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Communiqué de la FLAC...

Publié le par Ricard Bruno

Chers amis,

Le journal "Libération" met un terme à la chronique du journaliste taurin Jacques Durand. Vous trouverez tous les détails de cette formidable nouvelle grâce au lien ci-dessous. Vous pourrez ainsi vous adresser aux deux principaux responsables de ce quotidien afin de les remercier. Les taurins, furieux, ont déjà commencé à faire pression pour qu'ils reviennent sur leur décision. Vous pouvez aussi réagir sur cet article de notre site. C'est très simple. Il faut qu'il y ait un maximum de réactions !  Ensuite, nous exploiterons ce lien auprès des médias et des politiques.

 

 

http://www.flac-anticorrida.org/liberation-arrete-tauromachie/

 

Pensez aussi à nous soutenir en adhérant à la FLAC.

 

http://www.flac-anticorrida.org/agir/adherer/

 

Un grand merci à l'avance pour votre contribution !

 

Amitiés dans la lutte.

 

Thierry Hély

Chargé de communication de la FLAC

www.flac-anticorrida.org

 

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Recherche "Noutisi" qui a disparu fin octobre 2011...

Publié le par Ricard Bruno

Veuillez trouver ci-après le courrier que j'ai reçu hier, la propriétaire est désespéré de retrouver son animal, merci de faire passer ce message au plus grand nombre afin qu’il réintègre son foyer.

 Bruno Ricard

 http://www.chat-perdu.org/49457-chat-perdu-a-conflans-sainte-honorine

Noutisis-Ternois0668007141.jpg Noutisis-Ternois-0668007141.jpg

 

 

Noutisis a disparu fin octobre 2011 lors de son séjour d'un mois (alors que j'étais à l'étranger) dans une zone géographique couverte par le Val d'Oise (95) et les Yvelines (78) alors que j'habite habituellement avec elle en Gironde.

 

J'ai depuis écumé toute cette zone avec signalement au SIEV, vétérinaires, fourrières, SPA, associations de protection des animaux, mairies, près de 400 affichettes dans les boîtes à lettres, affiches dans plein de lieux. Je suis retournée à cet endroit plusieurs semaines où j'ai arpenté de plus en plus loin les bois, les fourrés, appelé tous les soirs, laissé de la nourriture en plusieurs endroits. Aucun résultat, aucun signe, aucun indice. Et pourtant Noutisis est proche de moi puisque je l'ai trouvée âgée de 4 semaines et l’ai élevée au biberon.

 

Noutisis a un fort tempérament, n'est pas très sociable avec les étrangers et l'hypothèse qu'elle soit partie (éventuellement à ma recherche en Gironde) commence à avoir un sens. C'est pourquoi j'ai entrepris de la signaler auprès de tous les organismes des départements qui relient l'ouest parisien à la Gironde.

 

J'ai pris la responsabilité de Noutisis et baisser les bras serait comme un abandon, ce qui m'est inconcevable.

 

Toute l'aide que vous pouvez apporter à cette recherche difficile est très précieuse. Retrouver Noutisis serait une immense joie et un sérieux apaisement.

 

Je vous remercie encore de votre contribution et vous souhaite une très bonne soirée,

 

Martine Ternois

 

06 68 00 71 41

 

05 56 68 06 02

 

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Sixties & révolutions...Exposition à Liège à la mi juin !

Publié le par Ricard Bruno

"J'avais 20 ans en 45 " se terminait dans l'ivresse de la Libération. Voilà « J'avais 20 ans en 60 », qui montre les germes de toutes les mutations auxquelles nous sommes confrontés aujourd'hui. Gigantesque expo dès la mi-juin à Liège.  

 

Les années fantasmes. Parce que ceux qui les ont vécues en parlent avec encore mille étoiles dans les yeux. Et que ceux qui les écoutent s'y verraient volontiers aujourd'hui. Les Golden Sixties. Ces autres années folles, pétulantes, entre la Seconde Guerre mondiale et la première crise pétrolière. Avec Jimi Hendrix, les Beatles, la mini-jupe, BB, la plage sous les pavés, John & Marilyn, Merckx et son premier Tour, James Bond, le boom de l'électroménager, les voitures rondelettes et de toutes les couleurs, Barbarella, la Lune conquise, yé-yé, mon corps ma liberté, Jules et Jim, Delon beau comme un soleil noir, Power flower, le rêve de Martin Luther King, La dolce vita...

