Le professeur Hubert Montagner, membre du Comité d'honneur de la FLAC, adresse un courriel à Claire Chazal.
Son objet: dénoncer le reportage particulièrement malhonnête et scandaleux de la journaliste, consacré à l'école taurine de Béziers le 31 mars dernier aux
infos du 13 h sur TF 1. Vous remarquerez, entre autre, les termes utilisés par le manadier Robert Margé pour qualifier son bétail: "matière vivante, produits, etc". Et ils osent prétendre
aimer et respecter les taureaux... Voir lien ci-dessous.
N'hésitez-pas à réagir sur cet article. QUE LES TELEVISIONS MONTRENT TOUT ! LA CENSURE, CA SUFFIT !
A son tour, le media Néoplanète relaie l'intervention de Hubert Montagner. Sa Présidente/Fondatrice se nomme Yolaine de la Bigne. Chroniqueuse matinale sur Europe
1, Yolaine de la Bigne est également membre du Comité d'honneur de la FLAC. Voir lien ci-dessous.
Lancel Paris : très belle pochette-portefeuille Brigitte Bardot en alcantara taupe, neuf dans sa boite, dust bag. Mode - Vintage - Maroquinerie Jeudi 18 Avril
7 CARTES POSTALES ARTISTE : Brigitte Bardot. Cartes Semi-Moderne dont 6 en noir et blanc par Sam Levin et une dédicacée. Cartes postales - Vieux papiers Jeudi 23 Mai
René GRUAU (1909-2004) Brigitte Bardot au chapeau rouge Feutre. Signé du monogramme en bas à droite au stylo bille. (Pliures marquées). 26 x 40 cm Provenance :
Collection Kouka Dessins - Pastel - Aquarelle - Gouache - Fusain - Encre Mardi 23 Avril
Kees VAN DONGEN (1877-1968) Bardot Affiche lithographiée en couleur sur papier Mourlot lithographe Signé (dans la planche) en bas à gauche 77 x 52 cm Note :
Affiche pour l'exposition "Les peintres témoins de leur temps". Estampes - Affiches - Gravure - Lithographie - Eau-forte Samedi 27 Avril
Brigitte Bardot a demandé au Premier ministre de Thaïlande, Yingluck Shinawatra, de stopper le trafic de chiens, tués dans des abattoirs clandestins pour leur viande et leur peau, a indiqué
mercredi sa Fondation.
"Tha Rae (nord-est) est le lieu d'un immonde trafic où l'on tue les chiens pour la viande et pour leur peau dans des abattoirs clandestins après qu'ils
soient sauvagement capturés au bord des routes ou volés à leur propriétaire", écrit BB à Mme Shinawatra dans une lettre rendue publique par sa Fondation.
L'ancienne actrice estime "que chaque année 100.000 chiens sont tués sur place et autant ou plus sont illégalement exportés vivants de toute la
Thaïlande dans des conditions atroces, empilés et affamés pour plus de 36 heures de route pour être brutalement tués et consommés au Vietnam".
Brigitte Bardot invite le Premier ministre à visionner un documentaire réalisé par des activistes thaïlandais posté sur YouTube intitulé +Hell on
Earth- Thailand's Dog Meat Trade+ qui "ne pourra pas la laisser indifférente".
La Fondation Bardot et la Fondation thaïlandaise Soi Dog luttent ensemble "pour une gestion humaine" de la population canine errante en
Thaïlande.
"70% des chiens saisis par la Fondation Soi Dog meurent de faim, blessures et maladies", déplore Brigitte Auloy, chargée de mission à la Fondation
Bardot. "Le 10 avril, 1.000 chiens ont été capturés dans des camions clandestins".
Des lois qui punissent non seulement les militants mais aussi les médias et les défenseurs des animaux.
Une douzaine d'états américains ont proposé ou adopté des lois criminalisant la dénonciation - via photos ou vidéos - des actes de mailtraitance animale dans les élevages et abattoirs.
