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Brigitte Bardot "outrée" par les propos de Patrick Balkany

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot

Brigitte Bardot a démenti vendredi les "propos mensongers" tenus par Patrick Balkany jeudi sur le plateau du Grand Journal de Canal +. Invité de Michel Denisot, l'actuel maire de Levallois y faisait la promotion de son livre autobiographique, Une autre vérité, la mienne, dans lequel il évoque certaines de ses conquêtes amoureuses. Durant l'émission, Patrick Balkany a prétendu avoir eu une aventure dans sa jeunesse avec Brigitte Bardot. Cette dernière a réagi par lettre à ses déclarations, se disant "outrée et scandalisée par ce qui n'est qu'une lamentable désinformation ayant pour but de faire vendre son livre, ramassis de médiocrité à son image". "Monsieur Balkany prend ses désirs pour des réalités", écrit Bardot. "J'ai honte pour lui et envisage une procédure en diffamation si les faits exposés ne sont pas immédiatement démentis par l'intéressé", termine-t-elle.

Source : http://www.parismatch.com/People-Match/Cinema/Depeches/Brigitte-Bardot-outree-par-les-propos-de-Patrick-Balkany-160238/

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Alain Delon : Douchy, un paradis pour ses chiens

Publié le par Ricard Bruno

Alain Delon, c’est notre dernière grande star de cinéma, qui a démarré sa carrière à l’âge de 22 ans, au retour de son engagement dans la marine en Indochine. C’est un mythe vivant, mais c’est aussi une personnalité qui dérange, car justement, il est différent. Pour celles et ceux qui n’ont jamais rencontré Alain Delon, c’est un homme ouvert et attentionné, qui aime échanger et surtout, qui possède intelligence et sensibilité… Dans cet entretien, vous allez découvrir Douchy, la maison familiale et sa passion pour ses chiens qui le lui rendent bien. Photos de Michel Marisy et Cécile Patrikeff

 

Eric Romain : Alain, je vous ai sollicité pour cette interview dans Doggy, vous m’avez dit oui, vous avez tenu parole, qu’est-ce qui vous a fait accepter ?

Alain Delon : Doggy est un magazine pour les chiens et pas pour les humains, je ne suis là que pour ça, que pour aider les chiens et les animaux en général.

Si vous regardez la presse d’aujourd’hui, c’est effrayant… Vous n’avez pas vu, il y a de plus en plus de chiens abandonnés, avant c’était la période des vacances, maintenant il n’y a plus de période creuse, c’est tout le temps. Je ne parle pas des sévices… En plus, des oreilles coupées, des numéros retirés, c’est effrayant... J’ai aussi lu quelque chose et c’est tout à fait nouveau : la répartition actuelle des jours fériés, des jours de repos et des RTT font qu’on abandonne de plus en plus de bêtes. C’est bien… Mais alors pourquoi les prendre ?

E. R. : Souvent dans l’enfance, on est attaché à un animal. Vous souvenez-vous du chien qui est entré un jour dans votre vie ?

A. D. : La première chienne de ma vie s’appelait Gala, elle est toujours dans mon esprit, dans mon coeur, dans mes souvenirs et elle est enterrée chez moi à Douchy. C’était une Doberman qu’on m’a offert et c’est la première chienne que j’ai vu pleurer. Un jour de jalousie, je l’ai engueulée pour quelque chose, un chien qui était venu, je ne sais plus ce qu’elle avait fait et j’ai vu cette chienne me regarder et pleurer, ça m’a bouleversé…

J’ai toujours eu l’amour des chiens. Mon premier amour a été pour les Bas Rouge Bergers de Beauce, je trouvais ces chiens extraordinaires. Et puis, je me suis toujours dit, bien avant de démarrer ma carrière, puisque j’étais militaire et je n’avais pas les moyens ni la possibilité d’en avoir : « J’espère un jour avoir des chiens » sans savoir que j’allais devenir l’acteur Alain Delon. Moi, j’ai des chiens qui rient, ma chienne, là, elle rigole !