C'est cette décennie d'or que René Schyns et Jacques Broun font revivre, dès le 14 juin, pour un an, gare des Guillemins, à Liège. Les concepteurs de « J'avais 20 ans en 45 », l'exposition qui avait fait courir des quatre coins d'Europe 750 000 visiteurs à Bruxelles, en 1995, tentent cette fois « J'avais 20 ans en 60 ». Sur une surface totale de 6 000 m2, proposant 1 500 photos et objets d'époque, en ayant reconstitué plusieurs lieux symboliques des années 1960 - le module lunaire de 1969 et son environnement, la brasserie Sénéquier et le port de Saint-Tropez, la pièce d'où Oswald a tiré sur JFK à Dallas (avec le visiteur qui « entre » dans la scène grâce à l'animation du studio bruxellois de pinxi), le couloir de l'hôtel de La Grande Vadrouille (avec la chambre, où l'Allemand ronfle et de Funès siffle), une rue de Paris lors de Mai 68 (avec la Coccinelle calcinée et les pavés descellés), la Factory d'Andy Warhol... -, en projetant des films de mille événements d'alors, en recréant Bardot sur sa Harley Davidson, avec ici un flipper, là une Mini Morris, entre Elvis et la télévision sur le buffet de la salle à manger, la pompe Fina et la robe métal de Paco Rabane, le baiser de Brejnev sur la bouche d'Honecker...

Une expo gigantesque, que le roi et la reine inaugureront le 14 juin. Budget : 6,5 millions d'euros. Objectif : 350 000 visiteurs. Public : « Les nostalgiques, avance René Schyns, le commissaire général, et ceux qui veulent découvrir cette période magique. Comme pour "J'avais 20 ans en 45" : il y avait des grands-parents, qui avaient vécu la guerre et leurs petits-enfants, qui se rendaient compte alors de ce que c'était. "J'avais 20 ans en 60" se propose à tout le monde, donc. Francophones et néerlandophones, Belges et étrangers. Parce que les Golden Sixties portaient les germes de toutes les mutations de la société telles qu'on les vit aujourd'hui, jour après jour. Et que ces mutations concernent n'importe quelle génération, n'importe quelle nationalité. »

Révolutions, révolutions

L'expo, c'est vrai, ne se veut pas « l'inventaire exhaustif et lassant des années 1960, insiste Jacques Broun, son concepteur. Elle illustre bien sûr cette ère d'effervescence, d'ébullition, de liberté, de plaisir. Mais elle montre surtout que ce fut la décennie de toutes les révolutions : révolutions politiques, révolution des m£urs, révolution économique, révolution culturelle, révolution technologique. Certaines ont fait accéder des peuples à la liberté, qu'ils l'aient ensuite exploitée avec bonheur ou non. Mais beaucoup, on parle là de combats politiques, n'ont toujours pas abouti».

C'est donc ça le fil rouge de l'exposition sur ces années dorées : les révolutions. Et le véhicule, ici, en est le mur : « C'est lui qui constitue l'unité graphique et scénographique », sourit Jacques Broun. On découvre donc sur des murs, de briques ou de béton, des slogans - Ich bin ein Berliner, Walen buiten !, Salut les copains, A travail égal salaire égal... -, des photos, des trous (ceux du mur de Berlin, à travers lesquels deux mondes se regardaient en catamini et en chiens de faïence), des affiches de film, des « Unes » de journaux, des portraits du Che, des guerres, des émeutes raciales, des attentats, des révoltes matées, des grèves interminables, des émancipations, du léger, du corsé, de l'heureux, de l'affreux.

On y entend du rock, de la pop, du folk, Elvis, Sheila, Brel, les Stones, Adamo, Joan Baez, Claude François, Bob Dylan, Jacques Dutronc... On y touche tous les objets de consommation de masse qui entrent dans la maison : le transistor, le mange-disque, le réfrigérateur, la machine à laver, le mixer. On s'y émerveille de leur design, tout en rondeurs, en audaces, en amphores, en formes festives. On assiste à la professionnalisation du sport, aux premiers pas du sponsoring, aux enjeux financiers de plus en plus importants, aux premiers cas de dopage, à la politisation du jeu... On revoit les films de la nouvelle vague, les westerns-spaghettis, les grandes comédies françaises, les Ben Hur, La Piscine, Le Guépard, Psychose, 2001 L'Odyssée de l'espace, West Side Story, Goldfinger...