Pourtant, des films qui montrent la cruauté envers les animaux, d'une violence insoutenable, réalisés au cours des deux dernières années par des militants de la cause animale,
essentiellement Mercy for Animals, The Humane Society of the United States et PETA (People for the Ethical Treatment of Animals), ont choqué l'opinion
publique et permis la condamnation des éleveurs.
Le porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, Chistophe Marie s'est exprimé sur ce sujet, au micro de Bourdin and Co (RMC), voir colonne de droite. Ainsi sur le site du Nouvel Obs,
lire ici
Fédération des Luttes pour l'Abolition des Corridas
Bonjour,
A l'occasion de l'école taurine de Béziers qui célèbrera son 10ème anniversaire le 14 avril prochain, nous portons à votre connaissance la lettre ouverte du
professeur Hubert Montagner adressée à Claire Chazal.
Madame Claire CHAZAL, journal de TF1, 31 mars 2013, journal de 13h.00
Madame, le 31 mars 2013, vous avez présenté un reportage sur la ville de BEZIERS, avec notamment un sujet sur l’école locale de tauromachie.
Après plus de quarante années de recherches consacrées au développement, aux conduites et aux rythmes de l’enfant dans ses différents lieux de vie, je me sens
concerné par les différentes formes de violence dont les enfants sont les victimes, les auteurs ou les instruments. Je suis donc choqué que vous ayez cautionné la partie du reportage sur la
“formation” dans cette école d’enfants et d’adolescents à la pratique de la tauromachie. Si je me fonde sur la définition donnée par le Larousse, dictionnaire de la langue française, l’équipe de
Tf1 a commis une imposture (définition donnée par le Larousse : “Action, procédé de quelqu’un qui cherche à tromper par de fausses apparences ou des affirmations mensongères, notamment en
usurpant une qualité, un titre, une identité, ou en présentant une oeuvre pour ce qu’elle n’est pas”). En effet, pour illustrer la “formation” des jeunes apprentis toréadors (ou matadors) dont le
projet est de devenir un professionnel de la mise à mort scénarisée de taureaux dans les arènes (... à moins que d’autres aient choisi pour eux), vous avez sélectionné des images en apparence
ludiques, voire amusantes. Elles montrent en effet des personnes qui simulent les charges d’un taureau (une paire de cornes brandie en courant), et d’autres (ou les mêmes ?) qui s’exercent à
porter des estocades fictives à un leurre ayant grossièrement la forme d’un taureau.
Ces images édulcorées travestissent la réalité (travestir est ainsi défini par le Larousse : “transformer la nature ou le caractère de quelque chose en le rendant
méconnaissable ; falsifier, déformer, trahir”). En effet, si je me fonde sur les témoignages d’observateurs qui ont assisté à la “formation” des apprentis toréadors dans les écoles de
tauromachie, on y apprend aux enfants et adolescents à manier le poignard, c’est-à- dire à maîtriser le maniement d’une arme, et “à se faire la main” sur des veaux ou des vachettes. En d’autres
termes, on les engage dans un apprentissage dont la finalité est de tuer ? Sans compter qu’ils peuvent être contusionnés ou blessés plus ou moins gravement au cours des contacts et des “courses”
avec des animaux évidemment stressés ou affolés par un environnement qui est loin de ressembler à une prairie tranquille, mais aussi par le poignard d’un partenaire maladroit.
Peut-on accepter la valorisation par un média d’un lieu de “formation” labellisé école en travestissant une réalité dont la finalité est de “former” des enfants et
des adolescents à être plus tard les acteurs d’un spectacle sanglant avec torture (les banderilles fichées dans le corps) et mise à mort d’un animal qui n’a pas d’autre choix que de mourir... à
moins d’être gracié... pour sa “bravoure”... en supposant qu’il survive à ses blessures ?
