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Brigitte Bardot sur France 3 à 23h20

Publié le par Ricard Bruno

mireille-dumas-et-brigitte-bardot.jpg
Le mardi 26 06 2007 A 23h20
Vie privée, vie publique Brigitte Bardot sur France 3

Presentateur : Mireille Dumas

Argent, famille : un sujet qui fâche ?

Mireille Dumas propose de découvrir les images de sa rencontre en exclusivité avec Brigitte Bardot, qui a accepté de la recevoir à la Madrague. Mais auparavant, l'animatrice ouvre le débat sur le thème de l'argent et des conflits qu'il peut susciter dans le couple, comme dans la famille. Charlotte de Turckheim, qui a réalisé le film «Les Aristos», descendante d'une famille originale, qui a toujours vécu bien au-dessus de ses moyens, évoque les déboires de ses proches. La comédienne Nathalie Corré dénonce, quant à elle, la facilité de certains hommes à se laisser entretenir. L'écrivain Alain Soral, lui, soutient que l'argent est une façon pour les femmes de prendre le pouvoir. Enfin, la baronne Florence de Bouillé, lassée d'être harcelée par les banquiers, a fini par vendre son château de famille, véritable gouffre financier.

Source : http://www.programme-tv.net/2007-06-26/1/5/1482182/hertzien/vie-privee--vie-publique.html

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Le combat de Brigitte Bardot enfin récompensé

Publié le par Ricard Bruno

photo-couleur-de-BB--207--copie-1.jpgL'ex-comédienne est ravie depuis l'interdiction du commerce de fourrures de chiens et chats décidée en Europe.

Brigitte Bardot voit enfin son combat avancer. L'ancienne comédienne est aux anges depuis l'interdiction décidée par le Parlement européen d'interdire la commercialisation de fourrures de chiens et chats. La militante pour la défense des droits des animaux se battait depuis des années déjà pour dénoncer le massacre de millions de chats et de chiens en Asie afin de revendre leur fourrure. Cette interdiction en Europe constitue une première victoire pour B.B. dans sa difficile et longue lutte contre l'industrie de la fourrure.

Cette interdiction de commercialisation de fourrures de chiens et chats devrait être adoptée par le Conseil des ministres européen au mois de septembre. La mise en application ne sera effective qu'à partir du 31 décembre 2008.

Source : http://www.showbizactu.com/actualite-people/75058/le-combat-de-brigitte-bardot-enfin-recompense/

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Copacabana Palace, mythe sur mer

Publié le par Ricard Bruno

BRESIL. Il arrive que l'histoire d'une ville se tricote avec celle d'un de ses hôtels. C'est le cas à Rio, où le Copacabana Palace vit passer Marlene, Marilyn, Brigitte, Romy ou Gina. Histoires.
 
   
 
 
 
   
 
Rio de Janeiro est une ville dont la plage tient lieu de centre-ville. C'est son charme: le sable côtoie le bitume et le monde des employés de bureau en costume-cravate télescope l'univers des gens en slip et bikini. Plus qu'un simple front de mer, la plage est, pour les Brésiliens, le prolongement de l'espace privé. Une sorte de living-room en plein air où l'on se donne rendez-vous pour y tenir salon, assis dans des fauteuils pliants, un verre d'alcool à la main. C'est également un immense terrain de jeu où footballeurs, volleyeurs, joggeurs viennent sculpter leur corps et entretenir leur condition physique. Enfin, la plage est un institut de beauté où l'on vient parfaire son bronzage, dormir au soleil, hydrater sa peau avec force crèmes, huiles et onguents. Bref, la plage, ou plutôt «les» plages (la ville en compte une bonne quinzaine) sont des institutions dont la plus célèbre se nomme bien évidemment Copacabana.