On y perçoit aussi des essais de comparaison avec cette autre époque de révolutions et d'accélérations qu'est « la nôtre », l'actuelle. Pas sous forme de sentence, mais plutôt comme pour nous faire garder à l'esprit qu'au bout du grand bouleversement, tellement attendu, la délivrance n'est pas d'office au rendez-vous. En tout cas pas pour tous.

« Golden Sixties, j'avais 20 ans en 60 » constitue dès lors tout un voyage dans un monde d'ivresses. Qu'elles soient radieuses ou toutes de noir vêtues, elles nous font quitter les lieux comme ragaillardis. Avec quelque chose qui ressemble à une faim de défis à relever. Encore. 

 

Source : Cliquez ici

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Liège: 350 000 visiteurs attendus à l'Expo "Golden Sixties"

Publié le par Ricard Bruno

Affiche exposition en Belgique l'avais 20ans en 60

"Golden Sixties", c'est le nom de la grande exposition qui va s'ouvrir à Liège à la mi-juin. Une exposition installée sur 6000 mètres carrés dans la nouvelle gare des Guillemins et pour laquelle les organisateurs comptent sur 350 000 visiteurs.

A un mois de l'ouverture, les couloirs de la future expo "Golden Sixties" à Liège sont encore un peu vides. Ici une Harley-Davidson. Là une pompe à essence Fina ou encore une camionnette Volkswagen peinte aux couleurs du Flower Power. Pour l'instant, des ouvriers sont occupés à construire les décors.

"Nous avions fait une grande exposition qui s’appelait "J'avais 20 ans en 45", et on s'est dit, pourquoi pas la suite?" explique René Schyns, le commissaire de l'exposition. "Et nous avons constaté qu'il n'y avait jamais eu de grande expo mondiale sur le thème. C'est ce que nous avons voulu faire à Liège. Les années 60, c'est le démarrage de notre société. C'est l'apparition de la mini-jupe, c'est l'apparition de la pilule pour la femme, l'émancipation féminine. C'est l'époque des révolutions".

"La révolution politique, la révolution de la culture et des mœurs et enfin la révolution de la technologie" poursuit Jacques Broun, le concepteur de l'expo. "Notre marque de fabrique, ce sont vraiment les décors. Nous voulons immerger le visiteur. Il va être dans la situation de l'assassin présumé de Kennedy au sommet de l'immeuble d'où il tire, arpenter le quai de Saint-Tropez avec Brigitte Bardot et sa Harley Davidson, il va même côtoyer Bourvil et de Funès dans le couloir de l'hôtel du film de la Grande Vadrouille".

Une autre salle, presque terminée, évoque l'alunissage de 1969. Budget total de l'expo : 6 millions et demi d'euros. L'inauguration, en présence du Roi, est prévue le 14 juin prochain.

 

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Brigitte Bardot, beach girl à la française!

Publié le par Ricard Bruno

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Que celles qui me disent, « Les Américaines, elles sont trop ci, les Américaines gnagna.. ». On arrête avec le complexe du corn-flakes, et tout de suite ! Certes, elles ont pour modèle Marylin. J’admets qu’en coach beauté, c’est pas mal. Mais nous, on en a une aussi, de blonde iconique.

 

Et le style de la nôtre, Brigitte Bardot est nettement plus contemporain. Cocorico les filles, je vous le confirme, en matière de beauté, il existe une french touch ! Attention spoiler : nous ne nous intéresserons pas à son look post 1973, car il est un peu plus… comment dire… Un peu moins… Bref, parce que Bardot, c’est une femme de cinéma ! Quand  elle est irréelle, quand elle adopte une proximité distante. Oui, nous, Bardot, on l’aime en actrice.

 

Et chez Bardot actrice, ce qui frappe, c’est l’attitude. Et Dieu, créa la femme, c’est le corps libre et en mouvement. On oublie les actrices figées, pour en découvrir une qui danse pieds, rit aux éclats. Le premier truc Bardot, est là : dans son naturel, sa liberté et son mouvement.

 

La première apparition marquante de Brigitte Bardot a lieu dans « Et Dieu créa la femme ». La scène marquante du film est celle dans laquelle, pieds nus, elle danse, ondule sur un mambo devant un Jean-Louis Trintignant ébahi. Cheveux blonds lâchés, refusant de se soumettre aux conventions. Le premier pas du style Bardot est là, le refus des conventions.

 

Alternant successivement entre baby doll et femme fatale, le look Bardot jouera sans cesse sur cet antagonisme. Elle donne aux ballerines et au Vichy leurs lettres de noblesses, et souvent brise cette image sage en arborant d’audacieuses santiags, comme dans le clip de Harley Davidson.

