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Laetitia Casta nue aux Césars: pourquoi?

Publié le par Ricard Bruno

Certains journalistes s'offusquent de la tenue vestimentaire de Laetitia Casta lors de cette soirée, je pense qu’ils ne savent pas apprécier la beauté à l'état pure, ah ! le genre humain toujours à critiquer.


Bruno Ricard

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Elle interprète Brigitte Bardot dans le biopic consacré à Serge Gainsbourg. Présente aux Césars samedi soir, Lætitia Casta remettait une statuette mais n’était en lice pour aucun prix.

Photos: Lætitia Casta en Saint-Laurent

Avant même son entrée dans la salle du théâtre du Châtelet, l’ancien mannequin originaire de Corse, brillait par sa tenue. Une robe somptueusement sexy, signée Yves Saint-Laurent, dans laquelle Lætitia Casta laissait entrevoir sa poitrine. Les mauvaises langues n’ont pas tardé: 'sa robe, c’est un peu les scanners corporels à Roissy', puis: 'Il faut rendre à César ce qui est à César et à Lætitia Casta sa culotte'.

Au naturel, ni plus, ni moins

La robe, sorte de voile transparent, agrémentée de broderies a suffi à alimenter la soirée. Casta a osé. Sans débardeur, ni soutien-gorge, elle a assumé son physique, montrant l’intégralité de sa poitrine. Son originalité et son audace ont ravi les caméras pour l’interprète de Brigitte Bardot dans Gainsbourg, Vie Héroïque.

Source : http://people.excite.fr/news/8093/Laetitia-Casta-nue-aux-Cesars-pourquoi

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Brigitte Bardot : une icône...

Publié le par Ricard Bruno

L’exposition consacrée à Brigitte Bardot dans le cadre de l’espace Landowski à Boulogne-Billancourt connaît un tel succès qu’il a fallu la prolonger jusqu’au 7 mars prochain. Quelles sont les raisons de cet engouement ?

Affiche de l'exposition

 

Il s’agit d’abord de rendre un juste hommage à notre star nationale qui, selon Valéry Giscard d’Estaing, incarne la beauté française, comme les nymphes de Jean Goujon.

Mais si Brigitte nous renvoie l’image de la blonde beauté de nos chansons d’antan, elle incarne aussi l’esprit gaulois : une fière indépendance à l’égard des préjugés, des convenances mondaines et des combines carriéristes ou financières, « un art d’être sans contraintes ni carcan, assimilé hier à l’immoralité, aujourd’hui à du racisme et autre incitation à la haine raciale » (1). C’est pourquoi l’idée de donner ses traits au buste de Marianne qui orne, depuis 1969, nos mairies est géniale. Brigitte Bardot a le beau visage de la liberté, comme elle en a l’esprit.

Une telle conjoncture devait déterminer un destin exceptionnel : quel roman que la vie de notre B.B. nationale !

Née à Paris le 28 septembre 1934 dans une famille bourgeoise, Brigitte se crut d’abord destinée à la danse qu’elle pratiqua dès l’enfance, mais la photographie s’empare de son lumineux physique : à quinze ans elle pose pour les magazines Elle et Veillée des chaumières en petit mannequin bien sage, puis le cinéma jette son dévolu sur cette ravissante adolescente et ne la quittera plus. Elle débute en 1951 avec un second rôle au côté de Bourvil dans Le trou normand. Les contrats vont alors se succéder à un rythme accéléré tout au long des années 1950 et 1960 : B.B. tournera une quarantaine de films révélant un charme envoûtant, un talent instinctif, alors qu’elle n’a fréquenté aucun des cours d’art dramatique où se forment les acteurs. Son succès prend très vite une dimension mondiale, parfois teintée de scandale pour des apparitions jugées à l’époque trop dénudées qui attachent à sa personne une image scandaleuse que la vie privée de la vedette ne dément pas.

Brigitte Bardot et Jacques Charrier

 

Après un mariage malheureux avec Vadim, puis Jacques Charrier qui lui donne un fils nommé Nicolas, B.B. s’amourache de divers partenaires, telle un Don Juan féminin amoureux de l’amour et refusant la fidélité. Elle se stabilisera, la soixantaine venue, en épousant Bernard d’Aumalle, un ami de Le Pen, au grand scandale des milieux médiatiques dominés par la gauche.

