Nouveau Dvd "Brigitte Bardot"de l'émission "Empreintes"
Source : http://blogs.lexpress.fr/media/2008/05/foot_et_prestige.html
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Plus qu’une institution cinématographique, Cannes est le rendez-vous des paillettes, des stars, des strass, des flashes, de l’émotion et des scandales ! Aussi chic que choc, la Croisette fait son
show chaque année depuis soixante ans. Rétrospective des moments inoubliables que nous ont fait vivre les stars sur le tapis rouge… Ca tourne !
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En effet, dans les rites musulmans et israélites, une grande partie de l’animal ne peut être consommée car elle n’est ni « halal » ni « casher ». Après inspection par les sacrificateurs, des carcasses entières sont refusées et tous ces produits issus de l’abattage rituel (sans étourdissement préalable) se retrouvent dans le circuit classique sans aucune indication pour le consommateur.
La généralisation de l’abattage rituel est une tromperie du consommateur et un détournement de la réglementation.
L’exception prévue (dans les textes nationaux et européens) à l’obligation de l’étourdissement préalable des animaux ne peut être justifiée ici. En effet, peut-on parler d’abattage « rituel » (qui répond à des préceptes religieux) pour une viande destinée à l’ensemble des citoyens ? De toute évidence non.
Pour les bovins, la proportion d’animaux abattus en France sans étourdissement serait de 20%*... Une proportion insupportable quand on sait que ces animaux agonisent pendant de longues minutes et qu’ils sont, pour répondre aux cadences d’abattage toujours plus élevées, parfois suspendus encore conscients (ce que la réglementation interdit).
Le consommateur a-t-il le droit de savoir ?
Lors des rencontres « Animal et Société », la Fondation Brigitte Bardot a demandé la mise en place d’un étiquetage précisant les conditions d’abattage des animaux. La Fédération Nationale de l’Industrie et des Commerces en Gros des Viandes s’y est formellement opposée, non pas sur des critères religieux mais purement économiques. C’est pourtant l’une des mesures qui doit émerger de ces rencontres et nous y veillerons.
Pour la Fédération des Vétérinaires d’Europe, l’abattage des animaux sans étourdissement préalable est inacceptable en toute circonstance. Cette position est partagée par la Fondation Brigitte Bardot qui demande, avec le soutien de représentants du culte musulman, de rendre obligatoire l’étourdissement des animaux lors d’un abattage rituel.
« Les consommateurs doivent savoir qu’en France 80% des moutons sont égorgés en toute conscience. C’est inacceptable car « l’exception » devient la règle générale et s’étend à d’autres pays comme en Belgique où… 100% des ovins et caprins sont tués sans étourdissement préalable ! Les autorités le savent très bien mais elles préfèrent fermer les yeux plutôt qu’imposer un étiquetage précisant les conditions d’abattage. Le consommateur est trompé et la réglementation détournée, si le gouvernement français ne répond pas à notre demande, alors la Fondation Brigitte Bardot saisira la Commission européenne ».
* Rapport du COPERCI (comité permanent de coordination des inspections) « Enquête sur le champ du Halal ».
Source : http://www.lemague.net/dyn/spip.php?article4875
Pour la Fondation Brigitte Bardot, cette mesure est anecdotique :
« L’étude envisagée doit porter sur le traumatisme engendré par la corrida sur les jeunes. C’est stupide car le problème n’est pas là. La perversité des jeux taurins est de laisser penser qu’au nom de la tradition on peut, impunément, torturer à mort un animal. C’est absolument inacceptable et indéfendable sur le plan éthique. Le torero est présenté comme un héros, un modèle, alors qu’il ne fait que massacrer un animal dans les pires conditions qui soient ».
Dans la réglementation française, les courses de taureaux (corridas) et combats de coqs relèvent des sévices graves tout en bénéficiant d’une exception lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Cette exception est condamnée par la Fondation Brigitte Bardot pour qui « tout acte de cruauté avéré, caractérisé, doit être sanctionné ».
