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le web en parle

Poster Brigitte Bardot sur l'INA...8,90 euros !

Publié le par Ricard Bruno

 

Brigitte Bardot pendant le tournage de son spectacle télévisé "Spécial Bardot" Date :

04/11/1967  Crédits : Adda, Jean / INA  : 8,90 euros au lieu de 24 euros!

Poster 50cm x 70cm !

 

b_bardot.jpg

...

Brigitte Bardot lors de l'enregistrement de l'émission télévisée "A vos

souhaits...Brigitte Bardot : nouvel an" Date : 10/12/1962  : 8,90euros au lieu

de

24 euros!

Poster 50cm x 70cm!

b_bardot-copie-1.jpg



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TRAFIC D'ANIMAUX, LES MAFIAS INTERNATIONALES...

Publié le par Ricard Bruno

Ce soir sur France 2 à 22h45

DEUXIÈME ENQUÊTE DE LA SAISON 3 : LE TRAFIC D'ANIMAUX

Pour ce deuxième numéro de la saison, les Infiltrés ont patiemment remonté pendant plusieurs mois les pistes empruntées par les trafiquants d’animaux domestiques ou exotiques... Conditions sanitaires déplorables, importations illégales, le commerce d'animaux fait l'objet de nombreuses dérives.

En France,  l’équipe des Infiltrés a découvert un trafic de chiots aussi sinistre que lucratif.
Chaque année, pour répondre à ce marché, on estime qu’il faut environ 600 000 nouveaux chiens. 25 % proviendraient d’un élevage déclaré. D’où viennent les autres, près de 450 000 ?
Élevages, petites annonces, salons animaliers, les circuits de distribution sont multiples, l'étendue des transactions difficile à contrôler. Le marché dépasserait plusieurs centaines de millions d’euros. Mais derrière certaines offres se cachent de véritables fraudes.

En se faisant passer pour des clients, pour des négociants ou des trafiquants, les Infiltrés ont réussi à remonter jusqu’à la source d’approvisionnement en Slovaquie.
Il ya également des animaux exotiques, des espèces protégées menacées d’extinction, qui rentrent clandestinement en Europe pour satisfaire de nombreux clients… L’enquête menée par les journalistes les a amenés jusqu’en Hollande, République Démocratique du Congo, Turquie, Belgique, où ils ont approché les mafias internationales. Les Infiltrés ont voulu savoir comment s'organisent les trafiquants d'animaux sauvages. Les traités internationaux, la surveillance aux frontières et les certificats d'exportations sensés contrôlés les échanges, sont des obstacles bien dérisoires pour enrayer le trafic des animaux en voie de disparition. Un trafic de plusieurs milliards de dollars qui serait en progression ces dernières années.

Source : France 2

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Scandales Findus, Picard : toute la filière agroalimentaire est une tromperie

Publié le par Ricard Bruno

 

Par 
Fondation Bardot
Avatar de Christophe Marie

LE PLUS. "Spanghero savait". Selon les premières conclusions de l'enquête administrative sur le scandale de la viande de cheval, le fournisseur de Findus s'est rendu coupable d'une "tromperie économique". Mais pour Christophe Marie, directeur du Bureau de la protection animale et porte-parole de la fondation Brigitte Bardot, c'est toute la filière qui pose problème.

Édité par Sébastien Billard  Auteur parrainé par Amandine Schmitt

De la viande de cheval a été découverte dans les lasagnes de bœuf de Findus - ici, dans un magasin anglais, à Jarrow, le 8 février 2013 (S.HEPPELL/SIPA).

 Des lasagnes de la marque Findus, dans un magasin anglais, à Jarrow, le 8 février 2013 

 

Il y aurait de la désinformation sur les productions animales en France et ce serait un scoop ? La bonne blague. Pourquoi le "scandale" Findus/Picard trouve-t-il un tel écho dans les médias ? Comment se fait-il qu'il y ait des journalistes pour simuler une découverte alors que c’est une évidence pour tous ceux qui connaissent, même de loin, la filière de la viande ?