La vie peu édifiante de la comédienne l’a exposée à la réprobation des autorités morales: les Témoins de Jéhovah la vouent à la damnation éternelle ; à l’exposition universelle de Bruxelles en 1958, le pavillon du Vatican, décoré sur le thème des sept péchés capitaux, était orné d’une photographie de Brigitte Bardot pour illustrer la luxure. Mais les hommes d’Eglise le savent : à qui aura beaucoup aimé il sera beaucoup pardonné, et celle qui vit au pays où sainte Marie Madeleine, la pécheresse repentie de l’Evangile, finit son existence terrestre, comptera au Jugement dernier des avocats de poids, à commencer par saint François d’Assise.

Son amour des animaux

En 1973 Brigitte Bardot décide de quitter en pleine gloire une éblouissante carrière. Elle a confié au public la raison d’un choix délibèré: « J’ai donné ma jeunesse et ma beauté aux hommes, je donne ma sagesse et mon expérience aux animaux. » Déjà en 1962 elle s’était publiquement élevée contre les conditions d’abattage des petits animaux, chèvres, veaux et moutons, rencontrant l’approbation du général De Gaulle qui appréciait « la simplicité de bon aloi de cette femme ». Onze ans plus tard, B.B. entre en sa religion : Aphrodite fait place à la Potnia Thèron des Anciens,  maîtresse des fauves et des animaux. Elle entame un combat contre les souffrances inutiles infligées aux animaux de toutes sortes, contre la chasse aux bébés phoques et de manière générale contre l’usage de la fourrure animale dès lors que l’industrie textile peut la remplacer, contre les conditions horribles de transport vers les abattoirs et l’élevage industriel qui chosifie des êtres vivants, souffrant de la négation du comportement pour lequel ils sont naturellement programmés, contre la chasse, la corrida, la zoophilie, l’hippophagie, le gavage des oies et des canards.

La Fondation Brigitte Bardot, créée en 1986 grâce à la vente des bijoux, œuvres d’art, effets personnels de la vedette, finance la recherche sur les solutions alternatives à la vivisection par des études en laboratoire sur les cellules, et favorise l’adoption d’animaux abandonnés.

Enfin, last but not the least, notre B.B. nationale ose émettre des protestations publiques contre l’abattage rituel, particulièrement fréquent au moment de la fête musulmane de l’Aïd el kebir ; elle a beau invoquer nos coutumes ancestrales, la loi Grammont, les lois française et européenne obligeant les bouchers des abattoirs à étourdir l’animal avant de le tuer, c’est peine perdue, car elle prête ainsi le flanc à l’accusation qui tue aujourd’hui : le racisme. Avant le MRAP, le syndicat des fourreurs avait utilisé l’argument : du moment que des lois nazies avaient humanisé l’abattage, Brigitte Bardot se voyait stigmatisée en nouvelle Eva Braun ! Elle a perdu cinq procès en diffamation mais persiste et signe.Bargot vs Quick Aux dernières nouvelles notre star nationale a demandé aux gestionnaires de la chaîne de restauration rapide Quick de renoncer à proposer aux clients de la viande hallal provenant de bêtes égorgées sans étourdissement préalable et tournées vers La Mecque.

Brigitte Bardot humaniste et moraliste

Brigitte Bardot a publié des mémoires exprimant toute sa sagesse. Elle y dénonce avec pertinence les divers aspects de notre décadence : la pornographie, la violence qui commence par s’attaquer aux animaux avant de s’en prendre aux êtres humains, l’idéologie du gender qui nie la nature féminine, l’homopholie et l’exhibitionnisme des gay-prides, la plongée dans les abîmes de l’anarchie du fait d’une immigration incontrôlée. Ces propos de bon sens ne pouvaient que soulever l’indignation du monde médiatique, et les Fogiel et les Ruquier n’ont pas manqué de se déchainer contre celle qui dit tout haut ce que le peuple français pense tout bas, comme le prouvent les fabuleux tirages de Un cri dans le silence ou de Pourquoi.