Je ne comprends pas qu’un média commette une telle faute humaine qui heurte la conscience, même s’il est dans le domaine privé, alors que son devoir et sa
responsabilité devant la nation devraient être de contribuer à l’éradication de toutes les formes de violence et de tous les processus qui peuvent conduire à la violence, que les victimes soient
des humains ou des animaux, surtout dans une société que l’Histoire a investi de la défense des droits de l’Homme et du citoyen, et du respect des droits de l’enfant dont l’Etat français a signé
la convention internationale en 1989 sous l’égide de l’ONU (la CIDE). Je n’ose faire l’hypothèse que, pour garantir l’audience de l’émission du 31 mars 2013, vous ayez pris vous-même la décision
de travestir la “formation” réelle des apprentis en tauromachie, ou que vous l‘ayez acceptée sans essayer de vous opposer. Est-ce la pression des lobbies de la tauromachie qui vous a
conduit à “monter” ou cautionner une telle imposture ? Y aurait-il une seule raison qui permette de travestir la “formation” d’enfants et d’adolescents à tuer des animaux pour les “besoins” de la
corrida, spectacle sanglant qui déshonore notre société et nous vaut l’opprobre de nombreuses nations, même si la tauromachie est également pratiquée dans d’autres pays ? Enfin, êtes-vous sûre
que les enfants et adolescents auxquels “on” a appris à manier le poignard dans une école de tauromachie réserveront aux animaux leur “habileté” à blesser ou à tuer, et qu’ils ne la mettront pas
en pratique pour tuer ou blesser un humain ?
Hubert Montagner, docteur ès-Sciences
Professeur des Universités en retraite
ancien Directeur de Recherche à l’INSERM
ancien Directeur de l’unité “Enfance inadaptée” de l’INSERM
CONSULTATION PUBLIQUE sur le projet de plan d’action national
loup pour la période 2013-2017
La consultation est ouverte du 12 avril ou 6 mai
2013.
Depuis la réapparition naturelle du loup en France en 1992, les
ministères chargés de l’écologie et de l’agriculture mobilisent des moyens
importants pour accompagner les éleveurs. Des mesures de protection des
troupeaux domestiques et d’indemnisation des dommages ont ainsi été mises en
place.
Depuis 2004, l’ensemble des mesures des protection du loup et
d’accompagnement des agriculteurs sont consignées au sein de plans d’action nationaux
établis pour une période quadriennale.
Le plan pour la période 2013-2017 constituera ainsi le troisième plan
d’action national.
Animaux maltraités: quand les industriels essaient d'étouffer leur monstrueuse réalité
E PLUS. Aux Etats-Unis, filmer des actes de cruauté envers des animaux est désormais interdit par la loi. Sur le Plus, la Fondation Brigitte Bardot s'interroge : "Si tout est irréprochable dans les
abattoirs, pourquoi interdire les caméras ?". Johanne Mielcarek, chargée de campagne pour L214, met en garde contre le poids du lobbying pour étouffer certaines pratiques.
Des lapins maltraités filmés par
L214 dans des élevages français
ANIMAUX.Des lapins malades et blessés entassés dans des élevages en batterie. Des poules en cages déplumées n'ayant plus que la peau sur les os. Des vaches qui reprennent
conscience sur une chaîne d'abattage. Vous avez peut-être vu ces images au journal télévisé ou sur les réseaux
sociaux. Elles montrent la production de viande telle que la vivent les animaux.
Témoigner de cette réalité est la mission que s'est donnée L214, qui enquête depuis 5 ans
dans les élevages et les abattoirs français.
Les défenseurs des animaux
passent pour des criminels
Filmer sans autorisation dans les
élevages et abattoirs et participer à la diffusion des images ainsi recueillies est à présent punissable de prison et de lourdes amendes dans trois États agricoles des États-Unis
(Iowa, Utah, Missouri). Des lois similaires sont en projet ou déjà en discussion dans une dizaine d’autres.
