fortement alcoolisées, puis ces animaux sont traînés dans la rivière par des cordes fixées à des bateaux pour être ensuite, une fois ramenés à quai, pourchassés dans les rues et torturés avec des couteaux, des bâtons et autres instruments de torture jusqu’à ce que mort s’en suive.

L’action de traîner les taureaux dans la rivière s’appelle 'embalse de toros' et le bureau de tourisme local fait même de la publicité pour ceci. En 2006 le gouverneur de la ville de Veracruz (Fidel Herrera Beltrán), avait interdit cet épouvantable festival à la suite des protestations de protecteurs des animaux et d’entretiens avec ceux-ci, mais le bourgmestre de Tlacotalpan n’a pas respecté l’interdiction. A la télévision mexicaine on a pu voir les images très choquantes des taureaux qui, gravement blessés essayaient dans leur panique de s’enfuir. La police faisait de son mieux pour protéger les animaux de la foule hystérique, mais les policiers étaient trop peu nombreux et les villageois étaient beaucoup trop assoiffés de sang.

En 2007 les villageois ont torturé en plus 6 taureaux dits de combat à côté des 6 taureaux ‘cebu’ destinés à ce carnage. Vous pouvez en voir le film sur www.youtube.com/watch?v=o0o2O6KEDCw, www.faace.co.uk/tlacotalpan.htm et www.anti-corrida.de/tlacotalpan.htm.

Tlacotalpan est sur la liste du Patrimoine immatériel de l’UNESCO et il faut que les gens sachent ce qui se passe dans cette commune. Les protestations seront envoyées aux autorités, à l’Eglise catholique et aux instances touristiques mexicaines.

Cliquez sur ce lien pour protester!
 
Pour voir la vidéo de la honte : http://www.youtube.com/watch?v=o0o2O6KEDCw

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Cette semaine au cinéma Landowski de Boulogne Billanourt : Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Cette semaine au cinéma Landowski de Boulogne

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Cinéma Landowski - Boulogne-Billancourt Accueil

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Israël pionnier dans la protection des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Le parlement israélien, la Knesset, a adopté le 06 janvier 2010 en première lecture, par 43 voix conte 9, un projet de loi important visant à interdire l’import de produits cosmétiques ayant été testés sur des animaux.

Ce n’est pas la première fois que les députés israéliens se mobilisent pour l’interdiction des produits ayant fait déjà l’objet d’expérimentation animale. En Mai 2007, Israël était presque la seule nation à interdire sur son sol les tests sur les animaux pour les produits cosmétiques et d’entretien. Avec la loi qui a été adoptée en dernière lecture par la Knesset le 21 mai 2007 et qui entrée en vigueur immédiatement, Israël a même été avance sur les pays européens ce qui a permit d’épargner entre 2000 et 3000 animaux sacrifiés chaque année pour tester ces produits.

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Si l’Etat Juif veut aujourd’hui interdire l’importation de produits cosmétiques ayant été testés sur des animaux à l’étranger, c’est parce que d’autres pays européens (notamment la France) continuent de faire des tests monstrueux sur les animaux.

L’Expérimentation animale en matière de cosmétiques et l’utilisation de tous les produits chimiques pose un problème éthique en Israël. ) Pour tous les Juifs, religieux de tous courants, laïcs de toutes tendances, Israël se doit, en fait, de faire respecter les animaux et donner l’exemple au reste des pays civilisé .

Néanmoins en Occident les industriels soutiennent les tests sur les animaux dans l’industrie cosmétique. En France par exemple, le gouvernement est accusé de protéger L’Oréal et LVMH. Une directive européenne interdit pourtant, à partir de mars 2009, la vente de produits de beauté comprenant des ingrédients chimiques expérimentés sur des êtres vivants.

“Le lobby industriel de la cosmétique est particulièrement puissant en France, on le sait”, dit Muriel Arnal, de l’association française de protection animale, One Voice (20 000 membres). Paris avait déjà traîné des pieds pour signer, en 2000, la convention européenne sur la protection des animaux vertébrés, pourtant établie quatorze ans auparavant dans le cadre du Conseil de l’Europe.