 

Naturelle côté maquillage, l’icône des sixties met surtout le paquet sur son regard. Du trait d’eye-liner pour prolonger son regard, au troublant smoky eye, le regard bardot est l’élément clef de sa personnalité. C’est par là qu’elle joue le plus, choisissant d’être femme-enfant ou  séductrice.

 

Sa chevelure est aussi le truc de Bardot. Vous croisez une jeune femme aux longs cheveux raides, raie sur le milieu, vous pensez Bardot. Une autre au chignon haut et savamment décoiffé, Bardot encore. Une capeline à bandeau fleuri, Bardot à nouveau, époque St Trop’.  Le bandeau bleu du film « le Mépris », la transforme en jeune fille à la perle et marque durablement le style. Demandez aux Schiffer, Campbell, Winehouse et autres Paradis (oui, oui, regardez le clip de Be my Baby) si leur hairstylists ne le leur ont pas soufflés à l’oreille.

 

La jeune femme laisse derrière un sillage lourd et enivrant.

 

“Elle ne porte rien d’autre qu’un peu d’essence de Guerlain dans les cheveux…”

 

L’été approche et le look Bardot compte. La dame de Saint Tropez est une beauté de l’été. Peau hâlée, couleurs pastels, tenue blanche immaculée, chapeaux de paille, Brigitte Bardot impose sa superbe lorsqu’elle est chez elle, à la Madrague. Lorsque sur la plage abandonnée, elle redevient elle, et oublie la star qu’elle n’a pas choisi d’être.

 

Source : Cliquez ici

Publié dans le web en parle

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Chasse au phoque: Brigitte Bardot en appelle à Obama !

Publié le par Ricard Bruno

Profitant du premier déplacement officiel du président américain Barack Obama au Canada, Brigitte Bardot a enjoint ce dernier à intervenir dans «son ultime combat en faveur des phoques», pour lesquels Ottawa devrait prochainement annoncer les quotas de chasse pour la saison 2009.

Citant le rôle précurseur des Etats-Unis en la matière - ce pays a interdit le commerce de tous produits dérivés de phoques depuis 1972 - «l'Union européenne hésite encore», dénonce B.B. dans un courrier adressé à la Maison-Blanche, dont l'Associated Press a reçu une copie.

«Si votre prédécesseur avait une image terrible en Europe, vous bénéficiez au contraire d'une vague de sympathie et d'une influence réelle auprès des Européens», explique B.B. en préambule. «Vous avez manifesté, au cours de votre mandat de sénateur de l'Illinois, un intérêt certain pour le combat qui est ma raison de vivre: la défense des animaux».

«C'est pourquoi je sollicite votre aide, votre soutien. C'est très important car votre voix peut faire toute la différence et entraîner derrière elle les pays encore indécis. Il est urgent de se préoccuper du devenir d'une espèce touchée directement par les effets du réchauffement climatique (la mortalité des jeunes n'a jamais été aussi élevée du fait de la raréfaction des glaces) et de dénoncer, avec fermeté, la cruauté de ce massacre qui ensanglante notre planète», poursuit l'ancienne actrice, qualifiant sa démarche «chargée d'espoir car la France, mon pays, reste sourd à mes suppliques depuis 32 ans».

 

Jointe tôt vendredi par l'Associated Press, Brigitte Bardot rappelle qu'elle a «soutenu très ouvertement la candidature de Barack Obama face à John McCain et sa colistière Sarah Palin, véritable catastrophe écologique». «Je place un espoir immense en cet homme, même si je sais qu'il est sollicité de toute part et qu'il a déjà beaucoup à faire dans son propre pays».

En revanche, a-t-elle regretté: «Je suis plus que déçue par Nicolas Sarkozy et Jean-Louis Borloo (NDLR: ministre français de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire) qui m'avaient fait la promesse d'interdire l'importation et le commerce des produits issus de la chasse aux phoques, le gouvernement me l'a même écrit. Alors je trouve lamentable et extrêmement lâche que la France ait actuellement un tout autre discours dans les débats européens»

Source cliquez ici
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Une mère et son fils sauvés des flammes grâce à leur chat !