Nul n’est prophète en son pays, dit-on, mais on a su rendre hommage à notre Brigitte sous d’autres cieux: les Autrichiens lui ont attribué le prix My Way en 2002 pour son engagement en faveur des animaux après le professeur Barnard et avant Jean-Paul II (!), puis Lech Walesa, qui compte d’ailleurs parmi les amis de notre star.

La bonté proverbiale de la Dame de la Madrague (2), petit paradis terrestre où chiens et chats voisinent avec toute une basse-cour et un cochon familier, rayonne aussi sur les êtres humains : Brigitte est la providence des vieillards sans ressources du pays auxquels elle prodigue visites et cadeaux, elle a remué ciel et terre pour sauver le village d’orphelins de Joséphine Baker, elle s’occupe d’enfants atteints de maladies graves, elle s’est engagée dans des campagnes en faveur de quelques condamnés à mort qu’elle jugeait innocents. Voilà qui devrait faire cesser les calomnies des bonnes âmes qui s’indignent à l’idée que l’on consacre de l’énergie à la cause des animaux au lieu de la réserver exclusivement aux êtres humains, comme si l’amour de la création excluait l’amour de l’humanité. Brigitte n’a aucune dureté de cœur, elle se consacre à ceux que la plupart d’entre nous négligent, torturent et sacrifient sans scrupule parce qu’ils ont le malheur d’être utiles à l’homme.

On pourrait s’étonner que le combat de Brigitte Bardot soit aussi solitaire : les écologistes qui clament à tout venant le devoir de préserver la nature ne se bousculent pas pour la soutenir. S’ils préfèrent s’attaquer aux producteurs de CO2, ce n’est pas seulement par réflexe grégaire de gauchistes à l’égard d’une femme marquée à droite. C’est surtout parce que la surexploitation animale se trouve au coeur du système mondialiste, dont les Verts sont les propagandistes fanatiques. Alfred Jarry fait apostropher le Père Ubu en ces termes par son épouse: « Si vous ne leur donnez des viandes et de l’or, vous perdrez le pouvoir tout à l’heure ! » Tant que les hommes auront leur ration quotidienne de boeuf aux hormones, de porc ou de poulet élevé en batterie, ils ne se révolteront pas contre les maux du mondialisme que les écologistes se garderaient bien de mettre en question. La foule qui se presse depuis quatre mois à l’Espace Landowski de Boulogne-Billancourt vient y voter avec ses pieds pour une icône de l’identité nationale.

Claire Magnard
10/02/2010

1) E.Bonini:Brigitte Bardot. Editions Alphée.

2) La Madrague, près de St Tropez, proprièté de B.B

Source : http://fr.novopress.info/50948/b-b-une-icone-de-lidentite-nationale/

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Fleurance. Elle milite pour le droit des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Rencontre. Caroline Canu relaye des associations.

Caroline Canu a déjà recueilli plus animaux abandonnés. Photo DDM, Jpdg.

Caroline Canu est la correspondante et enquêtrice locale pour la fondation pour les animaux de Brigitte Bardot. Elle est également bénévole sur le terrain pour l'association de Stéphane Lamart qui se mobilise pour la défense des droits des animaux. «Je trouve sur la ville beaucoup de maltraitance et d'excès de mauvais comportement envers les animaux», confie-t-elle, «par exemple, il y a près de deux mois, on a trouvé un chien perdu au pont du Gers. Il y a aussi des chiens attachés sur simplement un mètre de chaîne au pied d'escalier de balcon. On m'a relaté également des chiens enfermés dans des caisses de transport. Autant de conditions inacceptables pour les animaux, comme j'ai pu avoir le témoignage dernièrement d'un chien enfermé et oublié dans un coffre de voiture». Elle parle également de chevaux restés en plein été, sans eau ni fourrage pendant plusieurs jours. Sans compter les chats abandonnés autour des maisons. «Il est difficile de penser que Fleurance a autant de chats que d' habitants», ajoute Caroline Canu. Elle dénonce également les disparitions mystérieuses d'animaux: chiens de chasse, dans les jardins, comme chats domestiqués. «Déjà beaucoup de personnes me connaissent et m'amène des animaux», confie cette bénévole, «j'ai ainsi recueilli onze chats, deux chiens, lapins, tortues, oiseaux, des animaux dont les propriétaires se sont lassés. On doit prendre conscience que les animaux ne sont pas des jouets. Nous devons nous regrouper entre bénévoles pour essayer d'éradiquer maltraitance et abandon de plus en plus nombreux. Il faut être conscient que l'on est passible d'amende et même de prison, lorsqu'on maltraite les animaux».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/24/783609-Fleurance-Elle-milite-pour-le-droit-des-animaux.html