E. R. : Vous avez, disent vos amis, le culte de l’amitié, mais aussi une profonde affection envers les des chiens et les animaux. En quoi sont- ils différents des hommes ?

A. D. : Ils ont en général toutes les qualités de l’homme moins les défauts ! Les défauts de l’homme qui sont eux, innombrables et innommables. Ils ont la fidélité, l’amour du maître quel qu’il soit, sans savoir qui est et ce que représente le maître. Moi je suis toujours touché par les chiens des SDF dans la rue. Ils ne savent pas que leur maître est SDF… Ils aiment cet homme, ils aiment leur père, de la même façon que le Labrador de Mitterrand aimait son maître sans savoir qu’il était président de la République et le patron du pays. Croyez-vous que les miens savent que je suis Alain Delon ? Ils s’en foutent complètement. Mes chiens m’aiment, ils ne savent pas qui je suis et ce que je fais. C’est l’amour total, l’amour complet, l’amour sans réflexion, l’amour pur et vrai.

E. R. : Y a t-il un rituel ou une communion particulière entre vos chiens et vous ?

A. D. : Il n’y a que ça, demandez à mon chauffeur qui est avec moi. Je pars de la campagne, j’en ai quatre qui sont dehors avec un chat. Dès que je change de chemise pour aller en ville, mon chien Shalva se transfigure. Il sait que je pars, on le voit dans les yeux, il me suit partout, il ne bouge plus, il n’a plus le même comportement parce qu’il sait que je m’en vais. Ce qui est formidable dans un chien, c’est qu’un chien sait que vous partez, mais il ne sait pas si vous allez revenir et il y a cette espèce de peur, mon père s’en va, mais est-ce qu’il va revenir ? Et c’est ça qui est magnifique. Je l’ai déclaré un jour, la vrai solitude, c’est ce que je vois dans le regard de mes chiens quand je les quitte.  E. R. : Vous arrive t-il d’emmener vos chiens avec vous lors de vos déplacements ?

A. D. : Je ne les emmène jamais avec moi. Ce sont des chiens qui ne supporteraient pas. Les chiens sont nés chez moi (à part Shalva et Charra qui sont venus de Sibérie et les Dogues du Tibet), vivent chez moi et meurent chez moi.

Douchy c’est un univers, vous me direz il y a 120 hectares, il y a tout ce que vous voulez, j’ai un drame malheureusement, c’est qu’ils me tuent de jeunes biches qui vivent en liberté chez moi. On ne peut rien faire… Mes chiens ne sortent jamais de chez moi. Mais je ne pourrais pas venir à Paris avec ces chiens, ce n’est pas possible ! Ou ils tremblent dans la voiture ou ils bouffent tout le monde. Le bruit, les voitures, la laisse, ils ne connaissent pas ça. Les seuls chiens qui venaient avec moi dans toute ma vie à Paris étaient les Malinois. Mais savez-vous, pour revenir sur les Dogues du Tibet, que c’est moi qui ait emmené et importé les premiers en France, il y a 25 ans ? Et c’est à la suite de ça qu’il y a depuis, un club des Dogues du Tibet.

E. R. : Avez-vous appris à vos enfants, Anthony, Anouchka et Alain-Fabien à aimer et à respecter les animaux ?

A. D. : Ils ont grandi avec les chiens. Ils ne pourraient pas vivre sans eux. J’ai des photos de mes enfants qui étaient au berceau avec les chiens. Ils ont la passion et l’amour des animaux. Anthony, qui maintenant est un homme, a eu lui aussi trois Bergers Belges. Malheureusement le drame c’est qu’à 10 ou 12 ans, ils vous quittent. C’est le drame des grands chiens.