Jusque dans les années 1920, «Copa» n'était qu'une lointaine plage sauvage, à l'écart du centre-ville. Mais avec l'inauguration, en 1923, de l'imposant Copacabana Palace, construit dans le style du Negresco et du Carlton de la Côte d'Azur, tout change. «Copa» devient un endroit à la mode. Les promoteurs immobiliers jettent leur dévolu sur ce site époustouflant qui s'étire sur 5 kilomètres, depuis le Pain de Sucre jusqu'à la pointe d'Arproador. La construction de résidences principales ou secondaires va bon train. Et «Copa» devient un quartier à part entière, une ville dans la ville, autonome, avec son propre rythme, ses règles de convenance bien à elle et son style fondé sur un mélange d'élégance et de décontraction. «C'est le seul quartier de Rio où la cravate et la veste ne soient pas exigées à l'entrée des cinémas et des autobus», explique, en 1935, le Guide Bleu Hachette. Pendant plusieurs décennies, Copacabana lance les modes et sert de point de référence à Rio de Janeiro tandis que son immense palace, navire amiral de l'hôtellerie carioca, amarré au 1702 de l'Avenida Atlântica, voit défiler la totalité de la jet-set internationale. De Marlene Dietrich à Fred Astaire en passant par Marilyn Monroe, Walt Disney, Ava Gardner, Orson Welles, Humphrey Bogart ou Rita Hayworth, tous les grands noms de la planète Hollywood descendent au Copacabana Palace. Ce casting de rêve comprend aussi des vedettes européennes (Yves Montand, Brigitte Bardot, Romy Schneider...) ainsi que d'innombrables princes, princesses, rois et reines - dont Elisabeth II d'Angleterre, Hussein de Jordanie ou Silvia de Suède.

Fondé par Octávio Guinle, l'un des hommes les plus riches du Brésil dont l'immense empire économique va de l'hôtellerie à l'immobilier en passant par les transports, la banque et l'assurance, le Copacabana Palace reste à tout jamais associé à l'image de Jorge Guinle, petit-neveu d'Eduardo. Séducteur patenté, amateur de jazz et de jolies femmes, Jorge Guinle n'occupe aucune fonction officielle au Copacabana Palace. Mais à l'aide de son fabuleux carnet d'adresses, ce gentleman mondain qui vit la moitié de l'année aux Etats-Unis va devenir le représentant exclusif de l'établissement familial auprès des célébrités du Tout-Hollywood. La technique marketing de cet attaché de presse haut de gamme est infaillible. Il cible les stars féminines du grand écran, leur donne un avant-goût de Rio dans sa chambre à coucher, puis les emmène découvrir les délices de la cité merveilleuse. Le tableau de chasse de ce play-boy international, impressionnant, s'apparente à une liste de nominées aux Oscars, dans la catégorie «meilleur rôle féminin»: Veronika Lake, Lana Turner, Hedy Lamarr, Jayne Mansfield, Rita Hayworth, Kim Novak, Janet Leigh, Anita Ekberg, Marilyn Monroe, Romy Schneider, Gina Lollobrigida. Entre autres...

Né en 1916 avec une cuiller en argent dans la bouche et plusieurs Rolls-Royce au garage, «Jorginho» («Petit Jorge») ainsi surnommé en raison de sa petite taille qui l'oblige à mettre des talonnettes pour se hisser à la hauteur d'Ava Gardner, est une personnalité en vue dans le Hollywood des années 1940 à 1970. Là, le Brésilien séduit le monde par son charme naturel, ses manières élégantes, son esprit enjôleur. Fréquentant les soirées mondaines, il rencontre les actrices les plus célèbres de son temps. «L'important n'est pas d'avoir beaucoup d'argent mais de connaître les bons endroits, les bonnes personnes et les bonnes manières», confiera plus tard Petit Jorge, qui devient aussi l'ami de Rockefeller, de Jack Warner (Warner Bros.), de Louis Mayer (MGM) et de Darryl Zanuck (le fondateur de la 20th Century Fox).

Jorginho appartient au club très fermé des séducteurs millionnaires qui consacrent leur vie à l'art du «rien faire». «Dans les années 1940, ce n'était pas très difficile de séduire une femme. Il suffisait de l'inviter à dîner, de danser joue contre joue et de s'assurer que sa coupe de champagne était toujours bien remplie», avouera un jour celui qui a grandement contribué à façonner l'image glamour de Copacabana.

Dans les années 1950, le flamboyant play-boy fait le serment de dilapider tout son argent avant la fin de sa vie. Un objectif largement atteint puisque le dandy flambeur finit ses jours ruiné et content de l'être: «J'ai mal calculé mon coup car jamais je n'imaginais vivre aussi longtemps», confia-t-il, tout sourire, peu avant son décès en 2004.

Dans les années 1970, le quartier de Copacabana, concurrencé par celui d'Ipanema, entre dans une phase de déclin. Et le Copacabana Palace connaît des difficultés. La concurrence des chaînes hôtelières internationales qui poussent comme des champignons le long de l'Avenida Atlântica est rude. Cependant la famille Guinle évite le naufrage et revend le bâtiment à la chaîne anglaise Sherwood qui lui redonne, peu avant l'an 2000, son lustre d'antan au prix de considérables investissements. La page «hollywoodienne» est définitivement tournée, mais l'hôtel est toujours auréolé de sa gloire passée. Dans le hall du premier étage de l'hôtel sont accrochés les portraits de toutes les stars américaines ayant séjourné dans le plus beau palace de Rio de Janeiro. Une bonne partie d'entre elles appartiennent également au tableau de chasse du «Petit Jorge»...
Source : http://www.letemps.ch/template/societe.asp?page=8&article=209908

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B.B. applaudit l'interdiction du ..........