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Belle leçon d'amitié entre animaux...

Publié le par Ricard Bruno

L’orang outan a été sauvé, mais il n’allait pas bien moralement, le chien est arrivé en très mauvais état.

L’orang outan est resté avec lui, nuit et jour jusqu’à ce qu’il aille mieux.

Il a trouvé une raison de vivre et depuis…ils sont amis pour la vie !

Voyez les photographies ci-dessous, à méditer.

Bruno Ricard
(Merci Valérie)


   


  



   
   

 

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Recette : la véritable tarte Tropézienne...

Publié le par Ricard Bruno

préparation : 30'  cuisson : 30' : repos : 2 h


La tropézienne voici son histoire (Recette plus bas):

Débarqué en Provence avec les américains en 1945, Alexandre Micka ouvre une boulangerie place de la Mairie à Saint-Tropez et vend à côté de ses pizzas, croissants et pâtisseries, un gâteau à la crème, issu d’une recette de sa Pologne natale.


Tout proche de là, une équipe tourne un film : « Et Dieu créa la femme ». Le nom des acteurs et du metteur en scène sont encore inconnus : Brigitte Bardot, premier rôle féminin ; Curd Jurgens, premier rôle masculin ; Jean-Louis Trintignant, jeune débutant et un certain Roger Vadim, metteur en scène. Le film allait enflammer la planète.

Très rapidement, Alexandre Micka se charge des repas pour l’équipe de tournage et, chaque jour, son fameux gâteau est davantage demandé.

- " Tu devrais lui donner un nom à ton dessert " lui conseille un jour Brigitte Bardot. " Pourquoi ne l’appellerais-tu pas « la Tarte de Saint-Tropez » ? " Finalement, Alexandre Micka déposa la marque et le brevet en baptisant son gâteau « la Tarte Tropézienne ». 
(source 'la tarte tropézienne)

Pour la pâte :

15 g de levure de boulanger délayée avec une cuillère a soupe de lait tiède

300 gr de farine

3 œufs

1 jaune délayé dans un peu d'eau pour la dorure

4 g de sel fin

20 g de sucre semoule

130g de beurre mou

100 g de sucre cristallisé

300 g de farine tamisée

Crème pâtissière

  50 cl de lait

  1 gousse de vanille

  3 jaunes d'œufs

  75 g de sucre

  60 g de farine

Crème fraîche

125 gr de crème fraîche a fouetter

1 c à soupe de sucre impalpable (sucre glace)

ligne scintillante

tropézienne 1

ligne scintillante 
  Préparation de la pâte


  Délayer la levure dans un peu de lait tiède

  Dans votre pétrin déposer la farine en fontaine, verser les œufs entiers battus

  en omelette, la levure, le sucre, 1 pincée de sel et le beurre ramolli,

  Pétrir pendant 10 minutes.

  Mettre en boule, couvrir et laisser reposer 2 heures.


  Dans un moule à manquer ou a tarte, déposer la pâte bien levée, badigeonner

  d'un jaune d'œuf et saupoudrer de sucre grain.


  Cuire a 180 ° pendant 30minutes.


 Préparation de la crème pâtissière


  Faire bouillir le lait avec la gousse de vanille coupée en deux, dans le sens

  de la longueur et gratter l'intérieur.


  Dans un cul de poule, faire blanchir les jaunes d'œufs avec le sucre fin

  puis ajouter la farine.