E. R. : Avez-vous une passion pour une race en particulier ?

A. D. : J’ai une passion pour les Bergers Belges. J’ai connu et découvert les Malinois tardivement, après les Dobermanns et les Bergers Allemands. Ce sont des chiens extraordinaires, j’ai une passion pour eux. Ils sont toujours dans le monde entier des chiens de police et de douane. Ce sont des chiens physiques, j’aime les chiens physiques.

E. R. : Vous voyagez dans le monde entier mais vous êtes aussi un homme qui a de profondes attaches, que représente pour vous votre propriété de Douchy ?

A. D. : Douchy, c’est une propriété que j’ai acheté avant la naissance de mes enfants et la connaissance de leur mère, c’était avec Mireille et puis c’est devenu la maison familiale. C’est ce que la mère de mes enfants appelait la base, parce que mes enfants sont nés là, ont grandi là… Quand je dis ils sont nés là, en réalité ils sont nés à la clinique à Gien et sont arrivés à Douchy à trois jours. C’est la maison qu’on ne quittera jamais…

E. R. : Ceux qui ont eu la chance d’y être invités disent que c’est un paradis pour vos chiens ?

A. D. : Oui, Il y a des chiens partout ! Un jour dans une interview on nous avait demandé à Brigitte et à moi, ce qu’on aimerait être dans une prochaine vie : j’avais répondu « je voudrais être chien chez Alain Delon » ou « mulet chez Brigitte Bardot ». Ca c’est l’idéal de la vie, parce que chien chez moi c’est le paradis, c’est le bonheur.

E. R. : Vous avez enterré tous vos chiens à Douchy, c’est pour ne pas les oublier ?

A. D. : Oh mais c’est beaucoup plus profond que ça mon cher Eric. D’abord les chiens c’est pour les garder près de moi, chaque chien a sa part de vie, sa pierre tombale et les couples sont ensemble. Mais ce qui est beaucoup plus important, c’est qu’au milieu de ce cimetière des chiens, j’ai fait construire une chapelle où je serais enterré. Parce que j’ai la chance d’avoir fait les formalités nécessaires avec les expertises des sols et des eaux. Vous savez que pour être enterré chez vous ce n’est pas donné à tout le monde. Il faut une propriété particulière et il faut faire la demande de son vivant, que l’on ne vous donne pas mais que l’on vous accorde lorsque vous êtes mort. C’est-à-dire que ce sont vos héritiers qui disent : voilà les demandes ont été faites etc… Donc moi, je serai enterré dans ma chapelle construite au milieu de mes chiens. Alors les gens viennent et me disent : « Tu ne te rends pas compte ! » Je leur réponds : « Mais attendez, c’est le luxe suprême. Vous voulez que moi, j’aille au Père-Lachaise ou au cimetière Montparnasse ? » Là, je suis chez moi dans ma propriété au milieu de mes chiens dans mon trou, c’est formidable ! C’est le luxe total !

E. R. : Brigitte Bardot est votre amie depuis de nombreuses années, après son choix d’arrêter sa carrière au cinéma et la création un peu plus tard de sa Fondation, imaginiez-vous un instant son sacerdoce envers les animaux ?

A. D. : C’est mon amie depuis 50 ans, je lui ai toujours apporté mon aide, Brigitte est d’une importance capitale pour les bêtes et je pense même que si elle vit aujourd’hui, c’est grâce aux animaux.

Parce que la plupart des stars mondiales féminines que j’ai bien connues se sont suicidées.

E. R. : Avez-vous tourné beaucoup de films avec des animaux ?

A. D. : J’ai tourné avec mes chiens dans les films. J’ai tourné avec mes Bergers Belges dans Le Toubib et dans le Gang.

Dès qu’il y a un chien dans un film, c’est mon chien. Mais il est vrai que c’est plus facile de tourner avec des bêtes au cinéma qu’avec des enfants.