Publié le par Ricard Bruno

PARIS (AP) - Brigitte Bardot a salué mercredi la décision prise par le Parlement européen d'interdire totalement le commerce de fourrures de chiens et chats, mettant un terme à un combat mené depuis des années.

Cette proposition de réglementation, qui a reçu un soutien massif des eurodéputés, devrait être adoptée en l'état par le Conseil des ministres européen en septembre.

Une fois cette dernière étape franchie, la mise sur le marché, l'importation dans la communauté et l'exportation depuis cette dernière de fourrures de chiens et chats et de produits en contenant seront interdites à compter du 31 décembre 2008.

L'utilisation de fourrures de chiens et chats avait à l'époque soulevé un tollé en France, relayé par de nombreuses célébrités dont l'acteur américain Joaquin Phoenix, Sophie Marceau, Sylvie Vartan, Laura Pausini, Valéria Golino ou Samantha Fox. 

BRUNO RICARD 

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Oiseaux en danger à Boulogne Billancourt

Publié le par Ricard Bruno

 Contacts pour les protestations  :
        Maire de Boulogne Billancourt pierre-mathieu.duhamel@mairie-boulogne-billancourt.fr 
Préfet :                   
 
                                                                                                                             Boulogne Billancourt (France)
                                                                                                                                         Le 20 06 2007
 
 
    Madame Monsieur 
 
Je viens par la présente vous demander d’intervenir massivement auprès de la mairie de Boulogne-Billancourt (92100), pour annuler et faire déplacer le feu d’artifice prévu pour le 13 juillet 2007 au parc de Boulogne Edmond de Rotchild. 
Ce parc abrite une variété incroyable d'oiseaux de toutes espèces (plus de 70 présentes au moment le plus fort inclus précisément le 13 juillet) dont plusieurs seront loin d'avoir achevé leur nidification, et certaines espèces rarissimes et introuvables en île de France sont présentent uniquement dans ce parc!
L'hécatombe et la perturbation engendrées auraient des conséquences sur toute la faune diurne et nocturne du bois.

En ces temps où l'humain prend enfin conscience de l'importance de la biodiversité pour sa propre survie, il serait vraiment regrettable qu'un tel massacre soit perpétré dans la commune de Boulogne Billancourt, engagée par ailleurs pour la préservation du patrimoine naturel.

Pourquoi la mairie ne maintient-elle pas le tir du 13 juillet à son emplacement habituel (toit de la mairie) je ne sais pas, en tout état de cause on ne peut laisser faire une telle aberration.
 
*Pour rappel, plus de 53% des Alto-Séquanais veulent et souhaitent augmenter les investissements pour l’amélioration de la qualité de l’air et des eaux, 35% veulent voir se développer de nouveaux espaces verts (parcs et jardins…), en résumé, comment faire pour protéger la biodiversité animale et végétale dans les parcs du département, les squares et les jardins des villes, en tout cas pas comme le prévoit la ville de Boulogne-Billancourt, en donnant son aval pour les tirs de feux d’artifices du 13 juillet prochain. Au parc Boulogne Edmond-de-Rotschild.
 
En attente de vous lire et d’une intervention de votre part auprès de la ville de Boulogne-Billancourt, je vous prie d’agréer;  Monsieur, l’expression de mes plus vifs remerciements.
 
Bruno Ricard
172 rue Castéja 92100 Boulogne Billancourt  
b.ricard2@wanadoo.fr
 
Représentant en France de Maïsha trust Wildlife conservation (Kenya) Protection des éléphants.
Délégué /Inspecteur «protection animale »
Agent de maîtrise animalier principal
Correspondant de presse A F I P 
Inventeur capsule publicitaire (breveté et déposé pour le monde entier)
 
*Source conseil général des hauts de seine : Les priorités : 2005/2010
article-le-parisien-le-16-06-2007.jpgarticle-le-parisien-le-16-06-2007--1-.jpg
 