 

La désinformation, la tromperie du consommateur, tout cela forme la clé de voûte de cette filière. Il faut d'abord faire oublier que la viande est la chair d'un être vivant, doué de sensibilité, d'émotions, un être condamné à vivre et à mourir dans les pires conditions.

 

La "culture" du mensonge

 

Parler de "bien-être" animal dans les élevages, durant le transport ou l’abattage est déjà un leurre, une insulte, un mensonge dont le seul but est de déculpabiliser le consommateur. En France, le Centre d’information des viandes (CIV) va encore plus loin dans la désinformation grâce au ministère de l’Agriculture, toujours généreux lorsqu’il s’agit de consacrer des fonds publics à la propagande de produits d’origine animale.

 

En février 2011, l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) donnait raison à la Fondation Brigitte Bardot dans son action contre la campagne "soyons ferme" du CIV. Deux spots radio, animés par Sandrine Quétier, étaient ainsi interdits d’antenne considérant qu’ils induisaient le public en erreur.

 

L'un de ces spots vantait la dimension "artisanale" de l'élevage de porcs en France alors que 90% de la production est issue de cochons élevés en bâtiment et sur caillebotis. L’autre spot minimisait l’impact de l’élevage des bovins sur l’environnement alors que, selon la FAO, le secteur de l’élevage émet des gaz à effet de serre qui, mesurés en équivalent CO2, sont plus élevés que ceux produits par les transports.

 

Dans son dernier livre, "No steak", le journaliste Aymeric Caron témoigne de cette manipulation institutionnalisée qui cache une réalité que beaucoup de consommateurs fuient plus ou moins volontairement.

 

Le cheval et le bœuf méritent notre empathie

 

Il est légitime de s’émouvoir devant la souffrance du cheval transporté dans des conditions effroyables, normal de protester face à sa détresse lorsqu’il est manipulé, avec violence, dans les abattoirs.

 

Le cheval bénéficie d’un statut particulier, à mi-chemin entre la vache et le chien. C'est d'ailleurs cette particularité qui a conduit le député Lionnel Luca à présenter, en janvier 2010, une proposition de loi visant à modifier le statut juridique du cheval, le faisant passer d’animal de rente à animal de compagnie.

 

Les Français sont de moins en moins nombreux à consommer du cheval, l’hippophagie n’a pas la cote, elle est souvent comparée à la consommation de chiens en Asie, des viandes bon marché pour des gens rustres…

 

L’émotion est vive parmi ceux qui ont mangé, à leur insu, du cheval vendu pour bœuf chez Findus ou Picard. Pourtant, tout comme le cheval, le bœuf (et toutes les autres espèces) mérite notre empathie face aux horreurs que l’homme lui fait subir, en particulier au moment de son abattage.

 

Le gouvernement opposé à la transparence

 

Quatorze minutes d’agonie, c’est ce que peut endurer un bœuf ou un jeune veau lorsqu’il est égorgé sans étourdissement préalable lors d’un abattage rituel (rapport de l’INRA Douleurs animales).

 

Bien sûr, puisqu’il s’agit de viande halal ou casher, le consommateur lambda ne se sent pas particulièrement concerné par ce type d’abattage que la Fédération des vétérinaires d’Europe juge "inacceptable, quelles que soient les circonstances".

 

Seulement, la grosse majorité des viandes issues de ce type d’abattage se retrouve dans les circuits classiques sans aucune indication pour le consommateur.

 

Pour l'abattage, le principe qui préside dans les textes européens est celui de l'interdiction de la mise à mort des animaux conscients, c'est-à-dire l'obligation d'étourdir les animaux de façon à leur éviter toute souffrance inutile. Toutefois, des possibilités de dérogation sont prévues, notamment lors d’abattages selon des rites religieux.

 

Manger halal à son insu est inévitable en France

 

En France, cette dérogation s’est généralisée à l’insu des consommateurs. Dans un rapport de novembre 2011, le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux précise que 51% des abattages pratiqués en France sont des abattages rituels, alors que les consommateurs musulmans et juifs ne représentent pas plus de 7% des consommateurs français.