Publié le par Ricard Bruno

C'est le chat qui a donné l’alerte en miaulant très fort, réveillant Françoise Durand, 64 ans, et son fils de 19 ans.
C'est le chat qui a donné l’alerte en miaulant très fort, réveillant Françoise Durand, 64 ans, et son fils de 19 ans. (D.R)

Dans la nuit de lundi à mardi, l’incendie qui a ravagé une ancienne et belle maison de pierre située place de l’ancien four, au cœur de Paraza, aurait pu avoir des conséquences dramatiques.

Fort heureusement le feu a éclaté dans la cuisine au premier étage alors que les deux occupants dormaient dans les chambres du rez-de-chaussée. Autre chance : vers 1 h 30, le chat de la maisonnette a donné l’alerte en miaulant très fort, réveillant Françoise Durand, 64 ans, et son fils de 19 ans.

L’animal leur a, sans doute, sauvé la vie !

Après avoir tenté, en vain, d’éteindre les flammes, la mère et son fils se sont résolus à donner l’alerte. Les sapeurs-pompiers de Lézignan, épaulés par leurs collègues de Bize-Minervois et Saint-Nazaire-d’Aude, sont rapidement arrivés sur les lieux.

Les trois appartements contigus à la maison ont été évacués, le sinistre s’étant communiqué au toit et aux combles communs. Le risque de propagation était important. La tâche des soldats du feu était difficile car les accès étaient compliqués et les bornes d’alimentation en eau assez éloignées. Mais, vers 7 heures hier matin, ils en sont venus à bout.

Les gendarmes de la brigade de Ginestas ont ouvert une enquête afin de déterminer l’origine du feu. D’après les premiers éléments recueillis sur place il s’agirait d’un dysfonctionnement de la prise électrique alimentant le four de la cuisine.

 

Source : Cliquez ici

Publié dans le web en parle

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Le mépris sur France2 à 0h50

Publié le par Ricard Bruno

De Jean-Luc Godard (1963). Avec Brigitte Bardot, Michel Piccoli.

 

Souvent considéré comme le plus linéaire des Godard, Le mépris n’en est pas moins un chef-d’œuvre poignant et novateur. Capri, la mine boudeuse de B.B. et les exigences du producteur qui voulait à tout prix inclure une grande scène érotique n’ont pas réussi à brider l’inventivité de Godard. Pour cette réflexion passionnante sur le couple et le cinéma, il s’est d’ailleurs fait plaisir en demandant à Fritz Lang d’incarner un "pur" face aux exigences du commerce.

 

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Mes Belles rencontres...

Publié le par Ricard Bruno

Beaucoup d’émotion durant cette soirée, des artistes qui ne s’étaient pas revu depuis des décennies et qui se sont tombés dans les bras les uns et les autres.

Il y avait entre autre « Dominique Paturel » qui est  un des grands noms du doublage en France, ayant notamment prêté sa voix à Terence Hill, Michael Caine, George Peppard (Hannibal Smith dans L'Agence tous risques), Robert Wagner et Larry Hagman (J. R. dans Dallas) qui fût ému à la vue de Manuel Gélin croyant revoir Danièl Gélin son père (il faut dire qu’il se ressemble comme deux gouttes d’eau) et le bonheur de revoir son très grand ami Michel Creton, que dire aussi des autres émotions de cette soirée entre des artistes tel Pierre Bernard, Michel Creton, Jean-Marc Thibault, et aussi Michel Robin avec toujours le bon mot pour vous faire sourire, cette soirée s’est finie à près de 03h30...

Il m’arrive en moyenne 1 à 2 fois par semaine d’être convié à ces soirées chez un ami collectionneur qui aime les artistes, c’est un des rares endroits dans Paris où tous ces artistes peuvent se voir et se revoir, ce qui est formidable c’est l’émotion de voir et de connaître des artistes qui au grand écran, à la télévision ou au théâtre vous a fait rêver, très récemment mon amie Nicoletta m’a convié à son anniversaire ce fût un moment de bonheur, j’y ai entre autre retrouvée une autre amie Chantal Ladesou et son mari.

Il va de sois qu’à chaque rencontre dans ces soirée je n’oublie jamais de parler protection animale et bien sur de Brigitte Bardot...ma muse

 

Bruno Ricard

Dominique-Paturel--c-.JPGDominique-Paturel-et-Michel-Creton.JPGJean-Marc-Thibault-et-Dominique-Paturel.JPGManuel-Gelin-et-son-epouse--3-.JPGMichel-Creton--5-.JPGMichel-Robin--7-.JPGMichel-Robin-et-Dominique-Paturel--3-.JPG

Publié dans le web en parle

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