Autrement dit : des conditions d’élevage et d’abattage des animaux, les citoyens ne sauront que ce que l’industrie de la viande veut bien leur montrer.
Qu'en est-il, en Europe, de la liberté d'informer de ce que vivent les animaux dans les élevages ? Aucun pays
n'a encore légiféré contre le droit des consommateurs, à savoir ce qu'il se passe dans les élevages et les abattoirs. Mais les tentatives de répression ont déjà commencé.
En Autriche, l’État a tenté pendant trois ans de criminaliser une ONG pacifique, l'association contre les élevages intensifs VGT, allant jusqu'à utiliser une loi destinée à lutter contre
le terrorisme et le crime organisé pour inculper des responsables associatifs d'une série de délits extravagants. Au
terme d'un procès largement médiatisé, l'affaire s'est terminée en 2011 par une relaxe générale.
En Espagne, vingt-cinq personnes font actuellement l'objet d'un procès inique visant l'associationIgualdad Animal, qui a notamment documenté la cruauté inhérente aux élevages de porcs pour la viande, de visons pour la fourrure, ou au gavage des canards.
Derrière les murs des
abattoirs
Que retenir de cette ardeur à tenir la société civile en dehors des affaires de l'industrie de la viande ? C'est simple : derrière les murs des élevages et des abattoirs se déroule une réalité quotidienne que le grand public trouve
choquante et glauque. Une réalité qui nuit grandement à l'image des entreprises concernées à chaque médiatisation.
Jusqu'à présent, les groupes de pression agricoles exercent un lobbying efficace visant à inverser les rôles : criminaliser les protecteurs des animaux et mettre en sûreté l'industrie et
tous ceux dont l'activité économique repose sur l'exploitation des animaux.
Des contrôles très
insuffisants
En France, depuis l'affaire de la viande de cheval, nos
élus ont invariablement recours à une formule magique : "traçabilité". Entendre par là qu'ils sont favorables à l'indication du lieu d'élevage et d'abattage des animaux, comme si la seule
origine "France" portait la garantie de pratiques respectables.
En réalité, nos représentants politiques trahissent leurs véritables intentions chaque fois qu'ils évoquent leur volonté d'"apaiser les consommateurs". Pendant ce temps, la nécessité de
réformer l'élevage ou modifier les habitudes alimentaires reste absente de leurs discours.
Les personnes sensibles aux conditions de vie des animaux ont des raisons d'être inquiètes. Les contrôles des normes minimales de protection animale par les autorités françaises sont très
largement insuffisants : ils devraient être systématiques.
La monstrueuse normalité des
élevages
A L214, nous ne nous concentrons pas sur les cas particuliers d’employés sadiques ou d’éleveurs négligents. Nous tenons à monter la normalité de l’élevage : que ce soit le ramassage des
dindes, le gavage des canards, le transport des chevreaux... La "normalité" est monstrueuse.
Le gavage des canards qui finissent en foie gras
(images L214)
S'ils sont encore considérés comme des "propriétés", les animaux sont avant tout des êtres sensibles. Parce qu'ils sont à notre merci, la condition qui leur est faite nous regarde. Chacun
d'entre nous.
Du soleil, de la musique, des tenues trendy, des people au naturel, ça vous fait penser à quoi ? Personnellement, cela nous évoque qu'une seule chose : LES FESTIVALS ! Le Coachella Valley Music and Arts Festival,
un des plus célèbres au monde, c’est ce week-end et le week-end prochain sous le soleil californien! Et vous risquez d’en entendre parler. S’il annonce aussi le début de la saison
festivalière, ce n’est pas uniquement pour sa programmation musicale que les fashionistas affectionnent Coachella ! Bloggeuses, street-stylers et people en tout genre se donnent
rendez-vous dans la vallée pour apprécier les Red Hot Chili Peppers ou de The XX, tout autant que pour scruter les silhouettes des modeuses les plus inspirées. Alors pour
ne pas passer à côté, voici la sélection B.B pour un Coachella réussi !