 

D’après la chambre d’Agriculture d’Ile-de-France, "100% des animaux abattus en Ile-de-France le sont selon les traditions musulmanes et juives".

 

Les raisons de cette généralisation de l'abattage sans étourdissement préalable sont essentiellement économiques. Elle permet aux abattoirs d'accéder à de nouveaux marchés, celui de la viande casher et halal, tout en écoulant les invendus sur le marché classique. Or, cet écoulement se fait sans étiquetage particulier.

 

Cette tromperie du consommateur est volontaire puisque Bruno Le Maire et Brice Hortefeux, lorsqu’ils étaient respectivement ministre de l’Agriculture et ministre de l’Intérieur, se sont opposés à l’étiquetage des viandes et ont mis en échec la proposition adoptée par le Parlement européen, en avril 2011, d’une traçabilité passant par un étiquetage précisant les conditions d’abattage des animaux.

 

Bannir tout produit d’origine animale

 

Stéphane Le Foll, alerté par la Fondation Brigitte Bardot dès son arrivée au ministère de l’Agriculture, n’a rien fait pour assurer la traçabilité des viandes issues de l’abattage rituel. Alors les grandes déclarations du jour, concernant le micro scandale de la viande de cheval, devrait être mis en perspective du scandale national de la viande issue d’animaux égorgés à vif, en toute conscience, puis distribuée à grande échelle, dans tous les circuits et sans étiquetage spécifique.

 

Le président de la République et son ministre de l’Agriculture se sont engagés à faire toute la lumière sur la vente de viande de cheval étiquetée bœuf, mais ils ne sont pas prêts à faire la lumière sur la viande issue de l’abattage rituel qui s’est généralisée au point d’être devenue incontournable en France.

 

Pour ne plus être complice, pour ne plus consommer des viandes issues d’abattages cruels, le mieux est encore de bannir définitivement de son alimentation tout produit d’origine animale.

 

Car finalement, s'il est choquant de manger du cheval, il l'est tout autant de manger du bœuf, du poisson, du poulet, du porc, etc. Chaque morceau de viande consommée entraîne un nouveau meurtre en abattoir : l'égorgement par procuration c'est pratique, ça n'entache pas trop la conscience, du moins, jusqu'à l'éveil de la conscience...

 

Source : Cliquez ici

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Vente aux enchères Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Un lot de photographies de presse concernant Brigitte Bardot mis en vente aujourd'hui à l'Hotel Drouot, après vérification il n'y a aucune inscription, ni même de tampon

A propos de la vente

Lieu de vente Hotel DROUOT
9, rue Drouot
SALLE 9
75009 Paris 9eme arrondissement

Informations d'accès Comment venir : métro Drouot-Richelieu

 
Retrouvez l'itinéraire sur Google Maps Expositions :
  • mercredi 13 février de 11h00 à 18h00 : Hotel Drouot, salle 9 au 9 rue Drouot 75009 Paris
  • jeudi 14 février de 11h00 à 12h00 : Hotel Drouot, salle 9 au 9 rue Drouot 75009 Paris

BINOCHE et GIQUELLO SVV

logo GIQUELLO JUDICIAIRE et BINOCHE et GIQUELLO SVV

Contact :
Violette Stcherbatcheff
Tél. : 01 47 42 78 01
Fax : 01 47 42 87 55
v.stcherbatcheff@binocheetgiquello.com

 
Détails des frais et conditions (25,000 % volontaire TTC)
Roger Corbeau (1908-1995) Brigitte Bardot La femme et le pantin, 1959 Le

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COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA FLAC

Publié le par Ricard Bruno

Fédération des Luttes pour l'Abolition des Corridas

 

Bonjour,

 

Après les déclarations du très médiatique pédopsychiatre Marcel Rufo sur les bienfaits, selon lui, de la corrida sur les enfants, qui avaient beaucoup choqué, Marcel Rufo déclenche une nouvelle polémique en affirmant sur France 5, en décembre dernier, nous le citons: "qu'une immense majorité d'enfants abusés sexuellement vont bien".