Source : http://www.lepetitnicois.fr/culture-loisirs-et-sport/animaux-cie/alain-delon-douchy-un-paradis-pour-ses-chiens,263.html

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Joann Sfar et l’homme à la tête de chou

Publié le par Ricard Bruno

Il nous parle de Rabelais, d’Aristote, de Karl Gustave Jung… Ses modèles de biopic sont « Van Gogh qui nous apprend plus de choses sur Maurice Pialat que sur Van Gogh », « Amadeus » de Milos Forman qui sait tout aussi faire le portrait du roi du porno, « Larry Flynt ». Rencontre avec un auteur niçois de BD emblématique, devenu réalisateur.

 

LPN : Comment s’est fait le passage de la BD au cinéma ?

Joann Sfar : Naturellement. Cela fait 6 à 7 ans que l’on me sollicite pour faire un film de mes BD. J’ai toujours refusé en attendant « le » sujet qui vaille le coup et « Gainsbourg » est arrivé.

LPN : Et avec les moyens…et la liberté ?

J. S. : C’est un budget raisonnable, la moitié de celui de « Lucky Luke ». Nous avons scrupuleusement respecté le budget et les délais à la Clint Eastwood. Sur le ton, on ne s’est rien interdit. Le drame de la France, c’est l’autocensure. Dans la BD, on est plus libre, plus insolent… Le héros français est ambigu et à la fin, il est encore pire qu’au début, à l’inverse de celui américain qui doit évoluer, être meilleur à la fin… Gainsbourg fout sa famille en l’air toutes les 5 min.

LPN : Qu’est-ce qui est vrai et faux dans votre film ? Qu’y a-t-il de vous dans Gainsbourg ?

J. S. : C’est difficile, il y a beaucoup d’allers retours. Une chose est sûre, les liens avec son père étaient plus distants au contraire des miens. Il a dit qu’avec son père, il a raté un copain à qui parler. La rencontre avec Brigitte Bardot chez ses parents, c’est vrai, tout comme la rencontre avec Brassens. Ce qui nous rapproche, sans doute la peur de l’abandon… Et un certain sens du ridicule, on est tous deux quelque peu pathétique.

LPN : Qu’avez-vous apporté à votre « Gainsbourg » ? L’avez-vous rencontré ? Pourquoi le double ?

J. S. : Non, on devait se voir trois mois avant sa mort. Si je l’avais vu, je lui aurais demandé un dessin, il ne s’est jamais remis à la peinture… Comme moi, au violon… Je ne voulais pas de voix off , d’où le personnage du double. J’ai utilisé tous les artifices de la fête foraine, des animaux, des enfants, des masques… Quel Niçois n’a pas été digéré par la gueule de carton-pâte d’un Pantagruel géant ? On entre par la bouche, on sort par le cul…

Le cinéma doit être un cirque… et une magie de l’image. On allait chercher Gainsbourg puis on le perd… Et puis, il y a des moments intemporels comme la scène de Gainsbourg et de Bardot au piano…

LPN : Quelle était votre hantise sur le tournage ?

J. S. : Le trop grand respect. Le Talmud nous enseigne que si tu aimes un texte, il ne faut pas le respecter. Je voulais jouer avec le sujet et avec les acteurs. Eric Elmosnino est un génie qui sait tout faire… Mes références en terme d’acteurs, Groucho Marx et Vittorio Gassman. Je voulais qu’ils se sentent bien sur le tournage. L’amour des scènes pour échapper à la dictature de l’histoire dédiée à Lucy Gordon qui s’est suicidée 15 jours avant la fin du tournage.

Source : http://www.lepetitnicois.fr/culture-loisirs-et-sport/art-d-azur/joann-sfar-et-l-homme-a-la-tete-de-chou,286.html

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Cet été, on se la joue BB...

Publié le par Ricard Bruno

Cet été, on se la joue BB...Brigitte Bardot, c’est l'icône mode par excellence.

Que se soit pour le blond angélique, le khôl pour les yeux, les cuissardes, ou encore la célèbre petite ballerine Repetto, c’est Brigitte Bardot qu’on a copié.  