Les militants français de la cause animale soupçonnent leur gouvernement d’être à la solde de l’industrie cosmétique nationale, avec, à sa tête, L’Oréal et LVMH. Face aux critiques, Paris défend fermement sa position, et affirme que cette directive stoppera l’innovation cosmétique, créera des distorsions de concurrence avec “des répercussions inévitables en termes d’investissements, de perte de compétitivité mais également d’emplois”.

 

 

 

Rappelant que les consommateurs français sont plus généralement contre l’expérimentation. En effet, selon un sondage Ipsos/One Voice, réalisé au début 2003, auprès de 1 016 personnes, 64 % des Français se disent défavorables à l’expérimentation sur des animaux. Cette réponse est intergénérationnelle, et partagée davantage par les femmes (70 %) que par les hommes (58 %). Plus de deux Français sur trois (76 %) fustigent le manque de transparence des méthodes de fabrication, et 73 % estiment que l’information est insuffisante. Enfin, 70 % des gens pensent que l’expérimentation animale n’est pas assez réglementée. Pour pousser les industriels à mettre en œuvre les méthodes substitutives, l’arme du consommateur reste toujours efficace ; c’est son porte-monnaie. Il est tout à fait possible de boycotter les marques qui testent sur les animaux.

Pourtant, depuis dix ans, la plupart des fabricants, tels Clarins, L’Oréal et Lancaster, par exemple, ne se privent pas d’indiquer sur leurs étiquettes qu’ils ont cessé de tester sur les animaux la nocivité toxique ou irritante de leurs “produits finis”. Ils utilisent, à la place, des cellules cutanées et oculaires, des peaux reconstruites qui sont des tissus artificiels (mis au point par la recherche chez L’Oréal) et des cornées reconstruites à partir de cultures d’origine humaine.

Il existe aussi des marques qui ne font pas du tout d’expérimentation animale, ni sur les ingrédients ni sur les produits finis. Ces marques sont listées par l’association One Voice au lien suivant :

http://www.one-voice.fr/sites/default/files/Liste_des_marques_labellisees_par_One_Voice_associees_a_leurs_firmes_0.pdf

Le débat sur l’arrêt de la vente en Europe des cosmétiques dont les composants sont testés sur les animaux n’est pas récent. Une première directive (35/CE), adoptée le 14 juin 1993, fixait à janvier 1998 l’interdiction effective de vente. Une deuxième directive (18/CE), adoptée le 17 avril 1997, repousse la date d’entrée en application de l’interdiction afin de laisser davantage de temps aux industriels. Elle a fixé au 30 juin 2000 l’arrêt de mise sur le marché de ces produits. Pour répondre aux contraintes scientifiques invoquées par les industriels, une troisième directive (41/CE) a proposé, le 19 juin 2000, de fixer une nouvelle échéance, au 30 juin 2002. Enfin, une quatrième directive du Parlement européen et du conseil du 27 février 2003 a reporté pour la dernière fois l’échéance : 2005 pour les produits “finis”, 2009 pour les ingrédients qu’ils contiennent, à l’exception de quelques-uns, qui bénéficient d’un délai de grâce supplémentaire de trois ans.

Parmi les cosmétiques non testées sur les animaux, il y a des produits composés d’ingrédients naturels. Des entreprises comme L’Occitane, Nuxe et The Body Shop, citées en exemple par les défenseurs des animaux, plébiscitent les méthodes naturelles et la mémoire des procédés ancestraux. Ces entreprises se sont engagées à respecter le standard ‘’sans cruauté” et ils fournissent des attestations montrant que, désormais, ni elles ni leurs fournisseurs ne testent de nouveaux actifs sur des animaux.