LE PARISIEN DES HAUTS DE SEINE DU 16 06 2007
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Les icônes : Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

bardot.jpgS’il est une femme que l’on se doit bien de faire figurer dans notre série d’articles consacrés aux icônes sexy du grenier, c’est sans aucun doute Brigitte Bardot, l’illustre blonde, icône sexy de toute une époque qui a fait fantasmer plusieurs générations d’hommes. Que ceux qui ont la mémoire courte fassent un effort pour se rappeler de l’image de la très sexy Brigitte Bardot d’il y a quelques années, lorsque les poses lascives et sulfureuses devant l’objectif semblaient l’intéresser davantage que le sauvetage des bébés phoques. La célèbre et légendaire BB a ainsi été une égérie sexy qui a inspiré et servi de modèles a de nombreuses célébrités féminines qui ont tenté de s’inspirer de son personnage glamour et sexy pour lui ressembler au mieux. On a ainsi complimenté Vanessa Paradis puis le mannequin Laëtitia Casta, pour ne citer qu’elles, de cultiver leur ressemblance avec la blonde mythique comme si Bardot restait une référence immuable pour nos babes actuelles. (pour ma part oh que oui! RB)

Source : http://www.carbelle.com/Les-icones-sexy-du-grenier-Brigitte-Bardot-954

Bruno Ricard

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BUCAREST

Publié le par Ricard Bruno


basescu.jpgBasescu récidive.

Justice - 3 ans de prison pour mauvais traitement aux animaux.-

Les chiens errants des rues de Bucarest, moins nombreux qu'avant mais toujours là, subiraient souvent de mauvais traitements. Pour le vice-président du Parti démocrate (PD) Ioan Oltean, "ceux qui appliquent un traitement non approprié aux animaux et les font souffrir encourent une peine de prison, la période de détention pouvant aller jusqu’à 3 ans". Les modifications de la loi actuelle concernant les chiens battus seront discutées et votées au Parlement dans les prochains jours. En 2002, Traian Basescu, alors maire de Bucarest, avait lancé un programme visant à éradiquer de Bucarest les chiens abandonnés, s’attirant les foudres de la Fondation Brigitte Bardot.

Source : http://www.lepetitjournal.com/content/view/15969/1231/

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Maltraitance sur les ours en Bulgarie

Publié le par Ricard Bruno

Ces ours étaient nos enfants»??? (de qui se moque t'on)

ours.jpgKeystone

"Sous le regard complice de sa mère, le jeune Vesselin taquine «Micho», l'un des trois ours dansants qui leur ont été confisqués. "

 

Fin du calvaire pour les trois derniers ours dansants de l'Union européenne. La famille qui exploitait les plantigrades en leur infligeant des supplices cruels ne comprend pas pourquoi des organisations protectrices des animaux leur ont confisqué leur gagne-pain

 

Les tortures des trois derniers ours dansants de l'Union européenne, dont les performances ont jusqu'à présent nourri toute une famille rom en Bulgarie, ont pris fin cette semaine, des organisations protectrices des animaux les ayant transférés dans une réserve naturelle.

A Getsovo (nord-est), petite agglomération à 500 km du parc naturel de Belitsa aménagé pour les ours dansants sauvés, Velitchka Staneva, 58 ans, propriétaire avec sa famille des trois plantigrades, ne comprend pas pourquoi des protecteurs des animaux sont venus lui confisquer ses trois ours.

«Pourquoi prenez-vous nos ours, ce sont nos enfants?», proteste-t-elle en larmes devant sa modeste maison. Son fils Vesselin avait coutume d'aller de ville en ville pour y faire danser les trois ours devant de nombreux spectateurs. Leurs performances nourrissaient quatre générations de la famille Stanev, soit une vingtaine de personnes, explique Velitchka.

Propriétaires rémunérés
«Qui a abusé d'eux, qui les a torturés?» lance Vesselin aux défenseurs des animaux, sans comprendre le pourquoi de ce transfert vers la liberté.

Pour libérer puis accueillir les ours dansants bulgares - 25 au total dont 22 ont déjà été sauvés au cours des sept dernières années -, l'organisation autrichienne «Vier Pfoten» (quatre pattes) et la fondation pour la protection des animaux de l'actrice française Brigitte Bardot ont créé à Belitsa en 2000, un parc de 12 hectares. Il comprend forêts, clairières, douze grottes et sept lacs artificiels pour mettre les ours en confiance dans leur nouveau terrain aménagé de manière à recréér un environnement naturel pour ces animaux.

Pour libérer les ours, les protecteurs des animaux ont généreusement rémunéré les propriétaires des plantigrades, ces derniers ayant touché entre 2500 et 5000 euros par ours, soit le salaire annuel moyen en Bulgarie.