  Verser le lait bouillant en remuant au fouet, remettre dans la casserole et

  faire épaissir a feu doux sans cesser de remuer.


  Mettre la crème dans un saladier et laisser refroidir.


  Préparation de la Chantilly


  Mettre les batteurs, le saladier avec la crème fraîche 5 minutes au congélateur.

  Monter la crème fraîche à moitié prise, ajouter la cuillère à soupe de sucre glace.


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tropezienne-3-copie-1.jpg

ligne scintillante

  Finition et assemblage


  Couper la brioche en deux sur l'épaisseur.


  Mélanger ensemble la crème pâtissière et la chantilly.


  Garnir la brioche, saupoudrer le dessus de sucre glace.


  Réserver au frais jusqu'au moment de servir.

 

  Que du bonheur, c'est une superbe brioche agrémenté du belle crème


  pâtissière allégée de chantilly !

Source : http://www.parfumsdecampagne.be/article-la-tropezienne-45389395.html

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Ballerines Repetto : Brigitte Bardot en a fait sa légende...

Publié le par Ricard Bruno

Fashion Duel spécial ballerines : Repetto vs. Maloles

Quoi de plus féminin et élégant qu'une paire de ballerines ? Après un léger désavoeu dans les années 80, les ballerines font figure de must-have de la saison. Mais entre Repetto et Maloles, la concurrence est rude !
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Chaque mois, retrouvez sur Plurielles.fr le Fashion Duel. Késako ? Un match entre deux objets star, deux tendances, deux styles. Pour initier ce nouveau rendez-vous, nous nous sommes intéressés au cas de la ballerine. Accessoire indispensable de notre dressing, la ballerine est aussi ravissante avec une jupe frou-frouteuse qu'avec un jean slim. Zoom sur cet objet culte et sur deux marques star : l'historique Repetto vs le challenger Maloles.

L'histoire de la marque

Repetto : Créée dans les années 30 par Rose Repetto pour son fils, danseur de l'Opéra de Paris, la ballerine Repetto a conquis les ballerines comme les modeuses. Son secret ? Un procédé de fabrication inédit dit du "cousu retourné" pour un confort inégalable. Mais c'est en 1956 que la ballerine accède au panthéon de la mode. Une consécration qui doit beaucoup à Brigitte Bardot, qui portait ces ballerines dans le film "Et Dieu créa la femme" et qui donna son nom au modèle. Depuis, les petits rats et les fashionistas se pressent au 22 rue de la Paix, boutiques historique de la marque. Malgré un passage à vide dans les années 80, Repetto - rachetée par un ancien de chez Reebok - a su conquérir une nouvelle génération d'addicts en proposant de nouveaux modèles tout en restant fidèle à ses valeurs.

Maloles : Créée en 2004 par Maloles Antignac, une ancienne rédactrice mode de Elle et Vogue, les Maloles ont su conquérir la planète people grâce à leur look rétro chic. De Katie Holmes à Audrey Tautou, les élégantes ont craqué pour le style unique de ces ballerines

Verdict : Repetto 1 / Maloles 0

Le prix
En version classique les Repetto s'affichent en boutique au prix de 130€ environ contre 180€ pour les Maloles. une différence de prix non négligeable au moment de se faire ce (gros) plaisir.

Verdict : Repetto 2 / Maloles 0

Le style
Au fur et à mesure des collections, Repetto a su se renouveler en proposant des versions customisées de sa ballerine, version zippée (en exclu chez Colette) ou version dancing queen avec des cristaux Swarowski. Toutefois, on craque sur le foulard hippy chic, véritable marque de fabrique des Maloles.

Verdict : Repetto 2 / Maloles 1

Les people
Si Repetto a bénéficié de l'aura de Brigitte Bardot, la marque a su se renouveler et faire la chasse aux people ! Ainsi lors du festival de Cannes 2009, toutes les actrices recevaient en cadeau une paire de Repetto rouge. Un joli coup de comm pour les BB qui ancre son image de luxe à la française ! De son côté Maloles a su séduire les stars inernationales de la nouvelle génération, pour une image bourgeoise bohème décalée.