Si la Knesset, le parlement israélien, a interdit avant même les européens les tests de produits cosmétiques et d’entretien sur les animaux, c’est surtout pour changer les habitudes de consommation et mettre fin à l’expérimentation animale. L’adoption le 6 janvier dernier de ce projet de loi visant à interdire l’importation de produits cosmétiques étrangers ayant été testés sur des animaux, est une victoire pour les militants de la cause animale en Europe. Sauf erreur de notre part Israël est aujourd’hui le seul pays au monde dans lequel, il est possible de se procurer ces produits classés dans la liste “sans cruauté”.

Si seulement si le monde entier pouvait épargner ces horreurs, comme ont fait les israéliens, l’industrie sera plus humaine et respectueuse de la faune et flore .Bravo en tous cas pour ce pays du Proche Orient. Nous, les habitants du reste du monde, nous pouvons mesuré le retard que nous prenons sur le plan de la civilisation si on reprend la vérité de Gandhi sur le fait que celle-ci est proportionnelle à la manière de bien traiter les animaux.

Source : http://jssnews.com/2010/01/10/israel-pionnier-dans-la-protection-des-animaux/
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La Fondation Brigitte Bardot milite pour la défense du Thon rouge, espèce fortement menacée à l'etat sauvage.

Publié le par Ricard Bruno

A quelques mois de l’ouverture de la 15ème Conférence des Parties à la CITES, la Fondation Brigitte Bardot a sollicité l’intervention du gouvernement français pour défendre, au sein de l’Union Européenne, la proposition faite par Monaco concernant l’inscription du Thon rouge (Thunnus thynnus) en Annexe I afin de stopper le déclin déjà bien avancé des populations sauvages.

La FBB sera présente en tant qu’observateur à la COP 15 et nous savons que la France va jouer un rôle important dans le positionnement de l’Union Européenne face à cette proposition. Nous soutenons l’inscription du Thon rouge en annexe I et cela pour différentes raisons :

L’inscription du thon rouge d’Atlantique à l’Annexe I de la Convention est cohérente avec la résolution Conf. 9.24 (Rév. CdP 14) car la population remplit les critères de l’annexe I.

En effet, les stocks de l’Atlantique Est et de la Méditerranée ont subit un déclin de 74,2%, en 50 ans de 1957 à 2007, dont la plus grande partie a eu lieu au cours de la dernière décennie.

Les stocks de l’Atlantique Ouest ont également subit une diminution de 82,4 % sur une période de 34 années.

Si la pêche devait se poursuivre avec le même taux de mortalité, associé à une biomasse du stock reproducteur faible et une surcapacité massive de pêche, nous assisterions à la chute massive des stocks.

Mackenzie et al. (2009) concluent que même si l’interdiction de pêcher le thon rouge dans l’Atlantique Nord-Est et en Méditerranée était presque totale et mise en œuvre entre 2008 et 2022, la population tomberait de toute façon à des niveaux records en quelques années.

Safina et Klinger (2008) affirment même que les stocks de thon de l’Atlantique Ouest sont actuellement en danger d’extinction et qu’il y aurait lieu de proclamer un moratoire immédiatement.

L’organe de gestion représenté par la CICTA ne semble pas maitriser la situation et assurer une véritable conservation du thon à long terme. Celle-ci sous estimerait le déclin des stocks selon Taylor et al. 2009.

De plus, les capacités d’aquaculture seraient estimées à deux fois le total autorisé de captures. Il est important de préciser également que pour obtenir 1kg de thon il faut 15 kg de poisson sauvage.

Les importations totales déclarées en 2009 par le Japon s’élèveraient à 32 356 t alors que le total autorisé est de 29 500 t. Les captures sont significativement supérieures aux quotas légaux (jusqu’à 61 000 t en 2007 selon les scientifiques de la CICTA). De plus, la CICTA fixe constamment des quotas de prise pour les stocks de l’Atlantique Est et de la Méditerranée au dessus des niveaux recommandés par ses scientifiques.

Leurs propositions présentées en juillet 2008 suggéraient un total autorisé de capture pour le stocks du pacifique Est et de la Méditerranée de 8500 à 15 000 t et que la pêche durant la saison de frai (mai, juin, juillet) soit interdite, ainsi qu’un moratoire pour augmenter les chances de reconstitution. Ces mesures n’ont pas été adoptées par la CICTA.