« Il n’y a pas d’autre alternative que demander l’interdiction pure et simple de ces jeux du cirque car c’est un principe moral de l’homme que d’évoluer vers une société plus juste où la barbarie, qu’elle soit exercée sur l’homme ou l’animal, n’aura plus sa place ».
La Fondation Brigitte Bardot participe également aux rencontres « Animal et Société » sur les thèmes : abattage rituel, transport et élevage, animaux de cirque, régime juridique de l’animal, expérimentation animale…
HAVRE-AUX-MAISONS - Un juge de la Cour du Québec rendra le 24 octobre son jugement dans le procès de cinq personnes accusées d'avoir violé les termes de leur permis d'observation lors de la chasse aux phoques de 2006.
Le procès s'est conclu vendredi, après que les preuves eurent été présentées toute la semaine aux Iles-de-la-Madeleine.
Les cinq accusés sont des représentants de la Humane Society International et la Humane Society of the United States. Ils sont accusés de s'être approchés à moins de 10 mètres des chasseurs le 26 mars 2006 en filmant la chasse annuelle aux phoques dans le golfe du Saint-Laurent, près de l'île du Cap-Breton.
Les Canadiens Rebecca Aldworth et Andrew Plumbly, les Américains Chad Sisneros et Pierre Grzybowski, et le Britannique Mark Glover sont passibles d'une amende maximale de 100 000 $ en vertu du Règlement sur les mammifères marins.
La chasse aux phoques de 2006 a été marquée par les manifestations de vedettes internationales comme le musicien Paul McCartney et l'ancienne actrice française Brigitte Bardot.
La photographie de célébrités est aujourd'hui devenue un business rentable. Les photos, une fois choisies pour faire la couverture des magazines et être placardées en affiches, sont désormais vues comme des chefs-d'œuvres artistiques à part entière.
Dans la Celebrity Vault Gallery de Beverly Hills, des clichés de célébrités de style classique, des photos d'icônes, sont exposés comme de précieux bijoux.
Les photos les plus prisées sont celles de: Marilyn Monroe, James Dean, Brigitte Bardot et Frank Sinatra. Et dans le milieu de la musique, on trouve les Beatles, les Rolling Stones et Jimi Hendrix.
Klaus Moeller
PDG, Celebrity Inc.
Fondateur de Celebrity Vault
"Ici nous avons découvert que dans le marché artistique, récemment, le secteur de la photo est devenu probablement celui avec la plus importante croissance. Les prix ont considérablement grimpé depuis les trois dernières années. Ce n'est donc plus seulement un loisir, mais un grand investissement."
Ces oeuvres artistiques ne sont pas seulement réservées au public. Les privilégiés viennent acheter les photos d'autres célébrités.
Une des créations qui se vendent le mieux aujourd'hui est le travail de Douglas Kirkland, photographe de célébrités mondialement connu. Le photographe de 73 ans a travaillé pour plus de 160 films dans les 50 dernières années.
Douglas Kirkland
Photographe de célébrités
"Aujourd'hui, les photos de tournage ne sont généralement plus, comme autrefois, considérées par les agences de presse et par tout le monde comme décisives pour la réputation d'une vedette. Quand j'ai commencé, une couverture sur Life ou Look decidait d'une carrière. Ce n'est aujourd'hui plus le cas. Il y avait une telle richesse parmi ce que nous pouvions aquérir lorsque nous étions ensemble avec eux, c'était libre. Par exemple, quand j'étais avec Judy Garland, elle se préparait pour un défilé ici avec Frank Sinatra et Dean Martin, et je la prenais en photo avec des bigoudis dans les cheveux. Cela serait impensable aujourd'hui."
Richard E. Aaron, célèbre photographe de rock and roll, est honoré par Modern Photography Magazine comme étant l'un des "10 meilleurs Photographes de Rock" à l'échelle mondiale. Plus de 50 couvertures d'album sont à l'origine de cette réputation. Il a également photographié au moins 4 mille artistes du monde de la musique.
Selon Aaron, la clé de son succès, c'est de mettre la rock-star à l'aise.