Les ours avaient tous vécu en Bulgarie dans des conditions pitoyables avant de trouver l'un après l'autre refuge dans le parc montagneux, «le plus moderne du genre en Europe». A l'instar des autres ours dansants, «Mima», «Micho» et «Svetla» avaient appris à se relever sur deux pieds et «danser» par la souffrance, pendant leur première jeunesse: des braises brûlantes étaient placées sous leurs pieds. C'est pour échapper aux brûlures qu'ils ont appris à lever un pied après l'autre.

Pour ne pas blesser les hommes, ils étaient en plus attachés à une lourde chaîne enfilée dans leurs naseaux sensibles et leurs ongles étaient régulièrement coupés, infligeant aux ours une douleur comparable à l'amputation d'un doigt chez l'homme. Pour être plus dociles, de nombreux ours avaient en plus été mal nourris et battus.

«Micho», «Svetla» et «Mila» sont les derniers ours dansants dans toute l'Union europeenne, mais il reste des ours dansants en Serbie, en Russie et en Ukraine.

Source : http://www.lematin.ch/pages/home/actu/monde/actu_monde__1?contenu=269979

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Alain Juppé désavoue Jacques Chirac

Publié le par Ricard Bruno

Peu de temps après l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, Alain Juppé a été nommé ministre de l'Ecologie, du Développement Durable, de l'Energie et des Transports. Un super ministère qui fait du maire de Bordeaux le seul ministre d'Etat du gouvernement et qui répondait aux attentes de Nicolas Hulot de voir un premier ministre bis prendre en charge les questions environnementales. Restait à savoir quelle serait la politique menée par l'ancien Premier ministre de Jacques Chirac et autant dire tout de suite que les choses débutent mal, en tout cas en ce qui concerne les éléphants.
Alain Juppé a en effet décidé de désavouer Jacques Chirac, qui s'était engagé à défendre un moratoire de 20 ans sur le commerce international de l'ivoire lors de la 14e conférence de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de la faune et de la flore sauvage menacées d'extinction). Celle-ci se tient à La Haye, du 3 au 15 juin et réunit pas moins de 171 pays. Au cours de cette immense conférence mondiale, de nombreux thèmes doivent être abordés et notamment le commerce de l'ivoire. Le Kenya et le Mali souhaitent en effet imposer un moratoire de 20 ans interdisant formellement le commerce de cette matière, que ce soit à l'état brut ou travaillé, alors que d'autres états africains militent pour une libéralisation de ce commerce meurtrier.

Il faut savoir que depuis 1997, le commerce de l'ivoire n'est plus interdit mais réglementé, ce qui a conduit à une recrudescence des actes de braconnage.
L'an passé, les services des douanes ont saisi près de 23 tonnes d'ivoire et 91 défenses. Sachant qu'on estime à 10% les produits de contrebande interceptés, on peut ainsi estimer que près de 23 000 pachydermes ont payé de leur vie pour ce trafic organisé à l'échelle internationale. Un chiffre très important quand on sait que la population d'éléphants africains est estimée de 300 à 600 000 individus, contre près de 2,5 millions en 1970. ivoire.jpg--l--phant.jpg
Une nouvelle qui avait été accueillie d'autant plus favorablement par les associations de protection de la nature que l'ex président de la République avait alors désavoué Nelly Olin, l'ancienne ministre de l'écologie qui ne souhaitait pas soutenir les positions malienne et kenyane. Difficile de s'y retrouver dans cet imbroglio, mais une chose est sûre, c'est que ce sont bien les éléphants qui risquent de payer au prix fort ce nouveau retournement de situation

Bien sûr, il est encore trop tôt pour juger de ce que sera l'action du nouveau gouvernement en matière de protection de l'environnement. Le fait d'avoir créé ce super ministère semble une bonne chose en soi, mais il convient de demeurer vigilant et ce fait précis ne fait que renforcer ce besoin. Il n'est jamais trop tard pour faire entendre sa voix et la fondation Brigitte Bardot a ainsi lancé un appel aux citoyens pour qu'ils contactent le ministère de l'écologie pour défendre la cause d'éléphants qui en ont plus que jamais besoin. 

Dès lors, difficile de comprendre la position défendue par Alain Juppé, d'autant plus que Jacques Chirac s'était engager à militer aux côtés du Mali et du Kenya.

Source : http://www.frequenceterre.com/articles-environnement-150607-405-Alain-Juppe-desavoue-Jacques-Chirac-sur-le-commerce-de-l-ivoire.html

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