Le thon rouge de l’Atlantique est très vulnérable à des facteurs intrinsèques (comportement grégaire le rendant plus vulnérable aux instruments de pêche) et extrinsèques (le gros de la pêche se passant dans les zones de grande concentration pour le frai) ce qui augmentent encore le risque de voir sa population décliner.

Il y a en plus de l’évidence du déclin de la population de thon rouge dans le monde, une réelle urgence car certaines études tendent à démontrer qu’une saison de pêche supplémentaire entrainerait le déclin irréversible de la population de thon rouge.

Il est donc impératif que le thon rouge passe en Annexe I et qu’une mise en application soit effective au plus vite afin d’enrayer le processus d’éradication de l’espèce, c’est la position défendue par la Fondation Brigitte Bardot.
Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40223

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Brigitte Bardot s'attaque encore... au Premier ministre canadien !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot s'attaque encore... au Premier ministre canadien !
L'ancien sex-symbol des années 60 a définitivement tourné la page "bling-bling" : à 75 ans, Brigitte Bardot ne se consacre qu'aux animaux, qu'elle affectionne visiblement plus que les humains (et plus particulièrement ces connards richissimes qu'elle exècre).
Après avoir fait une remarquable percée à la dernière Fashion week, Brigitte Bardot décide de défendre un animal menacé. Lequel ? Le bonobo ? La mouche-palourde (croisement entre une mouche et une palourde) ? Le poisson-chat (un chat avec des branchies) ? Non, c'est avec sérieux et conviction qu'elle défend la noble cause des ours polaires, premières victimes évidentes du réchauffement climatique en raison de la fonte des glaciers, mais aussi proies des chasseurs. Alors, si en plus d'être décimés par le réchauffement, ils sont massacrés, là... cela ne va plus.
La cause est noble et pour y venir, Brigitte n'hésite pas à s'attarder sur les méandres de l'administration : elle a écrit une lettre ouverte au Premier ministre canadien pour lui demander que "le Canada soutienne et défende la proposition des États-Unis de transférer l'Ursus maritimus à l'Annexe I de la CITES". Un brin confus ? Alors sa lettre ouverte pourra peut-être vous éclairer :
"Même si je sais, par expérience, que vous ne prêtez aucune attention, aucun intérêt, aux arguments de ceux qui oeuvrent à la préservation des espèces, je tiens toutefois à dénoncer la position incompréhensible et coupable de votre pays qui s'oppose à la proposition des Etats-Unis de protéger l'ours polaire.

Le refus du Canada de soutenir le classement de l'espèce Ursus maritimus à l'Annexe I de la CITES est criminel et totalement irresponsable. Cette espèce, plus que menacée, est devenue bien malgré elle la tragique victime et le symbole du réchauffement climatique.

Il ne resterait plus qu'environ 20 000 ours polaires répartis sur le cercle arctique, la disparition de son habitat naturel ne fait qu'accroître le risque d'extinction de cette espèce. Il est donc inconcevable d'encourager la chasse "sportive", le commerce de "trophées", de peaux ou autres dépouilles comme le fait aujourd'hui encore le Canada.

Monsieur le Premier Ministre, lorsque nous vous avons interpellé pour dénoncer la cruauté de la chasse aux phoques, vous avez refusé d'entendre nos légitimes protestations. Aujourd'hui, l'Union européenne a fermé ses frontières aux produits issus de ce massacre et ne reviendra pas sur cette décision comme me l'ont confirmé plusieurs représentants des autorités européennes et nationales.

Ferez-vous preuve du même entêtement, du même aveuglement face à nos demandes de protection de l'ours polaire qui n'appartient pas aux Canadiens mais fait partie du patrimoine universel ?

J'ose espérer que non car une attitude contraire signerait l'arrêt de mort de cette espèce et ridiculiserait, une fois encore, le Canada pour sa gestion catastrophique et meurtrière de la faune sauvage.