 

Conséquences: le CRIF -Centre de Recherches Internationales et de Formation sur l'Inceste et la Pédocriminalité-, lance une pétition sur Internet afin de dénoncer les propos de Marcel Rufo sur les abus sexuels exercés sur les enfants. Résultat: près de 15 000 signatures sont recueillies en très peu de temps. Voir lien ci-dessous.

 

http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/france5tv-stop-%C3%A0-la-d%C3%A9sinformation-sur-les-violences-sexuelles-faites-aux-enfants-brunopatino-fabarol

 

Nous précisons qu'un nombre croissant de spécialistes de l'enfance s’interroge de plus en plus sur les compétences de Marcel Rufo.

 

Pour en savoir plus, voir le lien ci-dessous.

 

http://www.flac-anticorrida.org/marcel-rufo-provoque-encore-une-polemique/

 

Merci

Cordialement

 

Thierry Hély

Porte-parole de la FLAC

www.flac-anticorrida.org

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Créations sur Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot la légende

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Babette s'en va en Guerre affiche du film aux enchères

Publié le par Ricard Bruno

Babette s'en va en Guerre affiche du film de christian Jacques

Babette s'en va en Guerre affiche du film de christian Jacques avec Brigitte Bardot illustré d'après Lefor Openo 78,5 x 38,5 cm

Babette s'en va en Guerre affiche du film de christian Jacques avec

A propos de la vente

LIEU DE VENTEMaître Philippe KACZOROWSKI et SALORGES ENCHERES-Kaczorowski, Derigny et associés sarl
8 bis, rue Chaptal
BP 98804
44188 Nantes

RETROUVEZ L'ITINÉRAIRE SUR GOOGLE MAPSEXPOSITIONS :
  • vendredi 22 février de 16h00 à 19h00 : A l'étude
  • samedi 23 février de 9h00 à 12h00 : A l'étude

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BABY ET NÉPAL: LA "CABALE" CONTINUE

Publié le par Ricard Bruno

Baby et Népal: la "cabale" continue

Ce mardi, la vétérinaire du cirque Pinder et de la Fondation Bardot doit se rendre à Lyon dans le but d'effectuer de nouveaux prélèvements sur Baby et Népal. Les défenseurs des éléphantes espèrent prouver qu'elles ne sont pas tuberculeuses et ainsi les sauver de l'euthanasie à laquelle elles ont été condamnées. Mais le préfet continue de s'opposer à ces tests.

s défenseurs de Baby et Népal persistent. Ce mardi, à 14 heures, la vétérinaire du cirque Pinder, Florence Ollivet-Courtois, également mandatée par la fondation Brigitte Bardot, se présentera au parc de la Tête d’Or afin de procéder à de nouveaux tests sérologiques sur les deux éléphantes soupçonnées d’être tuberculeuses. La vétérinaire spécialiste des pachydermes sera accompagnée par un huissier ainsi que par Sophie Edelstein, directrice artistique au Cirque Pinder Jean Richard et Juré à l’Emission «La France a un Incroyable Talent» sur M6 –et par ailleurs la fille du directeur du cirque Pinder et propriétaire des bêtes. Mais Gilbert Edelstein ne se fait pas d’illusion: «Ca m’étonnerait qu’on nous laisse entrer», a-t-il confié à ParisMatch.com, s’agaçant de cette «cabale» contre ses animaux.

En effet, le préfet du Rhône (représentant du ministère de l'Agriculture dans le département), Jean-François Carenco, a diffusé un nouveau communiqué dans lequel il refuse d’effectuer ce prélèvement «dans la précipitation», regrettant d’avoir été informé de cette démarche par voie de presse. Il ajoute que «ce type de prélèvement se prépare puisque les éléphantes doivent être impérativement à jeun. Ce qui ne sera pas le cas [aujourd'hui], car Baby et Népal ont été nourries [hier] soir.» Un nouveau «prétexte», tempête Gilbert Edelstein, qui souligne avoir adressé un mail aux responsables du dossier au ministère de l’Agriculture.