Cet été encore, les créateurs les plus en vogue comme Christopher Kane (voir photo), se sont inspirés de notre BB nationale, en remettant au goût du jour le célèbre imprimé vichy.  

Décliné en couleur pastel, il saura rafraîchir et "glamouriser" notre été…

Source : http://www.fashionroad.fr/article-1798-cet-ete-on-se-la-joue-bb.html

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Alyssa Milano et Brigitte Bardot même amour des animaux

Publié le par Ricard Bruno

 Alyssa Milano joue les marraines pour un chien handicapé...Alyssa Milano joue les marraines pour un chien handicapé...

En France on a Brigitte Bardot, aux Etats-Unis ils ont Alyssa Milano ! Très sensible à la cause de nos amis les animaux, l’actrice s'est récemment prise d'affection pour un chien né sans pattes de devant...

Chez Fuzzy Rescue, un centre d’accueil pour animaux handicapés ou abandonnés de Los Angeles, on est habitué à voir débarquer l 'ex gamine de la série Madame est servie , Alyssa Milano. L'actrice que l'on a retrouvée plus tard en jolie sorcière dans Charmed n'hésite pas à s'investir et à donner de sa personne pour venir en aide aux chiens, chats et autres animaux de compagnie recueillis par l'association.

Récemment, c'est le petit Scooby Roo, un chien né avec une malformation, qui a reçu toute son attention. Dépourvu de pattes avant, l'animal avait jusque-là bien des difficultés à se mouvoir... Mais heureusement, sa marraine Alyssa lui est venu en aide ! L'actrice a en effet payé de sa poche un équipement spécial constitué de petites roues, qui permet à Scooby Roo de se déplacer avec moins d'efforts.

Il y a quelques jours, après une visite à son filleul, l'actrice postait quelques photos sur son profil Twitter et commentait : "Je suis dingue de Scooby Roo. Je l’ai aidé à avoir de petites roues. Comment aurais-je pu faire autrement ? Je ne suis pas sa mère, mais je suis sa marraine. Désormais il a ses roues, et il suit une thérapie de réeducation."

Décidément, Alyssa a un cœur gros comme ça...

Source : http://people.premiere.fr/News-People/Alyssa-Milano-joue-les-marraines-pour-un-chien-handicape/(gid)/2183774

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Cette semaine au cinéma Landowski de Boulogne Billanourt : Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Cette semaine au cinéma Landowski de Boulogne

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Cinéma Landowski - Boulogne-Billancourt Accueil

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La fourrure animale provoque le débat : les anoraks de la discorde

Publié le par Ricard Bruno

Le froid et la neige n'ont pas calmé la colère de Bertrand Camus, moniteur de ski à Courchevel. Surtout en cette journée nationale contre la fourrure animale. "Et dire qu'on a failli porter des anoraks avec une capuche entourée de fourrure !" s'étrangle le montagnard, qui partait déjà en guerre l'an dernier contre ce retour en grâce des fourrures en tous genres dans les stations de ski.

Un métier où "l'on fait passer un message de protection de la nature et des espèces"

Le syndicat national des moniteurs de ski commandait alors plusieurs milliers de tenues qui devaient être la nouveauté de la saison 2010/2011. Fureur de Brigitte Bardot et de sa fondation qui envoyait au syndicat des moniteurs un film tourné en Chine. Il montrait les conditions dans lesquelles sont traités les animaux pour que la peau demeure intacte. Un document sans concession, faisant découvrir la violence de l'abattage des animaux élevés dans des cages minuscules. "Plusieurs milliers de renards, et autres espèces vendues sous cette appellation, seront électrocutés...La décharge grillera les organes internes..."