Monsieur le Premier Ministre, j'espère donc que dans un élan de bon sens et de lucidité vous prendrez en compte mon appel afin que le Canada soutienne et défende la proposition des Etats-Unis de transférer l'Ursus maritimus à l'Annexe I de la CITES.

Je compte encore sur vous et, en dépit de nos divergences passées, vous transmets mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année."
Vous l'avez compris : par cette lettre ouverte, Brigitte Bardot réclame que l'Ursus maritimus (ours blanc ou ours polaire) devienne une espère protégée par le CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction).
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La fourrure animale provoque le débat : les anoraks de la discorde

Publié le par Ricard Bruno

Le froid et la neige n'ont pas calmé la colère de Bertrand Camus, moniteur de ski à Courchevel. Surtout en cette journée nationale contre la fourrure animale. "Et dire qu'on a failli porter des anoraks avec une capuche entourée de fourrure !" s'étrangle le montagnard, qui partait déjà en guerre l'an dernier contre ce retour en grâce des fourrures en tous genres dans les stations de ski.

Un métier où "l'on fait passer un message de protection de la nature et des espèces"

Le syndicat national des moniteurs de ski commandait alors plusieurs milliers de tenues qui devaient être la nouveauté de la saison 2010/2011. Fureur de Brigitte Bardot et de sa fondation qui envoyait au syndicat des moniteurs un film tourné en Chine. Il montrait les conditions dans lesquelles sont traités les animaux pour que la peau demeure intacte. Un document sans concession, faisant découvrir la violence de l'abattage des animaux élevés dans des cages minuscules. "Plusieurs milliers de renards, et autres espèces vendues sous cette appellation, seront électrocutés...La décharge grillera les organes internes..."

On passe sur les détails, mais Bertrand Camus protestait auprès du syndicat pour demander qu'il ne cautionne pas de telles pratiques. Le groupement d'achat du syndicat stoppait la commande en avril dernier, mais quelques centaines de tenues étaient quand même livrées. "Je ne me suis pas fait que des amis copains, mais je ne le regrette pas. Il faut être cohérent. Un moniteur ne peut pas se compromettre avec ça sur le dos. C'est un métier sportif, dans lequel on fait passer un message de protection de la nature et des espèces." Le défenseur des animaux se sent d'autant plus isolé que la fourrure naturelle revient à la mode chez les fabriquants de vêtements de sports d'hiver. "Regardez en ce moment à Courchevel avec les Russes, dont certaines sont mes propres clients. Je sais bien que ce n'est pas facile de leur dire sans se mettre à dos ceux qui nous font vivre."

Pour Gilles Chabert, président national du syndicat des moniteurs, "on a fait beaucoup de bruit pour rien. Cette polémique était disproportionnée pour de simples peaux de lapins que l'on voulait mettre sur les capuches. On ne tue quand même pas des bébés phoques ! Mais face à l'agression de la fondation Bardot, j'ai préféré renoncer. J'ai grandi dans une ferme où la peau de lapin ne valait rien. Il y a des problèmes plus importants dans la vie." Une demi-victoire pour le moniteur Bertrand Camus. "C'est maintenant aux commerçants et aux stations de prendre conscience du fait que cet étalage de fourrure animale est très mauvais pour l'image de la montagne."

Source : http://ledauphine.com/index.jspz?article=245872

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Touché-coulé en plein océan : Sea Shepherd et Paul Watson...

Publié le par Ricard Bruno

En plein océan Antarctique, un baleinier japonais a éperonné puis coulé mercredi le navire d'une ONG de défense des espèces marines qui essayait de le freiner. Les gouvernements australien et japonais ont tenté de calmer le jeu, tout en affirmant qu'ils n'interviendraient pas.