«LE PRÉFET EST EN TRAINDE SIGNER SON CRIME!»

Dans cet e-courrier daté du 1er février, ses avocats informent ainsi que suite à leur entretien du 23 janvier, au cours duquel les défenseurs de Baby et Népal ont fait part de leur «détermination, confirmée par courrier du 25 janvier, à faire réaliser de nouveaux tests (…) pour connaitre la situation sanitaire actuelle des éléphantes», et «n’ayant pas été destinataires de la position officielle du ministère» quant à leur requête, ils en déduisent «que le ministère ne s’y opposera pas» et les informe donc de la venue du Dr Ollivet-Courtois ce mardi. «Nous ne voyons pas sur quel fondement juridique le parc de la Tête d’Or pourrait s’opposer à l’accès aux animaux, du vétérinaire de leur propriétaire, sauf à commettre une voie de fait», concluent les juristes. «On me refuse les tests dans la précipitation par contre on est prêt à les abattre dans la précipitation», tonne l’homme de cirque, qui accuse le préfet d’avoir «fait nourrir (les pachydermes) hier soir volontairement». «Il est en train de signer son crime», prévient-il.

Rappelons que l’affaire est actuellement examinée par le Conseil d’Etat. Un pourvoi –non suspensif- a en effet été déposé devant la plus haute juridiction administrative française, suite auquel le préfet avait accepté de suspendre l’arrêté ordonnant l’euthanasie des éléphantes jusqu’à la décision juridique. Mais «le Conseil d’Etat juge sur la loi», note Gilbert Edelstein, qui regrette la lenteur de la procédure. La justice lui donnera raison «dans trois ans», estime-t-il, craignant que d’ici là, «le préfet et le maire (de Lyon) ne seront plus là, mais (ses) bêtes non plus». Et d’insister sur le fait que si tel était le cas, il ne s’arrêterait pas là pour autant. Parallèlement, Francis Lefaure et François Molinié, les avocats du cirque Pinder, sont en train de préparer une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), «pour que soit déclarée contraire à la Constitution la procédure prévue par le Code rural», ont-ils expliqué à Paris Match.

Pendant ce temps, la mobilisation se poursuit. La pétition en faveur Baby et Népal a recueilli à ce jour plus de 92 000 signatures, et la page Facebook est suivie par plus de 730 personnes. Une nouvelle manifestation est par ailleurs prévue dimanche prochain au parc de la Tête d’Or à Lyon devant la porte des «enfants du Rhône», à partir de 14 heures. «Il est probable qu’il s’agisse d’une des dernières occasions donnée aux lyonnais et visiteurs de voir ou revoir Baby et Népal vivantes», redoutent les organisateurs.

Source : Cliquez ici

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Nouveau livre (en Anglais) sur Brigitte Bardot...par Ginette Vincendeau...

Publié le par Ricard Bruno

 

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A former fashion model and starlet, Brigitte Bardot became an international star in 1956. Et Dieu … créa la femme, directed by her then husband Roger Vadim, turned her and the Saint-Tropez location into global phenomena. Bardot became the icon of a new hedonistic and sexually free lifestyle. Suddenly, audiences the world over could not get enough of her. Photographers stalked her, journalists, sociologists and novelists wrote about her; women imitated her hair and clothes. She was France’s first mass-media celebrity: Bardot had become ‘B.B.’

To coincide with the launch of Ginette Vincendeau’s new book Brigitte Bardot(BFI, Palgrave Macmillan, 2013), this short retrospective of Bardot’s key films explores Bardot’s image and significance. Together with Et Dieu … créa la femme, there are popular comedies (Michel Boisrond’s Cette sacrée gamine and Marc Allégret’s En Effeuillant la marguerite), ‘quality’ melodramas (En cas de malheur directed by Claude Autant-Lara and La Vérité by Henri-Georges Clouzot, and Bardot’s most famous New Wave film, Jean-Luc Godard’s Le Mépris).

Source : Cliquez ici

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