On passe sur les détails, mais Bertrand Camus protestait auprès du syndicat pour demander qu'il ne cautionne pas de telles pratiques. Le groupement d'achat du syndicat stoppait la commande en avril dernier, mais quelques centaines de tenues étaient quand même livrées. "Je ne me suis pas fait que des amis copains, mais je ne le regrette pas. Il faut être cohérent. Un moniteur ne peut pas se compromettre avec ça sur le dos. C'est un métier sportif, dans lequel on fait passer un message de protection de la nature et des espèces." Le défenseur des animaux se sent d'autant plus isolé que la fourrure naturelle revient à la mode chez les fabriquants de vêtements de sports d'hiver. "Regardez en ce moment à Courchevel avec les Russes, dont certaines sont mes propres clients. Je sais bien que ce n'est pas facile de leur dire sans se mettre à dos ceux qui nous font vivre."

Pour Gilles Chabert, président national du syndicat des moniteurs, "on a fait beaucoup de bruit pour rien. Cette polémique était disproportionnée pour de simples peaux de lapins que l'on voulait mettre sur les capuches. On ne tue quand même pas des bébés phoques ! Mais face à l'agression de la fondation Bardot, j'ai préféré renoncer. J'ai grandi dans une ferme où la peau de lapin ne valait rien. Il y a des problèmes plus importants dans la vie." Une demi-victoire pour le moniteur Bertrand Camus. "C'est maintenant aux commerçants et aux stations de prendre conscience du fait que cet étalage de fourrure animale est très mauvais pour l'image de la montagne."

Source : http://ledauphine.com/index.jspz?article=245872

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Touché-coulé en plein océan : Sea Shepherd et Paul Watson...

Publié le par Ricard Bruno

En plein océan Antarctique, un baleinier japonais a éperonné puis coulé mercredi le navire d'une ONG de défense des espèces marines qui essayait de le freiner. Les gouvernements australien et japonais ont tenté de calmer le jeu, tout en affirmant qu'ils n'interviendraient pas.

L'écologiste Paul Watson, un des membres les plus célèbres de Greenpeace dans les années 60, mène son combat contre les chasseurs de baleine depuis trois décennies. Mais cette fois, il est tombé sur plus fort que lui. Alors qu'il partait à l'assaut d'un navire japonais qui pratiquait la pêche aux mammifères marins géants dans les eaux australiennes, son trimaran ultrarapide, l'Ady-Gil, a été éperonné et coulé mercredi par ses opposants.

Selon Paul Watson, qui dirige l'ONG Sea Shepherd, spécialisée dans la défense des espèces marines, l'Ady-Gil a été "coupé en deux par le Shonan Maru 2, le baleinier japonais, alors qu'il naviguait à proximité". Les six membres d'équipage de l'ONG ont été sauvés mais l'un d'entre eux a eu deux côtes cassées et le trimaran high-tech d'un coût de 1,4 million de dollars a coulé. L'équipage japonais, dont un membre a filmé la scène (voir la vidéo ci-dessous) affirme que les militants leur "lançaient des projectiles" et que "la collision était inévitable". Un autre navire de la flotte baleinière japonaise se trouvait non loin de cette bataille navale improvisée.

Océan mouvementé

Face à l'événement, les gouvernements australien et japonais ont vivement réagi, sans pour autant promettre une intervention. Cambera a lancé un appel à la retenue à toutes les parties, disant qu'il n'enverrait pas de patrouilleur sur place. "Je voudrais insister sur le fait que le risque d'accident est élevé et que les capacités de secours sont faibles dans cet endroit du globe. Il est donc fondamental que toutes les parties fassent preuve de retenue et de prudence", a déclaré à la presse le ministre de l'Environnement, Peter Garrett. Tokyo s'est réfugié derrière sa position habituelle, faisant valoir le droit à pratiquer la chasse à la baleine, tout en critiquant la réaction démesurée des navires japonais.