Verdict : ex aequo

Au final, Repetto l'emporte d'une courte tête sur son challenger. Aussi craquantes l'une que l'autre, ces deux ballerines ne quitteront pas vos petons cet été !

Source : http://www.plurielles.fr/mode/idees-shopping/fashion-duel-special-ballerines-repetto-vs-maloles-5703729-402.html

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Hamburger halal chez Quick et colère du maire... les réactions pleuvent !

Publié le par Ricard Bruno

ON EN PARLE |

Si le maire de Roubaix espérait calmer les esprits en menaçant Quick de poursuites suite

 

à la décision du groupe de ne plus servir que de la viande halal dans son restaurant de Roubaix (lire également en page Métropole), c'est raté. Sa réaction provoque presque autant de commentaires que le contenu des hamburgers roubaisiens... Slimane Tir (les Verts).- « Les déclarations du maire de Roubaix relèvent de la surenchère électoraliste. Elles sont lourdes de conséquences graves et négatives pour notre ville, et pour les relations entre ses citoyens. M. Vandierendonck est bien placé, en tant que juriste, pour savoir que ses arguments ne vaudront pas grand-chose devant un tribunal, face à la liberté d'installation et la liberté de commerce. Son projet d'arrêté, s'il ose même le prendre, relèvera, à coup sûr, d'un excès de pouvoir. M. Vandierendonck vitupère, menace de faire pression via l'actionnaire principal qui a autorisé ce choix de diversification (la Caisse des dépôts détentrice de 99 % du capital de l'enseigne) afin d'imposer un point de vue au gérant franchisé d'un établissement de restauration rapide.

A moins de 300 m, une autre chaîne annonce sur son site, délivrer des produits à base de viande de poulet, proclamée halal, depuis déjà plus de deux ans une troisième enseigne de restauration rapide, indépendante, s'est ouverte l'été 2009, sur le même segment de marché sans jamais susciter aucune réaction de la part de la municipalité. Halal ou pas, la malbouffe reste la malbouffe. S'agissant de business, l'argent n'a ni odeur, ni religion. Nous assistons à la manifestation du réalisme économique d'une entreprise, dont l'établissement et les emplois, sont menacés en ces temps de crise et de concurrence exacerbée. Je constate, avec regrets, que le débat public est plombé par des sujets de plus en plus polémiques, creusant les fossés entre nos concitoyens, tournant le dos à leurs préoccupations essentielles et à la concorde civile. » Hassan K.- Ce Roubaisien de 31 ans estime que « la position du maire de Roubaix concernant les burgers halal est l'acte de trop.

Le plus terrible, c'est l'hypocrisie frappante de M. Vandierendonck. Je me souviens encore de sa dernière campagne municipale en 2008, où il est allé séduire l'électorat musulman dans les mosquées ! Et aujourd'hui, il stigmatise un mode de consommation qui est majoritaire sur Roubaix. Qu'en est-il alors de tous les autres commerçants ne vendant que du halal ? Vont-ils tous faire l'objet d'une plainte ? Aujourd'hui il y a une certaine demande des clients chez Quick ou ailleurs, et il faut l'honorer. Il n'est pas question de créer des espaces de prière. Monsieur le maire, faites donc avec vos administrés même s'ils sont musulmans ils restent des Français, attachés à leur patrie, à leur ville, mais aussi à leur religion. Je vous invite M.

Vandierendonck, à passer les trois ou quatre vendredis qui arrivent, à expliquer aux musulmans dans les mosquées que le halal n'a pas sa place à Roubaix.

 » Fondation Brigitte Bardot.- La Fondation Brigitte Bardot est intervenue auprès du président de Quick, Jacques-Edouard Charret, pour dénoncer la généralisation et la banalisation de produits issus d'abattages rituels. Dans sa lettre, Brigitte Bardot écrit notamment : « Si je me bats tant, et depuis si longtemps, pour imposer l'étourdissement des animaux avant leur saignée, c'est parce que l'abattage rituel (halal et casher) est une horreur pour les animaux égorgés en toute conscience et dans la souffrance. Nous n'avons pas le droit moral d'accepter de plonger dans la souffrance un animal alors qu'il pourrait être insensibilisé ».