L'écologiste Paul Watson, un des membres les plus célèbres de Greenpeace dans les années 60, mène son combat contre les chasseurs de baleine depuis trois décennies. Mais cette fois, il est tombé sur plus fort que lui. Alors qu'il partait à l'assaut d'un navire japonais qui pratiquait la pêche aux mammifères marins géants dans les eaux australiennes, son trimaran ultrarapide, l'Ady-Gil, a été éperonné et coulé mercredi par ses opposants.

Selon Paul Watson, qui dirige l'ONG Sea Shepherd, spécialisée dans la défense des espèces marines, l'Ady-Gil a été "coupé en deux par le Shonan Maru 2, le baleinier japonais, alors qu'il naviguait à proximité". Les six membres d'équipage de l'ONG ont été sauvés mais l'un d'entre eux a eu deux côtes cassées et le trimaran high-tech d'un coût de 1,4 million de dollars a coulé. L'équipage japonais, dont un membre a filmé la scène (voir la vidéo ci-dessous) affirme que les militants leur "lançaient des projectiles" et que "la collision était inévitable". Un autre navire de la flotte baleinière japonaise se trouvait non loin de cette bataille navale improvisée.

Océan mouvementé

Face à l'événement, les gouvernements australien et japonais ont vivement réagi, sans pour autant promettre une intervention. Cambera a lancé un appel à la retenue à toutes les parties, disant qu'il n'enverrait pas de patrouilleur sur place. "Je voudrais insister sur le fait que le risque d'accident est élevé et que les capacités de secours sont faibles dans cet endroit du globe. Il est donc fondamental que toutes les parties fassent preuve de retenue et de prudence", a déclaré à la presse le ministre de l'Environnement, Peter Garrett. Tokyo s'est réfugié derrière sa position habituelle, faisant valoir le droit à pratiquer la chasse à la baleine, tout en critiquant la réaction démesurée des navires japonais.

Pour ou contre la chasse à la baleine, dont certaines espèces sont aujourd'hui menacées de disparition? Le débat n'est pas nouveau. Paul Watson, lui, en a fait son sacerdoce, quitte à être taxé d'écoterroriste ou de pirate. Après avoir fondé en 1977 l'association Sea Shepherd, il s'est dit prêt à parcourir les mers pour "gêner tous les chasseurs de baleine". Dans l'océan Pacifique, le Japon et la Corée du Sud sont dans sa ligne de mire. Ces consommateurs, modérés, de mammifères marins continuent d'harponner les cétacés, alors que les Nations unies ont interdit ce type de chasse depuis 1986. Cela n'empêche pas les Japonais de continuer à pratiquer cette pêche, la présentant comme "d'intérêt scientifique", et échappant ainsi au droit international. Tokyo considère surtout la chasse à la baleine comme inscrite dans la culture nippone.

Politisation d'un débat écologiste

Les baleiniers japonais n'échappent toutefois pas au droit international s'ils braconnent un surplus de cétacés hors de leurs eaux territoriales. Or, des rapports d'ONG écologistes ont démontré que les Japonais pêchaient surtout la baleine dans les eaux australiennes et néo-zélandaises – et en nombre trop important, au regard de ce que "l'intérêt scientifique" tolère. Du coup, la polémique enfle en Australie: pourquoi Canberra ferme-t-il les yeux sur cette présence nippone dans ses eaux? A Sydney, des députés ont appelé le gouvernement à empêcher les "vols espions" par les baleiniers japonais à partir d'aéroports australiens pour "déjouer les plans des militants écologistes" dans l'Antarctique. Selon ces parlementaires, ces vols aident Tokyo à enfreindre les conventions internationales.

Avec ce nouvel incident, les exécutifs australiens et japonais se trouvent en position délicate. D'autant qu'il apparaît, selon plusieurs témoins et selon des enregistrements vidéo, que le baleinier japonais Shonan Maru 2 aurait tout simplement "chargé" sur le trimaran de l'ONG Sea Shepherd. Un "acte délibéré", selon l'association, qui alimente un peu plus la polémique


Source : http://www.lejdd.fr/International/Oceanie/Actualite/Touche-coule-en-plein-ocean-162839/

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