Pour ou contre la chasse à la baleine, dont certaines espèces sont aujourd'hui menacées de disparition? Le débat n'est pas nouveau. Paul Watson, lui, en a fait son sacerdoce, quitte à être taxé d'écoterroriste ou de pirate. Après avoir fondé en 1977 l'association Sea Shepherd, il s'est dit prêt à parcourir les mers pour "gêner tous les chasseurs de baleine". Dans l'océan Pacifique, le Japon et la Corée du Sud sont dans sa ligne de mire. Ces consommateurs, modérés, de mammifères marins continuent d'harponner les cétacés, alors que les Nations unies ont interdit ce type de chasse depuis 1986. Cela n'empêche pas les Japonais de continuer à pratiquer cette pêche, la présentant comme "d'intérêt scientifique", et échappant ainsi au droit international. Tokyo considère surtout la chasse à la baleine comme inscrite dans la culture nippone.

Politisation d'un débat écologiste

Les baleiniers japonais n'échappent toutefois pas au droit international s'ils braconnent un surplus de cétacés hors de leurs eaux territoriales. Or, des rapports d'ONG écologistes ont démontré que les Japonais pêchaient surtout la baleine dans les eaux australiennes et néo-zélandaises – et en nombre trop important, au regard de ce que "l'intérêt scientifique" tolère. Du coup, la polémique enfle en Australie: pourquoi Canberra ferme-t-il les yeux sur cette présence nippone dans ses eaux? A Sydney, des députés ont appelé le gouvernement à empêcher les "vols espions" par les baleiniers japonais à partir d'aéroports australiens pour "déjouer les plans des militants écologistes" dans l'Antarctique. Selon ces parlementaires, ces vols aident Tokyo à enfreindre les conventions internationales.

Avec ce nouvel incident, les exécutifs australiens et japonais se trouvent en position délicate. D'autant qu'il apparaît, selon plusieurs témoins et selon des enregistrements vidéo, que le baleinier japonais Shonan Maru 2 aurait tout simplement "chargé" sur le trimaran de l'ONG Sea Shepherd. Un "acte délibéré", selon l'association, qui alimente un peu plus la polémique


Source : http://www.lejdd.fr/International/Oceanie/Actualite/Touche-coule-en-plein-ocean-162839/

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Réaction de Brigitte Bardot après éperonnage catamaran Sea Shepherd

Publié le par Ricard Bruno

Article plus bas après les vidéos :


Après l’éperonnage, en Antarctique, du catamaran de l’organisation Sea Shepherd par un baleinier japonais, la Fondation Brigitte Bardot renouvelle son soutien au «berger des mers»

7 janiver 2010

La réaction de Brigitte Bardot après cette nouvelle agression : Nous ne devons plus tolérer ces attaques permanentes des navires japonais au cœur même d’un sanctuaire baleinier censé protéger les espèces menacées. Des sanctions doivent être prises à l’encontre de ces tyrans des mers qui ne respectent rien ni personne.

Le gouvernement français est à l’initiative du sanctuaire en Antarctique alors il doit réagir et dénoncer fermement cette intolérable violation. Je trouve invraisemblable que les règles internationales soient bafouées dans l’indifférence de tous et suis très admirative de l’action menée par Paul Watson qui pallie aux manquements coupables des gouvernements.

Il m’a accueillie, il y a 33 ans, sur la banquise canadienne pour dénoncer le massacre des phoques alors il me revient aujourd’hui de lancer un appel à la générosité publique en faveur de ce type formidable et de son équipe courageuse.

Dans l’urgence, ma Fondation vient de débloquer 20 000 € pour aider Sea Shepherd mais cette somme reste bien insuffisante devant les dégâts occasionnés par l’attaque du baleinier japonais. Nous devons former une chaîne internationale pour soutenir cette organisation et lui permettre de poursuivre sa mission pacifiste car si le bon sens ne l’emporte pas, alors nous n’aurons pas d’autres choix que de nous battre à armes égales face aux navires de guerre qui répandent la mort dans les mers et océans du globe.


Brigitte Bardot
Présidente
Fondation Brigitte Bardot


Source: Fondation Brigitte Bardot

Link: Le Japon ressort les harpons
Link: Sea Shepherd

Source : http://www.evana.org/index.php?id=51977&lang=en

AVANT :
Après :

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