Source : http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Roubaix/actualite/Secteur_Roubaix/2010/02/19/article_hamburger-halal-chez-quick-et-colere-du.shtml

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Exposition Brigitte Bardot à Saint Tropez...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : « Une nouvelle charmante et épouvantable ! »
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Le bruissement mélodieux de Radio classique en fond. Pas de doute, nous sommes bien chez Brigitte Bardot. Submergée par le travail pour sa Fondation, Brigitte nous réserve tout de même ses premières confidences sur la venue de l'exposition de sa vie, chez elle, à Saint-Tropez.

Comment accueillez-vous la nouvelle ?

C'est à la fois charmant et... épouvantable ! (rires) Bien sûr que je suis ravie, mais il va falloir mettre un service d'ordre devant La Madrague. Déjà en temps normal, j'ai du mal à rentrer et sortir, mais là ça va être une horreur ! Il faudrait que je m'exile pour un temps, mais je ne peux pas... (Brigitte fait allusion à ses difficultés à se déplacer à cause de ses problèmes de hanches, Ndlr).

Cette exposition-hommage sera-t-elle l'occasion d'enterrer la hache de guerre avec le maire tropézien ?

Absolument pas ! Je n'ai pas une meilleure opinion de lui pour autant (elle l'avait traitée de « méprisable » en septembre dernier suite à des battues organisées contre les sangliers, Ndlr). Ces battues sont révoltantes. Je ne vois plus aucun sanglier depuis...

Après le rendez-vous manqué à Boulogne-Billancourt, visiterez-vous la rétrospective qui se tiendra à deux pas de chez vous ?

(Sans hésitation) Non ! Même à huis clos. Si je ne suis pas allée à Boulogne-Billancourt le 28 septembre dernier, jour de mon anniversaire, je ne vois pas pourquoi j'irais à Saint-Tropez. Je n'ai pas envie de ça, la foule, les photographes... Et surtout, je n'ai pas envie de me revoir ! Après tout, je me connais mieux que personne (rire). Toute cette époque est révolue. Je ne cultive pas la nostalgie triste. Je vis au présent et puis basta !

Mais alors que faudrait-il pour que vous voyiez enfin cette exposition ?

(Sur le ton de la plaisanterie) Qu'elle soit à la Madrague ! D'ailleurs, à ma mort, je veux qu'elle devienne un musée. C'était mon souhait lorsque j'en ai fait don à la Fondation. Puisque tout le monde veut y entrer et bien que cela serve au moins à récolter du pognon pour les animaux !

Source : http://www.varmatin.com/ra/people/240807/interview-brigitte-bardot-une-nouvelle-charmante-et-epouvantable

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Brigitte Bardot / Balkany...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot menace un député français de poursuites judiciaires

L'ancien sex symbol français Brigitte Bardot menace Patrick Balkany, un député UMP, de poursuites judiciaires après ses déclarations dans un livre affirmant qu'il a eu des relations sexuelles avec l'actrice.

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Agée aujourd'hui de 75 ans, Brigitte Bardot a déjà par deux fois nié les déclarations de Patrick Balkany, qui s'est exprimé dans plusieurs shows télévisés pour la promotion de son livre "Une autre vérité, la mienne". Selon le livre du député, qui est également maire de Levallois-Perret et un fidèle de Nicolas Sarkozy, la rencontre aurait eu lieu à Deauville. Bardot, 18 ans, lui aurait dit qu'elle ne "couchait pas avec des personnes dont je ne suis pas amoureuse". Devant la mine déconfite de Balkany, elle aurait ajouté à l'oreille: "Mais je tombe amoureuse au moins trois fois pas jour...". "Je sais avec qui j'ai couché et ce n'est certainement pas avec ce gros menteur", déclare aujourd'hui l'ex actrice devenue activiste animale. Elle menace désormais le député de poursuites judiciaires s'il continue à raconter cette histoire en public.

Source : http://divertissements.fr.be.msn.com/potinsdestars/article.aspx?cp-documentid=152116275

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